19/02/2025
L’importance de laisser la joie habiter cette vie 🔥
Ce post est l’exemple parfait de l’association d’idées: il commence à un endroit, et se termine à un autre!
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C’est l’unique et dernier 19 février 2025, qui se présentera à moi.
Cette journée sera peut être ordinaire, peut être extraordinaire.
Mais il est fort probable que dans quelques années, je je à cette journée « banale » avec beaucoup de gratitude, ou avec nostalgie.
Est ce qu’on se rend compte, de tout ce qu’on vit, là où l’on vit? De tout ce qu’on expérimente, dans ce que l’on fait par habitude? De tout ce que l’on ne fait pas, encore parce que les habitudes?
Est ce que l’on réalise que les barrières d’aujourd’hui sont des tremplins? Qui nous propulsent vers une compréhension nouvelle, un angle novateur, une progression potentielle, de qui l’on est, pour nous et à notre attention, d’abord.
Oui parce qu’il ne s’agit que de nous, tout le temps.
Travailler un dossier n’est bien fait que si nous sommes dotés, en nous du besoin d’aller au fond des choses, de chercher la justice, ou le besoin de nous présenter au monde , comme quelqu’un d’exigeant, de précis, de sérieux.
Ce n’est jamais vraiment pour les autres.
Même l’humanitaire, répond à un besoin de ne pas naviguer seul, de ne pas garder tout pour soi, de rendre ce qu’on a reçu. Le don qui en découle est la résultante de la réponse à cette indication, qui est et qui restera personnelle, c’est à dire tournée vers soi.
Sale temps pour l’altruisme, me direz vous!
Alors interrogeons nous: Que demande notre Être?
J’ai longtemps pensé que mon être me demandait de ne plus exercer comme avocate. Puis j’ai eu la chance de comprendre à quoi ce métier répondait chez moi, ce qu’il me permettait de nourrir et comme un shift, j’ai compris et j’ai aimé continuer, reprendre, chercher, trafiquer une dossier, une situation, chercher le « plus vrai ».
Au bout du chemin, il y a ce que les anglophones appellent « purpose », ce pour quoi on est fait, notre apport au Monde, qui au départ, était tourné vers soi.
Merci la pleine conscience pour cette ouverture à moi, qui finalement se « donne » au reste du monde.