D’une parole à l’acte

D’une parole à l’acte I have moved away and I will continue to move away from everything that no longer corresponds

Monumental 11 millions de vues en 11 heures
05/07/2024

Monumental 11 millions de vues en 11 heures

25/05/2024

Arrêt sur images : Dans un pays où un chat commence à grignoter les papayes, chacun doit tirer ses conclusions

09/03/2024

Francis ngannou a perdu et a gagné 20 millions de dollars, une mise en scène qui remet la boxe en lumière et Francis ngannou qui a accepté d'être humilié en Arabie saoudite pour 20 millions de dollars.

Si Francis ngannou gagnait hier, la boxe devrait perdre toute sa valeur et le monde devrait s'intéresser uniquement au MMA, car récemment Francis ngannou avait failli battre le champion du monde de ce domaine, pour ce racheter et sauver l'honneur de la boxe, un deal a été conclu en Arabie saoudite entre ngannou et Anthony dans l'objectif de sauver l'image de la boxe et donc ngannou devrait se faire humilié contre 20 millions de dollars. Ngannou a accepté, ngannou a eut des coûts plus puissants au MMA et n'est jamais tombé comme ça, si vous regardez bien la vidéo vous allez vous rendre compte que ngannou fait exprès de tomber comme du n'importe quoi.Au final il sauve l'honneur de la boxe et empoche les 20 millions de dollars tranquillement pour ceux qui pensent qu'il n'est plus fort attendez ses prochains combats au MMA et vous allez comprendre.

NB: L'objectif est de mettre en lumière l'Arabie saoudite pour ses projets futurs, et ils sont prêt à tout pour miser des milliards pour ça, et c'est la même chose qui s'est passé hier avec cedric doumbé, un match truqué pour vendre encore mieux le PFL pour une revanche de Cedric doumbé contre Baki, la preuve l'organisation avait déjà réservé la salle pour le mois de mai, si doumbé gagnait avant hier il était impossible d'avoir un match retour. Nous sommes victimes du système, car même le catch américain n'est que des mises en scènes.

08/12/2023



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Attention : l'histoire que je m'apprête à raconter est purement le fruit de mon imagination, je suis pergo.

Dans un monde où sévit l'injustice, où la précarité dicte ses lois et la barbarie gouverne, Gildas ne demandait qu'à vivre… Mais malheureusement, il fut ôté à la vie d'une manière immonde.

Ces événements se déroulent entre le 5 novembre 2019 au 4 janvier 2020.

Exercent dans l'un des plus grands marchés de vente en gros de la capitale économique du pays, Gildas avait quitté son village natal un an plus tôt, migrant vers la ville après ses études secondaires… Les moyens financiers ne permettant plus aux parents de ce dernier d'assurer sa scolarité et celle de ses frères cadets en même temps, il décida de sacrifier son année afin que ses cadets soient scolarisés.

Ainsi, ne pouvant pas rester les bras croisés pendant ce temps, il décide donc de se rendre en ville, question pour lui de faire une petite activité qui pourrait lui permettre d'alléger les charges de ses parents afin qu'il puisse commencer les études universitaires l'année suivante, ce qui n'allait malheureusement jamais arriver.

Une fois en ville, c'est par le biais d'une des connaissances de son oncle, le frère de sa mère chez qui il vivait que Gildas avait trouvé ce travail d'aide commerçant quelques jours après son arrivée, où il assurait et menait à bien son travail.

C'est dans ce marché qu'il fera la connaissance de Samuel, son collègue de service qu'il avait d'ailleurs trouvé dans ce magasin.

Tout allait bien jusqu'à ce fameux jour du 5 décembre, où le propriétaire du magasin où il exerçait décida de lui offrir une promotion, et une augmentation salariale un mois seulement après son arrivée.

Bien que tous ces événements heureux et subites étaient également bizarres, Gildas était tout de même tellement content, il avait même informé sa famille, ignorant que ces faveurs constituaient un billet d'aller sans retour vers sa tombe.

Entre sorcellerie, tristesse et vengeance, retrouvez LE DERNIER IMMOLÉ.

