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Le non-port du casque de moto est l'une des erreurs les plus dangereuses qu'un motocycliste puisse commettre. Bien que c...
28/12/2024

Le non-port du casque de moto est l'une des erreurs les plus dangereuses qu'un motocycliste puisse commettre. Bien que certains motocyclistes puissent penser qu'ils ont suffisamment de contrôle ou d'expérience pour rouler sans casque, la réalité est tout autre : la tête est une zone extrêmement vulnérable, et une chute ou un accident peut survenir à tout moment, même pour les conducteurs les plus expérimentés.
Le risque le plus évident du non-port du casque est le traumatisme crânien.
Lorsqu'un motocycliste chute ou entre en collision avec un autre véhicule, la tête peut heurter violemment le sol ou d'autres objets. Sans casque, le crâne et le cerveau sont exposés à des chocs brutaux, ce qui peut entraîner des lésions graves telles que des fractures du crâne, des hémorragies cérébrales, des commotions cérébrales, voire des lésions irréversibles du cerveau.

En cas de traumatisme crânien sévère, les motocyclistes peuvent perdre connaissance immédiatement après l'accident, ce qui complique les interventions médicales et aggrave les chances de survie. Un casque amortit l'impact et réduit la force du choc sur le crâne, diminuant ainsi les risques de perte de connaissance prolongée ou de coma.
Sans casque, un accident, même à faible vitesse, peut entraîner des blessures graves et prolongées qui affectent à la fois la santé physique et la fonction cognitive.

Les accidents de moto sont responsables d'un grand nombre de décès, et la majorité des motocyclistes tués dans ces accidents n'étaient pas protégés par un casque. Selon des études, les motocyclistes sans casque ont de cinq à huit fois plus de risques de mourir lors d'un accident que ceux qui portent un casque. En cas de choc à grande vitesse ou de chute, la tête non protégée est particulièrement vulnérable.
Les Casques du FasoLes casqués du Faso
Dr Abdallah
Conseil National de l'Ordre des Médecins du Burkina Faso
Association des Étudiants en Médecine section Université Joseph Ki-Zerbo

C’était une nuit de garde qui a commencé comme toutes les autres, mais elle a vite pris une tournure que je n’oublierai ...
11/12/2024

C’était une nuit de garde qui a commencé comme toutes les autres, mais elle a vite pris une tournure que je n’oublierai jamais. Un jeune homme, à peine 25 ans, a été admis aux urgences après un accident. Son corps portait des blessures multiples : fractures ouvertes, traumatisme crânien, contusions thoraciques sévères. Il était conscient, mais ses signes vitaux étaient instables, et ses souffles étaient courts. L’équipe s’est rapidement mise en action, mais même avec toute les compétences réunies, il était évident que l’étendue des dommages était immense.

Je me souviens qu’il avait des yeux pleins de peur, mais aussi une volonté de se battre.

Les minutes passaient, et malgré nos efforts pour stabiliser son état, il ne répondait pas aux traitements. La tension montait dans la pièce, avec les alarms des appareils qui bipaient sans cesse.
Les signes vitaux continuaient à se détériorer. La situation est devenue irréversible.

Je me souviens d’un moment particulièrement difficile, quand, après avoir constaté qu’il n’y avait plus aucune activité cardiaque, le médecin-chef a annoncé à ses parents, avec une grande douceur, que nous ne pouvions plus rien faire pour le sauver. Leur monde s’est effondré en une seconde, et je les ai vus se tourner vers leur fils, encore là, mais déjà perdu.

C’était une expérience très dure pour moi interne. Nous sommes formés pour sauver des vies, mais parfois, malgré tout, la médecine n’a pas de réponse. Ce jeune homme n’a pas survécu cette nuit-là, et j’ai appris plus que je n’aurais voulu sur la fragilité de la vie, la rapidité avec laquelle tout peut basculer, et la difficulté de faire face à la mort, surtout quand elle touche une vie pleine de promesses.

Histoire de ma vie d’interne
New World Doctor
Dr Abdallah
Good Health 226
Association des Étudiants en Médecine section Université Joseph Ki-Zerbo

Histoire d’une patiente  :Je suis une femme d’un certain âge, et depuis toujours, j’ai toujours cherché des solutions na...
08/12/2024

Histoire d’une patiente :

Je suis une femme d’un certain âge, et depuis toujours, j’ai toujours cherché des solutions naturelles aux problèmes de santé. Quand j’ai eu ma fracture, j’ai d’abord refusé d’aller à l’hôpital. J’avais entendu parler de traitements plus traditionnels, de ceux que l’on appelle les “rebouteux”. Ces personnes, qui ont un savoir-faire ancien, m’ont rassurée. J’ai pensé que leur méthode serait plus douce, plus respectueuse de mon corps.

