Gassira Tanaba

Gassira Tanaba HypnoBreathwork therapist
Womb healer
women circle facilitator

En mars 2016, je suis partie à Goa pour me former comme professeure de yoga.Pourquoi ? Parce qu’à l’époque, je finissais...
17/08/2025

En mars 2016, je suis partie à Goa pour me former comme professeure de yoga.

Pourquoi ? Parce qu’à l’époque, je finissais mon travail à 19h… exactement à l’heure où le seul cours de yoga à Djibouti se terminait.
Alors j’ai décidé : plutôt que de dépendre des autres, j’allais me former moi-même.

C’est ma façon d’avancer :
👉 Tu ne veux pas de moi ? Pas grave.
👉 Tu ne peux pas le faire pour moi ? Pas grave.
Je le ferai pour moi.

Avec le recul, j’ai compris que cette détermination venait sûrement de ma blessure du rejet.
Mais je n’en ai plus honte : je l’aime, car c’est elle qui m’a donné la force de sauter plus haut à chaque fois.

Je n’enseigne plus le yoga aujourd’hui. J’ai même fait un break. Puis, en France, je me suis autoformée au yoga kémetique, une approche plus en lien avec mes racines.
Et c’est OK. Parce que chaque étape compte. Même les pauses, même les détours.

Et aujourd’hui encore, un autre NON m’a propulsée dans une nouvelle direction.
Je vous en parlerai très vite…

Je suis comme l’eau. Be like water, my friend. — Bruce Lee
L’eau trouve toujours son chemin.

✨ Et vous, dans votre parcours, quel “non” ou quelle porte fermée vous a finalement propulsé vers une nouvelle direction ?



En 2020, j’ai ouvert mon premier groupe Facebook dédié aux soins de vapeur féminine.À l’époque, on en parlait peu.Mais m...
07/08/2025

En 2020, j’ai ouvert mon premier groupe Facebook dédié aux soins de vapeur féminine.
À l’époque, on en parlait peu.
Mais moi, je savais déjà que ce rituel ancestral allait revenir…
Parce qu’il répond à un besoin que beaucoup de femmes ne savent pas encore nommer.

Depuis, j’ai été formée, accompagnée, initiée.
Par des femmes.
Par des mères.
Par des lignées.

Je me suis inspirée de traditions africaines,
mais aussi du travail de Tami Lynn Kent avec le Holistic Pelvic Care™,
qui relie le corps, l’émotionnel et l’énergétique du bassin féminin.

Et aujourd’hui, 5 ans plus t**d, je sens que c’est à mon tour de transmettre.
À mon tour de former.

🔹 Les 16 et 17 août 2025, j’ouvre une formation en ligne de 2 jours :
Intervenante en santé pelvienne holistique

Une formation pour celles qui souhaitent accompagner d’autres femmes à guérir leur utérus, à travers les soins vapeur, la lecture énergétique du bassin, et une posture profondément humaine et enracinée.

🌟 Et ce timing n’est pas un hasard : le 8 août, c’est le Lion’s Gate Portal Les énergies de ce jour ouvrent des espaces de transformation profonde, de clarté, de puissance – parfait pour lancer cette transmission collective.

Format de la formation
📍 En ligne
⏰ 6 h/j de partage en direct, sur 2 jours
📩 Suivi de 3 mois inclus
💶 400 €

👥 Pour les thérapeutes, doulas, femmes en reconversion,
ou simplement celles qui sentent que c’est maintenant.

Écris “MP” si tu veux recevoir le programme complet.
Je prends peu de participantes, pour préserver la qualité de la transmission.

😅 Au début, on se moque.Tu utilises des feuilles ?Tu masses avec des huiles ?Tu prépares une tisane au lieu d’un sirop ?...
06/08/2025

😅 Au début, on se moque.

Tu utilises des feuilles ?
Tu masses avec des huiles ?
Tu prépares une tisane au lieu d’un sirop ?

Et puis un jour, les mêmes personnes te disent :
« Tu peux me montrer ? »
« Ça marche pour les enfants aussi ? »

📣 À Djibouti, la médecine traditionnelle n’a jamais disparu. Elle a juste été rangée dans les silences.
Mais elle est toujours là, dans les foyers, les mains, les souvenirs. Et pendant le Covid, c’est grâce à elle que beaucoup ont tenu.

Et ce n’est pas moi qui le dis.

