Chloé Silvestre - Babilogie

21/10/2025

Ton bébé te parle.

Pas toujours avec des mots, mais avec tout son être, un regard, un geste, un pleur, un sourire, un silence aussi parfois.

Et souvent, il ne te demande pas de faire.
Il te demande juste d’être.
D’être là, présente, disponible, ouverte à ce qu’il vit.
Parce que pour lui, ta présence est déjà une réponse 🥰

Alors, la prochaine fois que tu te sens démunie, que tu cherches quoi faire, rappelle-toi : ton bébé n’a pas besoin d’une perfection, il a besoin de toi, telle que tu es 🌸

Dis-moi, est-ce que tu as parfois l'impression que ton bébé te parle, sans utiliser de mots ?

14/10/2025

01/09/2025

Le jour de la rentrée, on aimerait tous que notre enfant parte le sourire aux lèvres.
Mais parfois… il pleure, il s’accroche, il a peur.

Et c’est normal.

Ces larmes ne sont pas des caprices.
Elles parlent d’une insécurité plus profonde, parfois même d’anciennes blessures qui se réveillent.

💡 Bien sûr, si c’est le matin de la rentrée et que tu dois aller travailler, tu n’as pas toujours le choix.
Ce n’est pas de ta faute (c'est plutôt celui d'un système qui n'est pas du tout pensé pour notre bien être, mais c'est une autre histoire 😔).

Mais ce que tu peux toujours faire, c’est accueillir ses émotions.
Cela ne veut pas dire l’empêcher de pleurer, ni chercher à tout prix à le calmer.
Accueillir, c’est lui montrer qu’il a le droit de ressentir.

Et plus t**d, dans un autre espace, il est possible d’aller chercher la racine de cette peur… pour qu’elle ne reste pas prisonnière en lui.
C’est ce que nous faisons en Babilogie.

🌱 Les larmes d’aujourd’hui peuvent se transformer en libération, pour ton enfant et pour toi.

Et toi, comment vit ton enfant cette rentrée ?
Tu peux me le partager en commentaire 💬

26/08/2025

À la question en story : "Comment ça se passe pour toi, la reprise ?"

🔸 30 % m'ont répondu avoir une horrible boule au ventre
🔸 41 % : "pas envie du tout, même si ce n’est pas horrible"
🔸 20 % : une rentrée sereine
🔸 9 % : trop contentes

Et ça m’a profondément touchée.

Parce que j’ai connu ça aussi.
Cette impression de ne pas être à ma place, de rentrer dans un rythme qui ne me ressemble pas.
De me forcer.

🕊️ Aujourd’hui, je vis une autre réalité.
Depuis que je suis devenue babilogue, la rentrée est devenue fluide.
Pas parfaite, non. Mais pleine de sens.
Et de paix.

Alors j’ai créé un test introspectif pour t’aider à faire le point.
Pas pour te dire quoi faire.
Mais pour t’offrir un espace de vérité.

✨ Un test pour celles qui se demandent si elles sont faites pour accompagner autrement.
Pour celles qui ressentent un appel sans oser encore lui répondre.

👇 Commente "Introspection", je t’envoie le lien.

25/02/2025

Je n'en ai encore jamais parlé ici il me semble.
Pour moi, la plus grosse épreuve de ma vie a certainement été le su***de de ma maman quand j'avais 22 ans. Et pourtant, c'est probablement ce qui m'a le plus appris.
J'ai passé des années à vouloir la "sauver", échangeant les rôles, prenant toutes les responsabilités. Je me suis épuisée, j'ai eu des attentes, j'ai été déçue...
Et finalement, ce dénouement m'a appris à quel point chacun est souverain de sa propre vie, qu'on ne peut rien faire à la place des autres.
Aujourd'hui, je crois que si je suis capable d'accompagner autant de bébés et d'enfants comme je le fais, c'est en partie grâce à cet évènement. J'ai quitté mes habits de sauveuse. Je considère les tout-petits comme étant les maîtres de leur vie, tout autant que les adultes. Je leur donne cette responsabilité, ce pouvoir : ce n'est qu'ainsi que l'on peut décider d'aller mieux sur du long terme, ou pas... Cette décision fait partie de leur cheminement, rien qu'à eux. Ce ne sont pas des prolongements de nous-mêmes, leurs parents. Ce sont des personnes à part entière, qui ont leurs propres choix à faire (bien évidemment, je ne parle pas de les laisser décider de s'ils vont manger des chips ou des légumes, d'aller à l'école ou non etc. j'espère que vous avez compris la subtilité !), et ce dès tout petit.
Chaque épreuve nous apporte ses cadeaux cachés, et je crois sincèrement que c'est en les cherchant que l'on peut avancer dans nos vies vers la résilience 🙏. Et toi, quelles épreuves t'ont apporté le plus ?

12/02/2025

Et c'est assez personnel, mais je suis moi-même en plein dedans en ce moment !

