Maison Franceschi Vanwinghe Généalogie

Maison Franceschi Vanwinghe Généalogie 🌿Bienvenue sur la page de généalogie des familles Franceschi & Vanwinghe ! 🌿
Ici, nous rassemblons nos deux familles. Bienvenue parmi nous ! 💫

Qu’il s’agisse de branches italiennes, belges ou d’autres racines encore à découvrir.

30/07/2025

🧭 “Qui recherche des ancêtres en Italie ou en Belgique ?”

Et si on s’entraidait ?

Je cherche en ce moment dans les archives de Calci (Italie) et Diest (Belgique).
➡️ Commentez avec vos communes de recherche principales : vous pourriez croiser d’autres passionnés dans la même région !

📍Nom de la commune
📜 Dates concernées
🙋‍♂️ Ce que vous cherchez (naissance, décès, etc.)

28/07/2025

SONDAGE

🗂️ “Sur quel site faites-vous vos recherches généalogiques ?”
Il existe plein de plateformes pour explorer nos ancêtres… Et chacun a ses préférences !

🧐 Et vous, sur quel site passez-vous le plus de temps ?
✅ Geneanet
✅ Filae
✅ Ancestry
✅ Archives départementales
Dites-moi en commentaire ce que vous aimez ou ce qui vous manque !

19/07/2025

Crépuscule d’un patriarche (1914–1917)
Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, Michael a 81 ans. La Belgique est envahie. Les troupes allemandes passent, les campagnes sont réquisitionnées, les hommes plus jeunes sont mobilisés. Michael, lui, vit ses dernières années dans une commune occupée, mais dont l’esprit résiste. À Overijse, on continue de célébrer discrètement les traditions : les messes en flamand, les chants populaires, les contes au coin du feu.
Il s’éteint le 28 mars 1917, à 84 ans, alors que la guerre fait encore rage. Son décès marque la fin d’une époque : celle des paysans du XIXe siècle, enracinés dans un monde rural, chrétien et communautaire. Mais sa descendance, nombreuse, prolongera son héritage dans le Brabant et au-delà.

18/07/2025

Un homme du XIXe siècle face à la modernité (1880–1908)
La fin du XIXe siècle transforme la Belgique : le pays s’industrialise, Bruxelles s’étend, le chemin de fer arrive jusque dans les campagnes. À Overijse, les cultures traditionnelles se modernisent, mais Michael reste fidèle à son sol. Ses enfants se marient, certains restent à Overijse, d'autres partent vers Bruxelles, la capitale en pleine mutation haussmannienne.
Le mariage de son fils Henri en 1908, à Huldenberg, donne lieu à un contrat chez le notaire Vandevelde. Michael, désormais âgé, est encore actif et présent dans les grands moments familiaux.

17/07/2025

Une famille sous la bannière rurale (1858–1883)
En avril 1858, à son retour du service militaire, Michael épouse Juliana Paternoster, une femme de ménage originaire du quartier de la Kouterstraat. Ensemble, ils fondent une famille nombreuse : six enfants naissent entre 1864 et 1883.
Michael est agriculteur, comme ses parents avant lui. Il laboure les champs de Virogde, petit hameau d’Overijse. Il cultive sans doute du seigle, du froment, des pommes de terre, et peut-être un peu de vigne. Il participe aux marchés agricoles, aux processions religieuses, aux fêtes locales comme la Sint-Martinusprocessie et les danses villageoises au son des cornemuses

̂tres ́néalogie

16/07/2025

Une jeunesse dans une Belgique en construction (1830–1858)
Michael naît seulement trois ans après la révolution belge de 1830. Le jeune royaume, encore instable, est en quête d’identité. Dans les campagnes, la vie suit le cycle des saisons : semailles, moissons, vendanges. Overijse, célèbre pour ses vignes et son vin de table, célèbre chaque année la fête des raisins — une tradition qui perdure encore.
À 20 ans, Michael perd son père, puis sa mère quatre ans plus t**d. Enfant de la terre, il hérite de la responsabilité du domaine familial. Comme tous les jeunes hommes, il passe par la case militaire : en 1858, il est incorporé dans le 1er régiment de chasseurs à cheval à Namur. L’Europe bruisse alors de tensions : la guerre de Crimée s’est achevée, les premiers mouvements nationalistes italiens et allemands s’activent.

