Claude Lafleur, hypnothérapeute

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Claude Lafleur, hypnothérapeute Claude Lafleur vous invite à poser vos questions, mais aussi à partager vos réussites et vos succès...

27/07/2025
🍬 Le Sucre : Douceur ou Poison ? Décryptage Vibratoire d’un Leurre UniverselÉpisode Spécial – Vérités sur un poison dégu...
23/07/2025

🍬 Le Sucre : Douceur ou Poison ? Décryptage Vibratoire d’un Leurre Universel

Épisode Spécial – Vérités sur un poison déguisé en amour



Tu crois peut-être que le sucre est un aliment.

Un plaisir.
Un petit réconfort.
Un bonbon d’enfance.
Un dessert pour les fêtes.
Un petit carré dans le café.

Mais le sucre n’est pas un aliment.
C’est un programme vibratoire.
C’est un leurre émotionnel.
C’est un agent de servitude matricielle.

Et il est partout.
Pas parce qu’il est bon.
Mais parce qu’il est nécessaire à la Matrice.



🍭 Le sucre est une drogue légalisée.

Il provoque :
• des pics dopaminergiques (comme la cocaïne),
• des crises de manque,
• des compulsions émotionnelles,
• un encombrement cellulaire,
• un désalignement du champ électromagnétique du cœur.

Il modifie ton état vibratoire de manière artificielle.
Il donne l’illusion d’un mieux-être… pour mieux refermer le piège.

Et pourtant… il est présent partout.
Dans les plats cuisinés.
Dans les sauces.
Dans les boissons.
Dans les pains industriels.
Même dans certains légumes hybrides.



🍯 Mais le sucre naturel alors ?

Tu vas me dire : “Et le miel, les fruits, la canne à sucre brute ?”

Ce n’est pas la même chose.
Le sucre vivant contenu dans les fruits mûrs ou le miel cru contient de l’information vibratoire.
Il est encodé par le Soleil.
Il agit comme une onde cohérente, nourrissant la glande pinéale, le sang, le plexus solaire.

Mais ce sucre-là, on ne te le vend pas.
Il n’est ni raffiné, ni transformé, ni arraché à son contexte biologique.

Car la Matrice ne veut pas nourrir ton âme.
Elle veut nourrir ton besoin.
Ta faille.
Ta mémoire de manque.
Et c’est là que le sucre industriel s’engouffre.



💉 Le sucre comme outil de domestication

À chaque bouchée de sucre :
• tu baisses ton taux vibratoire,
• tu ouvres ton champ énergétique aux entités de basse fréquence,
• tu renforces le cloisonnement entre tes corps subtils.

Le sucre te fait croire que tu t’aimes.
Mais il te rend émotionnellement dépendant.
C’est une compensation déguisée en récompense.

Et ça commence dans l’enfance.
Chaque anniversaire.
Chaque moment de joie.
Chaque chagrin consolé par un bonbon…

Conditionnement pavlovien.
Récompense=sucre.
Douleur=sucre.
Joie=sucre.

Mais en réalité :
Douleur + sucre = anesthésie.
Joie + sucre = fuite de l’essence.



🧬 Que fait le sucre dans ton corps ?
• Il encrasse le foie.
• Il nourrit les parasites intestinaux et entités énergétiques.
• Il affaiblit le système immunitaire.
• Il cristallise les émotions non digérées dans les tissus.
• Il altère ton ADN éthérique.
• Il entrave la montée de la Kundalini.

Il est inflammatoire, oxydatif, acidifiant, accélérateur de vieillissement, perturbateur endocrinien, perturbateur de fréquence cérébrale.



🧠 Pourquoi es-tu accro ?

Parce que le sucre :
• imite la lumière (énergie rapide),
• occupe la place de l’amour (douceur, chaleur),
• bouche les canaux subtils (télépathie, intuition),
• colmate les fuites d’âme (liées à des traumas non intégrés),
• et surtout, maintient ton âme incarnée à très basse densité.



