01/11/2025
🚨 À 63 ans, Kate Mulvey, journaliste britannique, regrette profondément les choix de sa vie. Convaincue pendant des décennies que le féminisme radical la rendait plus forte, elle admet aujourd’hui que cette vision lui a surtout coûté l’amour et la sérénité. Jamais mariée, sans enfants, elle confie avoir passé sa vie à rabaisser les hommes qu’elle rencontrait, persuadée que le mariage et la vie de couple étaient une forme de soumission.
Tout a commencé à 17 ans, lorsqu’elle découvre le mouvement de libération des femmes en Grande-Bretagne. Se croyant brillante et émancipée, elle cherchait sans cesse à avoir le dernier mot, à prouver sa supériorité intellectuelle, jusqu’à transformer chaque relation en affrontement. Avec le recul, elle admet s’être trompée : ce n’était pas de la force, mais de l’ego.
Aujourd’hui, elle dîne seule, consciente que son idéologie l’a isolée. “Je regrette d’avoir rabaissé les hommes”, explique-t-elle. “Je confondais égalité et domination. À force de vouloir briller, j’ai fini par éteindre les autres.”