Sylvie Ghio - Soins énergétiques

07/05/2025

17/04/2025

LE RENDU DES MÉMOIRES FAMILIALES.
La mise en lumière des fidélités familiales inconscientes amène toujours une interrogation, car faire remonter une mémoire ancrée, c'est bien, mais : « Qu'est-ce que j’en fais ?»
Cette question est légitime et se posera encore plus si vous faites ce « voyage » dans l’histoire familiale seul. Le simple fait d’en parler contribue à un profond remaniement des mécanismes inconscients mis en lumière.
Au cours de l’étude de l’arbre familial, on découvre des liens insidieux qui relient la personne qui consulte à certains ascendants et/ou à des comportements familiaux déviants. Cette découverte provoque toujours une émotion qui se manifeste par des pleurs, de la fatigue, un malaise, et entraîne un bouleversement psychique, impliquant un nouveau positionnement au sein de sa famille, un changement dans sa vie.
On va prendre du recul vis-à-vis de la dynamique familiale et se délester des fardeaux qui ne nous appartiennent pas et des entraves qui nous empêchent d’avancer librement.
La simple prise de conscience ne suffit pas à se libérer définitivement du problème. Elle doit être étayée par des actes symboliques tels qu’écrire une lettre, faire une action de rendu…
Dans les transmissions transgénérationnelles de deuils non aboutis, de secrets, de comportements répétitifs, il s’agit de dette, et une dette se rend.
Comme tout arrive et se transmet par un acte réel fait, il faut le défaire par un autre acte qui contient le pardon.
En faisant les actes symboliques, on transmet une autre information à la mémoire émotionnelle et/ou à l’inconscient, afin de favoriser la déprogrammation d’informations engrammées et de croyances ancrées.
En travaillant sur le RENDU DE MÉMOIRE, on va ressentir son appartenance à la famille tout en refusant les transmissions qui génèrent honte, culpabilité, dévalorisation… et qui bloquent notre relation à qui nous sommes réellement, à l’argent, à la réussite, au bonheur.
Monique Damel. La Voie de l'Etoile.

06/04/2025

Merci pour le retour de soins à distance de cette patiente ❤️🍀gratitude

Ne laissez pas la douleur physique, morale et psychologique prendre le dessus !!
Osez vous posez et mettre des mots sur vos maux 🌸🍀
Bon dimanche

👋👋 Sylvie comment vas 😀
Nous ça y est nous avons quitté le Maroc...................
Nous visitons un peu l'Espagne, prenons notre temps et profitons encore du soleil avant de rentrer à.... A bientôt.....
😁NB: super mon dos. Plus aucune douleur dans les jours qui ont suivi les soins👍. Encore merci Sylvie.

28/03/2025

21/03/2025

Ils m’ont mis dans mon berceau, doucement, avec un sourire, et ont fermé la porte derrière eux. L’obscurité a envahi la pièce.

Au début, je ne comprenais pas. Pourquoi était-ce si silencieux ? Alors, un peu inquiet, j’ai appelé. Une fois, deux fois. J’ai entendu la porte s’ouvrir et mon cœur s’est rempli d’espoir : « Enfin, ils reviennent me chercher ! ». Mais une voix douce, lointaine, a murmuré : « Chut, il est temps de dormir… ». Et la porte s’est refermée.

Je me suis retrouvé seul, encore plus seul qu’avant. Le noir semblait plus profond. J’ai crié un peu plus fort, espérant que cette fois, maman viendrait. Mais à chaque appel, tout ce que j’entendais, c’était ce murmure répétitif : « Chut, chut… il est temps de dormir. »

J’ai pleuré encore et encore. Peut-être qu’ils ne m’entendent pas ? Peut-être qu’ils ne savent pas où je suis ? J’ai hurlé si fort, donné des coups de pieds dans mon lit, tout ce que je pouvais pour leur dire : « Je suis là, venez me chercher, j’ai besoin de vous ! » Mais rien. Personne.

Avec le temps, mes pleurs se sont apaisés. Pas parce que je n’avais plus peur. Pas parce que j’étais calme. Mais parce que j’ai compris que, peu importe à quel point je pleurais, personne ne viendrait. Je ne voulais plus déranger. Je suis resté là, dans le noir, à attendre. Attendre un câlin, une voix rassurante, un bisou sur le front. Mais rien ne venait.

Cela fait plusieurs nuits maintenant. Quand on me pose dans mon berceau, je ne pleure presque plus. Je reste silencieux. J’ai appris que crier ne sert à rien. J’ai appris que, dans cette obscurité, je suis seul. Peut-être que je suis un mauvais enfant. Peut-être que c’est pour ça qu’ils ne viennent pas.

Chaque soir, j’espère. Chaque soir, je me dis : « Peut-être ce soir… Peut-être qu’ils viendront me chercher, qu’ils me prendront dans leurs bras, qu’ils me diront que je ne suis pas seul. » Mais chaque soir, l’obscurité reste mon unique compagnie.

Un enfant ne pleure pas pour manipuler. Un enfant pleure parce que c’est sa seule manière de dire qu’il a besoin de toi.

Quand nous laissons un enfant seul dans le noir, il n’apprend pas à s’endormir. Il apprend que ses appels restent sans réponse. Il apprend que ses besoins ne comptent pas. Il apprend la solitude.

Je sais que vous êtes fatigués. Je sais que vous avez peur de mal faire, que vous avez entendu des conseils disant qu’il faut les « laisser pleurer ». Mais je vous promets qu’un enfant n’a jamais besoin de se sentir abandonné pour apprendre à dormir.

Un jour, ils quitteront vos bras. Un jour, ils ne viendront plus se blottir contre vous. Et ce jour-là, vous réaliserez à quel point ces nuits étaient précieuses.

Écoutez-les tant qu’ils vous appellent. Consolez-les tant qu’ils pleurent. Aimez-les tant qu’ils ont besoin de vous. Parce que ce besoin, lui, ne dure pas éternellement.

16/03/2025

Très fort ce partage ❤️