Rosario Lopez, Ph.D. - Psychologist

Rosario Lopez, Ph.D. - Psychologist Psychologist - Psychologue
Ansiedad, relaciones interpersonales, crecimiento personal. Anxiété, relations interpersonnelles, croissance personnelle.

Anxiety, relationships, inner development, personal growth. Spanish, French, English https://rosariolopezlarroy.shutterfly.com/

Avant de lire la réflexion d’aujourd’hui, je te propose de faire une petite liste de deux ou trois personnes que tu as l...
08/25/2025

Avant de lire la réflexion d’aujourd’hui, je te propose de faire une petite liste de deux ou trois personnes que tu as l’habitude de critiquer. Écris leurs noms sur un papier et, à côté de chacun, note quelque chose que tu admires chez elles malgré tout.
C’est fait ?
Maintenant, réfléchis : nous critiquons souvent les personnes qui sont les plus proches de réaliser —ou qui ont déjà réalisé— ce que nous désirons tant atteindre. Tu critiques quelqu’un que tu trouves généreux parce que tu ne sais pas vraiment comment l’être ; un autre qui te semble rempli de sagesse ; le magnanime, le patient, l’ouvert… Celui qui reflète ton manque.
Tu ressens le besoin de le salir pour que ta propre carence ne paraisse pas si évidente, pour que ton sentiment d’infériorité ne soit pas trop exposé. Et tu attaques là où ça fait mal. Où ça lui fait mal à lui ? Non : là où toi tu as mal.
C’est intéressant : observer qui tu critiques et pourquoi t’approche de ton désir profond. Si tu ne savais pas exactement où tu te situes, cet exercice t’y aidera. Tu es souvent au même niveau que ceux que tu critiques. Ceux qui sont « en dessous », dans des ligues mineures, tu ne les critiques jamais… ça ne vaut pas la peine. Et ces « monstres », ces génies au-delà du bien et du mal ? Tu ne les critiques pas non plus.
Before you read today’s reflection, I invite you to make a quick list of two or three people you often criticize. Write their names down on a piece of paper, and next to each one, note something you admire about them despite everything.
Done?
Now think about this: we often criticize the people who are closest to achieving —or have already achieved— what we most desire for ourselves. You criticize someone you see as generous because you don’t quite know how to be that way; another who seems full of wisdom; the magnanimous one, the patient one, the open one… the person who mirrors what you lack.
You feel the need to tarnish them so your own shortcomings don’t stand out so much, so your sense of inadequacy doesn’t feel so exposed. And you strike right where it hurts. Does it hurt them? No — it hurts you.
Here’s the thing: noticing whom you criticize and why will bring you closer to your true aspirations. If you weren’t sure what your own “measure” was, this exercise will help you see it. You’re often on the same level as those you criticize. The ones “beneath” you, in minor leagues, you never criticize — it’s not worth it. And those “giants,” those geniuses beyond good and evil? You don’t criticize them either.

Te propongo que antes de leer todo el comentario de hoy, hagas una lista con dos o tres personas a las que solés criticar. Escribí esos nombres en un papel y, al lado de cada uno, anotá algo que, a pesar de todo, admirás en ellas.
¿Ya está?
Ahora pensá: muchas veces dedicamos más críticas a las personas que están cerca de lograr —o que ya lograron— eso que tanto deseamos alcanzar. Criticás a quien considerás generoso porque vos no sabés bien cómo serlo; a otro que ves lleno de sabiduría; al magnánimo, al paciente, al desprendido, al abierto… Aquel que refleja tu falta.
Sentís la necesidad de mancharlo para que no quede tan expuesta tu propia carencia, tu sensación de inferioridad. Y lo atacás justo ahí, donde duele. ¿Donde le duele a él? No: donde te duele a vos.
Está bueno detenerse a ver a quién y por qué criticás: eso te acerca a tu anhelo. Si no sabías bien cuál era tu medida, este ejercicio te ayuda a verla. Porque casi siempre medís parecido a aquel a quien criticás. A los que están “más abajo”, en ligas menores, nunca los criticás… no da. Y a esos “monstruos” que están más allá del bien y del mal, los grandes genios, tampoco.

