Claude Lafleur, hypnothérapeute

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Les fuyants émotionnels : ces âmes qui prennent la fuite devant le cœur.Il existe des êtres pour qui l’intimité émotionn...
10/26/2025

Les fuyants émotionnels : ces âmes qui prennent la fuite devant le cœur.

Il existe des êtres pour qui l’intimité émotionnelle agit comme une alarme. Dès que les sentiments s’intensifient, que les regards deviennent trop profonds ou que la vulnérabilité pointe le bout de son nez, ils reculent.

Ce sont les fuyants émotionnels, des personnes qui, consciemment ou non, ont appris à fuir ce qui touche de trop près à l’émotion, à l’engagement, à la profondeur des relations.

Souvent, un fuyant émotionnel ne se montre pas froid ou distant d’emblée. Il peut être charmant, chaleureux, même intensément présent… jusqu’à ce que le lien affectif commence à exiger davantage : de la constance, de la transparence, un engagement sincère. C’est là que le masque tombe. Peu à peu, il devient insaisissable. Il s’éloigne sans forcément partir, s’absente sans quitter, se tait sans disparaître.

Mais il ne faut pas confondre la fuite avec l’indifférence. Le fuyant émotionnel est rarement dénué de sentiments. Au contraire, il ressent souvent intensément, mais son rapport à la proximité affective est parasité par des peurs : peur d’être envahi, peur de perdre son autonomie, peur d’être blessé ou rejeté.

Ces blessures viennent parfois de l’enfance ou d’expériences relationnelles passées marquées par l’abandon, la trahison ou le contrôle.

Face à une personne qui aime profondément, le fuyant peut provoquer une grande douleur. Son comportement peut sembler paradoxal : il donne, puis retire ; il s’ouvre, puis se referme ; il approche, puis fuit. Ce mouvement constant crée une danse émotionnelle éprouvante pour l’autre, qui tente de comprendre, de réparer, de rattraper… souvent en vain.

Pourtant, tout n’est pas figé. Un fuyant émotionnel n’est pas condamné à l’évitement pour toujours. Avec du travail sur soi, de la thérapie parfois, et surtout une prise de conscience sincère de ses mécanismes de défense, il est possible de réapprendre à rester, à accueillir l’intensité des émotions, à se sentir en sécurité dans l’intimité.

Car au fond, la fuite n’est qu’un déguisement de la peur. Et derrière la peur, il y a souvent un profond désir d’aimer… mais sans savoir encore comment s’y abandonner.

Charlotte Cellier

10/25/2025
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10/25/2025

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Dans les années 1960, la doctorante de Harvard Jean Briggs fit une découverte remarquable sur la colère humaine.

À 34 ans, elle se rendit au-delà du cercle arctique et vécut dans la toundra pendant 17 mois — sans routes, sans chauffage, sans magasins. Les hivers descendaient en dessous de –40 °C.

Briggs réussit à convaincre une famille inuit de l’« adopter », afin qu’elle puisse observer leur vie quotidienne. Ce qu’elle découvrit la stupéfia : les adultes semblaient posséder un contrôle quasi surhumain de leur colère. Ils ne perdaient jamais leur sang-froid.

Un jour, quelqu’un renversa une bouilloire brûlante à l’intérieur d’un igloo, faisant fondre une partie du sol glacé. Aucun cri, aucun reproche. Juste un calme « tant p*s », suivi d’aller chercher de l’eau. Une autre fois, une ligne de pêche — tissée avec soin pendant des jours — se rompit dès le premier lancer. La seule réaction ? « Faisons-en une autre. »

À côté d’eux, Briggs se sentit comme un enfant émotionnel. Elle commença alors à se demander : comment les parents inuits enseignent-ils à leurs enfants ce type de maîtrise ?

Un après-midi, elle eut la réponse. Une jeune mère jouait avec son enfant de deux ans en colère. Elle lui donna une petite pierre et dit doucement : « Frappe-moi avec. Encore. Plus fort. » Quand le garçon la lança, elle se couvrit les yeux et fit semblant de pleurer : « Ooooh, ça fait mal ! »

Au début, cela semblait étrange. Puis Briggs comprit ce qui se passait. Les Inuits ne grondent ni ne crient jamais sur les jeunes enfants. Ils enseignent par le jeu — en montrant calmement les conséquences de la colère et en aidant les enfants à développer l’empathie plutôt que la peur.

Même lorsqu’un enfant frappe ou mord, la réponse reste douce, jamais furieuse. La leçon porte sur la conscience émotionnelle, non sur la punition.

Peut-être que nous pourrions tous apprendre d’une culture où la colère n’est ni réprimée ni explosive — elle est simplement comprise.