🧿 Qui a implanté le sucre sur Terre ?

Le sucre raffiné tel que tu le connais est un programme des races régressives draco-orioniennes ayant instauré un système basé sur :

« Désactivation de l’être par saturation de plaisir factice. »

Ils ont compris que la dépendance douce est bien plus efficace que la violence brute.

Le sucre devient alors une chaîne dorée.
Tu souris… pendant que tu t’emprisonnes toi-même.



🌸 Comment s’en libérer ?

Il ne s’agit pas de le fuir par peur.
Mais de comprendre sa nature.
Et d’observer ce qu’il cache dans ta vie.

Pose-toi ces questions :
• À quel moment j’en ai envie ?
• Qu’est-ce que je cherche vraiment ?
• Quelle mémoire est réactivée ?
• Où ai-je besoin de douceur réelle dans ma vie ?
• Est-ce que je m’autorise à recevoir de l’amour autrement que par la bouche ?



🌀 Et après ?

Lorsque tu te libères du sucre :
• ta conscience s’éclaircit,
• tes rêves deviennent lucides,
• ton système nerveux se régénère,
• tes choix deviennent souverains,
• tes liens karmiques se dissolvent,
• tu reprends le contrôle de ton champ vibratoire.

Tu redeviens clair.
Et la Matrice ne peut plus te duper.



✨ Clé vibratoire finale :

“Ce que tu cherches dans la douceur extérieure est le reflet d’une lumière que tu n’as pas encore osé laisser briller en toi.”

Stéphane Thomas Berbudeau

Je l’aime… mais je ne suis pas aimé en retour. Et c’est là que tout commence.Cette phrase, vous l’avez peut-être murmuré...
18/07/2025

Je l’aime… mais je ne suis pas aimé en retour. Et c’est là que tout commence.

Cette phrase, vous l’avez peut-être murmurée à vous-même dans le noir.
Ou répétée comme une blessure ouverte : « Je l’aime… mais je ne suis pas aimé en retour. »
Elle claque comme une vérité douloureuse, simple, crue.
Et elle vous laisse seul face à un vide.

Mais ce que vous ignorez peut-être encore, c’est que cette phrase, si vous l’écoutez jusqu’au bout, sans fuite ni dramatisation, peut devenir le point de départ d’un éveil.

Un éveil qui ne parle pas de l’autre.
Un éveil qui ne demande plus rien.
Mais qui vous rend à vous-même.

L’amour non réciproque : tragédie ou initiation ?

Vous pensiez que l’amour devait être mutuel pour être vrai.
Qu’il ne pouvait exister que s’il circulait dans les deux sens.
Et vous découvrez qu’il peut exister… même à sens unique.
Qu’il peut jaillir en vous, pur, intense, bouleversant…
sans que l’autre ne l’accueille, ne le reconnaisse, ne le renvoie.

Et cela vous semble insupportable.
Comme une faute. Une injustice. Une blessure.

Mais si c’était autre chose ?
Et si ce moment précis où votre amour n’est pas “rendu” devenait un miroir ?
Pas un miroir de rejet.
Un miroir de retour intérieur.

Aimer sans retour : ce que cela révèle

Quand vous aimez et que ce n’est pas partagé, il y a un effondrement.
Pas seulement de la relation espérée.
Mais de toute une architecture inconsciente.

Car derrière votre amour, il y avait peut-être un espoir :
– d’être choisi, enfin,
– de se sentir assez,
– de réparer quelque chose d’ancien,
– de mériter,
– de guérir par l’autre ce que personne n’avait su accueillir.

Et quand l’amour ne revient pas, tout cela s’écroule.
Mais ce n’est pas une fin.
C’est un passage.
Un passage vers vous-même, débarrassé du besoin d’être aimé pour exister.

Ce n’est pas l’amour qui vous fait souffrir. C’est le contrat invisible que vous aviez passé avec lui.