À 300 partages on commence, car un partage égal à un soutien. Et si on atteint ce chiffre, j'envoie l'épisode 1 avant 20h



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D’une parole à l’acte

28/11/2023

A 500 abonnés je balance la suite
Allez-y la famille donnons de la force à cette plume 🪶
D’une parole à l’acte

26/08/2023
24/08/2023

Si toutes tes sœurs ont déjà ac*couché et il manque toi.

Tu attends quand une soeur ac*couche encore , elle prend le pagne contenant son sa*ng et elle t'attache aux reins en déclarant qu'elle te transmet aussi la ch*ance d'ac*coucher. elle porte le pagne pendant une journee et cela se fait seulement avec les soeurs du même ventre

24/08/2023

Avant d'aller a un entretien d'embauche ou une demande d'ar*gent

Quand tu veux aller croiser quelqu’un pour un entretien d'embauche ou pour une demande d'ar*gent, mange depuis la maison une feuille de laurier et avale le jus en faisant tes vœux.

22/08/2023

Une Femme est convaincue que son Mari couche avec sa domestique. Et hier dans la journée, elle donne congé à la domestique pour le week-end sans pour autant informer le mari. Et la Nuit quand ils vont au lit, le mari dit Excuse-moi chérie, mon ventre me fait mal je vais aux toilettes. La femme entre discrètement dans la chambre de la domestique, elle se glisse dans son lit et éteint la lumière. Quelques minutes après, il vint en silence sans perdre son temps, ils commencèrent à faire l'amour. Après avoir fini, la femme s'écria :

-Sûrement tu ne t'attendais pas à me voir dans ce lit n'est-ce pas? Elle alluma la lumière...

"Non Madame", répondit le gardien. (Au lieu du Mari c'est plutôt le gardien qu'elle voit)

Conseil: Ne jamais piéger un homme sous prétexte qu'il est louche. La communication reste la meilleure arme pour l'équilibre d'un couple.

Que fait le mari à l'instant où il sait que le gardien vient de couché avec sa femme? II divorce ou il reste avec elle ? à vous le
clavier

10/08/2023







Brigitte n'avait pas eu le temps de voir les personnes qui lui avaient portées secours avant de s'évanouir. Elle avait juste entendu une voix qui prononçait son prénom et qui lui semblait familière, de loin. Cette voix n'était nulle autre que celle de Martin, puisqu'il savait exactement le jour et l'instant à laquel le bébé de Brigitte viendrait au monde, car malgré qu'il n'était encore qu'un fœtus dans le ventre de sa mère, il appartenait déjà au clan de ce dernier.

Brigitte était à moitié consciente lorsqu'elle se faisait transporter, elle avait la tête qui tournait et une douleur atroce au niveau du ventre. Martin était arrivé accompagné de l'un de ses gardes du corps et un disciple membre important de leur secte. Ils l'avaient conduit d'urgence à l'unique centre de santé du village, pas loin de la place publique du village où se déroulait les festivités de la fête de la grande récolte à bankoss.

Une fois à l'hôpital, Brigitte avait directement été conduite en salle d'accouchement sur recommandation du docteur.

DOC : elle ne va plus t**der à accoucher, préparez déjà le nécessaire.

Ainsi étaient les recommandations du docteur aux aides infirmières.

Sur ce lit d'hôpital, Brigitte s'efforçait plus à savoir ce qui se passait autour d'elle que d'essayer de pousser pour aider le docteur a récupérer son bébé, chose qui n'était pas facile, elle entendait et voyait très floue à cause des maux qu'elle subissait.

Autour d'elle, elle pouvait apercevoir le docteur qui la faisait accoucher et aussi ces infirmières qui l'encourageaient à pousser sans relâche, elle les écoutait, mais très faiblement.

Puisqu'elle n'était pas complètement inconsciente, elle avait des remontées d'idées, elle avait l'impression d'avoir déjà vécu la scène qui se passait en ce moment et que les choses se répétaient.

