Cindy Pinchart - Essence Féminine

Cindy Pinchart - Essence Féminine Cindy Pinchart | Autrice, formatrice, Gardienne de Cercles & Éveilleuse du Féminin Sacré
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Ces derniers mois, j’ai reçu des dizaines de messages.Toujours les mêmes questions.Toujours les mêmes inquiétudes.Toujou...
23/11/2025

Ces derniers mois, j’ai reçu des dizaines de messages.
Toujours les mêmes questions.
Toujours les mêmes inquiétudes.
Toujours les mêmes zones d’ombre autour de l’œuf de yoni.

« Comment je choisis ma pierre ? »
« Pourquoi je ne sens rien ? »
« Comment écouter mon périnée ? »
« Est-ce que c’est normal de… ? »
« Je veux pratiquer, mais j’ai peur de mal faire… »

Et à force de vous lire, j’ai compris quelque chose.
Ce n’est pas l’œuf qui pose problème.
C’est le manque d’information vraie.
Le manque de transmission.
Le manque d’espace où l’on parle du corps féminin,
pas en surface,
pas en “bien-être”,
pas en spiritualité déconnectée…
mais dans sa réalité charnelle,
dans son système nerveux,
dans ses tissus,
dans sa mémoire.

On nous a laissé pratiquer dans le flou.
On nous a donné des pierres… sans jamais nous donner le langage du corps.

Alors j’ai décidé d’y remédier.

J’ai pris tout ce que vous me demandiez.
J’ai pris toutes les questions récurrentes.
J’ai pris tout ce que j’enseigne en séance depuis des années.
Tout ce que j’ai vu chez les femmes :
les fermetures subtiles,
les “non” du périnée,
les mémoires qui remontent,
les protections du vagin,
les ouvertures profondes…

Et j’ai rassemblé tout ça dans une mini-formation gratuite.
Un vrai espace d’apprentissage.
Simple.
Clair.
Profond.
Respectueux du corps.

Trois vidéos, trois bases essentielles :
✨ Comment choisir ton œuf et pourquoi c'est important
✨ Comprendre ton périnée & ton vagin
✨ Pratiquer en sécurité (et éviter les erreurs que 99% des femmes font)

Pas de chichi.
Pas de clichés.
Pas de « fais ci / fais ça ».
Juste la vérité du corps féminin.
La tienne.

Si ton périnée réagit avant toi.
Si ton cœur sait.
Si ta yoni appelle.
Si tu veux pratiquer pour de vrai, avec conscience et sécurité alors tu peux recevoir la mini-formation aujourd’hui!

Avec amour,

Cindy

Le Temple Initiatique B.O.O.B.S! est une expérience en ligne de 7 jours pour se réconcilier avec ses seins, honorer son corps et retrouver la sagesse du féminin. À travers des vidéos, méditations, rituels et pratiques guidées, Cindy Pinchart t’accompagne dans un voyage de libération, de gu...

23/11/2025

Le ventre des femmes raconte ce que la bouche n’a jamais su dire.
Les douleurs sans cause, les fermetures sans explication, la fatigue qui revient, l’absence d’élan, la peur dans l’intimité… rien n’est “dans ta tête”.
Ton utérus parle.
Et il attend d’être entendu.

Je t’apprends cette lecture dans mon week-end de guérison.
Si tu sens que c’est ton moment, écris-moi « Je descends ».

On t’a toujours parlé de ton utérus comme d’un simple organe. Un espace biologique, fonctionnel, parfois douloureux, par...
23/11/2025

On t’a toujours parlé de ton utérus comme d’un simple organe. Un espace biologique, fonctionnel, parfois douloureux, parfois silencieux. On t’a décrit ses cycles, ses hormones, ses symptômes. Mais jamais son langage. Jamais sa mémoire. Jamais sa structure intérieure.

Il existe pourtant dans ton ventre une cartographie que personne ne t’a enseignée : une roue matricielle. Un espace organisé en quatre zones, chacune portant un type de mémoire différent, chacune influençant ta vie bien plus que tu ne le réalises. C’est cette architecture intérieure qui façonne tes réactions dans l’intimité, ta capacité à t’ouvrir, la manière dont tu te relèves après une rupture, la façon dont tu portes la douleur, la manière dont tu t’attaches, te défends, t’éteins ou t’enflammes.

