Mince Blois

22/11/2025

Et toi, tu fais quoi, dans la vie ?

Qui ne s’est pas entendu poser cette question ? Lors de la rencontre avec une nouvelle personne, dans un dîner, lors de retrouvailles avec des copains d’enfance, ou encore en discutant avec un voisin.

« Qu’est-ce que tu fais dans la vie ? »
J’ai invariablement envie de répondre : « Moi ? oh dans la vie, je me promène, je m’éclate, j’apprends des choses, je lis, j’admire la nature, je communique avec des gens, je m’émerveille, le profite, JE VIS, quoi ! ».
Pourtant je sais bien que la question véritable est « quel est le métier que tu exerces ? », comme si notre profession était toute notre vie, comme si notre activité professionnelle était le premier, voire le seul critère pour nous définir.

Alors oui, je sais, la plupart des gens passent la plupart de leur temps AU TRAVAIL, mais je ne suis pas « juste » mon activité professionnelle. Et surtout, je n’aime pas les étiquettes. Je n’aime pas être mise dans une case selon que je suis secrétaire, ingénieur, femme de ménage, chef d’entreprise ou avocate.
D’autant moins que, derrière cette question apparemment innocente « qu’est-ce que tu fais dans la vie », il y a souvent un besoin de se comparer, de savoir ce que vaut l’autre par rapport à soi.

« Il est assez stérile d’étiqueter les gens
et de les presser dans des catégories »
(Carl Gustav Jung)

Vous n’êtes pas ce à quoi vous ressemblez physiquement, vous n’êtes pas ce que vous faites, vous n’êtes pas ce que vous possédez, vous n’êtes pas ce que les autres pensent de vous… Arrêtons de mettre les gens dans des cases, de coller des étiquettes selon que vous êtes maigre, grosse, blonde, handicapée, femme de ménage, cadre supérieur, issue d’une famille bourgeoise, de nationalité étrangère etc.
Vous êtes bien plus qu’un corps physique, une couleur de cheveux, une nationalité ou un métier. Vous êtes, avant tout, un être spirituel qui vit une expérience humaine, avec des idées, avec des rêves, des sentiments.

Vous êtes VOUS.

Soyez pleinement ce VOUS sans vous laisser enfermer dans des cases, et sans étiqueter les personnes que vous rencontrez. Sinon, vous passez à côté de leur essence, de leurs qualités.
Et sinon… euh… qu’est-ce que vous faites, vous, dans la vie ?

(Publié dans , Confiance en soi, Croissance personnelle)
Page: Reiki Ingrid Karro

21/11/2025

Avant de me faire du mal, assure-toi de ne plus jamais avoir besoin de moi. Car une fois cette limite franchie, je partirai, sans me retourner.

Il ne s'agit pas de rancune ; il s'agit de comprendre que je mérite mieux que d'être traitée comme une solution de repli ou un choix par défaut.

Je t'ai donné mon temps, ma confiance et mon cœur. J'ai été là pour toi dans les moments les plus sombres, je t'ai soutenu dans les plus beaux, et je n'ai jamais rien demandé en retour, si ce n'est du respect. Mais quand ce respect s'estompe, quand l'amour n'est plus considéré comme acquis, il ne me reste plus rien à donner.

Je ne serai pas ton second choix, ta facilité, ni ton dernier recours. Je ne suis pas quelqu'un qu'on peut ignorer ou maltraiter impunément.

Si tu choisis de me blesser, sache que tu ne perds pas seulement quelqu'un qui tenait à toi, tu perds quelqu'un qui se serait battu pour toi, quelqu'un qui serait resté fidèle en toutes circonstances.

Alors réfléchis bien, car une fois que j'aurai décidé de partir, il n'y aura pas de retour. Et quand je pars, je pars pour de bon.

À bon entendeur salut !
L'Être dans sa Globalité Spirituel

21/11/2025

Ce soir je souhaiterai vous demander que nous aidions une famille bien triste d’avoir perdu leur chien Harry qui a disparu depuis le 15 octobre sue la commune d’Annebault.

