Espace en soi

Espace en soi Un espace pour déposer des réflexions tout-à-fait logiques pour évoluer :)

Hypnothérapeute et réflexologue, je vous offre un espace pour accéder à votre espace, tant dans le corps que dans l'âme.

11/29/2025

Je pensais passer un bon moment.
Erreur.

Hier, je réserve un massage.
J’entre dans la cabine : il doit faire moins dix 🥶
Le genre de froid où votre colonne vous dit :
« On a signé pour un soin… ou pour une expédition polaire ? »

Je le signale une fois.
Deux fois.
Trois fois.
À ce stade, je me demande si la personne est en “mode avion”, tellement ça semble lui passer au-dessus.

Le soin : annoncé 1h30.
À 1h15, je suis dehors, déjà rhabillée,
avec un thé tiède dans un gobelet en carton.
Et sincèrement, ce gobelet était officiellement l’unique source de chaleur de l’expérience.
On fait ce qu’on peut.

🔗 En marchant pour rentrer, je me suis mise à rire… et à faire un parallèle sur les relations.

On reconnaît un soin à la chaleur qu’il dégage.
Et on reconnaît une relation… exactement de la même façon.

Il y a massage… et massage.
Il y a relation… et relation.

Certaines présences vous réchauffent instantanément.
Elles ajustent, elles captent, elles vous lisent avant que vous parliez.
C’est fluide, c’est juste, c’est humainement tempéré.

Et puis il y a les autres.
Celles qui vous donnent l’impression d’être dans une cabine polaire émotionnelle.

On parle,
on signale,
on tente une connexion…
et rien ne répond.
Tout reste en surface.
On ressort en ayant tout donné pour obtenir… un thé tiède.

Ce n’est pas dramatique.
Ça ouvre les yeux.

Parce que plus on avance,
plus on devient sensible à la qualité thermique des liens.
On ne force plus.
On ne s’adapte plus

À un moment, on choisit d’aller là où on a chaud.
Là où la présence est vraie.
Là où le lien respire.
Là où l’humain, ami, proche, partenaire, est réellement présent.

Et c’est là qu’un autre phénomène s’installe, presque tout seul :

le bouche-à-oreille relationnel.

Les espaces qui réchauffent donnent envie d’y revenir… et d’en parler.

Les espaces qui refroidissent, eux, s’éteignent d’eux-mêmes.

Parce qu’en réalité,
le froid…
quand on le reconnaît,
on ne le choisit plus.

🎙️ Vous avez déjà ressenti ce froid polaire relationnel ?
Et surtout : comment réagissez-vous ? Un Déclic est il en route ? 😋

Ps : j’imagine que personne ne veut l’adresse que j’ai expérimenté hier 🤣. Et bien voilà. Le déclic !

11/29/2025
11/29/2025

Le bonheur, c'est tout de suite ou jamais. Ce n'est pas organiser, enrichir, dorer, capitonner la vie, mais savoir la goûter à tout instant.
C'est la joie de vivre quelles que soient l'organisation et les circonstances.
C'est la joie de boire l'univers de tous ses sens, de goûter , sentir, entendre, le soleil et la pluie.
Si tu ne sais pas que tu es vivant, tout cela tourne autour de toi sans que tu y goûtes, la vie te traverse sans que tu ne retiennes rien des joies ininterrompues qu'elle t'offre.
René Barjavel

11/28/2025

Aide psychologique avec des professionnels de la santé mentale. Nous acceptons les mandats de l'IVAC-SAAQ-CNESST.

11/26/2025

Thank you to for sharing uplifting wisdom and positivity. 💜

11/26/2025
11/25/2025

La confiance en soi renforce la santé, car elle réduit le stress. Elle génère un sentiment de sécurité, qui favorise la sérénité et la motivation. Elle améliore la qualité du sommeil et renforce le système immunitaire.

Au contraire, un ego surdimensionné génère beaucoup d’anxiété, créant un véritable danger physique et psychologique. Il cherche à se nourrir du regard extérieur. Il pousse à la compétition, à la supériorité, au besoin constant de reconnaissance. Il engendre des comportements défensifs, de la jalousie, de l’orgueil et parfois de l’anxiété.