On m’a dit qu’ils pouvaient soigner des fractures sans chirurgie, juste avec des gestes simples et des remèdes naturels. Je leur ai fait confiance, pensant qu’il n’y avait pas besoin de traitement médical classique. Mais rapidement, j’ai vu que la situation se compliquait. La douleur ne passait pas, la jambe devenait de plus en plus gonflée et rouge, et une odeur nauséabonde commençait à se dégager. J’ai paniqué.

Je me suis alors rendue à l’hôpital, mais il était déjà trop t**d. Les médecins m’ont expliqué que la gangrène s’était installée. Les tissus de ma jambe étaient irrémédiablement abîmés. J’étais bouleversée, mais il n’y avait plus de choix. L’infection était trop avancée pour qu’on puisse sauver ma jambe. On m’a proposé une amputation, et je n’ai eu d’autre option que d’accepter.

Le pire, c’est que je me sentais responsable. Si j’avais écouté les médecins dès le début, si j’avais suivi leur traitement, peut-être que ça n’aurait pas été aussi grave. Mais je me dis que c’était ma décision, et maintenant il fallait vivre avec. J’ai dû accepter l’amputation à la cuisse, une partie de moi-même que je ne reverrai plus jamais.

Aujourd’hui, je me sens différente, mais pas brisée. Je me suis faite une raison, même si c’est difficile à accepter. Je regrette amèrement de ne pas avoir choisi la voie médicale dès le départ. Mais au moins, j’ai appris une leçon : parfois, la médecine moderne, avec ses traitements et sa rigueur, peut nous sauver là où d’autres approches échouent.
New World Doctor
Conseil National de l'Ordre des Médecins du Burkina Faso
SOGOB.org

27/07/2024
  𝐓𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐥𝐚𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐝𝐨𝐧 𝐝'𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 : L𝐞𝐬 𝐦𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐦𝐢𝐭é 𝐝'é𝐭𝐡𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐚𝐥𝐥é𝐬𝑳𝒆 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑺𝒂𝒏𝒕é 𝒆𝒕...
27/07/2024


𝐓𝐫𝐚𝐧𝐬𝐩𝐥𝐚𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐝𝐨𝐧 𝐝'𝐨𝐫𝐠𝐚𝐧𝐞𝐬 𝐚𝐮 𝐁𝐮𝐫𝐤𝐢𝐧𝐚 𝐅𝐚𝐬𝐨 : L𝐞𝐬 𝐦𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐦𝐢𝐭é 𝐝'é𝐭𝐡𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐢𝐧𝐬𝐭𝐚𝐥𝐥é𝐬

𝑳𝒆 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝑺𝒂𝒏𝒕é 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒍'𝑯𝒚𝒈𝒊è𝒏𝒆 𝒑𝒖𝒃𝒍𝒊𝒒𝒖𝒆, 𝑫𝒓 𝑹𝒐𝒃𝒆𝒓𝒕 𝑲𝒂𝒓𝒈𝒐𝒖𝒈𝒐𝒖, 𝒂 𝒑𝒓é𝒔𝒊𝒅é, 𝒄𝒆 𝒗𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆𝒅𝒊 26 𝒋𝒖𝒊𝒍𝒍𝒆𝒕 2024, à 𝑶𝒖𝒂𝒈𝒂𝒅𝒐𝒖𝒈𝒐𝒖, 𝒍𝒂 𝒄é𝒓é𝒎𝒐𝒏𝒊𝒆 𝒅'𝒊𝒏𝒔𝒕𝒂𝒍𝒍𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒎𝒆𝒎𝒃𝒓𝒆𝒔 𝒅𝒖 𝒄𝒐𝒎𝒊𝒕é 𝒅'é𝒕𝒉𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒕𝒓𝒂𝒏𝒔𝒑𝒍𝒂𝒏𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒆𝒕 𝒅𝒐𝒏 𝒅'𝒐𝒓𝒈𝒂𝒏𝒆𝒔 𝒂𝒖 𝑩𝒖𝒓𝒌𝒊𝒏𝒂 𝑭𝒂𝒔𝒐.

Le comité mis en place aura pour mission d'assurer la transparence, la coordination du don, du prélèvement, de la transplantation et de la greffe d'organes. Il a également pour rôle de tenir à jour les registres de don, de prélèvement, de transplantation et de greffe, de veiller à la sécurité sanitaire des patients et au respect de l'éthique médicale.