C’est l’OMS :

> « Pendant la pandémie, la médecine traditionnelle africaine a été sous les projecteurs. »
— Dre Matshidiso Moeti, OMS Afrique, 31 août 2020

🗓️ Le 31 août, c’est la Journée africaine de la médecine traditionnelle.
Et cette année, Djibouti sera au rendez-vous.

🌿 Je prépare un atelier unique, pour :
– Découvrir les plantes qui poussent ici, chez nous,
– Comprendre comment elles peuvent accompagner notre santé au quotidien,
– Et surtout, réconcilier notre peuple avec ses savoirs oubliés.

🎤 Il y aura des invité·es.
💬 Il y aura du partage.
🔥 Et il y aura une énergie qu’on ne voit pas souvent dans les événements officiels.

📩 Si tu veux y participer, écris-moi dès maintenant.
Les places sont limitées. C’est un cercle intime, vivant, engagé.

🤝 Et si tu veux soutenir l’événement en tant que sponsor, pour valoriser ton entreprise, ton organisation ou ton nom dans une action
qui allie santé, patrimoine et transmission,
ma porte est ouverte.

Ton nom sera visible. Ta contribution aussi.
Parce qu’on n’avance jamais seul·e, et encore moins quand il s’agit de mémoire collective.

Ce n’est pas un grand show.
Mais c’est un grand geste :
celui de remettre à l’honneur ce qui a toujours été là pour nous guerir.

Je suis devenue la voyagiste que j’aurais aimé rencontrer.Pas celle qui vous donne une brochure bien ficelée. Pas celle ...
31/07/2025

Je suis devenue la voyagiste que j’aurais aimé rencontrer.

Pas celle qui vous donne une brochure bien ficelée. Pas celle qui vous promet “évasion” en oubliant que parfois, ce qu’on veut fuir, c’est nous-mêmes.

Mais celle qui conçoit des voyages comme des espaces de réparation.

Des séjours où le corps peut enfin souffler. Où le système nerveux, trop souvent en hypervigilance, se relâche.
Des expériences simples, vraies, puissantes…
Où l’on ne s’occupe de rien, parce que c’est ça aussi, le luxe : ne pas avoir à tout porter.

Aujourd’hui, j’organise ces retraites que je n’ai jamais vues en agence. Des immersions pour femmes, seules ou en petit groupe.

Où l’on se nourrit de rituels, de silence choisi, de mots justes, de paysages qui parlent à l’âme.
Où les conversations ne s’arrêtent pas à la météo,
où l’on ne "fait pas que du yoga", mais où l’on revient à soi, en profondeur.

Chaque retraite est pensée pour que le corps ressente que la vie peut être douce à nouveau.
Et ça, ce n’est pas une promesse marketing.
C’est une alchimie que je peaufine à chaque rencontre, à chaque pays traversé.

🙏🏿Et je tiens à remercier profondément toutes ces femmes qui, à chaque étape de ma vie, à chaque nouvelle destination… me font confiance.
Vous ne venez pas juste chercher un voyage.
Vous venez vivre un mouvement intérieur.
Et c’est grâce à vous que cette vision du voyage existe aujourd’hui.

Merci de vibrer avec moi. Merci de me choisir. Encore.

Je suis Gassira .
Je propose des voyages thérapeutiques, spirituels et holistiques, pour celles qui veulent vivre bien plus qu’un séjour : une reconnexion.

Tu veux aller mieux… mais es-tu prête à vraiment changer ?La thérapie, ce n’est pas juste parler.C’est te défaire des ma...
29/07/2025

Tu veux aller mieux… mais es-tu prête à vraiment changer ?

La thérapie, ce n’est pas juste parler.
C’est te défaire des masques, oser te rencontrer…
Et surtout, arrêter de tourner en rond avec les mêmes blessures.

Ce carrousel, c’est un bout de mon histoire.
Mais surtout, ce sont les vérités que personne ne m’avait dites quand j’ai commencé mon propre chemin de guérison.

Si tu lis ces lignes, ce n’est pas un hasard.
Tu sais au fond de toi que quelque chose en toi appelle à plus.
À plus de paix. À plus de clarté. À plus de puissance.

Et tu n’as pas à faire ce chemin seule.

🕊️ Je propose des accompagnements profonds, sur mesure, en ligne ou en présentiel, pour celles qui veulent se choisir pour de vrai.

Commente MP pour recevoir les infos.
Et si ton cœur bat un peu plus vite, c’est sûrement que c’est le moment.