Vous pensiez : “Si j’aime assez, il ou elle finira par m’aimer.”
Vous pensiez : “Je vais lui montrer qui je suis, et ce sera évident.”
Vous pensiez : “C’est une question de temps, de déclic, de preuves.”

Mais aimer, ce n’est pas convaincre.
Ce n’est pas mendier.
Ce n’est pas prouver.

Aimer, dans sa forme la plus nue, la plus vaste, la plus spirituelle…
c’est un état de présence.
Un acte intérieur.
Un mouvement libre.

Et ce n’est que lorsque vous cessez d’attendre un retour que vous commencez à aimer vraiment.

L’amour non réciproque peut devenir une école de soi

C’est l’endroit exact où vous apprenez :
– à vous aimer dans le vide,
– à rester debout quand l’autre ne vous voit pas,
– à ne plus attendre la validation extérieure,
– à reconnaître votre propre valeur… sans miroir.

Cela ne veut pas dire que la douleur disparaît.
Cela veut dire qu’elle devient formatrice, au lieu de vous détruire.

Vous n’êtes pas rejeté.
Vous êtes confronté à vous-même.
Et cette confrontation, si vous l’accueillez, vous rend libre.

“Mais je n’arrive pas à l’oublier…”

C’est normal.
Parce que ce n’est pas l’autre que vous n’arrivez pas à oublier.
C’est ce que vous aviez projeté sur lui.
C’est l’histoire que vous aviez bâtie.
C’est ce qu’il représentait pour votre cœur en manque, pour votre âme en quête.

Ce que vous aimez encore, c’est peut-être une part de vous que vous aviez mise dehors.
Et il est temps de la réintégrer.

Non pas pour tout effacer.
Mais pour récupérer ce que vous aviez déposé chez l’autre :
votre joie, votre désir, votre beauté, votre vérité.

Aimer sans retour, c’est l’apprentissage du détachement sans fermeture

Cela ne veut pas dire se fermer à l’amour.
Cela veut dire ne plus confondre amour et attachement.
Ne plus lier la valeur de votre amour à la capacité de l’autre à le recevoir.

Cela demande de l’humilité.
Et du courage.
Mais c’est aussi le début d’un amour plus vaste, qui ne dépend plus de la réponse.

Un amour qui commence à circuler en vous, pour vous.
Et qui, à terme, attire ce qui est juste, clair, réciproque.

Pas parce que vous le cherchez.
Mais parce que vous ne l’attendez plus pour exister.

Aimer sans retour n’est pas un échec. C’est un seuil.

Un seuil vers un autre rapport à vous-même.
Un autre rapport à l’amour.
Un autre rapport à la vie.

Si vous l’acceptez comme tel, alors vous n’avez pas été rejeté.
Vous avez été initié.
Non pas à un amour de conte de fées.
Mais à un amour qui ne demande plus la permission d’exister.

Et ça, c’est le début de la vraie guérison.

Rafael Arieli

Rappel Le détachement, c'est la fin des réactions disproportionnées, la fin des emprises émotionnelles excessives. Avec ...
17/07/2025

Rappel

Le détachement, c'est la fin des réactions disproportionnées, la fin des emprises émotionnelles excessives.

Avec le détachement, c'est fini les attentes.

Le détachement, ce n'est pas être détaché des gens et n'en avoir plus rien à faire. Le détachement, c'est être détaché des attentes que nous avons de nos relations, de nos situations de vie. C'est être, entreprendre ce qui est juste pour soi et lâcher prise sur le résultat, faire confiance, laisser faire.

Le détachement c'est l'Acceptation de ce qui est, en toute Paix.

Pour accéder au détachement, il faut apprendre à lâcher prise.

Pour lâcher prise, il est essentiel de commencer par apporter de la Conscience à son mental.