Le Ministre de la Santé et de l'Hygiène publique a indiqué que le comité est stratégique. Pour lui, sa mise en place, permet au pays de s'acheminer vers la réalisation des premières transplantations rénales courant 2024. Le ministre Kargougou a également soutenu que cette cérémonie d'installation consacre le début effectif des fonctions et des activités des membres du comité.
Il a ajouté que la maladie rénale constitue un véritable problème de santé publique au Burkina Faso. C'est pourquoi le gouvernement a décidé de faire le choix de la transplantation rénale pour soulager et améliorer la qualité de vie des patients.

Pour le Président du comité d'éthique, Pr Arouna Ouédraogo, par ailleurs, psychiatre à la retraite, la transplantation est un procédé thérapeutique qui implique un donneur et un receveur et pour cela, il faut de l'éthique et de la transparence dans tout le processus.

En félicitant les membres du comité d'éthique pour leurs nominations, le ministre Kargougou les a invités à s'investir massivement pour que la transplantation soit une réalité au Burkina Faso.
Conseil National de l'Ordre des Médecins du Burkina Faso

🧡💚_La stigmatisation ne passera pas par moi🙅🏼‍♀️🙅🏼.__Humans are Equal🫂_🧡💚Association des Étudiants en Médecine section U...
05/07/2024

🧡💚_La stigmatisation ne passera pas par moi🙅🏼‍♀️🙅🏼._
_Humans are Equal🫂_🧡💚
Association des Étudiants en Médecine section Université Joseph Ki-Zerbo

😥😥Un secret Bien gardé du corps MédicalLa médecine, en tant que profession noble et gratifiante, comporte des défis psyc...
12/05/2024

😥😥Un secret Bien gardé du corps Médical
La médecine, en tant que profession noble et gratifiante, comporte des défis psychologiques uniques qui peuvent peser lourdement sur les praticiens. Les médecins sont souvent confrontés à des situations stressantes et émotionnellement éprouvantes, telles que la prise de décisions vitales, la confrontation à la maladie et à la mort, ainsi que la pression constante de répondre aux attentes des patients, de leur famille et de la société. Cela peut entraîner un stress chronique, une anxiété, voire une dépression chez certains praticiens. De plus, la charge de travail élevée et les longues heures peuvent entraîner un épuisement professionnel, affectant la santé mentale et la qualité des soins prodigués. Il est essentiel de reconnaître et de soutenir les médecins dans leur bien-être psychologique pour qu'ils puissent continuer à exercer avec compassion et efficacité.

1. Stress professionnel : Pression constante pour fournir des soins de qualité et prendre des décisions cruciales.

2. Anxiété : Peur de commettre des erreurs médicales ou de ne pas répondre aux attentes des patients.

3. Dépression : Sentiments de désespoir, de fatigue émotionnelle et de perte d'intérêt pour le travail.

4. Épuisement professionnel : Sentiment d'épuisement physique, émotionnel et mental dû à une charge de travail excessive et à des demandes constantes.

5. Traumatisme secondaire : Impact émotionnel de traiter des patients souffrant de maladies graves ou de traumatismes.

6. Isolement social : Manque de temps pour des relations personnelles en raison des horaires chargés.

7. Trouble de stress post-traumatique (TSPT) : Chez certains médecins, en particulier ceux qui ont été exposés à des événements traumatiques répétés ou extrêmes.

8. Trouble de l'adaptation: Difficulté à s'ajuster aux exigences du travail médical et aux changements dans le système de santé.

NOUS SOMMES AUSSI DES HUMAINS ET PORTONS SUR NOUS DES CHARGES TRES LOURDES!!!

ALORS quelle solution nous proposez Vous ?

Grâce Eunice Tobi
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Faites vacciner vos enfants pour prévenir les infirmités Texte écrit par Burkina 24Image jointe par New World Doctor
10/05/2024

Faites vacciner vos enfants pour prévenir les infirmités

Texte écrit par Burkina 24
Image jointe par New World Doctor

La méthode kangourou, est une technique de soins pour les bébés prématurés ou de faible poids à la naissance. Elle impli...
10/05/2024

La méthode kangourou, est une technique de soins pour les bébés prématurés ou de faible poids à la naissance. Elle implique de placer le bébé en contact direct avec la peau de sa mère, souvent sur son torse, ce qui permet une proximité physique constante. Cela favorise le développement du bébé en régulant sa température corporelle, en stabilisant son rythme cardiaque et respiratoire, en favorisant l'allaitement maternel précoce et en renforçant le lien entre la mère et l'enfant.
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