09/16/2025
On dit souvent : « Les débuts ne définissent pas la fin. » Voilà une vérité que la vie de Thomas Jefferson confirme.
À seulement cinq ans, il vit sa mère lui dire adieu dans une gare. Elle ne pouvait pas l’élever. Son dernier souvenir d’elle : une robe, un rouge à lèvres, un geste pressé avant de disparaître. Dès lors, son chemin fut la rue. Là, il apprit à connaître le froid, la faim, la douleur, mais aussi la force et le courage.
Dans un livre, il lut un jour : « Le temps guérit toutes les blessures. » Mais lui savait que non. Certaines blessures restent ouvertes toute une vie. Pourtant, il n’a jamais cessé de se battre. Les autres enfants l’enviaient car il n’avait ni règles, ni horaires, ni parents pour l’obliger. Mais lui les enviait encore plus : ils avaient une maison, un repas chaud, une famille qui les attendait.
À six ans, un juge de paix, ne sachant que faire de lui, l’écouta demander une seule chose : « Laissez-moi aller à l’école. » Avec ses habits usés et un crayon emprunté chaque matin, il étudiait à l’école le jour, puis à la bibliothèque l’après-midi. Le savoir était devenu son refuge.
Et ce petit garçon abandonné devint, des années plus t**d, président des États-Unis, de 1801 à 1809.
Né le 13 avril 1743, mort le 4 juillet 1826, son nom reste gravé dans l’Histoire.
LA LEÇON POUR NOUS :
Peu importe l’abandon, les blessures ou les larmes du passé. Celui qui garde la volonté de se relever peut transformer la douleur en victoire. Chaque épreuve franchie est une marche de plus vers la grandeur.
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