Tes blessures émotionnelles t'ont poussé dans une profonde insécurité interne. Par voie de conséquence, tu es sans cesse dans le mental à analyser, à anticiper, à organiser, à contrôler.

Difficile de lâcher prise dans ce tournis incessant.

Tu es trop dans le mental ?

Il n'est pas ton ennemi tu sais. C'est une réponse traumatique. Il anticipe les problèmes pour te protéger. Instinct de survie...

Apprends à l'accueillir. Il t'indique tout ce qui ne va pas dans ta vie pour que tu conscientises d'abord, concrètement, réellement, tout ce qui ne va pas, et pour que tu apportes ensuite des solutions à ce qui te contrarie.

Que fais-tu dans ce processus Intérieur ? Es-tu actif, ou passif ? Prends-tu la responsabilité de ce qui s'active en toi ou subis-tu ?

Une Clé ?

N'hésite pas à prendre un papier et un stylo pour noter tous les messages que ton mental fait tourner dans ta tête.

Puis apporte une solution, un acte concret à ces situations.

Pose des actes.

En adoptant cette posture mâture et responsable, tu restaures ta sécurité interne, tu libéres et pacifies ton mental à ton rythme.

Tu accédes alors petit à petit au lâcher prise.

Le lâcher prise apporte l'Amour Inconditionnel, le détachement, le pardon.Tu n'auras rien de particulier à faire. Tu commenceras à les ressentir en toi de manière toute à fait naturelle.

Tout ça ne vient pas par magie tu sais.

Aime tes blessures émotionnelles, ton mal être, en les écoutant et en répondant à leurs besoins.

Tu accéderas alors à ta Liberté Intérieure et à ta profonde sérénité.

Personne ne peut faire ce travail à ta place.

Marie Chauderon

LES HOMMES ET LES FEMMES PORTENT LA DOULEUR DIFFÉREMMENT.Chez les femmes, elle se loge souvent dans le cœur et le systèm...
16/07/2025

LES HOMMES ET LES FEMMES PORTENT LA DOULEUR DIFFÉREMMENT.

Chez les femmes, elle se loge souvent dans le cœur et le système nerveux.
Elle s'accompagne d'une vigilance accrue.
Une hyper-conscience.

Le sentiment que quelque chose pourrait mal tourner à tout moment, et c'est probablement déjà arrivé.
C'est se faire dire de sourire.
Et puis on lui dit qu'elle mène quelqu'un en bateau.
C'est se rétracter dans des espaces qui n'ont jamais été conçus pour sa voix.
C'est être touchée sans son consentement et ensuite blâmée.
C'est une douleur qui lui apprend à scruter chaque espace pour se sentir en sécurité,
puis à se reprocher de ne pas se sentir en sécurité.

Chez les hommes, elle se loge souvent dans la poitrine et la mâchoire.
Elle transparaît dans le silence entre les mots.
Dans la pression de performer, de réussir, de protéger, de subvenir aux besoins, même lorsqu'il a envie de craquer.
C'est se faire dire dès son plus jeune âge de surmonter les difficultés.
De réparer les dégâts.
De persévérer.
Et s'il n'y parvient pas ? Il se qualifie discrètement de faible.

Tant d'hommes aspirent à être pris dans leurs bras,
pas seulement physiquement, mais aussi émotionnellement.
Mais ils ne savent pas comment demander sans se sentir exposés.
Alors ils restent silencieux.
Engourdis.
Dur.
Utile.

Et tant de femmes sont lasses de porter ce poids émotionnel, pour elles-mêmes et pour les autres.
Mais elles ne savent pas comment le laisser tomber sans être qualifiées d'instables, d'exigeantes ou d'excessives.
Alors elles s'excusent de leur propre vérité.
Sourire quand ça fait mal.
Acquiescer quand elles ont envie de crier.

On n'a pas besoin de comparer la douleur.
On a besoin de se voir dans la douleur.

Parce que la douleur d'une femme n'est pas une menace pour celle d'un homme.
Et la douleur d'un homme n'est pas un rejet de la sienne.

