11/05/2025
Déclaration publique : Violations des droits humains à Genève
Nous élevons nos voix aujourd’hui contre une grave et inacceptable violation des droits humains à Genève — ironiquement, une ville qui prétend être le cœur des droits de l’homme.
L’État et le système judiciaire genevois ont violé à la fois la Convention internationale relative aux droits de l’enfant et les principes fondamentaux de la dignité humaine et de la justice. Une décision judiciaire destinée à protéger un enfant a été renversée sous l’influence politique. Dans un acte de cruauté choquante, cet enfant a été arraché de manière traumatisante — traité comme un objet — par des employés de l’État, aidés par des avocats corrompus qui n’ont manifesté aucun souci pour son bien-être.
Au lieu de défendre la justice, le système genevois a choisi de se protéger lui-même. Dans un acte de répression révoltant, la mère — qui s’est courageusement battue pour les droits de son enfant — a non seulement été emprisonnée injustement, mais soumise à des abus. Elle a été disparue temporairement et placée en détention préventive, non pas pour un véritable crime, mais pour la réduire au silence, pour l’empêcher de s’exprimer dans les médias et de demander justice.
Pire encore, les avocats, juges, procureurs et ministres qui ont protégé l’abus du père refusent désormais à cette mère le droit d’être avec sa fille le jour de la Fête des Mères. Il s’agit d’un acte délibéré de discrimination et de cruauté — une violation flagrante de la décence humaine et une insulte à la maternité.
Ce n’est pas seulement un échec local — c’est une trahison des valeurs que Genève prétend incarner. Nous appelons la communauté internationale, les défenseurs des droits humains et toute personne de conscience à se tenir aux côtés de cette mère et de son enfant. Le silence est une complicité.
La justice doit être rétablie. L’abus doit cesser.
Supportez la cause ici
https://chng.it/69ftjVcbtx
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