La confiance en soi contribue à un certain équilibre intérieur. Elle repose sur la connaissance et l’acceptation de ses forces et de ses limites. Pas besoin de se comparer aux autres quand on est confiant, ni de chercher sans arrêt à prouver sa valeur.

A l'inverse, un ego mal contrôlé crée une tension permanente entre l’image que l’on veut donner de soi et la réalité de qui on est véritablement. En épuisant le corps et l’esprit, cette dissonance émotionnelle épuise le corps et l’esprit, favorisant le stress chronique, la colère et même certaines pathologies psychosomatiques.

Restons simples pour être heureux ❤️

11/25/2025

Quand le cerveau protège une mémoire blessée…

Avez-vous déjà eu cette impression étrange… de savoir qu’il s’est passé quelque chose, sans pouvoir vous souvenir de quoi ?

Ou au contraire, de ressentir une émotion forte – peur, tristesse, colère – sans comprendre d’où elle vient ?

Ce n’est pas une simple impression : c’est le cerveau qui active ses mécanismes de protection.

Quand une personne vit un choc intense tel violence, abus, accident, guerre, perte…

Deux systèmes, deux structures du cerveau qui sont des parties du système nerveux central impliquées dans le traitement des émotions et de la mémoire se mettent en alerte :
• l’amygdale, qui gère la peur et le danger,
• l’hippocampe, qui enregistre les souvenirs et les situe dans le temps.

Lors d’un traumatisme, l’amygdale s’emballe et l’hippocampe se fige.

Résultat : l’expérience est vécue… mais pas intégrée.

Le souvenir reste “hors du temps”, sous forme d’impressions sensorielles, d’images, d’émotions brutes, sans chronologie ni mots, comme un fragment gelé.

Alors, c’est l’amnésie, soit l’amnésie dissociative, soit l’amnésie traumatique : une barrière inconsciente qui protège la conscience d’une douleur insupportable.

L’amnésie dissociative : le cerveau “met de côté”.
Cette dissociation n’est pas un choix. Elle permet de continuer à fonctionner en mettant la douleur hors de la conscience.

Face à une douleur trop forte, le psychisme coupe la connexion.
Ce n’est pas un oubli volontaire : c’est une mise à distance inconsciente.

La personne peut continuer à vivre, aimer, travailler…
Mais un pan de sa mémoire reste inaccessible.
Un jour pourtant, une émotion, un rêve, une thérapie peut rouvrir la porte.
Car la mémoire, elle, n’a jamais disparu.

L’amnésie traumatique : la mémoire gelée
Pour les traumatismes majeurs, le souvenir peut rester fragmenté ou totalement absent pendant des années.
Flashs, images ou émotions intenses peuvent surgir de manière inattendue.
Dans les traumatismes graves, la mémoire se fragmente.
Les souvenirs ne forment plus une histoire, mais des morceaux épars : une odeur, une image, un bruit, une peur.
Cette dissociation est une réaction de survie.
Elle permet de continuer à exister, même quand l’horreur est indicible.

Et quand la sécurité revient parfois des années plus t**d, souvent en psychothérapie, le cerveau relâche peu à peu sa garde.

Les souvenirs reviennent, parfois brutalement, comme si le corps disait enfin : "Tu peux maintenant te souvenir, tu es en sécurité.”

Rien n’est vraiment oublié :

Même quand la mémoire consciente se tait, le corps, lui, se souvient avec des cauchemars, de l’anxiété, des réactions disproportionnées, des comportements d’évitement…

Ce que la parole n’a pas pu dire, le corps le répète.

C’est pourquoi la psychothérapie joue un rôle essentiel :
elle n’oblige pas à “retrouver” les souvenirs, mais aide à les réintégrer, à redonner du sens et une cohérence à ce qui a été vécu.

Peu à peu, le passé retrouve sa place dans le récit de soi et cesse d’être une menace dans le présent.

Auteur Djelou Assa

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7563 Rue Saint-Denis
Montreal, QC
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