28/09/2024
Quelques réflexions sur la manière dont nous pourrions améliorer notre système de santé pour le rendre plus supportable pour tous. Nous sommes confrontés à des primes d'assurance maladie de plus en plus élevées, et il est temps d'explorer des solutions innovantes pour faire face à ce défi.
Tout d'abord, au niveau des caisses :
Remplacer les nombreux administratifs par des algorithmes d'intelligence artificielle. Ces algorithmes pourraient ainsi nous permettre d'économiser des sommes considérables, mais aussi nous aider à trouver des solutions plus adaptées aux besoins des patients en plaçant le bien-être des membres au cœur des préoccupations.
En ce qui concerne les patients :
Réapprendre à écouter notre corps sans être influencés par les firmes pharmaceutiques, les normes de beauté irréalistes, ou même par les médecins qui cherchent à supprimer les symptômes plutôt qu'à en comprendre les causes. En retrouvant une connexion plus profonde avec notre propre corps, nous pourrions peut-être éviter certaines maladies et réduire nos dépenses de santé.
Du côté des médecins :
Je plaide pour un retour à une approche plus anamnestique, qui prend en compte les petits défauts avant qu'ils ne se transforment en problèmes plus graves. En comprenant l'effet papillon dans la survenue des maladies, nous pourrions développer une médecine plus préventive et moins coûteuse à long terme.
En ce qui concerne les hôpitaux :
Il est important de reconsidérer l'acquisition d'instruments médicaux coûteux. Avant d'investir des sommes exorbitantes, nous devrions évaluer attentivement les bénéfices potentiels pour un plus grand nombre de patients et prioriser les dépenses qui auront un réel impact sur le bien-être et la compréhension des mécanismes des pathologies.
Au niveau des mentalités :
Cesser d’utiliser les patients en phase terminale comme cobayes pour des traitements coûteux ne faisant que prolonger leur désarroi de quelques semaines alors qu’ils ne le souhaitent pas. Il est de plus inacceptable que les firmes pharmaceutiques fassent peser le cout de leurs recherches sur nos caisses pour ensuite facturer les médicaments de façon exorbitante sous prétexte des couts de cette recherche.
Il est temps d'envisager des changements significatifs dans notre système de santé. En adoptant une approche plus holistique et en mettant l'accent sur la prévention, nous pourrions non seulement réduire nos dépenses de santé, mais aussi améliorer la qualité de vie de tous.