Quand les gens dormaient deux fois par nuitAujourd’hui, il nous paraît normal de dormir d’un seul trait. Mais au Moyen Â...
10/22/2025

Quand les gens dormaient deux fois par nuit
Aujourd’hui, il nous paraît normal de dormir d’un seul trait. Mais au Moyen Âge, l’habitude était tout autre : on dormait en deux temps.
Avant l’invention de l’électricité, les gens se couchaient peu après le coucher du soleil. Mais en s’endormant si tôt, ils ne pouvaient pas rester endormis toute la nuit. Ainsi naquit l’habitude du « premier sommeil » et du « second sommeil ».
Ils dormaient quelques heures, puis se réveillaient vers minuit… et profitaient de ces heures intermédiaires pour prier, lire, fumer, rendre visite aux voisins ou simplement passer du temps en famille à la lueur vacillante d’une bougie. Ensuite, ils retournaient au lit pour compléter leur second sommeil jusqu’à l’aube.
Ce rythme fut la norme durant des siècles, et l’on en trouve la trace dans les journaux, la littérature et même les traités médicaux de l’époque.
Mais à partir de 1800, avec l’essor de l’éclairage public et des cadences urbaines plus rapides, cette coutume commença à disparaître. Vers 1900, presque plus personne ne se souvenait que dormir deux fois par nuit avait jadis été la chose la plus naturelle du monde.
Aujourd’hui, nous appellerions cela de l’insomnie.
Autrefois… c’était simplement vivre au rythme de l’obscurité.

Via la page L’étonnant quotidien

10/21/2025
J'ai demandé à un de mes amis qui a franchi les 60 ans et se dirige vers les 70 ans, quel genre de changement ressent-il...
10/21/2025

J'ai demandé à un de mes amis qui a franchi les 60 ans et se dirige vers les 70 ans, quel genre de changement ressent-il ? Et il m'a envoyé les lignes suivantes très intéressantes que j'aimerais partager avec vous tous :
1➖Après avoir aimé mes parents, mes frères, mon conjoint, mes enfants, mes amis, maintenant j'ai commencé à m'aimer.
2➖ Je viens de réaliser que je ne suis pas "Atlas". Le monde ne repose pas sur mes épaules.
3➖ Maintenant j'ai arrêté de négocier avec les vendeurs de fruits et légumes. Après tout, quelques pesos ne vont pas faire un trou dans ma poche, mais ils pourraient aider le pauvre homme à économiser pour les frais scolaires de sa fille.
4➖Je paie le chauffeur de taxi sans attendre la monnaie. L'argent supplémentaire pourrait lui apporter un sourire. Après tout, il travaille beaucoup plus dur que moi.
5➖ J'ai arrêté de dire aux personnes âgées qu'ils ont déjà raconté cette histoire plusieurs fois. Après tout cette histoire les fait marcher sur le chemin de leur mémoire et revivre le passé.
6➖J'ai appris à ne pas corriger les gens, jusqu'à quand je sais qu'ils ont tort. Après tout, la responsabilité de tous être parfaits n'est pas entre mes mains. La paix est plus précieuse que la perfection.
7➖ Je fais des éloges librement et généreusement. Après tout, ça améliore l'humeur non seulement pour le receveur mais aussi pour moi.
8➖J'ai appris à ne pas m'embêter pour une tache sur mes vêtements. Après tout, la personnalité parle plus que les apparences.
9➖Je m'éloigne des gens qui ne m'apprécient pas. Après tout, ils ne connaissent peut-être pas ma valeur, mais moi si.
10➖J'apprends à ne pas avoir honte de mes émotions. Après tout ce sont mes émotions qui me rendent humain.
11➖J'ai appris qu'il vaut mieux laisser tomber son ego plutôt que de briser une relation. Après tout mon ego me tiendra distant, alors qu'avec les relations je ne serai jamais seul.
12➖J'ai appris à vivre chaque jour comme si c'était le dernier. Après tout, ça pourrait être le dernier.
13➖Je fais ce qui me rend heureux. Après tout, je suis responsable de mon bonheur et je me le dois.
14➖J'ai appris à apprécier mes amis, parce que chaque jour je les perds, non pas parce que je m'en vais avec eux, mais parce qu'ils m'ont devancé sur la vie éternelle.
15➖ J'apprécie tout ce que j'ai, plus que ce que je désire, car ce que j'ai est à moi : Ma vie, ma famille et mes amis.

J'ai décidé d'envoyer ça parce que je me suis demandé pourquoi devons-nous attendre si longtemps ? Et pourquoi ne pouvons-nous pas pratiquer ça à n'importe quel stade ? Pas besoin d'être vieux pour chercher le bonheur...

* Anonyme

Merci Enzo Herman filles olmos pour le partage
Page Comme un ange.

Personne ne t’a blessé autant que… tes propres pensées. Pas ton ex. Pas ton parent distant. Pas ton ami qui t’a trahi. C...
10/14/2025

Personne ne t’a blessé autant que… tes propres pensées. Pas ton ex. Pas ton parent distant. Pas ton ami qui t’a trahi. Ce sont tes pensées, celles que tu répètes sans fin dans le silence de ton esprit, qui t’ont infligé les plus profondes cicatrices. Celles qui te disent que tu n’es pas assez, que tu n’aurais pas dû, que tu aurais pu faire mieux. Ce dialogue intérieur, souvent invisible aux autres, est celui qui t’a fait saigner le plus longtemps.

