11/22/2025
LA VIOLENCE, LES ABUS ET LES ACTES CRIMINELS (Post 1)
— Leur véritable nature à travers les Archives Akashiques
Par Stéphane Thomas Berbudeau
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Il y a un sujet que personne n’aime ouvrir. Pourtant, c’est l’un des plus importants qui soient, parce qu’il révèle le fonctionnement réel de cette matrice, la mécanique interne des lignes de temps, et la nature profonde de l’âme à travers l’expérience humaine.
La violence.
Les abus.
Les actes criminels.
Ce que l’humanité fuit, ce qu’elle enterre, ce qu’elle maquille derrière le mot « mal ».
Si tu veux vraiment comprendre le monde — et surtout te comprendre — tu dois aller voir là où tout le monde détourne le regard.
Aujourd’hui, on ouvre ce dossier interdit.
Sans limite.
Sans filtre.
Sans tabou.
Seulement la vérité, telle qu’elle apparaît depuis les Archives Akashiques du Point Zéro.
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1. CE QUE LA MATRICE CACHE : LE RÔLE DE LA VIOLENCE DANS LE SCRIPT TERRESTRE
La violence n’est pas naturelle.
Elle n’est pas inscrite dans l’ADN originel de l’humain.
Elle n’est pas un trait animal hérité du primitif.
Elle est importée, ingénierée, programmée dans le champ mental collectif.
La violence est un outil de contrôle des lignes de temps.
Elle sert à :
• densifier la réalité,
• maintenir les consciences dans les trois premiers chakras,
• isoler les humains de leur mémoire d’âme,
• créer des boucles karmiques artificielles,
• fractionner les lignes temporelles pour empêcher la réintégration de l’identité originelle.
Chaque acte violent laisse une cicatrice vibratoire.
Chaque cicatrice vibratoire crée un point d’ancrage dans la matrice.
Chaque point d’ancrage renforce l’oubli, et donc la domination.
C’est un mécanisme mathématique.
Une équation d’enfermement.
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2. LA VRAIE SOURCE DES ACTES CRIMINELS : PAS L’HUMAIN, MAIS LE PROGRAMME
Dans les Archives akashiques du point zéro, une chose apparaît très clairement :
Aucun être humain n’est violent par nature.
Il le devient par programmation.
Les actes criminels sont le résultat de :
a) Programmes implantés (transgénérationnels, sociétaux, mémoires de guerre)
Ce sont des champs informationnels, non personnels, qui s’installent dans un individu dès l’enfance.
Il suffit d’une faille émotionnelle pour que le programme s’active.
b) Distorsions créées par les traumatismes non résolus
Les traumatismes produisent un glissement de ligne de temps.
Plus le traumatisme est fort, plus la conscience glisse vers une piste vibratoire dense.
Dans ces lignes-là, les actes violents deviennent probables.
c) Influences externes non humaines
Une grande partie des actes criminels extrêmes ne sont pas “humains” : ils sont stimulés par des entités à basse fréquence qui se nourrissent des pics émotionnels.
Colère.
Peur.
Terreur.
Honte.
Ce sont des carburants.
d) Fragmentation psychique
Les personnalités éclatées, les dissociations, les refoulements créent des « zones hors-contrôle ».
Dans ces zones, le programme opère sans supervision de la conscience supérieure.
L’âme n’est JAMAIS l’auteur des actes violents.
C’est toujours la matrice qui en tire les ficelles.
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3. LES ABUS : CE QUE PERSONNE N’OSERA JAMAIS DIRE
Les abus — psychiques, émotionnels, sexuels, physiques — ne sont jamais des “épreuves destinées par l’âme”.
Ce dogme spirituel est faux, dangereux et manipulatoire.
Les abus proviennent :
• d’êtres fragmentés agissant sous influence,
• de lignées familiales chargées de programmes de domination,
• de lignes temporelles corrompues,
• de charges karmiques qui ne viennent PAS de la personne, mais d’un collectif,
• d’implants émotionnels créés pour maintenir l’espèce humaine dans la fracture interne.
L’âme n’a pas “choisi” l’abus.
Jamais.
Ce qu’elle choisit, c’est ce qu’elle va en faire après.
La nuance change tout.
