J’ai obtenu mon diplôme en 2019 et cela fait donc 3 ans que j’exerce. J’ai eu la chance de découvrir énormément de services différents, avec une prise en soin de pathologies aussi opposées les unes aux autres. Mais dans ce métier que j’affectionne particulièrement, il me manquait une chose essentielle à mon épanouissement... du TEMPS. J’ai été confronté à un sentiment d’impuissance face au mal-êtr
e de certaines personnes. Je voulais les aider mais, je ne savais pas comment, ma formation infirmière, bien que très riche en apprentissage, ne m’avait pas préparé à faire face à cette réalité de terrain. J’ai eu besoin d’un temps de réflexion, savoir ce que je désirais dans ma vie professionnelle et faire le bilan de mes expériences. J’ai donc décidé de me tourner vers les soins de bien-être. Car, même s’il est important de soigner la personne, nous oublions souvent le traumatisme que cela cause aux patients de sortir de son environnement familier. C’est sur cela que ma recherche était basée pour enrichir mes connaissances et développer des compétences, encore très méconnu du grand nombre. Je voulais pouvoir soulager et aider la personne dans ce bouleversement émotionnel et cette perte de repère. Et en faisant mes recherches, j’ai découvert le LAHOCHI. Le domaine du Lahochi n’est pas une découverte pour moi. J’ai souvent eu recours à des médecines non conventionnelles pour pouvoir me guérir de mes maux. Les « soins » énergétiques me sont inconnus dans leur apprentissage, pas dans leur bien-fait que j’ai eu la chance de ressentir par moi-même. Cette inexplicable béatitude que nous pouvons ressentir à la fin d’une séance. Souvent, il faut au moins l’essayer une fois pour savoir de quoi il en retour et si cela nous convient. Et comme dans beaucoup de domaine, il faut parfois faire plusieurs praticiens pour trouver le sien. Lors de ma formation, j’ai apprécié le contact, la mise en place des soins et le fonctionnement de ce dernier. Pour moi, le Lahochi possède tout ce que je recherchais et bien plus encore. Alors, pour ne pas me restreindre à une population cible, j’ai décidé d’élargir mes horizons et de donner accès à toute personne qui le souhaiterait. Ce qui est important de retenir, c’est que je ne me substituerais jamais au diagnostic d’un vrai médecin. Je n’ai aucune légitimité à interférer dans les diagnostics et traitements médicaux. Le médecin, riche de ses années d’apprentissage, est bien plus apte que moi à déceler et soigner les maladies.
