13/12/2025
Des conflits qui se répètent. Des discussions interminables. Un épuisement émotionnel.
Quand une relation devient difficile, on cherche un responsable.
Mais bien souvent, le problème n’est pas la personne qui est en face. C’est la position dans laquelle chacun se retrouve.
Le triangle de Karpman décrit trois postures relationnelles courantes : victime, sauveur et persécuteur.
Pas des identités. Des positions dans lesquelles on peut tous basculer, surtout sous le stress ou dans l’intimité.
La victime se vit comme impuissante et coincée.
Le sauveur aide trop, parfois sans demande, et finit frustré.
Le persécuteur attaque, critique ou durcit le ton pour reprendre du contrôle.
On peut passer de l’une à l’autre sans même s’en rendre compte.
C’est ce glissement qui entretient les conflits et abîme la communication.
Sortir de ce triangle émotionnel, ce n’est pas avoir raison.
C’est reprendre une posture adulte, consciente et responsable.
Celle qui permet enfin de choisir comment on communique, comment on agit, et ce qu’on accepte.