Et ce qui est frappant, c’est que les femmes vivent les effets de ces zones chaque jour, sans jamais connaître leur origine. Elles sentent un verrou qui ne s’explique pas, une peur qui ne vient de nulle part, une fatigue émotionnelle qui s’accumule, une absence de désir qui n’a pas de cause logique, ou encore des douleurs récurrentes qui semblent surgir sans raison. Leur ventre parle, mais elles ne savent pas le lire.

C’est là que la lecture matricielle change tout. Lire ton utérus, ce n’est pas comprendre un symptôme : c’est comprendre ton histoire. C’est identifier quelles mémoires gouvernent ton présent, quelles empreintes orientent tes choix, quelles zones te retiennent ou t’épuisent, et lesquelles demandent à être vues pour enfin se transformer. La lecture matricielle devient alors une clé puissante, un outil d’une précision rare, un accès direct à ce qui te façonne depuis des années, parfois depuis des générations.

Dans mon week-end de guérison de l’utérus, je t’apprends à rencontrer cette roue intérieure et à la décoder. Tu découvres ce qui est réellement personnel dans ce que tu portes, ce qui vient de ta lignée féminine, ce qui appartient au masculin, et ce qui provient du collectif des femmes. Tu apprends à lire ton ventre comme un livre vivant, à repérer ce qui te parle le plus fort aujourd’hui, à comprendre pourquoi certaines choses sont si difficiles pour toi alors qu’elles semblent simples pour d’autres, et à retrouver un espace intérieur qui te ressemble vraiment.

Si tu sens qu’il y a quelque chose dans ton ventre que tu n’as jamais réussi à comprendre. Si tu sens que tu tournes autour d’un même blocage sans jamais mettre la main dessus. Si tu sens que ton corps te parle mais que tu n’as jamais eu la bonne langue pour le traduire… alors tu es prête pour la lecture matricielle. Et tu es prête pour ce week-end.

Dis-moi “Je veux descendre” et je t’envoie les informations. 💖

Avec amour,

Cindy

Elle n’était pas une “petite fille sage”.Elle était une fille qui tremblait de peur.Peur du ton.Peur du regard.Peur du s...
21/11/2025

Elle n’était pas une “petite fille sage”.
Elle était une fille qui tremblait de peur.
Peur du ton.
Peur du regard.
Peur du silence qui voulait dire qu’elle n’avait pas fait assez… ou qu’elle était trop.

On ne lui a jamais demandé d’être elle-même.
On lui a demandé d’être pratique.
Sage.
Calme.
Adorable.
Docile.

Alors elle a appris à rapetisser.
À avaler ses mots.
À étouffer ses besoins.
À contracter son ventre comme si respirer trop fort pouvait déranger.
Son système nerveux n’a pas seulement été cassé.
Il pleurait.
Il portait le deuil d’une enfance où il fallait disparaître pour être aimée.

Elle a grandi en croyant qu’être aimée signifiait être utile.
Être parfaite.
Être performante.
Ne jamais avoir besoin de rien.
Ne jamais être un poids.

Et elle a gagné.
Elle est devenue efficace.
Compétente.
Indestructible en apparence.

La femme qui sourit en public.
La femme qui pleure seule.
La femme qui porte tout et ne demande rien.

On lui a appris à éteindre : sa colère, ses larmes,
sa voix, ses désirs, et ce cœur qui n’a jamais cessé de battre trop fort.
Alors elle a éteint.
Pas seulement ses émotions.
Elle.

Forcément, un jour, son ventre a parlé.
Sa matrice a grondé.
Son corps a demandé qu’elle revienne.
Qu’elle réintègre ce qu’elle avait quitté si tôt.

Aujourd’hui, elle comprend.
Chaque fois qu’elle ose dire non,
qu’elle ose prendre sa place,
qu’elle ose sentir,
qu’elle ose exister,
elle ne se rebelle pas : Elle se récupère.