Hablar o callar para no expresarseHace tiempo observé que las personas que más hablan suelen ser, en ocasiones, las meno...
08/25/2025

Hablar o callar para no expresarse
Hace tiempo observé que las personas que más hablan suelen ser, en ocasiones, las menos observadoras. En un grupo, quienes permanecen en silencio suelen estar… observando, reflexionando, pensando. Y por eso no hablan tanto. También es cierto que, al callar, pueden ocultarse y no expresarse plenamente. Están ocupadas en una actitud de recogimiento.
Por otro lado, las personas más abiertas, que opinan con frecuencia, también pueden estar buscando esconderse. Se refugian detrás de la información de la semana, de la nota del diario que les llamó la atención, de la noticia de último momento que desean comentar… y así, evitan mostrar lo más profundo de su ser.
De este modo, hablar también, muchas veces, es una forma de ocultarse.

To Speak or to Stay Silent: When Expression Hides
I’ve long observed that those who talk the most are often the least observant. In a group, those who remain silent are usually… observing, reflecting, thinking. That’s why they don’t speak as much. Yet, it’s also true that silence can become a way to hide and avoid full expression. They are absorbed in an attitude of introspection.
On the other hand, the more outspoken people—the ones who frequently share opinions—may also be trying to conceal themselves. They hide behind the news of the week, the article that caught their attention, the breaking story they want to comment on… and in doing so, they avoid revealing the deepest part of themselves.
Thus, speaking, too, is often a way of hiding.
Wishing you a week full of authentic self-expression—whether in words or in silence.

Parler ou se taire : quand l’expression cache
J’ai souvent remarqué que les personnes qui parlent le plus sont parfois les moins observatrices. Dans un groupe, celles qui restent silencieuses sont souvent… en train d’observer, de réfléchir, de penser. Voilà pourquoi elles parlent moins. Mais il est aussi vrai que le silence peut devenir une manière de se cacher et de ne pas s’exprimer pleinement. Elles sont absorbées dans une attitude de recueillement.
À l’inverse, les personnes plus ouvertes, celles qui donnent souvent leur avis, peuvent également chercher à se dissimuler. Elles se réfugient derrière l’information de la semaine, l’article qui a retenu leur attention, la dernière nouvelle qu’elles souhaitent commenter… et ainsi, elles évitent de montrer la partie la plus profonde d’elles-mêmes.
Ainsi, parler est aussi, bien souvent, une façon de se cacher.
Je vous souhaite une semaine pleine d’expression authentique de votre être… en parlant ou en gardant le silence.

04/30/2025
La Queja y el Amor: Reflexión y ConexiónUna pareja amiga diseñó un juego revelador: quien desee quejarse debe subirse a ...
04/30/2025

La Queja y el Amor: Reflexión y Conexión

Una pareja amiga diseñó un juego revelador: quien desee quejarse debe subirse a una silla, mientras el otro responde: "Sí, yo te quiero y te valoro". Este gesto teatral expone una verdad esencial: la queja suele surgir cuando no te sentís amado.

La pregunta clave es si realmente no sos amado o si simplemente no percibís ese amor. La queja no llena vacíos emocionales ni resuelve la falta de conexión. Si el amor está presente pero no se percibe, tal vez sea necesario replantear cómo se expresan y reciben los gestos de cariño.

Es crucial reconocer que, detrás de una queja, hay una autoestima herida o un pedido de afecto insatisfecho. La queja, en esencia, es un llamado a reparar una desconexión emocional.

Para resolver este conflicto, explorar los lenguajes del amor en la pareja es fundamental. Muchas veces, las diferencias de estilos en la forma de expresar y recibir cariño generan malentendidos. Reflexionar sobre estas dinámicas puede ser el primer paso hacia una relación más auténtica y saludable.