Quand mes cheveux sont comme ça, on me regarde comme si j’étais perdue.Comme si je ne faisais plus d’effort. Comme si j’...
26/07/2025

Quand mes cheveux sont comme ça, on me regarde comme si j’étais perdue.Comme si je ne faisais plus d’effort. Comme si j’étais déséquilibrée, négligée, “hors norme”.

C’est ça qu’on appelle messy hair, non ? Mais en vérité, ce sont mes cheveux. Juste comme ils poussent.Indisciplinés, indomptables, vivants.

Et pourtant… Je ne sors pas comme ça.
Pas à Djibouti. Pas ailleurs non plus.
Je peux être comme ça uniquement chez moi.
Là où personne ne me juge. Là où je n’ai pas à rassurer les autres avec des mèches bien rangées.

Les gens ne s’en rendent même plus compte : ils lissent leurs cheveux tout le temps pour “paraître mieux”. Mais mieux aux yeux de qui, au fait ? Qui a décidé que le cheveu lisse, c’était joli… et que le cheveu afro, c’était moche ? Pourquoi le regard a-t-il changé ?

À Djibouti, c’est rare de voir une femme sortir avec ses cheveux afro , frisés, libres. Parce que c’est vu comme “sale”, comme “négligé”, comme une femme qui ne s’occupe pas d’elle.

Mais moi je vois autre chose : je vois de la force.
Je vois une histoire. Je vois un ancrage.

Et ce qu’on oublie aussi… c’est que ce besoin permanent de lisser, de brûler, de défriser… ça abîme.
Ça crée des maladies du cuir chevelu, ça étouffe les racines, ça détruit la santé capillaire, parfois même la santé tout court.

Quand j’étais au Maroc, j’ai vu un salon de coiffure curly. Un salon où on ne lisse pas. Où on ne transforme pas. Les gens y vont pour nourrir leurs boucles, les styliser, les aimer. Imaginez… un salon de coiffure qui ne vous propose pas de vous éloigner de vous-même. J’aimerais un jour voir ça à Djibouti.
Un salon de coiffure où je peux aller avec mes cheveux, parler, rire, utiliser des produits naturels…
J’espère qu’un jour, nos cheveux ne seront plus un sujet à cacher. Mais un sujet à célébrer.

Bienvenue à toi, femme en chemin.Si tu arrives ici, ce n’est pas un hasard.Peut-être que tu ressens cet appel. Celui de ...
21/07/2025

Bienvenue à toi, femme en chemin.

Si tu arrives ici, ce n’est pas un hasard.
Peut-être que tu ressens cet appel. Celui de revenir à toi.Celui de déposer ce que tu portes depuis trop longtemps.

Je suis Gassira , spécialiste des thérapies brèves, doula, facilitatrice de transformations intérieures, femme née en Afrique, à Djibouti — et en constante métamorphose.

Depuis plus de dix ans, je tisse mon savoir entre traditions ancestrales et méthodes modernes.
J’ai été formée en France , Inde, à Dubaï, aux États-Unis, au Kenya… La liste est longue. Tellement longue que j’en oublie parfois les étapes. Mais ce que je retiens, c’est que chaque pays, chaque expérience, a laissé une empreinte dans ma façon d’accompagner.

Aujourd’hui, j’accompagne des femmes noires, afrodescendantes , racisées - des femmes souvent invisibilisées dans les espaces thérapeutiques classiques.

Je marche aux côtés de celles qui traversent :
• Les premières lunes,
• Les désirs de maternité, les fausses couches,
• Les renaissances après le chaos,
• Les grands virages intérieurs comme la ménopause.

Je propose des lectures d’âme, de l’hypnose afro-quantique, de l’EFT, des soins du ventre et du féminin, des cercles, et des retraites.
Mais plus que des techniques, j’offre un espace sécurisé, où ta voix, ton histoire et ton corps sont enfin écoutés.

Et non, je n’ai plus de site web.
Il s’est effacé comme une ancienne version de moi.
Ce que j’avais construit en France ne me ressemble plus. Je suis ailleurs. Plus vraie. Plus directe. Plus libre.

Alors aujourd’hui, tout se fait simplement.
Tu me contactes ici, en message privé.
Je t’envoie le lien de réservation, le lien de paiement.
Et on se retrouve, entre femmes, dans un espace où tout peut se dire, se libérer, se transformer.

Le Grand Reset.On en parle souvent dans les sphères dites "complotistes".On évoque un plan global, une réinitialisation ...
18/07/2025

Le Grand Reset.