Ils sont tous deux réels.
Tous deux valables.
Et tous deux demandent à être accueillis avec honnêteté, et non sur la défensive.

La guérison entre hommes et femmes ne commence pas par le blâme.
Elle commence par la curiosité.
En disant :
« Dites-moi comment vous vivez. »
Et en écoutant vraiment.
Sans chercher à savoir qui est le plus mal loti.
Sans chercher à arranger les choses ni à gagner la dispute.

Juste être avec la vérité.

Deux systèmes nerveux.
Deux histoires.
Toutes deux façonnées par la pression, les attentes et l’incompréhension.
Et toutes deux capables de quelque chose de différent.
Quelque chose de meilleur.

Pas la perfection.
Mais un partenariat.
Le genre où personne n’a besoin de se perdre pour être aimé.

Auteur: Jan-Willem Van Der Heiden

Il y aura ceux qui se souviendront de moi avec tendresse, et d’autres avec rancune. Ce n’est pas une contradiction, c’es...
14/07/2025

Il y aura ceux qui se souviendront de moi avec tendresse, et d’autres avec rancune. Ce n’est pas une contradiction, c’est de la cohérence.

Chacun a réveillé en moi
le reflet exact de ce qu’il a semé.
Je n’ai pas été la même pour tous,
car tous ne sont pas venus de la même manière.

Je ne suis pas un temple de patience, ni une source inépuisable de douceur.
Je suis une femme entière, faite de lunes, de tempêtes, de récoltes et de sécheresses.

À ceux qui sont venus avec amour, j’ai été refuge.
À ceux qui sont venus avec des mensonges, j’ai été miroir.
À ceux qui sont venus avec tendresse, j’ai été pain chaud.
À ceux qui sont venus pour m’utiliser, j’ai été lame.
Et je ne le regrette pas.

À mon âge, je ne porte plus les fautes des autres,
je ne m’excuse pas de m’être défendue.
Je ne cherche pas à ce que tout le monde parle bien de moi,
car je ne suis pas venue sur cette terre pour plaire,
mais pour vivre avec honnêteté, même si cela dérange.

La mémoire des autres ne m’appartient pas.
Et si quelqu’un se souvient de moi avec affection,
c’est qu’il a su toucher mon ÂME avec respect.
Et si quelqu’un se souvient de moi avec rancœur,
qu’il examine ce qu’il a donné,
car ce qu’il a reçu était l’écho de son propre geste.

Je suis ainsi : ni sainte, ni martyre, ni héroïne de conte.
Juste une femme réelle.
Et ce que j’ai donné, je l’ai donné avec vérité.
Et ce que j’ai refusé, aussi.

Et si un jour mes traces s’effacent,
que la leçon ne s’efface pas : 👉🏻
une femme libre n’est pas faite pour tous les regards.

Seulement pour ceux qui savent voir avec l’ÂME, et non avec l’ego.

Auteur inconnu
Via la page À Méditer

LE PRINCE ET L’HIRONDELLE, UN CONTE SUR L’ATTACHEMENT DANS LE COUPLEAvec ce conte sur l’attachement dans le couple, j’ai...
13/07/2025

LE PRINCE ET L’HIRONDELLE, UN CONTE SUR L’ATTACHEMENT DANS LE COUPLE
Avec ce conte sur l’attachement dans le couple, j’aimerais que l’on réfléchisse sur les mécanismes de l’attachement incertain, de quelle manière ils nous font souffrir et ils nous affectent quand nous essayons de contrôler et de dominer l’autre, en prenant l’amour comme excuse.

Pensez-y . Quelles différences y a-t-il entre l’amour et l’attachement ? Pourquoi les confondons-nous ? Comment l’attachement dépendant peut agir de manière négative sur nos relations ?

