17/08/2025
✨ Parfois, il suffit d’un premier pas — un engagement envers soi-même — pour que la vie commence à vraiment changer. ✨
Il y a 6 ans, je postais cette photo avec en légende, cette citation d'Aristote :
« Le commencement est beaucoup plus que la moitié de l’objectif. »
Cela faisait des années que je sentais que je n’étais pas sur le bon chemin, qu’autre chose m’appelait, mais je n’arrivais pas à entendre. Je cherchais dans les livres de développement personnel, les histoires des autres, les paroles des sages. J’ai même vécu des expériences inédites qui m’ont ouvert à des parts inconnues de moi-même.
Et pourtant… j’en étais toujours au même point. Tous ces apprentissages ne restaient finalement que théoriques. C’est alors que j’ai compris, ce jour-là, en montagne, qu’il ne suffisait pas de chercher : il fallait décider.
C’était le jour de mes 33 ans et j’ai pris un engagement ferme envers moi-même. J’ai choisi de me mettre en mouvement vers le changement que je voulais voir émerger dans ma vie. J’ai compris que si je voulais que les choses changent, cela devait venir de moi. Alors j’ai commencé à semer les premières graines de ce que je souhaitais voir fleurir.
Petit à petit, micro-changement après micro-changement, à force de discipline, de confiance, d’essais, de foi et d’accomplissements, ma vie se transformait et mon chemin s’alignait. Parfois j’avançais, parfois je reculais, alors surtout, la bienveillance, je cultivais. Et toujours, je savais vers quel horizon je me dirigeais.
J’ai appris à m’écouter, à découvrir ma valeur et à commencer à discerner ce qui ne me convenait plus.
Mais lâcher n’a pas toujours été simple, alors je me suis accrochée, encore. Accrochée aux vieux schémas rassurants, à certaines personnes, à mes dépendances.
Elles m’avaient aidée à survivre un temps, alors je les croyais nécessaires à ma construction.
Jusqu’à ce que le mur surgisse.
Ce mur qui immobilise, qui bloque tout, dans le corps et dans l’esprit.
Ce mur qui ne laisse d’autre choix que de lâcher.
Et là, j’ai compris : la peur fige, mais la confiance ouvre les portes.
Alors j’écoute mon corps, j’affronte la peur, et la vie peut enfin couler, naturellement.
Ce chemin n’a rien eu de facile. Apprendre à m’écouter, à me comprendre, à me choisir… Et je n’ai d’ailleurs certainement pas tout compris ! (Bah oui, c’est pour ça que je compte bien fêter encore plusieurs bougies ! 😄)
Mais aujourd’hui, je ne suis plus la même femme qu’il y a six ans.
Et je ressens une profonde gratitude envers celle que j’étais, pour avoir su poser ce premier geste, ce premier oui à elle-même.
Ce fut une étape clé — bien plus que la moitié de l’objectif.
Elle a entendu ce petit murmure en elle, elle y a répondu avec courage, et les graines qu’elle a semées à l’époque fleurissent aujourd’hui dans mon présent.
Alors, avec pleiiin d’amour : MERCI ! 💛