On en parle souvent dans les sphères dites "complotistes".
On évoque un plan global, une réinitialisation du monde, une tentative de contrôle des masses.
Mais au-delà du fantasme collectif et des récits catastrophistes, il y a une vérité beaucoup plus intime, plus réelle — celle que j’ai vécue dans mon propre corps, dans ma propre histoire.

Car le véritable Grand Reset, c’est celui que chaque être humain est invité à vivre, tôt ou t**d.
Celui où l’on comprend que la vie qu’on mène n’est peut-être pas la nôtre.
Celui où l’on choisit de faire une pause. De tout remettre à plat. De repartir de zéro.

Moi, je l’ai vécu.

Sur cette photo, j’ai 37 ans.
Nous sommes en janvier 2018.
Je suis revenue dans le restaurant où je travaillais à 18 ans.
Ce n’est pas une régression. Ce n’est pas un retour en arrière.
C’est une renaissance.

Entre mes 18 et 37 ans, j’ai suivi un chemin "normal" :
→ Études dans le tourisme,
→ Carrière dans le tourisme,
→ Répéter les schémas familiaux sans les interroger.
Je vivais une vie "correcte", mais ce n’était pas ma vie.

Il m’a fallu trois ans pour en arriver à cette photo.
Trois ans de dépouillement.
Trois ans de travail sur les loyautés familiales, sur les blessures transgénérationnelles.
Trois ans pour effacer ce qui avait été collé sur moi, parfois sans mon consentement.

Et ce jour-là, je me suis vue.
Neutre. Claire.
Neuve.

Parce qu’un Grand Reset, c’est aussi une série de questions. Des vraies. Des dures.
Des questions que peu osent affronter :

📌 Qui suis-je sans ma famille ?
📌 Qui suis-je sans mon travail ?
📌 Qui suis-je sans ma communauté ?
📌 Qui suis-je sans mon pays, sans mes repères ?
📌 Qui suis-je, si j’enlève tout ce qu’on m’a appris à être ?

Ce n’est pas un simple changement de vie.
C’est un dépouillement de l’ego.
Un effacement volontaire des étiquettes.

Mais attention : on peut se perdre en chemin.
Car déconstruire, c’est douloureux. C’est vertigineux.
Et j’ai eu de la chance : j’ai été bien accompagnée.

Juillet 2025.
J’accompagne celles qui sentent que quelque chose doit se terminer.
Celles prêtes à renaître autrement.
Doucement, mais définitivement.

"Changer de regard, c’est changer de vie.

Ces photos ont été prises avant mon départ.Avant que je quitte Djibouti.Mais Djibouti ne m’a jamais quittée. Et ce que j...
09/07/2025

Ces photos ont été prises avant mon départ.
Avant que je quitte Djibouti.

Mais Djibouti ne m’a jamais quittée. Et ce que j’ai compris avec le temps, c’est que peu importe le pays : partir laisse toujours une trace.

Aujourd’hui, on sait que l’attachement à une terre va bien au-delà du passeport.Il s’inscrit dans le corps, dans la mémoire cellulaire, dans nos circuits émotionnels. L’épigénétique nous montre que notre environnement laisse une empreinte durable sur nous. Et quand on quitte une terre, surtout celle qui nous a vus naître ou grandir,il peut y avoir un décalage intérieur, une coupure énergétique subtile, mais réelle.

Ce lien, on peut l’ignorer.
On peut essayer de le rationaliser.
Mais un jour ou l’autre, il revient.
Par une nostalgie inexpliquée, une gêne à "rentrer", une sensation d’être toujours entre deux mondes.

Moi, j’ai fait le choix de revenir.
Et même en revenant souvent, il m’a fallu réapprendre.
Réapprendre Djibouti.
La sentir. L’écouter. M’excuser parfois. Me réajuster.

Ce que j’ai découvert, c’est qu’il existe des codes d’appartenance.
Des clés de reconnexion.
Des rituels simples mais profonds, valables partout.

Aujourd’hui, je suis prête à accompagner celles et ceux qui veulent se reconnecter à leur pays d’origine ou d’adoption, pas juste sur le plan administratif ou touristique, mais sur le plan identitaire, émotionnel, énergétique.

Que tu sois de Djibouti, du Maroc, d’Haïti, du Congo, de France ou d’ailleurs…Les mécanismes du déracinement et de la réconciliation sont les mêmes.

Et je suis là pour te transmettre les codes,
ceux qu’on ne trouve pas dans les livres,
ceux que seuls les ponts entre les mondes peuvent t’enseigner.