“Quand nos sommes attachés à quelque chose, il y a toujours de la peur, la peur de perdre cette chose; il existe toujours cette sensation d’insécurité”
–Jiddu Krishnamurti-

Un prince passait ses journées à regarder par la fenêtre en attendant que quelque chose se produise.

Il n’avait avec lui plus qu’un domestique qui se chargeait de faire les courses et de faire le ménage dans le château. “Quelle vie ennuyeuse !”, soupirait-il.

Un matin d’avril, une hirondelle se posa sur le rebord de sa fenêtre. “Oh !”, s’exclama-t-il, “Quelle créature petite et délicate !” L’hirondelle lui offrit une brève mélodie et partit. Le prince en resta émerveillé : il trouva que son chant était le plus beau et que son plumage était le plus original du monde. Un être unique !

L’hirondelle revint

À partir de ce jour-là, le prince attendit impatiemment son retour. Ce jour tant espéré arriva et l’hirondelle revint lui chanter une autre chanson.

Il se sentit vraiment chanceux. “A-t-elle froid ?”, se demanda-t-il juste après qu’elle eût pris son envol.

La troisième fois que l’oiseau revint, le prince se demanda si elle avait faim.

Il passa les jours suivants à construire une petite maison pour l’hirondelle.
Il envoya son domestique acheter du bois et des clous et chasser des insectes
Finalement, après plusieurs tentatives malheureuses, il finit par lui ordonner de construire aussi la maison. “Maudit oiseau”, murmura le domestique.

Il mit dedans des insectes et de l’eau, en plus de toiles en soie qui faisaient office de lit.

Quand il vit comment l’hirondelle se posait sur le rebord, il approcha la petite maison et il prit du plaisir à voir comme elle buvait l’eau et elle mangeait de bon cœur la nourriture qu’il lui avait préparée.

“Tu aimes ces insectes, ma douce hirondelle ?”, lui demanda-t-il. “Je les ai chassés pour toi”, ajouta-t-il. Avec un léger trin, l’hirondelle parut acquiescer avant de s’envoler à nouveau.

L’anxiété l’envahit alors. Et si elle ne revenait jamais ? Et si elle trouvait une meilleure demeure où s’abriter ?

Peut-être que d’autres princes avaient construit de plus belles maisons ou qu’ils chassaient eux-mêmes les insectes. Il ne pouvait pas l’accepter. Il n’existait pas deux hirondelles comme cela dans le monde !

Le prince passa deux jours sans dormir et à ne penser qu’à ça jusqu’à ce qu’il décide d’employer cette attente à fabriquer une porte avec un cadenas pour la petite maison.

L’hirondelle – comme toujours – revint, et quand elle entra pour goûter la nourriture, le prince l’enferma. “Je t’aime“, lui avoua-t-il, “et avec moi, tu ne manqueras plus jamais d’eau ou de nourriture et tu n’auras plus froid.”

Un peu confuse, l’hirondelle se laissa enfermer par le prince par commodité.

Elle appréciait la chaleur de son foyer et le fait de disposer de nourriture à sa portée sans avoir à fureter entre les plantations jusqu’à en trouver.

Le prince plaça la cage sur sa table de nuit pour la saluer tous les matins en lui caressant la tête. “Tu es mon hirondelle, chante-moi une chanson, ma jolie”, lui demandait-il.

“Cette vie n’est pas si mal”, pensait l’hirondelle. Et elle chantait. Mais avec le temps, sa musique se fit de plus en étouffée, jusqu’à ce qu’elle devienne muette.

L’hirondelle perdit sa voix

– Tu ne chantes plus ? – lui demanda le prince, étonné. – J’étais heureux quand tu chantais.

– Mon chant s’inspirait du courant de la rivière, du bruit du vent dans les arbres, du reflet de la lune dans les rochers de la montagne.

Quand j’étais contente, je te faisais écouter mon chant, mais maintenant, dans cette cage, je ne trouve pas d’inspiration.