Elle récupère la petite fille qu’on lui a arrachée.
La voix que personne n’a voulu entendre.
La vérité qu’on lui a demandé de taire.
La femme qu’elle aurait toujours dû être.

Elle était une fille qui tremblait de peur.
Elle devient une femme libre.
Et à chaque pas qu’elle fait, elle libère toutes celles qui n’ont jamais eu le droit de respirer.

Cindy Pinchart
« Celle qui n’était pas une petite fille sage »

La plus grande erreur, ce n’est pas “mal utiliser l’œuf”.C’est de l’utiliser sans savoir écouter ton corps.Parce qu’avan...
21/11/2025

La plus grande erreur, ce n’est pas “mal utiliser l’œuf”.
C’est de l’utiliser sans savoir écouter ton corps.

Parce qu’avant d’insérer un œuf, il y a une étape essentielle, que presque personne n’enseigne : connaître ton périnée & ton vagin, ton système nerveux, tes tissus, ton rythme interne.

Sans cette base, la pratique devient floue, ou pire : inconfortable.

Voici les erreurs réelles, celles que je vois depuis des années en séance et en formation :

✖️ 1. Ne pas entendre le “non” du corps

C’est l’erreur la plus subtile, et la plus fréquente.

Le “non” du corps n’est pas toujours un blocage brutal.
Parfois, il ressemble à :
– un périnée qui se contracte d’un coup,
– un vagin qui se ferme très légèrement,
– un souffle qui se coupe,
– une émotion qui monte trop vite,
– une sensation de gêne difficile à nommer.

Mais beaucoup de femmes passent au-dessus, parce qu’on leur a dit :
“c’est normal”, “ça viendra”, “c’est juste au début”.

Non.
Le périnée ne ment jamais. Le vagin, encore moins.

Apprendre à reconnaître ce “non” est la base absolue de toute pratique juste.

✖️ 2. Vouloir aller trop vite

Le vagin ne fonctionne pas comme un muscle de fitness.
Il fonctionne comme un tissu nerveux, émotionnel, mémoriel.

Plus tu vas vite, plus tu actives le système nerveux de défense.
Plus tu vas lentement, plus tu réveilles l’intelligence organique de tes tissus.

Lenteur = sécurité.
Sécurité = ouverture.
Ouverture = transformation.

Rien de bon ne se passe dans la précipitation.

✖️ 3. Insérer l’œuf… sans savoir quoi faire une fois qu’il est dedans

Celle-là, elle est énorme.
Et… personne n’en parle.

Beaucoup de femmes me disent :
« Une fois que l’œuf est en interne, je ne sais pas quoi activer… ni quoi ressentir… ni ce que je suis censée faire. »

Et c’est NORMAL.
Parce qu’on ne nous a jamais appris :

– comment lire les tissus internes,
– comment sentir les fascias,
– comment activer le périnée correctement,
– comment respirer pour que le vagin s’ouvre,
– comment laisser les mémoires remonter sans forcer,
– comment savoir si on stimule ou si on agresse,
– comment suivre le mouvement interne au lieu de le contrôler.

Un œuf en interne ne “fait” rien tout seul.
C’est la conscience + la respiration + l’écoute du tissu qui font le travail.
Sans cela, la pratique devient vide, ou confuse.

✖️ 4. Pratiquer sans connaître son périnée & son vagin

Beaucoup veulent directement “passer à la pratique”.
Mais la pratique, sans la connaissance, n’a aucune profondeur.

Tu ne peux pas travailler un tissu que tu ne connais pas :
— sa tonicité,
— ses zones contractées,
— ses zones engourdies,
— sa réponse au stress,
— son lien avec ta respiration,
— sa mémoire,
— son niveau de sécurité interne.

C’est comme vouloir lire un livre… sans connaître l’alphabet.

Le corps doit être compris AVANT d’être travaillé.

🌹 Alors, comment éviter ces erreurs ?

En remettant ton corps au centre.
En apprenant à reconnaître les signaux du périnée.
En comprenant le langage des tissus.
En prenant le temps d’entrer en relation avant d’entrer en pratique.