Pas très loin de l'hôpital où elle se trouvait, se trouvait la place publique du village. Des sons de tambour et bien d'autres instruments de musique traditionnels et des pas de danse au rythme de ces sons se faisaient fortement entendre, ce qui lui semblait également du déjà vécu, mais elle n'arrivait pas à clairement se souvenir d'où et comment.

DOC : elle est toujours inerte messieurs, ce qui ne nous facilite pas la tâche, si elle reste toujours inconsciente dans les prochaines minutes, nous serions obligé de pratiquer une opération d'urgence pour pouvoir sauver le bébé.

MARTIN : faites ce qu'il faut pour sauver cet enfant, c'est mon filleul, s'il meurt, vous mourez également ainsi que vos aides soignantes, donc faites gaffe.

Vu ces menaces qu'il recevait et les personnes qui se trouvaient devant lui, le docteur était sans, il tremblait presque.

Malgré son état, Brigitte pouvait entendre cette voix menaçant le docteur, cette voix qui était la même il y a quelques heures après qu'elle se soit effondrée dans sa cour, celle qui l'avait porté secours. Elle su immédiatement qu'il s'agissait de Martin et se souvint en même temps que c'est lui qui l'avait transporté à l'hôpital où elle se trouvait en ce moment.

Les seules choses dont elle était persuadé à l'instant était qu'elle ne rêvait pas, qu'elle était belle et bien sur ce lit d'hôpital et qu'elle avait déjà été là dans le passé et pour les mêmes causes et dans les mêmes circonstances.

Comme le docteur l'avait espéré, Brigitte avait réagi par un mouvement du bras, puis de la tête.

– Elle bouge, elle bouge de nouveau docteur, s'écria l'une des infirmières.

DOC : c'est bon signe, ça veut dire qu'elle peut nous entendre, réveillez là complètement et continuez de l'inciter à pousser, le bébé risquerait de s'étouffer, car elle ne réagit pas.

Pendant que le docteur s'adressait à ses infirmières, Brigitte avait tourné son regard dans la direction des voix, et c'est en ce moment qu'elle avait aperçu juste derrière le docteur, un homme étrange, très affreux qu'elle ne pouvait le dévisager facilement, puisqu'elle voyait encore très faiblement… Elle voyait juste un homme qui portait un grand boubou à capuche noir et qu'il avait de grandes cornes sur la tête. Elle voyait également une autre silhouette d'homme aux côtés de cette créature, celui qui menaçait le docteur, elle le voyait à peine mais avait su qu'il s'agissait de Martin en écoutant sa voix.

Au même et sans que le docteur comprenne ce qui se passait, Brigitte se mit à s'agiter sur le lit de toutes ses forces après avoir clairement compris qu'il s'agissait des scènes du cauchemar qu'elle avait fait il y a quelques mois plutôt qui se réalisait typiquement.

BRIGITTE : (ébahi) noon, mon bébé, ces hommes vont prendre mon bébé, il faut les en empêcher, docteur ne leur donne pas mon bébé.

DOC : calmez vous madam, ils ne prendront pas votre bébé, c'est eux qui vous ont emmené ici.

Elle se battait pour voir leur visage et plus précisément celui de l'homme avec qui Martin était, mais en vain.

Bien que le docteur la calmait, elle ne cessait de se débattre, rendant ainsi son accouchement pénible. C'est après beaucoup d'efforts du docteur qu'elle s'était finalement calmée car, douleur exigeait.

DOC : le bébé est là, passez-moi une serviette.

En portant ce bébé des entrails de Brigitte, le docteur était effrayé en voyant à quoi il ressemblait. Il était en même temps soulagé.

Exactement comme cela s'était produit dans son cauchemar, ça s'était produit ce jour. Le bébé de Brigitte était venu au monde par les pieds et des petites cornes sur sa tête. Le docteur avait d'abord remis le nouveau né à l'homme qui était avec Martin, ce dernier avait fait disparaître les cornes du bébé et l'avait ensuite remis à Martin. Il l'avait également tenu dans ses bras un moment avant de le remettre au docteur qui l'avait enfin remis à Brigitte.

Après la naissance de ce bébé, Martin et l'homme mystérieux que Brigitte voyait s'en étaient allés après avoir géré tous les facteurs et laissé des consignes au docteur.