– Je fais ça parce que je t’aime – dit le prince. – C’est dangereux que tu voles là-bas toute seule. Et si tu as un accident ? Et si tu ne trouves pas de nourriture ? Et si un chasseur te tire dessus ?

– Qui ? Qu’est-ce que c’est qu’un chasseur ? – demanda-t-elle.

– Je prends soin de toi et je te protège. Ici, tu es à l’abri de tous les dangers.

Un jour, le prince se réveilla en sursaut. Il alla caresser l’hirondelle et il la trouva morte.

Pris de colère, il alla chercher son domestique et il le renvoya parce que pour lui, c’était sans doute un des insectes qu’il avait chassés qui était responsable de sa mort.

Le fait d’avoir trouvé un coupable ne réconforta pas le prince, qui se sentit encore plus seul et déshérité qu’avant l’apparition de l’hirondelle.

Jusqu’à ce qu’une autre se pose sur sa fenêtre et lui chante une chanson : la plus jolie qu’il avait entendue de toute sa vie.

Les maisons avec des cadenas ternissent l’amour.
Ce conte parle de la manière dont fonctionne l’attachement dans les relations de couple et il nous montre comment, très souvent, nos peurs et nos craintes prennent le pas sur les désirs et les droits de l’autre.

Il nous raconte un fait : en transformant les personnes que nous connaissons, nous les éloignons souvent de leur essence, de leur bonheur. Tout cela pour elles et sans nous en rendre compte.

Face à une situation de solitude ou de vide, nous pouvons faire preuve de responsabilité pour en sortir par nous-mêmes ou porter la responsabilité sur notre conjoint en établissant une relation de dépendance.

L’attachement peut nous troubler en exagérant les qualités de l’être aiméet en le transformant à nos yeux en un être unique et irremplaçable, augmentant ainsi l’anxiété en imaginant sa possible perte.

En utilisant l’excuse de sa protection ou de son bien-être, nous pouvons arriver à priver l’autre de sa liberté.

Voilà un conte sur l’attachement, mais c’est aussi un conte sur l’amour.

Aimer, c’est accepter et respecter la manière d’être de l’autre, souhaiter son bonheur avant la satisfaction de nos besoins et le laisser voler quand il le faut, si c’est – comme l’hirondelle – ce qui le rend heureux.

*Conte original de Mar Pastor

C’est vrai ça? 🤔
12/07/2025

C’est vrai ça? 🤔

🔥 LES FLAMMES JUMELLESVérité brute, feux croisés et illusion romantiqueTu entends ce mot partout.Flamme jumelle.Et tu te...
11/07/2025

🔥 LES FLAMMES JUMELLES

Vérité brute, feux croisés et illusion romantique

Tu entends ce mot partout.
Flamme jumelle.

Et tu te demandes peut-être si toi aussi, tu en as une.
Si cette relation bouleversante que tu vis est “cela”.
Si ce manque intérieur vient d’une autre moitié manquante quelque part.

Mais ce que tu vas lire ici n’est pas ce qu’on t’a raconté.
Ce n’est pas du “love coaching”.
Ce n’est pas une idéalisation New Age.
C’est la vérité brute, venue du Point Zéro. Celle que ton âme reconnaît.



✴️ Une essence, deux polarités

Une flamme jumelle, ce n’est pas une “moitié”.
Ce n’est pas ton “autre” qui te complète.

C’est toi,
dans un autre corps,
dans une autre polarité,
dans un autre miroir,
avec une autre histoire,
mais la même vibration-source.

Certaines âmes – très rares – portent une fréquence si élevée, si solaire, qu’elle ne pouvait pas s’incarner en un seul corps sans le consumer.
Alors l’essence s’est scindée :
deux flammes, un seul feu.



🌀 Mais non… tout le monde n’en a pas.

Et ce n’est pas une injustice.
Ce n’est pas un “manque”.
C’est un choix d’incarnation galactique.