L’œuf n’est pas un objet.
C’est un interlocuteur.
Et ton corps, lui, est un monde entier à réapprendre.

Et toi… tu t’es déjà retrouvée un peu perdue une fois l’œuf en interne ?

👉 Pour celles qui veulent aller plus loin : dans mon initiation, on n’apprend pas juste la pratique.
On apprend surtout le CORPS, ses tissus, ses mémoires, son langage.
Le lien est en commentaire. 💖

Si tu veux comprendre pourquoi l’œuf de yoni agit si profondément, tu dois d’abord comprendre le périnée et le vagin.On ...
20/11/2025

Si tu veux comprendre pourquoi l’œuf de yoni agit si profondément, tu dois d’abord comprendre le périnée et le vagin.

On les réduit souvent à des zones “anatomiques”, des muscles à contracter, des organes dont on ne parle qu’en cas d’accouchement, de douleurs ou de dysfonctionnement.
Mais en réalité, ce sont deux espaces d’une intelligence incroyable : des tissus vivants, sensibles, réactifs, directement reliés à ton histoire, à ton système nerveux et à ta mémoire cellulaire.

Le périnée est un diaphragme. Il répond à ton souffle, à ton stress, à ta posture, à ta sexualité, à tes peurs, à tes traumas, à tes accouchements. Il se contracte pour te protéger, il se relâche quand tu te sens en sécurité. C’est un tissu qui parle avant même que tu aies mis des mots sur ce que tu ressens.

Le vagin, lui, n’est pas un simple conduit.
Il est parcouru d’un réseau de fascias, ces tissus conjonctifs qui enveloppent tout dans le corps : muscles, organes, émotions. Les fascias gardent les traces des événements vécus, des émotions non exprimées, des accouchements, des ruptures, des violences, des transmissions familiales, des zones où tu t’es coupée de toi pour survivre.

Ce n’est pas imagé, ce n’est pas symbolique : physiologiquement, les tissus gardent une mémoire.
Et énergétiquement, ils amplifient ce qui n’a jamais été libéré.

Tu peux penser avoir “oublié”.
Ton corps, lui, n’oublie rien.

C’est pour ça que travailler cette zone exige une infinie douceur.
On ne “muscle” pas un périnée contracturé par la peur.
On ne “stimule” pas un vagin qui s’est fermé pour se protéger.
On ne force rien dans un tissu qui retient encore un souvenir douloureux.

Et c’est là que l’œuf de yoni devient un outil unique.
Il ne vient pas imposer quelque chose.
Il vient dialoguer.

L’œuf agit comme un révélateur : il montre ce qui retient, ce qui tremble, ce qui s’apaise, ce qui demande du temps, ce qui veut s’ouvrir… mais n’a jamais eu l’espace pour le faire.

Il met de la conscience là où le mental avait mis de l’oubli.
Il ramène du souffle là où les tissus étaient figés.
Il reconnecte, doucement, là où tout s’était dissocié.

Ce travail n’a rien d’anodin, parce que le périnée et le vagin sont au cœur du féminin : ils portent l’énergie vitale, l’instinct, le plaisir, la sécurité intérieure, la mémoire, la créativité, et même l’intuition.

Alors oui, l’œuf agit profondément.
Parce qu’il s’adresse à la zone la plus réceptive, la plus expressive et la plus mémorielle du corps féminin.

Et toi… tu le sens aussi, que ton corps retient des choses que ta tête n’a jamais su dire ?

✨ Et pour celles qui veulent aller plus loin :
Dans mon initiation, on n’apprend pas “juste” à utiliser l’œuf.
On apprend surtout à comprendre son corps, ses tissus, ses réactions, ses mémoires, et à pratiquer en sécurité.
👉 Le lien de l’initiation est en commentaire.

Avec amour,

Cindy

Les filles, je vous partage cette pépite.J’avoue : quand j’ai lu ça, j’ai d’abord éclaté de rire tellement c’était ridic...
20/11/2025

Les filles, je vous partage cette pépite.

J’avoue : quand j’ai lu ça, j’ai d’abord éclaté de rire tellement c’était ridicule et complètement à côté de la plaque.

