À fleur d'eau " et ricochets

17/11/2025

Ce monde, ce monde, ce monde de demain

17/11/2025

C'est bien vrai pour moi depuis longtemps.

"J'ai arrêté la musique en courant… et ce qui s’est passé m’a surpris."

Ce n’est pas la musique dans les écouteurs qui compte, mais celle du souffle, du vent et du cœur. La course devient un refuge intérieur.

On croit souvent que courir rime avec playlists motivantes, bass boost et morceaux qui nous tirent vers l’avant.
Mais un jour, j’ai retiré mes écouteurs.
Juste pour voir.
Et j’ai découvert quelque chose que je n’attendais pas.

Quand tu enlèves le bruit extérieur, tu entends enfin l’essentiel :
• ton souffle qui trouve son rythme
• le vent qui frappe ton visage comme pour te rappeler que tu avances
• ton cœur qui bat fort, non pas par fatigue, mais par présence
• tes pas qui deviennent comme un métronome naturel

C’est là que la magie opère.
La course devient autre chose.
Plus qu’un effort physique… un retour à soi.

Voir Plus : https://makaleti.com/reprendre-la-course-a-pied/

Tu ne fuis plus le monde.
Tu t’y reconnectes.
Tu n’es plus en train de courir pour quelque chose.
Tu cours avec toi-même.

Alors la prochaine fois que tu pars courir, tente l’expérience :
Enlève la musique.
Apaise le bruit.
Écoute ce qui se passe à l’intérieur.

Tu verras :
Parfois, le plus beau soundtrack, c’est ton propre souffle

17/11/2025

Savoir regarder avec un regard bienveillant...
C'est aussi savoir regarder le verre à moitié plein aussi 💝😉😉

17/11/2025

Le regard d'autrui est nécessaire pour la construction de soi mais aussi de la vie collective.
Pour Faire Société c'est affronter ses faiblesses et trouver à se réconcilier.. . Avec soi et surtout avec les autres.
"Être bien, être soi, mieux-être avec les autres"

09/11/2025

Petite, je n'avais pas de lunettes de piscine. Souvent on fermait les yeux. Mon père Yves Vanpoulle était mon entraîneur à Dijon, et il nous apprenait à ressentir l'eau. Mon corps a toujours réagit de manière proprioceptive quand je nageais mais aussi maintenant quand je fais du Watsu (Water-shiatsu) avec un receveur différent entre mes bras. À aucun moment on ne peut seulement "regarder" D'ailleurs, je ferme souvent les yeux et jamais mon receveur Watsu va sous l'eau si je ne l'ai pas décidé.
De même, mon oncle Jean Marie Vanpoulle à Cambrai, faisait comprendre aussi beaucoup les sensations internes aux personnes en situation de handicap qui nageaient avec "leur "corps de manière à adapter au mieux à leurs ressentis. Il a apporté énormément au milieu handisport en natation. 💝

Tu crois voir l’eau. Mais c’est faux.

C’est elle qui te voit avant toi.

Sous l’eau, tout change. Les lignes droites deviennent des mirages, les couleurs se tordent, les distances mentent. Et toi, tu crois encore “regarder”. Non. Tu ressens avant de voir. C’est là que commence le véritable regard du nageur.

Tu as déjà remarqué ? Quand tu plonges, ton esprit cherche d’abord un repère visuel. Une ligne noire, une main, une bulle. Et puis, lentement, ton cerveau s’adapte. Il cesse de voir comme un humain. Il commence à voir comme un corps.
Tu n’observes plus, tu lis l’eau. Chaque reflet devient un langage. Chaque ombre, une direction.

“Pourquoi je n’arrive pas à voir droit sous l’eau ?”
“Pourquoi tout semble plus proche que ça ne l’est vraiment ?”

Parce que la densité de l’eau déforme tout. Tes yeux, ton équilibre, même ta perception du temps. Un nageur qui comprend ça arrête de se battre contre la vision floue. Il s’accorde à elle.

Les pros ferment parfois les yeux aux entraînements. Oui, volontairement. Pour écouter la trajectoire. Pour sentir la ligne d’eau sans la voir. C’est là que tu gagnes une conscience aquatique que les autres n’auront jamais.
Essaye :
• Ferme les yeux 3 secondes à chaque coulée.
• Compense ta direction par la sensation de tes épaules, pas tes yeux.
• Observe les reflets : ils trahissent les mouvements des autres bien avant leurs vagues.

Ton regard n’est pas seulement visuel, il est énergétique.
Ceux qui nagent avec leurs yeux perdent la moitié de la vérité.
Ceux qui nagent avec leurs perceptions deviennent des instruments du silence.

Sous l’eau, on ne voit pas on ressent clair.