MARTIN : laissez là se reposer, vous lui transmettrez mes recommandations plus t**d, à plus…

Après l'accouchement, Brigitte avait plongée dans un profond sommeil. Elle s'était suffisamment reposée et c'est seulement en soirée ce jour qu'elle s'était réveillée et avait remarqué que son bébé était endormi juste près d'elle. C'est en souriant qu'elle le prit dans ses bras.

BRIGITTE : mon bébé, ton papa serait très heureux en ce jour, mais hélas, il nous a quitté un peu plus tôt et je sais que depuis l'au-delà, il veillera sur toi. En sa mémoire et en son honneur, tu porteras son nom ; belo simba simon… que tu es beau…

Elle tenait son bébé entre les mains en lui faisant des petits bisous sur le front et un peu partout. C'est alors qu'un petit détail attira son attention. sur le dos de l'enfant, juste en dessous de sa nuque était dessiné sur forme de tatouage l'insigne qu'ils avaient aperçu sur les banderoles que Martin et ses amis portaient le jour où ils étaient venus voir le corps de Simon.

Inquiet qu'elle était, elle interpella d'urgence le docteur en hurlant.

DOC : ah madame, vous êtes déjà réveillé.

BRIGITTE : oui docteur, mais je suis inquiète.

DOC : oui je vous écoute madame, que se passe t'il ?

BRIGITTE : qu'est-ce que c'est que ce truc sous la nuque de mon enfant ?

DOC : aah cet insigne, moi également je n'en sais rien madame, j'ai été scandalisé que vous en le voyant, il est né avec. Et même avec des petits cornes, ils ont juste disparu lorsque ces hommes l'ont touchés, ceux-là qui vous ont transportés jusqu'ici… pour vous dire vrai madame, votre enfant est vraiment extraordinaire, il est hors du commun, je n'avais encore jamais vu un truc pareil auparavant, je dirais même de toute ma carrière.

BRIGITTE : et les hommes dont vous parlez, où sont-il ?

DOC : ils étaient deux à l'intérieur, plus leur gars du corps dehors. Ils sont repartis aussitôt dès qu'ils ont tenu l'enfant en main après l'accouchement. Ils ont aussi réglé les factures intégralement, donc vous pouvez rester ici jusqu'à votre rétablissement total.

Brigitte s'était mise à couler des larmes.

BRIGITTE : qu'ont ils fait à mon enfant ?

DOC : je vous assure qu'il est né ainsi, j'ai moi même été scandalisé voyant tout ça, comme je vous l'ai dit, c'est une première pour moi de voir un tel truc.

BRIGITTE : moi je veux m'en aller d'ici.

DOC : ce n'est pas un problème madame, nous allons tout apprêter et dès demain dans l'après midi, vous pourriez vous en aller. Le bébé est plus que bien portant en tout cas, voilà l'adresse que le monsieur a demandé de vous remettre et cet argent.

BRIGITTE : je ne veux pas de cet argent, vous pouvez le garder.

DOC : vous êtes sérieuse madame ??

BRIGITTE : oui, faites juste le nécessaire pour que je parte d'ici le plutôt possible.

DOC : c'est compris, merci beaucoup madame, vous pouvez même vous en aller le matin si vous voulez, puisqu'il se fait t**d.

Brigitte avait passé toute cette nuit à réfléchir, elle ne comprenait pas le fond de tout ce qui se passait, elle se posait des questions sans réponse jusqu'à ce que le sommeil l'emporte.
Comme prévu au petit matin, elle était rentrée chez elle toujours dans le même état d'esprit, aussi souciante.

Parlant de bébé belo, il était différent des autres enfants de son âge, depuis sa naissance jusqu'à ce que Brigitte retourne à la maison, il n'avait pas pleuré une seule fois, il n'avait même pas mangé.

il était calme et contemplait les endroits les places comme une grande personne. Brigitte était tellement inquiète, ce qu'elle ne savait pas ainsi était que belo était arrivé sur terre pour une seule chose, il avait une seule mission, faire du mal.



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