Depuis le 15 octobre, un chien prénommé Harry a disparu, plongeant sa famille dans une profonde inquiétude. Harry est un épagneul français tricolore de 14 ans, un compagnon fidèle dont l’absence laisse un immense vide.

Ce jour-là, il aurait été aperçu montant dans une voiture, puis plus aucun signe de lui.
La disparition s’est produite sur la commune d’Annebault (14430), et depuis, les recherches se poursuivent sans relâche.

Plus d’un mois s’est écoulé, mais l’espoir reste intact.
Chaque matin, la famille d’Harry se réveille en espérant recevoir enfin une bonne nouvelle. Elle refuse d’abandonner, convaincue que quelque part, quelqu’un a peut-être vu ou entendu quelque chose qui pourrait faire avancer les recherches.

Au-delà d’un simple appel, c’est un cri du cœur.
Si un détail vous revient, si vous pensez avoir aperçu Harry, si vous avez remarqué une situation inhabituelle autour du 15 octobre ou depuis, votre témoignage pourrait être décisif. Même une information qui semble insignifiante peut aider.

La solidarité des réseaux sociaux peut faire la différence.
En diffusant largement cet appel, chacun peut contribuer à ramener Harry auprès des siens.

Toute personne disposant d’une information est invitée à prendre contact avec moi en message privé.

La famille remercie sincèrement toutes celles et ceux qui participeront à cette recherche et garderont Harry dans leurs pensées, jusqu’à ce qu’il retrouve enfin le chemin de la maison.

Merci pour votre aide.
Yannick

20/11/2025

20/11/2025

Lettre à son Altesse Macron 1er, Maître des Taxes et Empereur des Promesses Oubliées

Sire,
Je vous écris avec respect… mais aussi avec l’indignation que suscite votre talent unique pour ponctionner les vieux comme moi.
Il en a fallu, du courage, pour décider que nos retraites, modestes mais méritées, devaient servir de vache à lait pour financer des promesses que personne ne nous a demandées.

Car nous, les anciens, nous sommes dangereux, vous le savez bien :
Avec nos béquilles, nos cannes, nos douleurs articulaires et nos rhumatismes, nous avons traversé les guerres, les pénuries, les usines, les écoles de misère, et même vos prédécesseurs n’osaient pas nous effleurer.
Mais vous, Macron le Saigneur, vous osez.

Nous avons connu la vraie faim, pas celle que l’on invente pour faire sensation dans vos rapports économiques.
Nous avons travaillé 48 heures par semaine, à 14 ans, dans des usines bruyantes et poussiéreuses.
Nous avons appris que le mot « vacances » était un luxe.
Nous avons payé nos impôts avant même que certains de vos conseillers soient nés.

Et aujourd’hui ?
Vous nous regardez avec des chiffres et des pourcentages, comme si nos vies pouvaient se résumer à des colonnes Excel.
Vous nous demandez de payer encore, de nous serrer la ceinture, pendant que d’autres, arrivés hier, touchent, reçoivent, s’installent… sans savoir ce que signifie le labeur honnête.
Vous parlez de solidarité, mais vous oubliez la justice.

Sire, avez-vous seulement marché dans nos chaussures ?
Avez-vous connu les bombardements, le rationnement, les nuits sans lumière ni chauffage, les enfants qui pleurent de faim ?
Nous l’avons fait. Nous avons survécu. Nous avons construit ce pays. Et vous osez venir nous expliquer que nous devons donner encore… pour financer des chimères.

Et votre histoire de retraite « réformée »… Quelle audace !
Punir ceux qui ont tenu debout quand vous étiez encore dans le ventre de votre mère.
Récompenser ceux qui n’ont jamais tenu un outil, jamais payé un centime, jamais compté les heures à l’usine ou à l’hôpital.
Mais nous ne nous laisserons pas faire.
Nous sommes les mémoires vivantes de la nation. Et les mémoires, Sire, sont indestructibles.