15/07/2025

Michael Vanderwaeren – Un homme enraciné dans la terre d’Overijse
— Naissance à la Veeweyde (1833)
Le 7 février 1833, dans la paisible commune d’Overijse, située entre vignes et forêts, naît Michael Vanderwaeren, au lieu-dit Veeweyde, une prairie de pâturage typique de cette région vallonnée du Brabant flamand. Fils de Jacobus (Jacques) Vanderwaeren, cultivateur, et de Joanna Carels, il est le troisième enfant d’une fratrie paysanne bien enracinée. L’odeur de la terre fraîchement retournée, les cloches de l’église Saint-Martin et les marchés du samedi matin sur la place du village rythment son enfance.

11/07/2025

Une mémoire entre deux rives : héritage à Bagni San Giuliano
Restée en Toscane, la famille Saviozzi perpétue la mémoire de Giovanni : ses enfants grandissent dans l’ombre de son sacrifice. Les traditions du village — la bénédiction des eaux, les processions des saints protecteurs des malades, la fierté des artisans — continuent de rythmer la vie.
Bagni San Giuliano, au fil du temps, deviendra un lieu prisé des visiteurs, mais portera toujours en elle les récits de ces hommes partis loin chercher fortune. Le nom de Giovanni s’inscrit dans cette histoire collective, entre les pierres des thermes et les cyprès des collines.

́néalogie

10/07/2025

L’exil et la quête d’un avenir au Brésil (1892-1894)
Comme de nombreux Toscans confrontés aux difficultés économiques (crise des cultures traditionnelles, déclin du petit artisanat), Giovanni prend la décision de partir. En 1894, il rejoint le Brésil, où l’Empire devenu république attire les Européens pour ses promesses de terres et de travail.
Mais ce rêve d’ailleurs tourne court : à Espírito Santo, une colonie en plein essor agricole, Giovanni succombe à la fièvre jaune le 5 juillet 1894. Il meurt loin des collines douces de Bagni San Giuliano, dans un monde inconnu, marqué par la dureté des plantations et les épidémies qui frappent les migrants.

09/07/2025

L’âge adulte : père de famille et héritier des traditions (1880-1892)
À l’image des hommes de sa génération, Giovanni participe à la vie communautaire, dans une Toscane rurale encore marquée par les usages ancestraux : vendanges collectives, fêtes des moissons, veillées où l’on conte les légendes des collines pisanes.
Dès 1882, il devient père d’Erina, puis d’une nombreuse progéniture (Guglielma, Enrico, Gina, Elio…). Il habite Bagni San Giuliano et partage sans doute les espoirs d’une Italie en quête de modernité : arrivée du chemin de fer proche, premiers projets d’assainissement des sources, développement de l’hôtellerie thermale.
La Toscane rurale reste cependant une terre d’émigration, car la pauvreté et la crise agricole frappent durement les familles comme celle des Saviozzi.

08/07/2025

Vie de SAVIOZZI Giovanni Battista (1862-1894)
Une enfance au cœur des eaux de Bagni San Giuliano (1862-1880)
Giovanni voit le jour le 30 avril 1862 à Bagni San Giuliano, petite localité réputée depuis l’Antiquité pour ses sources thermales aux vertus curatives. Fils de Ranieri, chausseur, et d’Ersilia Fantoni, il grandit dans un village où les traditions artisanales (cordonniers, tisserands) et l’accueil des curistes rythment la vie.
Dans l’Italie nouvellement unifiée (1861), la Toscane connaît des bouleversements : fin des privilèges du Grand-Duché, arrivée des premiers voyageurs étrangers attirés par les bains. Giovanni, comme beaucoup d’enfants du village, fréquente l’église de Rigoli et Carliano, marquée par les fêtes religieuses et les processions honorant la Vierge et les saints protecteurs des eaux.

Adresse

Marseille

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