La majorité des âmes n’ont pas de flamme jumelle.
Elles ont :
• des âmes sœurs, pour l’amour doux et le soutien mutuel,
• des liens karmiques, pour rejouer et libérer des mémoires anciennes,
• des partenaires vibratoires, pour créer, transmettre, guérir.

Et tout cela est précieux. Parfois plus stable. Parfois plus doux.
Car avoir une flamme jumelle, ce n’est pas une récompense.
C’est un incendie intérieur.



🔥 La rencontre : activation ou implosion ?

Quand tu croises ta flamme jumelle…
tu ne le sais pas.
Tu le ressens.
C’est immédiat. Brutal. Total.

Le regard te transperce.
Le cœur s’ouvre et se tord en même temps.
Tu es attiré comme jamais… et tu veux fuir tout aussi fort.
Pourquoi ?
Parce que tout ce que tu as construit comme protection, comme masque, comme personnage… s’effondre.

Et ce n’est que le début.



🧨 Elle te détruit… pour que tu renaisses

Une flamme jumelle ne vient pas t’aimer.
Elle vient t’éveiller.
Elle appuie sur toutes tes blessures, elle active tes peurs, tes croyances, tes attachements.

Elle brûle l’illusion.

Et si tu t’accroches à vouloir vivre une “relation d’amour” avec elle sans avoir traversé la transmutation…
Tu te consumes. Tu souffres. Tu t’écroules.
Parce que tu essaies de vivre un amour divin avec des codes humains.



❌ Le mythe de la séparation

On te dit que vous êtes séparés.
Mais vous ne l’êtes jamais.

Vos âmes sont unis sur les autres plans.
La séparation n’existe que dans l’illusion matricielle.
Elle sert un but : la reconnexion intérieure.

Tant que tu cours vers l’autre, tu fuis toi-même.
Tant que tu attends l’autre, tu te débranches de ta mission.
La vraie réunion ne se fait pas dans la relation :
Elle se fait dans l’alignement vibratoire.

Quand chacun incarne sa mission, dans sa propre lumière,
la fusion devient une fréquence… et non un besoin.



✧ Leur mission ? Faire imploser la Matrice.

Les flammes jumelles ne sont pas là pour fonder une famille dans la norme.
Elles sont là pour briser les codes.
Infiltrer la Matrice. Et rayonner une vibration qui dissout les programmes.

Ce sont des piliers. Des êtres-feux.
Des codes d’activation.
Quand elles s’unissent, même à distance, elles ouvrent un vortex.
Un champ électromagnétique que la matrice ne peut pas contenir.

C’est pour cela que tout est fait pour les séparer.
C’est pour cela que tant ne se retrouvent jamais sur Terre.



💡 Tu crois que tu veux la fusion.

Mais ce que tu cherches… c’est toi.

Car la flamme jumelle est un prétexte divin.
Un miroir sacré.
Elle te ramène à ton propre feu originel.
Celui que tu as oublié.
Celui que tu as projeté sur l’autre.

Et la vraie union… c’est avec toi-même.
Ta part solaire. Ta part lunaire.
Ton feu sacré réactivé.

Quand cela est fait…
alors peut-être, oui, une réunion physique devient possible.
Mais ce n’est plus un objectif.
C’est juste une conséquence.



✦ En résumé
• Non, nous n’avons pas tous une flamme jumelle.
• Oui, c’est une mission rare, galactique et vibratoirement explosive.
• Non, ce n’est pas une romance divine, mais une déprogrammation radicale.
• Oui, cela t’arrache à tout ce que tu crois être… pour te ramener à ce que tu es vraiment.

Tu n’es pas venu pour trouver “l’autre”.
Tu es venu pour redevenir toi.
Et brûler tout ce qui t’en empêche.



🔥 Si ce post résonne avec toi,
ce n’est pas un hasard.
C’est peut-être un rappel.
Peut-être même… un code d’activation.

Stéphane Thomas Berbudeau

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