Et puis… la colère est montée.
Parce qu’on parle de vraies femmes.
De vraies douleurs.
De vraies souffrances gynécologiques, parfois incapacitantes, parfois humiliantes, parfois invisibles.
Et quelqu’un ose écrire : « Seul Jésus Christ guérit correctement ! Vous jouez avec les démons ! »

Alors je me suis dit : La prochaine fois qu’une femme arrive pliée en deux, incapable de poser le pied par terre à cause d’une douleur au ventre, je lui lancerai de l’eau bénite, tiens. Ça devrait faire l’affaire, non ?

Parce que oui, apparemment, accompagner les femmes, connaître leur anatomie, comprendre leur cycle, décoder les symptômes de la Yoni, écouter leur corps et leur histoire… Ce serait “jouer avec les démons”.

Eh bien dans ce cas-là, laissez-moi vous dire quelque chose : je continuerai volontiers à jouer avec les démons.
S’il s’agit d’aider une femme à sortir de la douleur.
S’il s’agit de lui rendre son corps, sa puissance, sa dignité.
S’il s’agit de lui offrir autre chose que la culpabilité, la honte ou la minimisation de ce qu’elle vit.

Et si un jour on découvre que la connaissance de l’anatomie féminine est un acte démoniaque…
alors je serai la première à brûler au bûcher, tambour à la main, en chantant pour toutes les femmes qu’on a fait taire.

Parce que le soin, ce n’est pas un dogme.
Ce n’est pas une croyance.
Ce n’est pas une menace spirituelle.
C’est un chemin de compréhension, d’écoute, de science, d’expérience, de corps et d’humanité.

Et si ça dérange, c’est peut-être parce que les temps où les femmes souffraient en silence… sont terminés.

🔥 On se relève. On se connaît. On se soigne. Ensemble.

Bref le stage de guérison de l’utérus c’est les 29&30 novembre et promis on invoquera pas de démon 🤣

Cindy

La Nouvelle Lune a cette façon particulière de nous ramener dans un espace que le mental ne sait pas nommer : un endroit...
20/11/2025

La Nouvelle Lune a cette façon particulière de nous ramener dans un espace que le mental ne sait pas nommer : un endroit plus bas, plus profond, presque humide, où la matière se défait pour se réorganiser autrement. C’est un moment où l’on ne “commence” pas vraiment… on se laisse plutôt glisser dans un ventre invisible, comme si le ciel lui-même redevenait matrice pour nous offrir un temps d’arrêt, un temps de suspension où rien n’est clair et où tout, pourtant, se prépare.

Souvent, ces jours-là, le corps parle plus fort que la tête. L’utérus se fait plus dense, le ventre tire légèrement, les émotions deviennent plus sensibles, plus proches de la peau. Il ne s’agit pas d’un effondrement : c’est une vidange. Une mise à nu organique. La Nouvelle Lune agit comme nos matrices : elle vide, elle dissout, elle assombrit juste assez pour que ce qui doit émerger trouve enfin un chemin. Et même si l’on nous a appris à avoir peur de ce noir-là, de cette sensation de ne pas savoir où l’on va, c’est pourtant dans cet espace que les femmes se rappellent qui elles sont lorsqu’elles cessent de se tenir droites pour être sages.

Il y a, sous cette obscurité, une vérité qui remue. Quelque chose que tu retiens encore, un attachement, une peur, une vieille habitude émotionnelle dont ton corps sait parfaitement qu’elle te fait perdre de l’espace. Et il y a aussi une vérité plus fine, presque intime, une vibration timide mais tenace, que tu sens monter depuis un moment et que tu n’as pas encore osé honorer. La Nouvelle Lune n’exige rien ; elle t’invite simplement à écouter ce qui pulse dans ton ventre, à reconnaître ce qui s’éteint et ce qui insiste pour vivre.

Ce cycle n’est pas un recommencement. Il est un recentrage. Une clarification. Une façon de te rapprocher un peu plus de la femme que tu deviens lorsque tu arrêtes de porter ce qui n’est plus tien. La matrice du monde s’ouvre, lentement, silencieusement. Et, quelque part en toi, la tienne s’ouvre aussi...