Je suis retombée sur ces deux photos.Deux angles. Une seule arme. Une seule intention : reprendre ma place.Sur la premiè...
07/07/2025

Je suis retombée sur ces deux photos.
Deux angles. Une seule arme. Une seule intention : reprendre ma place.Sur la première, je souris.
Sur la deuxième, je tiens l’arme entre mes dents.
Comme le faisaient mes aïeules.
Une posture qu’on retrouve dans une danse de ma tribu. Une posture qui dit, sans parler :
"Je suis douce, mais je sais mordre quand il le faut."

Avant de me marier, j’étais patiente. Trop patiente.
Je ne savais pas poser de limites.
Je laissais les gens me mordre, spirituellement ou physiquement.Je me taisais.Je croyais que c’était ça, être une “bonne femme”.

Et puis je me suis mariée.Et la relation m’a révélée.
Elle m’a montré ce que je n’osais pas être.
Elle m’a transmis aussi une part de feu, de nerfs, de voix.

Depuis, j’ai appris à me défendre.
À reconnaître les attaques invisibles.
À dire non sans crier, à poser mes limites sans culpabilité. Et ce pouvoir-là, je l’aime.

Il m’a coûté quelques amitiés.
Parce que certains ne reconnaissaient plus celle qu’ils avaient connue.Ils étaient habitués à une Gassira conciliante, trop diplomate peut-être,
celle qui disait oui sans discuter. Ils ne savaient pas comment rester en face d’une femme qui avait appris à poser des limites.

Ce jour-là, j’ai choisi cette arme.Le professeur de Tai Chi m’avait proposé de choisir parmi une panoplie d’armes, celle qui me représentait. C’est celle-ci que j’ai prise, sans hésiter.

L’arme que je tiens s’appelle Shuang Gou, ou épées crochets chinoises.Dans la tradition spirituelle, elles représentent l’union des contraires — yin et yang, ombre et lumière.Elles protègent, libèrent, tranchent les attaches invisibles.Elles deviennent un prolongement de l’énergie du corps, un outil d’équilibre, de clarté, de souveraineté. Et dans les arts martiaux comme dans la vie,l’arme la plus évoluée est celle qu’on n’a plus besoin d’utiliser.

Ces deux photos racontent ce chemin.
Celui d’une femme qui ne choisit plus entre puissance et douceur.
Celui d’une femme qui honore l’héritage de ses aïeules, et qui a décidé de ne plus se laisser entamer.

C’est la naissance de Gassira,
la douce, mais plus jamais docile.

À qui profite l’ombre ?À Djibouti, la honte est une prison invisible. Parce que c’est un petit village, les gens vivent ...
20/02/2025

À qui profite l’ombre ?

À Djibouti, la honte est une prison invisible. Parce que c’est un petit village, les gens vivent avec la peur du regard des autres. "Que vont-ils dire si je me montre, si je réussis, si j’échoue ?" Alors, beaucoup choisissent l’ombre, le silence, la discrétion forcée.

Mais à qui profite cette ombre ?

👉 Elle profite à ceux qui veulent que tu restes à ta place. Ceux qui ne veulent pas que tu prennes confiance, que tu oses te libérer, que tu sortes du moule.

👉 Elle profite aux schémas familiaux toxiques. Si personne ne parle, si personne ne brise le silence, les mêmes blessures se répètent de génération en génération.

👉 Elle profite à la peur. Tant que tu as honte, tu ne prends pas ta place, tu ne brilles pas, tu restes enfermé.e dans des limitations que TU n’as pas choisies.

👉 Elle profite à ceux qui te jugent. Parce que tant que tu as honte, ils ont du pouvoir sur toi. Le jour où tu te libères, ils ne peuvent plus rien faire.

Mais rappelle-toi une chose : la honte n’a pas sa place dans ton avenir, ni dans celui de ta progéniture. Tant que tu la portes, elle te contrôle. Mais dès que tu la regardes en face, elle disparaît.

Tu n’as pas à avoir honte de ton histoire. Tu n’as pas à cacher ta lumière pour rassurer ceux qui restent dans l’ombre. Ce n’est pas en t’éteignant que tu vas mieux vivre, c’est en OSANT exister pleinement.

✨ Et si tu es prêt.e à te libérer de cette honte, je peux t’accompagner.

Que ce soit en ligne ou en présentiel, mes séances de libération émotionnelle, EFT et autres pratiques énergétiques aident à transformer cette honte en force. Beaucoup de femmes et d’hommes, à Djibouti et à l’international, ont retrouvé confiance et clarté grâce à cet accompagnement.