----
La Plainte et l’Amour : Réflexion et Connexion

Un couple d’amis a inventé un jeu révélateur : celui qui veut se plaindre doit monter sur une chaise, pendant que l’autre répond : « Oui, je t’aime et je te valorise. » Ce geste théâtral met en lumière une vérité essentielle : les plaintes surgissent souvent quand on ne se sent pas aimé.

La question clé est de savoir si l’on n’est réellement pas aimé ou si l’on ne perçoit tout simplement pas cet amour. La plainte ne comble pas les lacunes émotionnelles ni ne résout un manque de connexion. Si l’amour est présent mais qu’il n’est pas ressenti, il peut être nécessaire de repenser la façon dont les gestes d’affection sont exprimés et reçus.

Il est crucial de reconnaître que, derrière une plainte, se cachent souvent une estime de soi blessée ou un besoin d’affection insatisfait. La plainte, au fond, est un appel à réparer une déconnexion émotionnelle.

Pour résoudre ce conflit, explorer les langages de l’amour de chaque partenaire est essentiel. Les malentendus proviennent souvent de différences dans la façon d’exprimer et de percevoir l’amour. Réfléchir à ces dynamiques peut être la première étape vers une relation plus authentique et saine.

-------

Complaints and Love: Reflection and Connection

A friend’s couple came up with a revealing game: whoever wants to complain must stand on a chair, while the other responds, "Yes, I love and value you." This theatrical gesture exposes an essential truth: complaints often arise when you don’t feel loved.

The key question is whether you truly are unloved or if you simply don’t perceive that love. Complaining doesn’t fill emotional gaps or resolve a lack of connection. If love is present but not felt, it may be necessary to reconsider how gestures of affection are expressed and received.

It’s vital to recognize that behind a complaint often lies wounded self-esteem or an unfulfilled need for affection. Complaining, at its core, is a call to repair an emotional disconnection.

To address this, exploring each partner's love languages is crucial. Misunderstandings often stem from differences in how love is expressed and perceived. Reflecting on these dynamics can be the first step toward a more authentic and healthier relationship.

Le Piège de la FaiblesseBien plus dangereuse que votre ombre ou votre masque, c’est votre faiblesse. Si le travail intér...
04/23/2025

Le Piège de la Faiblesse
Bien plus dangereuse que votre ombre ou votre masque, c’est votre faiblesse. Si le travail intérieur se concentre souvent sur l’affrontement de vos défauts les plus sombres (l’ombre) et sur la façon de les cacher au monde (le masque), il oublie souvent cette partie de vous qui sabote vos meilleures intentions. La faiblesse, cet échec de la volonté, est un mécanisme qui vous prend complètement et auquel vous vous identifiez tellement que vous ne la voyez même pas.

C’est cette partie de votre psyché qui cherche sans cesse des raccourcis, des solutions rapides et un confort superficiel. Cet ennemi intérieur est furtif, complaisant, et fidèle seulement à lui-même : à cette impulsion d’éviter l’effort et de survivre avec un minimum de contraintes. C’est là que votre volonté cède, où les grands projets s’effondrent sans même une lutte.

La faiblesse n’a pas le drame de l’ombre ni les trésors cachés qu’elle peut révéler lorsqu’elle est bien intégrée. Ce n’est pas un aspect canaille ou ostentatoire, mais glissant, comme un cochon savonné qu’on ne peut attraper. C’est ce côté “gélatineux” de vous qui domine sans que vous vous en rendiez compte, vous empêtrant dans ses manies et vous éloignant de la liberté d’agir consciemment et avec détermination.

C’est la tentation d’abandonner la discipline et de céder au confort, déguisée en quelque chose d’inoffensif mais dangereusement séduisant. Autrefois, les sociétés cultivaient la discipline pour la combattre ; aujourd’hui, la volonté s’est affaiblie, et affronter ce saboteur intérieur devient de plus en plus rare.