Cindy Pinchart

On entend tellement de choses sur l’œuf de yoni que la vérité se perd souvent au milieu du bruit. Alors j’avais envie de...
19/11/2025

On entend tellement de choses sur l’œuf de yoni que la vérité se perd souvent au milieu du bruit. Alors j’avais envie de remettre de la clarté, sans mystification, mais aussi sans enlever la profondeur de cette pratique ancestrale.

L’œuf de yoni, ce n’est ni un gadget, ni un jouet, ni un outil pour “muscler vite fait son périnée”.
Ce n’est pas quelque chose qu’on utilise parce que c’est tendance.
Et ce n’est surtout pas un objet qu’on porte toute la journée.

L’œuf est un outil de conscience, un espace de retour à soi.
Il agit sur trois plans en même temps : le corps, les mémoires et l’énergie.
Et s’il peut avoir un impact aussi profond, c’est parce qu’il stimule ce que j’appelle la réflexologie vaginale.

Le vagin n’est pas un tunnel vide : c’est une carte nerveuse et émotionnelle reliée au diaphragme, au cœur, aux hanches, à la gorge…
Chaque zone garde la trace de tensions, d’événements, de plaisir, de blessures, de lignée.
Quand l’œuf est utilisé avec douceur et conscience, il vient réveiller ces zones, libérer, re-informer et ouvrir la voie à un apaisement que le mental, lui, ne sait pas atteindre.

C’est pour ça que certaines femmes ressentent une détente profonde du bas-ventre, un apaisement émotionnel, un retour de sensations, des larmes, des élans de désir ou une clarté intérieure soudaine.
Parce que l’œuf n’est pas “un objet” : c’est un interlocuteur du corps.

Ses bénéfices sont nombreux : un tonus juste du périnée, une meilleure présence à soi, des parois vaginales plus souples, un bassin qui respire enfin, une sexualité plus vivante, une libération de mémoires… mais surtout une réappropriation du corps depuis l’intérieur.

C’est un travail lent, intime, et profondément réparateur quand il est fait correctement.

Et comme il existe mille infos contradictoires, j’ai décidé de créer cette série pour remettre du sens, de la sécurité et de la vraie sagesse autour de cette pratique.

D’ailleurs, je suis curieuse :
Quelle est la première chose qu’on t’a déjà dite au sujet de l’œuf de yoni ?

Et si tu veux aller plus loin et apprendre à utiliser l’œuf en sécurité, avec justesse et conscience :
👉 Le lien de l’initiation complète est en commentaire.

Avec amour,

Cindy

Ces derniers jours, j’ai senti quelque chose glisser en moi. Une lente bascule, presque imperceptible, comme un changeme...
19/11/2025

Ces derniers jours, j’ai senti quelque chose glisser en moi. Une lente bascule, presque imperceptible, comme un changement de lumière. L’air s’est rafraîchi, les journées se sont raccourcies, et mon énergie a suivi le mouvement. Pas de chute brutale, pas de crash, juste ce passage doux et un peu sauvage vers autre chose.

Et je me suis rappelée : nous sommes en automne.
Dans le cycle du féminin, c’est l’enchanteresse qui prend le relais.
Cette femme-là, elle n’est pas dans la performance, elle n’est pas dans la vitesse. Elle crée encore, oui, mais différemment. Elle crée depuis le dedans. Depuis l’intuition. Depuis cette zone mystérieuse où les idées ne jaillissent pas en plein jour, mais se tissent dans l’ombre, dans les interstices, dans les replis du corps.

Alors forcément, ça change tout.
Ce n’est plus la créativité expansive du printemps, ni le rayonnement flamboyant de l’été intérieur. C’est une créativité plus lente, plus profonde, plus viscérale. Une créativité qui prend son temps, qui s’enfouit avant de remonter, qui prépare l’hiver comme on prépare un sanctuaire.