D’ailleurs, tu peux aller voir mes Google Reviews, elles parlent d’elles-mêmes. C’est un vrai travail en profondeur qui permet de se libérer durablement.

Tu es prêt.e à sortir de l’ombre et reprendre ton pouvoir ? Écris-moi.

Alors, quelle est votre école ? 🎓Plutôt école américaine ou école française ?Dans le monde du travail, il y a deux grand...
17/02/2025

Alors, quelle est votre école ? 🎓

Plutôt école américaine ou école française ?

Dans le monde du travail, il y a deux grandes manières de gérer ses employés :

🔹 L’école américaine (Canada, États-Unis…)
Ici, le bien-être des employés est une priorité. Un employé heureux est un employé engagé et productif. Team building, reconnaissance, flexibilité… Tout est mis en place pour qu’il se sente impliqué comme si l’entreprise était la sienne. Il sait que son travail a du sens et que son patron valorise ses efforts. Résultat ? Il se donne à 100 % et fait grandir l’entreprise avec lui.

🔹 L’école française et son héritage dans le management africain
En Afrique, beaucoup d’entreprises ont hérité des mauvaises habitudes du management français traditionnel : une hiérarchie rigide où le patron est au sommet et les employés doivent prouver leur valeur sans attendre de reconnaissance. On ne félicite pas, on considère que bien faire son travail est "normal". Le stress est vu comme un moteur, et il est encore courant de penser qu’un bon employé est celui qui subit en silence.

👉 Les CEO et dirigeants d’entreprise à Djibouti, êtes-vous plutôt dans l’école du bien-être et de la motivation des employés ou celle du stress et de la hiérarchie rigide ? J'attends vos commentaires...

NB

Les employés sont toujours à l’image de leur patron.

👀 Un patron stressé ? Des employés tendus et fatigués.
👀 Un patron qui ne félicite jamais ? Des employés démotivés.
👀 Un patron qui fait confiance et valorise ses équipes ? Des employés engagés, créatifs et performants.

J’ai déjà vu des entreprises où le patron passe son temps à se plaindre, à critiquer, à pointer du doigt tout ce qui ne fonctionne pas. Devinez quoi ? Ses employés font exactement pareil.

À l’inverse, j’ai travaillé avec des dirigeants qui savent reconnaître le travail bien fait, qui sont dans une énergie de progression et de confiance. Et là aussi, leurs employés suivent cet état d’esprit.

L’énergie du dirigeant se reflète toujours sur son entreprise.

Alors, si vos employés arrivent chaque matin avec la tête baissée, fatigués, à bout de souffle… Posez-vous la question : d’où vient le problème ?

Ceci dit en passant...

Le 8 mars approche. Vous avez l’occasion de montrer à vos employées que vous avez compris.

Cette année, pas de grandes festivités, c’est le Ramadan. Mais c’est l’occasion parfaite pour faire quelque chose qui a un réel impact sur leur bien-être.

📩 Vous voulez en savoir plus ? Cliquez sur les photos.


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UUMIGA HAWEENKA

Pratique très ancienne et répandue dans le monde entier depuis l’antiquité mais oubliée au cours des siècles passés, les vapeurs vaginales, ou bain-vapeur, sont un soin de santé naturelle féminine aux nombreuses vertus. Plusieurs cultures reconnaissent ce traitement sous différents noms tels que vapeur Yoni, Chai-Yok , Bajo, Oul ou Koundi . Les effets sont assez rapides, beaucoup de femmes témoignent de la disparation des crampes, des ballonnements, des douleurs aiguës ou des maux de dos encourus juste avant ou pendant leurs menstruations que j’appellerai les lunes.

​Cette méthode fut longtemps utilisée pour maintenir l’utérus en bonne santé. Facile et peu coûteux, il se pratique à la maison, permet d’apporter de nombreux bienfaits au corps féminin et pourra être utilisé pour accompagner les femmes dans divers cas : endométriose, fertilité, règles douloureuses, kystes etc.

​""Selon Dr Rosita Arvigo (naturopathe et herboriste qui a reçu l’enseignement d’un chaman guérisseur maya), le bain de siège semble être un traitement efficace pour les femmes, quelque soit l’âge et l’ethnicités.

Pendant des siècles, des milliers de femmes ont bénéficié des effets positifs des vapeurs Yoni. Voici certains de ces effets :