Mais la vérité, c’est que si cette faiblesse n’est pas confrontée, elle vous limite. Elle vous confine à une petite vie, sans défis ni grandes réalisations. Elle vous prive de la possibilité de réaliser votre objectif et de construire un destin significatif. Si vous voulez plus que cela, vous devrez la reconnaître, l’affronter, et apprendre à la surmonter.
---

The Trap of Weakness
Far more dangerous than your shadow or your mask is your weakness. While inner work often focuses on confronting your darkest flaws (the shadow) and the ways you hide them from the world (the mask), it often overlooks that part of you that sabotages your best intentions. Weakness, that failure of will, is a mechanism that takes hold of you completely, one you identify with so deeply that you don't even notice it.

This part of your psyche constantly seeks shortcuts, quick fixes, and superficial comfort. This inner enemy is stealthy, complacent, and loyal only to itself: to the impulse to avoid effort and survive with minimal strain. It's where your willpower falters, where great plans crumble without resistance.

Weakness lacks the drama of the shadow or the hidden treasures the shadow can reveal when properly integrated. It’s not brazen or ostentatious but slippery, like a greased pig that can’t be caught. It’s that "gelatinous" side of you that dominates unnoticed, ensnaring you in its habits and distancing you from the freedom to act consciously and decisively.

It’s the temptation to abandon discipline and surrender to comfort, disguised as harmless but dangerously seductive. In the past, societies cultivated discipline to combat it; today, willpower has waned, and confronting this inner saboteur is increasingly rare.

But the truth is, if this weakness is not confronted, it limits you. It confines you to a small life, without challenges or significant achievements. It robs you of the possibility of fulfilling your purpose and building a meaningful destiny. If you want more than that, you’ll need to recognize it, face it, and learn to overcome it.

----
La trampa de la flaqueza

Mucho más peligrosa que tu sombra o tu máscara es tu flaqueza. Mientras que el trabajo interior suele centrarse en enfrentar tus defectos más oscuros (la sombra) y en las maneras de ocultarlos al mundo (la máscara), a menudo se ignora esa parte de vos que sabotea tus mejores intenciones. La flaqueza, esa falla en la voluntad, es un mecanismo que te toma por completo y con el que te identificás tanto que ni siquiera lo ves.

Es esa parte de tu psique que busca constantemente atajos, soluciones rápidas y una comodidad superficial. Este enemigo interior es sigiloso, complaciente y siempre fiel a sí mismo: a ese impulso de evitar el esfuerzo y sobrevivir con el menor desgaste posible. Ahí es donde tu voluntad se quiebra, donde los grandes planes se desmoronan sin siquiera dar pelea.

La flaqueza no tiene el dramatismo de la sombra ni los tesoros escondidos que esta puede revelar cuando se integra bien. No es canalla ni ostentosa, sino resbaladiza, como un chancho enjabonado que no se deja atrapar. Es ese lado “gelatinoso” que te domina sin que te des cuenta, enredándote en sus mañas y alejándote de la libertad de actuar con conciencia y firmeza.

Es la tentación de abandonar la disciplina y ceder a la comodidad, disfrazada de inofensiva pero peligrosamente seductora. Antes, las sociedades cultivaban la disciplina para combatirla; hoy, la voluntad se ha debilitado, y enfrentarse a este saboteador interno es cada vez menos común.

Pero la verdad es que esa flaqueza, si no se confronta, te limita. Te confina a una vida pequeña, sin desafíos ni grandes logros. Te roba la posibilidad de alcanzar tu propósito y de construir un destino pleno. Si querés más que eso, vas a tener que reconocerla, enfrentarla y aprender a vencerla.