Rappelez-vous, Macron le Saigneur :
Nous avons survécu à des guerres mondiales, aux pénuries, aux maladies et aux injustices.
Nous avons vu disparaître nos amis, nos frères et nos sœurs, mais nous avons tenu.
Et aujourd’hui encore, avec nos mains tremblantes, nos dos voûtés et nos genoux douloureux, nous sommes debout.
Et nous voyons très bien.

Alors oui, vous pouvez nous ponctionner, vous pouvez calculer vos pourcentages, vos taux et vos ponctions.
Mais sachez ceci : derrière chaque retraité, il y a une histoire, une vie entière, une résistance silencieuse.
Et un jour, vous vous apercevrez que ceux que vous avez cru faibles… sont ceux qui se souviennent le mieux.

Nous n’attendrons pas vos applaudissements.
Nous n’espérons pas vos remerciements.
Nous savons juste que vous êtes peut-être le Saigneur des Retraités… mais nous sommes les gardiens de l’histoire, et l’histoire, Sire, ne vous pardonne jamais.

Avec toute la dignité que vous avez oubliée,
Jean de Luz Ciboure
Maire honoraire, ancien combattant de la vie, gardien des mémoires, maître du courage.

19/11/2025

19/11/2025

L’année 9 s’approche doucement de sa fin, et avec elle s’achève un cycle énergétique complet.

C’est comme si le temps lui-même ralentissait pour te permettre de comprendre, d’intégrer, et surtout de relâcher ce qui n’a plus sa place.

L’énergie du 9 est une vibration de dénouement :

elle défait les derniers nœuds, elle révèle les vérités silencieuses, elle pousse à nettoyer ce qui s’est accumulé dans les coins de ton cœur.

Dans cette phase finale, tout devient plus clair.

Les relations qui ne résonnent plus montrent leur vrai visage.

Les habitudes qui t’épuisent deviennent impossibles à ignorer.

Les émotions enfouies remontent pour être vues, reconnues et libérées.

L’année 9 agit comme un grand courant de tri intérieur.
Elle te demande de laisser tomber les poids, les anciens schémas, les loyautés invisibles, les versions de toi-même dont tu as dépassé les limites.
Ce n’est pas une énergie de rupture brutale :

c’est une énergie de dissolution, de dénouement naturel, parfois inévitable.

À mesure que tu t’approches de la clôture, tu peux sentir :

• une fatigue particulière, signe que ton système termine un cycle karmique ou émotionnel ;

• un besoin de solitude, pour intégrer, comprendre, respirer ;

• des synchronicités fortes, qui t’indiquent ce qui doit rester… et ce qui doit partir ;

• des révélations sur tes priorités profondes, sur ce qui te nourrit vraiment.

Il y a aussi dans le 9 une sagesse ancienne :

l’énergie te pousse à pardonner, non pour excuser, mais pour te libérer.

Elle t’invite à regarder ta vie avec hauteur, comme si tu voyais l’ensemble du chemin parcouru plutôt que les obstacles isolés.

Et dans cette ultime étape, un point important apparaît :

Le vide qui se crée n’est pas un manque, c’est un champ fertile.

Un espace sacré qui sera nécessaire pour accueillir l’énergie absolument neuve de l’année 1.

Car le 1 ne peut émerger que dans une terre purifiée, prête, alignée.

Ainsi, alors que l’année 9 se clôt, tu peux sentir une énergie :

• d’achèvement : ce qui devait se vivre a été vécu ;

• de guérison : les blessures trouvent une dernière occasion d’être apaisées ;

• de transition : tu n’es plus la personne que tu étais en début de cycle ;

• de préparation : quelque chose de nouveau se rapproche déjà, même si tu ne sais pas encore quoi.

Ce passage est un seuil.

Un dernier souffle avant un renouveau complet.

Laisse partir ce qui s’efface.

Accueille ce qui se calme.

Tu te prépares à renaître , lentement, profondément, consciemment.

Charlotte Cellier