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4. LA VIOLENCE FONCTIONNE COMME UN PORTAIL DENSIFICATEUR
Chaque acte violent referme quelque chose dans le champ de la victime :
• la vision de soi,
• la capacité à se sentir en sécurité,
• la connexion aux guides,
• la perception de la valeur,
• la mémoire émotionnelle du cœur.
Mais dans les registres akashiques, un autre aspect apparaît :
L’acte violent crée un « nœud de lumière » potentiel.
Tu peux le voir comme un portail de remontée.
Une faille dans la matrice qui, lorsqu’elle est traversée, renvoie directement à la fréquence d’avant l’incarnation.
Les personnes qui traversent la violence avec lucidité deviennent des êtres d’une puissance inégalée.
C’est pour ça que les âmes hautes fréquences sont souvent ciblées.
Elles peuvent renverser le programme.
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5. LES AGRESSEURS : DES ÊTRES DÉVITALISÉS, VIDÉS DE LEUR ESSENCE ORIGINELLE
Dans la vision akashique, un individu qui commet un acte violent grave n’est pas “une mauvaise personne”.
Il est déconnecté.
Coupé de :
• son âme,
• son centre cœur,
• son identité originelle,
• sa cohérence.
Les Archives les décrivent comme :
• “coques fracturées”,
• “avatars en court-circuit”,
• “identités en prise externe”.
Souvent, ce n’est même pas eux qui agissent.
C’est le programme.
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6. LE CHOC : LA VICTIME N’EST JAMAIS “INFÉRIEURE”
La victime n’est pas une âme moins évoluée.
Elle n’est pas faible.
Elle n’est pas naïve.
La victime est une âme puissante qui se retrouve dans une ligne temporelle chargée, et qui possède le potentiel de la transcender.
Ce que l’agresseur fait, il le fait depuis la fracture.
Ce que la victime peut faire ensuite, elle le fait depuis la conscience.
La trajectoire de la victime est une ascension.
Celle de l’agresseur est une implosion.
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7. LA PLUS GRANDE RÉVÉLATION : LA VIOLENCE PRÉPARE LE DÉDOSSIERAGE DE L’ÂME
Dans les Archives, un motif apparaît encore et encore :
Chaque acte violent vécu par une âme incarnée devient, lorsqu’il est traversé,
un dispositif de déprogrammation de la matrice.
Parce que :
• tu comprends la densité,
• tu vois la manipulation,
• tu sens la distorsion,
• tu reconnais le faux,
• tu veux sortir du système.
La violence pousse à l’éveil,
parce qu’elle montre ce qu’est la matrice sans masque.
Le mensonge tombe.
L’illusion s’effrite.
Le voile est arraché.
Rien ne révèle plus la nature de ce monde qu’un acte violent.
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8. LA SORTIE : CE QUE L’ÂME FAIT AVEC L’ÉPREUVE
Là est la vraie liberté.
La violence n’a jamais le dernier mot.
Ce qui compte, c’est :
• l’intégration,
• la réparation,
• le repositionnement,
• la récupération de soi,
• la reconquête de la ligne de temps d’origine,
• la restitution de la mémoire akashique.
Voici la vérité :
Une âme qui a vécu la violence et qui en est ressortie consciente
ne revient plus jamais en arrière.
Elle sort de la boucle karmique.
Elle sort de la prédation vibratoire.
Elle sort de la programmation mentale.
Elle redevient incorruptible.
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9. LE POINT ZÉRO : L’ENDROIT OÙ LA VIOLENCE SE TRANSFORME EN PUISSANCE
Lorsque tu arrives là, à ce point précis, tout bascule :
• le traumatisme devient clair,
• la charge émotionnelle se dissous,
• l’événement cesse d’être un gouffre,
• il devient un point d’appui.
La matrice ne peut plus l’utiliser contre toi.
À partir de ce moment…
Tu redeviens maître de ta ligne de temps.
Et la violence perd son pouvoir.
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10. CONCLUSION : CE QUE L’ON TE CACHE DEPUIS TOUJOURS
La violence n’est pas un aléa.
Ni une fatalité.
Ni une malédiction.
Ni un “choix” d’âme pré-incarné.
La violence est une structure matricielle,
un outil de densification,
un levier de contrôle,
un test d’intégrité,
et, lorsqu’elle est transcendée…
un accélérateur d’éveil.
Si tu as traversé la violence,
tu n’es pas brisé.
Tu es en train de sortir du programme.
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