Modo supervivenciaSi sos de los que no se pierden un noticiero, o pasás el día reuniendo datos útiles—desde dónde conseg...
04/23/2025

Modo supervivencia

Si sos de los que no se pierden un noticiero, o pasás el día reuniendo datos útiles—desde dónde conseguir las mejores aceitunas hasta cómo arreglar un parabrisas—puede que estés en modo supervivencia. Quizás pensás que se trata de tu curiosidad o eficiencia, pero en realidad hay un temor escondido detrás de esa actitud.

Reunir información de manera frenética y compartirla constantemente pareciera entonces no ser solo un hábito, sino una forma de defenderte en un mundo que percibís como hostil tal vez. Creés que ayudar a los demás con datos y consejos indispensables es algo positivo, pero la pregunta es inevitable: ¿estás viviendo realmente o solo sobreviviendo?

---
Survival Mode

If you’re the kind of person who never misses the news or spends the day gathering useful data—from where to find the best olives to how to fix a windshield—you might be in survival mode. You may believe it’s about curiosity or efficiency, but there’s an underlying fear driving this behavior.

Constantly collecting and sharing information isn’t just a habit; maybe it’s also a way of protecting yourself in a world you see as hostile. You think that helping others with indispensable advice and facts is a good thing, but here’s the real question: are you truly living, or are you merely surviving?

---
Mode survie

Si tu es de ceux qui ne ratent jamais les infos ou qui passent la journée à collecter des données utiles—des meilleures olives à la réparation d’un pare-brise—il est possible que tu sois en mode survie. Tu crois que cela relève de ta curiosité ou de ton efficacité, mais une peur sous-jacente alimente ce comportement.

Récolter et partager sans cesse des informations n’est pas juste une habitude; c’est peut-être une façon de te protéger dans un monde que tu perçois comme hostile. Tu penses aider les autres avec des conseils et des faits essentiels, mais la vraie question est : vis-tu réellement ou te contentes-tu de survivre ?

Arracher les “oui”Parfois, quand tu veux quelque chose de quelqu’un, au lieu de faire une demande honnête, tu cherches à...
04/23/2025

Arracher les “oui”

Parfois, quand tu veux quelque chose de quelqu’un, au lieu de faire une demande honnête, tu cherches à forcer un “oui.” Au lieu de présenter la situation en ouvrant des possibilités et en respectant la liberté de l’autre, tu manipules pour qu’il ne puisse pas te dire non.

Par exemple, au lieu de dire : “J’aimerais que tu viennes chez moi” ou “J’ai envie d’aller au cinéma, on s’organise ?”, le message se déguise en besoin urgent. Le dialogue devient quelque chose comme : “Je vais mal, j’ai besoin de ton aide. Toi, tu sais toujours quoi me dire dans des moments comme celui-ci. On peut se voir ?” Et bien sûr, l’autre dit oui. Comment pourrait-il dire non ?

Si c’est un membre de la famille, ça pourrait être : “Je suis malade, je ne me sens pas bien, je suis tombé… Tu ne vas pas venir me voir ?” Et voilà, un autre “oui” inévitable. Avec un partenaire, la stratégie est souvent plus subtile : une légère plainte, une grimace, un regard qui en dit long. Ça suffit. C’est gagné. L’autre ne peut pas dire non. Tu lui as arraché son “oui.”

Le problème, c’est que ces “oui” arrachés ont des conséquences. Même si la personne cède aujourd’hui, elle finira par se lasser. Un jour, elle réagira, soit en refusant de collaborer, soit en fuyant la relation, soit en manifestant sa résistance d’une manière inattendue : une rébellion active, un retrait passif, une dépression ou même une maladie.

Peu importe comment la résistance se manifeste. Ce qui compte, c’est qu’une relation fondée sur la manipulation pour obtenir des “oui” est condamnée à mal finir.

C’est pourquoi il est essentiel de réfléchir à ce que tu demandes et à la manière dont tu le demandes. Les “oui” que tu arraches aujourd’hui peuvent être le début de la fin de cette relation. C’est aussi le signe d’un égoïsme évident et d’un manque d’amour.

