
17/05/2022
Si le foie est fatigué que réserve-t-il pour notre santé?
1- Un foie fatigué ne sécrète pas assez de liquide miracle. Conséquences : la digestion de la matière grasse devient plus difficile ; mal évacuées, les substances nocives séjournent dans les intestins, exposant l’organisme aux dangers résultant des diarrhées et de la constipation.
2- Un foie fatigué laisse passer dans l’organisme des matières non transformées ou mal assimilées qui vous engraissent.
3- Un foie fatigué assure imparfaitement la défense de notre corps. Il laisse passer dans le sang des matières non contrôlées encore chargés de toxines et de bactéries nocive. S’ensuivent maladies et empoisonnement.
4- Un fois fatigué se trouve dans l’incapacité d’accomplir des heures supplémentaires ; Il élimine donc mal ces poisons qui nous intoxiquent. Par ailleurs, un grand nombre de cellules hépatiques sont tuées au contact de l’alcool, des médicaments ou d’autres substances chimiques. Une telle hécatombe quotidienne rétrécit et durcit le foie qui risque alors d’être atteint par la cirrhose.
5- Un foie fatigué manque de la souplesse nécessaire pour se « gorgé » d’une telle quantité de sang. Dès lors, l’organisme perd un précieux régulateur de sa circulation.
6- Un foie fatigué laisse vieillir notre corps sans lui apporter les hormones qui lui sont indispensables. Il ne digère plus les graisses et les protides qui nous font défaut. Les vitamines et le sucre ne parviennent plus à être stockés si bien que notre cagnotte de ces substances essentielles reste vide. Enfin, les parties lésées et usées de notre organisme ne se consolident ni ne se reconstruisent, et le cholestérol envahit nos vaisseaux.
7- Le foie fatigué ne remplir plus sa fonction thermique, nous conduisant à souffrir du froid comme de la chaleur.
8- Un foie fatigué nous prive des substances nécessaires à la coagulation, nous expose aux dangers de l’hémorragie et laisse notre sang s’épaissir. Il nous abandonne, sans protection à la maladie.
9- Un foie fatigué ne peut intervenir pour soulager la souffrance de nos cellules, affamée par un sang déséquilibré et anémié.