Parce que non, accompagner d'autres personnes ne signifie pas être exempt de tout problème, bien au contraire 😅. (D’ailleurs, je crois vraiment que les accompagnants ont tout intérêt à faire un travail sur eux quasi en permanence 😊.)

Ma fille, qui est entrée au CP cette année, rencontre quelques difficultés scolaires. Rien de dramatique… et pourtant, qu’est-ce que ça remue en moi !

De mon côté, j’ai toujours été cette petite fille sage, qui faisait tout ce qu’on attendait d’elle, qui avait de bonnes notes… et qui a cru (qui croit peut-être toujours ?) qu’elle était aimée grâce à ça.

Alors forcément, voir ma fille rencontrer des difficultés me bouleverse. Je me culpabilise : Est-ce de ma faute ? Est-ce que je n’ai pas assez été présente ? J’aurais dû faire plus…

Je vous passe toute ma phase de remise en question du système scolaire et de son mode de valorisation des enfants 😅 (même si j'avoue que ça tourne un peu en boucle en moi en ce moment...).

Mais en y regardant de plus près… j’ai réalisé quelque chose : je suis partie du principe que cela ne pouvait que la faire souffrir. Pas parce qu’elle me l’a dit, mais parce que moi, je crois que ça m’aurait fait souffrir.

En réalité, tant que je ne règle pas en moi cette croyance – "il faut être bon à l’école pour être aimé" – je vais, sans m’en rendre compte, projeter mes peurs sur elle.

Et en cherchant à tout prix à lui éviter ces difficultés, je ne fais que m’éviter moi-même de vivre ces émotions… et je perpétue une croyance qui ne lui appartient peut-être même pas.

Bref, le travail sur moi continue (et n'est pas prêt de s'arrêter). Je suis convaincue que parfois, il faut savoir remettre en question nos certitudes (nos croyances) pour pouvoir avancer !

30/01/2025

Avant, j'enseignais la Parole au Bébé avec beaucoup de plaisir. Mais avec le temps, j'ai réalisé que certaines choses ne me convenaient plus.

👉 Mes étudiantes découvraient la PAB par mon biais, mais recevaient des supports écrits par quelqu'un d'autre, avec une autre énergie et des façons de faire différentes. Résultat ? Beaucoup me disaient que ces supports ne leur convenaient pas, que les documents Word étaient trop longs, pas assez structurés, qu’elles se perdaient…

👉 Elles voulaient faire des séances comme moi, comme ce qu'elles lisaient sur mon compte. Mais ce n’était pas possible. Elles se sentaient aussi perdues, manquant d’idées d’hypothèses à explorer. J’avais une solution avec la contextualisation, mais elle n’existait pas dans la PAB et, dans mes échanges avec Brigitte, j’ai senti que nos visions différaient sur ce point. (Je ne remets pas en question sa vision d'ailleurs, c'est juste qu'on ne voit pas les choses de la même manière).

Je me suis sentie impuissante, voyant que leurs attentes n’étaient pas totalement comblées et que beaucoup s’arrêtaient en chemin, déçues…

D’un autre côté, plus de la moitié de mes séances se font à distance, mais je n’avais pas le droit de les appeler "Parole au Bébé". J’en suis venue à enseigner une méthode que je ne pratiquais plus ni techniquement, ni même en nom.

Petit à petit, à la demande de mes étudiantes, j’ai commencé à créer mes propres supports… jusqu’à réaliser que j’avais envie d’aller plus loin. Créer ma propre méthode, avec mon énergie, ma vision, ma façon de transmettre.

C’est ainsi qu’est née la Babilogie ✨😍

J'ai donc annoncé cela à Brigitte, un peu la boule au ventre je l'avoue, car c'est quelqu'un que j'apprécie beaucoup : j'ai une gratitude et un respect infini envers elle. A mon grand soulagement, elle était hyper compréhensive et heureuse pour moi et m'a vraiment encouragée à me lancer, à créer quelque chose de nouveau ❤️ Sa réaction me rend encore plus fière de pouvoir la considérer comme ma mentor ! Pour tout cela, je la remercie du fond du coeur et je lui souhaite tout le meilleur pour la suite ! 🥰

21/01/2025

💭 "Comment éviter de transmettre mes traumas à mes enfants ?"
C’est une question que beaucoup de mamans-en-devenir se posent. Pourtant, cette nouvelle injonction, bien qu'animée par de bonnes intentions, alourdit la maternité et nourrit une culpabilité inutile.

Dans ce carrousel, je te partage une perspective différente :
💡 Pourquoi ce n’est ni possible ni souhaitable d’éviter totalement cette transmission.
🌟 Comment ton travail sur toi peut inspirer et offrir des choix à ton enfant.
✨ Un rappel que chaque âme a son propre chemin et ses propres leçons à apprendre.

Prends soin de toi, car c’est en avançant sur ton propre chemin que tu pourras aussi éclairer celui de ton enfant. 💕