Apprends à faire des demandes honnêtes. Des demandes qui donnent à l’autre la liberté de choisir—de dire oui ou non, sans pression ni culpabilité. Parce que c’est dans cette liberté que réside le véritable amour.
---

Seizing the “Yes”

Sometimes, when you want something from someone, instead of making an honest request, you look for ways to force a “yes.” Instead of presenting the situation openly and respecting the other person’s freedom, you manipulate them so they can’t say no.

For example, instead of saying, “I’d like you to come over” or “I want to go to the movies, why don’t we make plans?” the message is cloaked in urgency. The conversation turns into something like: “I’m feeling terrible, I need your help. You always know what to say in moments like these. Can we meet?” And of course, the other person says yes. How could they not?

If it’s a family member, it might sound like this: “I’m sick, I don’t feel well, I had a fall… You’re not going to come see me?” And there you have it—another inevitable “yes.” With a partner, the strategy is often more subtle: a quiet complaint, a slight grimace, a knowing look. That’s all it takes. You’ve got them. They can’t say no. You’ve taken their “yes” away.

The problem is, those seized “yeses” have consequences. The person, even if they give in today, will eventually grow tired. One day, they’ll push back—by refusing to cooperate, distancing themselves, or resisting in unexpected ways: active rebellion, passive withdrawal, depression, or even illness.

It doesn’t matter how the resistance shows up. What matters is that a relationship based on manipulating the other to extract their “yes” is inevitably doomed.

That’s why it’s crucial to reflect on what you ask for and how you ask for it. The “yes” you take from someone today could be the beginning of the end of the relationship. It’s also a clear symptom of selfishness and a lack of love.

Learn to make honest requests. Requests that give the other person the freedom to choose—to say yes or no without pressure or guilt. Because true love lies in that freedom.

----
Arrebatar los “sí”

A veces, cuando querés algo del otro, en lugar de hacer un pedido honesto, buscás la manera de forzar el “sí”. En vez de plantear la situación abriendo posibilidades y respetando la libertad del otro, manipulás para que no pueda decirte que no.

Por ejemplo, en lugar de decir “me gustaría que vinieras a casa” o “quiero ir al cine, ¿por qué no arreglamos?”, el mensaje se disfraza de necesidad urgente. Así, el diálogo se convierte en algo como: “Estoy mal, necesito tu ayuda. Vos siempre sabés qué decirme en momentos como este. ¿Podemos vernos?”. Y claro, el otro te dice que sí. ¿Cómo no lo haría?

Si es un familiar, puede sonar así: “Estoy enfermo, no me siento bien, me caí... ¿No vas a venir a verme?”. Y ahí estás, obteniendo el “sí” inevitable. Con una pareja, la estrategia suele ser más sutil: una queja suave, una mueca, una mirada cargada de significado. Listo. Lo tenés. El otro ya no puede decir que no. Le arrebataste su “sí”.

El problema es que esos “sí” arrebatados, tarde o temprano, tienen consecuencias. El otro, aunque hoy ceda, eventualmente se cansa. Un día reacciona, ya sea negándose a colaborar, huyendo de la relación o mostrando su resistencia de formas inesperadas: rebeldía activa, silencio pasivo, depresión, o incluso enfermedad.

No importa cómo se manifieste la ruptura. Lo inevitable es que una relación basada en manipular al otro para obtener su “sí” está condenada a terminar mal.

Por eso, es clave reflexionar sobre lo que pedís y cómo lo pedís. Esos “sí” que le arrebatás hoy pueden marcar el principio del fin de la relación. Son, además, una señal clara de egoísmo y falta de amor.

Aprendé a hacer pedidos honestos. Pedidos que le den al otro la libertad de elegir, de decir que sí o que no sin presiones ni culpas. Porque en esa libertad está el verdadero amor.