Et pourtant, j’ai senti la vieille injonction revenir : “Allez, continue, produis, montre, publie, sois visible.”
Ce conditionnement qui voudrait qu’on soit linéaires, égales à nous-mêmes 365 jours par an.
Ce conditionnement qui oublie complètement ce que nous sommes : des femmes cycliques, mouvantes, changeantes, traversées.

J’ai arrêté de lui obéir.
J’ai laissé l’enchanteresse s’installer.
J’ai reconnu sa fatigue, son ralentissement, son besoin de créer autrement : dans le silence, dans les sensations, dans les rêves, dans l’invisible.

Et je me suis dit que c’était ça, la vraie liberté : ne plus se forcer à rester en été quand notre corps réclame l’automne. ne plus s’excuser d’être au ralenti quand c’est précisément ce que la saison intérieure nous demande. ne plus avoir peur de disparaître un peu pour mieux revenir.

L’enchanteresse, elle ne publie pas un post par jour.
Elle ensorcelle.
Elle infuse.
Elle transforme.
Elle prépare la magie qui éclora plus t**d.

Alors aujourd’hui, je normalise ma cyclicité.
Je revendique mon droit d’être en transition, d’être moins dans la matière, moins productive, et pourtant profondément créative.
Je choisis d’honorer ce passage, au lieu de le combattre.

Et peut-être que toi aussi, tu sens ce glissement.
Cette fatigue douce.
Ce besoin de rentrer en toi pour créer autrement.
Si c’est le cas, sache que tu n’es pas en train de perdre ton élan.
Tu es simplement en train de changer de saison intérieure.
Et ça… c’est une puissance que le monde oublie trop souvent.

Viens, on la remet au centre.

Cindy Pinchart

Adres

Chaumont-Gistoux

Meldingen

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Réenchante le monde

Je n’ai pas de souvenirs exacts de quand tout a commencé. Depuis toute petite, je perçois une forme de magie qui anime le monde. Hypersensible, je capte des messages vibratoires dans la nature qui m’entoure, dans les mouvements des personnes que je croise ou dans ma petite voix intérieure. Longtemps, j’ai fait taire ces ressentis, n’osant pas vivre mon authenticité ni assumer celle que je suis. Ce faisant, c’est mon intuition que j’ai muselée. Pourtant l’intuition et la clairvoyance font partie de nos dons naturels et sont accessibles à tous.

Trop sensible, trop émotive, j’ai rencontré mon lot d’embûches sur mon chemin de femme. Coupée de mes perceptions, j’ai expérimenté des souffrances au quotidien. J’ai fait face à l’incompréhension, à l’impuissance et très souvent à la solitude.

Un enfant est venu bousculer mon paysage féminin. J’ai découvert cette puissance et la volonté qu’éveille un petit être au cœur de nos entrailles. En le mettant au monde, je me suis éveillée à moi-même pour renaître à ma véritable identité. Je me suis alors heurtée à ces injonctions faites aux femmes par la société : allaiter, rester femme, devenir mère, laisser son enfants, travailler et continuer à sourire toujours, rester fidèle à l’image qu’on se doit d’afficher. Femme pieuvre, femme multi-tâches, femme épuisée hors d’elle m’aime.

Dans ce nouveau rôle de femme-mère, je me suis perdue. Et pourtant je ne renonçais pas à cet idéal que j’avais enfant et j’aspirais à une vie alignée et épanouissante où je pourrais exprimer mon plein potentiel. En cherchant le chemin je m’épuisais et perdait petit à petit joie et vitalité. Encore une fois, j’ignorais mon corps et les perceptions qu’il me transmettait, désensibilisée je me coupais toujours de mes émotions. Heureusement, l’Univers veille toujours sur nous et a mis sur ma route des femmes extraordinaires, femmes guides, femmes fées, femmes sorcières, femmes magiciennes. Elles m’ont donné les clés qui ouvraient les portes sur lesquelles je me cognais inlassablement. Sous leur regard bienveillant, j’ai appris à panser mes blessures et à guérir. Elles ont illuminé mes ombres et m’ont permis d’accepter enfin ma vraie nature. J’ai oublié d’être celle que j’avais l’habitude de croiser dans le miroir, hagarde et éteinte pour renaître forte et différente. Avide de liberté et de sens.