18/03/2022
LES DANGERS DE LA SODOMIE
Déjà par son anatomie, l'anus n'offre pas une zone confortable pour cette pratique (sodomie) a cause de sa fragilité zonale et structurale .
Voici le risque à courir lors d'une sodomie :
● FISSURE A***E
La fissure a***e est une plaie due à la déchirure de la peau qui recouvre la partie basse de l’anus. La peau de l'anus étant très fragile , celle-ci, au contact d'un pénis ou d'un objet dur aura tendance à faciliment se blesser (plaie).
Si un c**a dur peut vous blesser a l'anus alors une verge bien dure ou un objet dur.
● HÉMORROÏDES
Les hémorroïdes (l’inflammation et la dilatation excessive des veines hémorroïdaires) peuvent causer des crises douloureuses.
Faire pénétrer soit le pénis soit un objet par l'anus peut créer une inflammation à cet endroit et favoriser la survenue des maladies hémorroïdaires.
● BEANCE A***E
On désigne sous ce terme la mauvaise fermeture d'un or***ce naturel comme par exemple l'anus.
Quand on a décrit l'anatomie de l'anus en supra, nous avions dit que l'anus est entouré des muscles qu'on a réuni sous le nom de SPHINCTER A**L. Alors ce sphincter (muscle) s'étire à chaque fois que l'on fait passer un pénis ou un objet a travers or si cette activité d'étirement devient très fréquente il y a risque que ce muscle (SPHINCTER A**L) ne se retracte plus comme avant et cela entraînerait une béance du sphincter a**l.
Si l'anus qui est normalement fermé reste ouvert constamment cela va entraîner ce qu'on appelle l'incontinence a***e cad que vous ne serez plus en mesure de contrôler votre défécation comme d'habitude ( quand ça vient ça sort pareil qu'un bébé ).
● INCONTINENCE A***E
Incapacité à se contenir lors d'un besoin de défécation comme cela se passe chez les bébés.
● CANCER DE L'ANUS
Dans la majorité des cas, le cancer de l'anus se développe suite à une infection due au virus "papillomavirus" (HPV) transmis par contact direct lors d'une relation sexuelle. Avant, cela concernait surtout des femmes contaminées par le HPV qui présentaient un cancer de l'anus. Aujourd'hui, la fréquence du cancer de l'anus est en hausse depuis deux décennies chez une population de jeunes patients homosexuels.