"YOU SHALL LOVE YOUR NEIGHBOR AS YOURSELF.” Mark 12:31I understand this phrase much more as a fatalistic truth than as a...
04/23/2025

"YOU SHALL LOVE YOUR NEIGHBOR AS YOURSELF.” Mark 12:31

I understand this phrase much more as a fatalistic truth than as a commandment. There is no escape—you can only love your neighbor as you love yourself. And if you don’t have a good relationship with yourself, it’s highly likely you won’t have a good relationship with others. You will love others as you love yourself: if you constantly criticize yourself, you’ll become a relentless critic of others. You will love others as you love yourself: if you flatter yourself to compensate for a deeper insecurity, you’ll become an excessive flatterer of others. You will love others as you love yourself: if you work on nurturing the intimate connection between your inner being and your outer self, learning to respect, care for, and be kind and compassionate toward yourself, you will have found the key to happiness—loving those around you, the people who are part of your life.

You will love your neighbor AS YOU LOVE yourself. There is no way out.

P.S. On another note, Lysa TerKeurst warns us that we often confuse this commandment to love our neighbor with a pathological need to please others. The two couldn’t be more different.
----------
« TU AIMERAS TON PROCHAIN COMME TOI-MÊME. » Marc 12:31

Je comprends cette phrase bien davantage comme une fatalité que comme un commandement. Il n’y a pas d’échappatoire : tu ne peux aimer ton prochain que comme tu t’aimes toi-même. Et si tu ne t’entends pas bien avec toi-même, il est fort probable que tu ne t’entendes pas bien avec les autres. Tu aimeras les autres comme tu t’aimes : si tu te critiques constamment, tu deviendras un critique impitoyable envers les autres. Tu aimeras les autres comme tu t’aimes : si tu te flattes pour compenser une insécurité profonde, tu deviendras un grand flatteur des autres. Tu aimeras les autres comme tu t’aimes : si tu travailles cette relation intime entre ton être intérieur et ton moi extérieur, en apprenant à te respecter, à prendre soin de toi, à être gentil et compatissant envers toi-même, alors tu auras trouvé la clé du bonheur : aimer les tiens et les personnes qui font partie de ta vie.

Tu aimeras ton prochain COMME TU T’AIMES toi-même. Il n’y a pas d’échappatoire.

P.S. Par ailleurs, Lysa TerKeurst nous met en garde : nous confondons souvent ce commandement d’aimer son prochain avec un besoin pathologique de plaire aux autres. Les deux n’ont rien à voir.
---

“AMARÁS A TU PRÓJIMO COMO A VOS MISMO.” Marcos 12:31

Entiendo esta frase mucho más como una verdad fatalista que como un mandamiento. No hay escapatoria: solo podés amar al prójimo en la medida en que te amás a vos mismo. Y si no te llevás bien con vos mismo, es muy probable que tampoco te lleves bien con los demás. Amarás al prójimo como a vos mismo: si te criticás todo el tiempo, vas a ser un crítico implacable con los otros. Amarás al prójimo como a vos mismo: si te adulás para compensar una inseguridad más profunda, vas a terminar siendo un gran adulador de los demás. Amarás al prójimo como a vos mismo: si trabajás esa relación íntima entre tu ser interior y tu yo exterior, aprendiendo a respetarte, a cuidarte, a ser gentil y compasivo con vos mismo, habrás encontrado la llave de la felicidad: amar a los tuyos y a las personas que forman parte de tu vida.

Amarás al prójimo COMO TE AMÉS a vos mismo. No hay escapatoria.

P.D.: Por otro lado, Lysa TerKeurst nos advierte que muchas veces confundimos este mandamiento de amar al prójimo con una necesidad patológica de agradar a los demás. Nada tienen que ver uno con el otro.

The need to be right is one of the most ingrained and challenging tendencies to moderate in human behavior. If we could ...
04/20/2025

The need to be right is one of the most ingrained and challenging tendencies to moderate in human behavior. If we could let go of this impulse, interpersonal and social relationships would likely become more harmonious and peaceful. Conflicts, breakups, and confrontations would diminish.