Tu crois que la douleur vient de ce qu’on t’a fait. Mais la vérité, c’est qu’elle s’entretient dans la manière dont tu y penses. Tu revis la scène, tu ressasses, tu analyses chaque mot, chaque geste. Tu recrées la souffrance encore et encore, jusqu’à ce qu’elle devienne familière. À force, tu ne sais plus si tu souffres à cause de ce qu’on t’a fait ou de ce que tu continues à te raconter.

Ton esprit est une machine redoutable. Il peut te sauver ou t’enchaîner. Il peut transformer une blessure en force, ou en prison. Tout dépend du moment où tu décides de te parler autrement. De ne plus te punir avec des scénarios qui n’existent plus. De comprendre que ton mental veut te protéger, mais qu’en t’enfermant dans la douleur, il t’étouffe.

La plupart des guerres se jouent à l’intérieur. Et la tienne, c’est celle entre ta voix qui te condamne et celle, plus douce, qui veut t’apaiser. Tu entends la première plus fort, car elle vient de l’ego. L’autre murmure, car elle vient de ton âme. Elle ne crie pas, elle attend. Elle sait que tôt ou t**d, tu en auras assez de te battre contre toi-même.

Tu veux aller mieux ? Commence par observer tes pensées sans les croire. Regarde-les passer comme des nuages. Ne leur donne pas le pouvoir d’écrire ton histoire. Elles ne sont pas toi. Elles ne sont que le reflet temporaire de tes blessures, de tes peurs, de tes conditionnements. Plus tu les observes, plus tu redeviens libre.

La guérison ne vient pas quand tu pardonnes l’autre. Elle vient quand tu cesses de te flageller intérieurement. Quand tu remplaces les « je suis nul » par « je suis en apprentissage ». Quand tu réalises que tu ne méritais pas la douleur que tu t’infliges depuis des années. La paix ne s’obtient pas par vengeance, mais par réconciliation avec toi-même.

Et c’est là que tout change. Quand tu comprends que personne ne t’a jamais autant blessé que tes propres pensées, tu reprends ton pouvoir. Tu n’attends plus qu’on te comprenne pour aller mieux. Tu arrêtes d’espérer que le passé te demande pardon. Tu te donnes toi-même cette libération. Parce que la clé, depuis le début, a toujours été dans ton esprit.

Via la page Vous n’êtes rien

🧊 L’ATTACHEMENT ÉVITANT : QUAND AIMER FAIT PEUR À CAUSE DE L’INTIMITÉ… 🚷🧠En psychologie, une personne qui fuit l’intimit...
10/11/2025

🧊 L’ATTACHEMENT ÉVITANT : QUAND AIMER FAIT PEUR À CAUSE DE L’INTIMITÉ… 🚷🧠
En psychologie, une personne qui fuit l’intimité dès qu’une relation devient trop proche, qui met de la distance, évite les conversations émotionnelles, ou disparaît soudainement… manifeste souvent un attachement évitant.
Ce n’est pas qu’elle "ne veut pas aimer" ou qu’elle "n’en a rien à faire".
C’est son système nerveux qui s’est conditionné à survivre sans dépendre de personne.
Elle a appris très tôt que compter sur l’autre, c’est prendre le risque d’être blessée, contrôlée, envahie… ou abandonnée.
Alors elle se protège. Elle préfère l’indépendance à la vulnérabilité, la maîtrise à la fusion. Elle pense qu’en ne s’attachant pas trop, elle souffrira moins. Que si elle ne ressent pas trop, elle ne tombera pas trop. Que si elle ne montre rien, elle ne perdra rien.
Mais derrière cette distance apparente, il y a souvent un cœur gelé par la peur.
Pas la peur d’aimer, mais la peur d’être aimé·e et de ne pas savoir quoi en faire.
La peur d’être confronté·e à ses propres émotions.
La peur de ne pas être à la hauteur.
La peur de devoir s’ouvrir… et ne pas savoir comment.
Dans l’enfance, ce sont souvent des figures parentales peu disponibles émotionnellement, exigeantes ou incohérentes, qui ont transmis ce message :
“Sois fort·e. Ne ressens pas trop. Garde le contrôle.”
Adulte, cette personne devient celle qui "s’en va dès que ça devient sérieux", ou qui repousse l’autre sans savoir pourquoi.
Non pas parce qu’elle ne ressent rien, mais parce que le contact émotionnel est perçu comme un danger.
Ces personnalités aiment en silence, en secret, à distance.
Elles peuvent souffrir de solitude, mais dès qu’on s’approche trop, elles se referment.
Elles n’ont pas appris à être en sécurité dans la connexion émotionnelle.
Alors elles se replient dans la tête, dans l’action, dans l’indépendance.
Elles préfèrent penser l’amour plutôt que le vivre, tout en souffrant de ne pas l'expérimenter.

Via Spirituellement Vôtre

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