From a psychological perspective, the insistence on "being right" is often linked to personal validation and ego defense mechanisms. This attitude can foster emotions such as pride or resentment and make it difficult to prioritize more meaningful goals, such as emotional connection or peaceful conflict resolution.

Is it possible to let go of the need to be right in order to preserve something more valuable, such as peace or relationships? This question encourages reflection on the ability to prioritize collective or emotional well-being over the individual satisfaction of "winning" an argument.

In therapy, this tendency is often explored as being tied to core beliefs or past experiences that reinforce the importance of being right as a central value. However, it can also signal deeper insecurities. Developing cognitive and emotional flexibility allows individuals to appreciate peace and connection as more fulfilling alternatives to the mere act of proving oneself right.

---
Le besoin d'avoir raison est l'une des tendances les plus enracinées et difficiles à modérer dans le comportement humain. Si nous parvenions à nous en détacher, les relations interpersonnelles et sociales deviendraient probablement plus harmonieuses et pacifiques. Les conflits, les ruptures et les affrontements diminueraient.

D’un point de vue psychologique, l’insistance à "avoir raison" est souvent liée à une quête de validation personnelle et à des mécanismes de défense de l’ego. Cette attitude peut nourrir des émotions telles que l’orgueil ou le ressentiment et compliquer la capacité à prioriser des objectifs plus significatifs, comme la connexion émotionnelle ou la résolution pacifique des conflits.

Est-il possible de renoncer à ce besoin pour préserver quelque chose de plus précieux, comme la paix ou les relations humaines ? Cette réflexion invite à envisager la capacité de privilégier le bien-être collectif ou émotionnel plutôt que la satisfaction individuelle d’"avoir raison".

En thérapie, cette tendance est souvent explorée comme étant liée à des croyances fondamentales ou des expériences passées qui valorisent l’importance d’avoir raison. Cependant, elle peut également révéler des insécurités plus profondes. Développer une flexibilité cognitive et émotionnelle permet d’apprécier la paix et la connexion comme des alternatives plus épanouissantes que le simple fait de prouver que l’on a raison.

--
La necesidad de tener razón puede considerarse una de las tendencias más arraigadas y difíciles de moderar en el comportamiento humano. Si fuéramos capaces de renunciar a este impulso, es probable que las relaciones interpersonales y sociales fueran más armoniosas y pacíficas. Disminuirían los conflictos, las rupturas y los enfrentamientos.

Desde una perspectiva psicológica, la insistencia en "tener razón" a menudo está vinculada a la validación personal y a mecanismos de defensa del ego. Esta actitud puede generar emociones como orgullo o resentimiento, y dificultar la capacidad de priorizar objetivos más trascendentes, como la conexión emocional o la resolución pacífica de conflictos.

¿Es posible ceder en la necesidad de tener razón para preservar algo más valioso, como la paz o la relación con los demás? Este cuestionamiento invita a reflexionar sobre la capacidad de priorizar el bienestar colectivo o emocional sobre la satisfacción individual de "ganar" una discusión.

En terapia, es común explorar cómo esta necesidad puede estar asociada a creencias centrales o experiencias previas que refuerzan la importancia de tener razón como un valor indispensable. Sin embargo, también puede ser un indicador de inseguridades más profundas. Desarrollar flexibilidad cognitiva y emocional permite a las personas valorar la paz y la conexión como alternativas más enriquecedoras que el simple acto de demostrar que están en lo correcto.

Address

Montreal, QC

Opening Hours

Wednesday 1:30pm - 8pm
Thursday 1:30pm - 8:30pm
Friday 12pm - 5:15pm
Saturday 9am - 12pm

Telephone

+15149223454

Alerts

Be the first to know and let us send you an email when Rosario Lopez, Ph.D. - Psychologist posts news and promotions. Your email address will not be used for any other purpose, and you can unsubscribe at any time.

Contact The Practice

Send a message to Rosario Lopez, Ph.D. - Psychologist:

Share

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram

Category