Révèl’EssenCiel Kinésiologie

06/08/2025

🕊️ Dis-moi maman… c’est quoi le pardon ?
(Dialogue entre un enfant curieux et sa maman hautement éveillée, gardienne des vérités originelles)

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L’enfant (les yeux baissés) :
Maman… pourquoi faut-il pardonner ? Et puis d’abord… c’est quoi le pardon ?

La Maman (pose doucement sa main sur son cœur) :
Ah mon trésor… le pardon, ce n’est pas ce que l’on t’a souvent dit. Ce n’est pas oublier. Ce n’est pas excuser. Ce n’est pas laisser passer. Et ce n’est surtout pas dire que c’était « normal ».

L’enfant :
Mais alors… c’est quoi ?

La Maman (regarde dans ses yeux) :
Le pardon, c’est une libération. Ce n’est pas quelque chose que tu donnes à l’autre. C’est quelque chose que tu te rends à toi-même. Le pardon, mon amour, c’est l’acte sacré de se détacher du poison que l’on a avalé, pour ne plus continuer à se faire mal à l’intérieur, à cause de ce qui s’est passé à l’extérieur.

L’enfant (surpris) :
Mais… si quelqu’un m’a fait du mal, c’est lui le problème, pas moi ?

La Maman (hoche la tête) :
Oui, c’est vrai. Ce n’est pas toi qui as fait le mal. Mais si tu gardes cette douleur en toi, si tu y penses sans cesse, si tu rumines, si tu respires la colère… alors c’est toi qui souffres encore. Et ton cœur, il se referme, il se crispe, il se durcit.

Pardonner, ce n’est pas dire : « Ce que tu m’as fait est acceptable. »
Pardonner, c’est dire : « Ce que tu m’as fait ne m’empêchera plus d’aimer. »

L’enfant (les larmes aux yeux) :
Mais parfois… c’est trop dur. Il y a des choses qu’on ne peut pas pardonner…

La Maman (le prend dans ses bras) :
Je sais, mon cœur. Il y a des choses très dures. Des trahisons. Des abandons. Des violences. Des humiliations.
Et parfois, le pardon ne vient pas tout de suite. Ce n’est pas une obligation.
Mais c’est une porte.
Une porte qui te permet, un jour, de ne plus laisser cette douleur écrire ton histoire.

L’enfant :
Mais si je pardonne… est-ce que ça veut dire que l’autre a gagné ?

La Maman (sourit doucement) :
Non, mon amour. Quand tu pardonnes, c’est toi qui gagnes.
Tu reprends ton pouvoir. Tu dis : « Ce que tu m’as fait ne me définira pas. »
Tu te désenlaces de l’événement. Tu redeviens libre.
Tu ne vis plus en réaction, mais en création.

L’enfant :
Et si l’autre ne regrette même pas ?

La Maman :
Alors c’est encore plus important. Parce que tu ne pardonnes pas pour lui, mais pour toi.
Il y a des gens qui n’avoueront jamais leurs torts, qui ne demanderont jamais pardon.
Mais ton cœur, lui, a le droit de ne plus être enchaîné à leur ignorance.
Le pardon, c’est la fin de l’attente. C’est toi qui te donnes la permission d’avancer.

L’enfant :
Mais comment on fait, maman ? Pour pardonner vraiment ?

La Maman (ferme les yeux un instant) :
On commence par ressentir. On ne peut pas pardonner ce qu’on n’a pas reconnu. Alors d’abord, on dit à voix haute tout ce qui fait mal. On crie. On pleure. On écrit. On laisse sortir.
Puis… un jour, on sent que c’est le moment.
On dit :
« Je ne veux plus porter cette charge. Je me rends ma liberté. Je choisis la paix. »
Et parfois, on doit le redire plusieurs fois. Ce n’est pas un bouton magique.
C’est un chemin d’allègement. Un souffle après l’autre.

L’enfant (pose sa tête sur son épaule) :
Et si c’est moi qui ai fait du mal à quelqu’un ?

La Maman (le berce) :
Alors tu peux aussi te pardonner. Parce que tu ne savais pas tout à ce moment-là. Tu as fait avec ce que tu étais. Et parfois, on apprend en blessant.
Mais si tu as compris… alors grandis. Aime plus fort. Répare, si tu peux.
Et surtout : ne reste pas prisonnier de ta culpabilité. Elle n’éclaire rien.
Le vrai pardon commence souvent par soi.

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L’enfant (fermant les yeux) :
Alors maman… quand je pardonne, c’est comme si je reprenais mon âme en main ?

La Maman (en chuchotant) :
Oui, mon trésor.
Le pardon, c’est quand l’âme dit :
« Je ne suis plus une blessure. Je suis une lumière. »

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🕊️ Et toi qui lis… y a-t-il quelque chose ou quelqu’un que tu portes encore ? Et si, aujourd’hui, tu décidais de te délester, non pas pour oublier… mais pour ne plus te diminuer ? Le pardon ne change pas le passé. Il change la façon dont tu vis le présent.

Source Stéphane Thomas Berbudeau 🙏🏼

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Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie
Maison de Santé - Saint Sorlin En Valloire
Regroupement Santé Paramédical - Peaugres

26/07/2025

Matinée Ardéchoise au Regroupement Santé Paramédical - Peaugres ❤️



Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie

18/07/2025

Conte : L’éléphant et le lion – Le poids de l’humilité

Il était une fois, au cœur d’une immense savane dorée d’Afrique, deux bêtes que tout opposait : l’éléphant, le géant paisible, et le lion, le roi orgueilleux.

Le lion, convaincu que sa crinière dorée, ses crocs puissants et son rugissement terrifiant faisaient de lui le maître incontesté de tous les animaux, n’acceptait pas qu’on puisse admirer un autre que lui. Pourtant, à chaque passage de l’éléphant, les animaux se courbaient de respect.

— Pourquoi tout le monde respecte ce lourd pachyderme ? grondait le lion. Moi, je suis le roi ! Lui, ce n’est qu’un gros ventre sur quatre pattes !

Le vieux caméléon, témoin de sa jalousie, lui dit un jour :

— Le respect qu’on donne à l’éléphant, ce n’est pas à cause de sa taille, mais à cause de son cœur.

Mais le lion se mit à rire.

— Un cœur ? On ne dirige pas une forêt avec un cœur, mais avec des crocs et du sang !

Alors le caméléon proposa un défi.

— Organisons une épreuve. Tous les animaux y assisteront. Celui qui triomphera dans le cœur des bêtes sera celui qu’on respectera pour toujours.

Le lion accepta avec fierté. L’éléphant, lui, sourit calmement.

— Je n’ai rien à prouver. Mais si cela peut ramener la paix dans les cœurs, je participerai.

Le jour venu, tous les animaux s’assemblèrent : des oiseaux dans les arbres, des antilopes au loin, des singes curieux dans les branches.

Le défi était simple : sauver un village d’animaux piégé par un feu de brousse, au-delà de la rivière.

Le lion bondit le premier. Il courut à toute vitesse, mais arrivé devant la rivière en furie, il hésita. L’eau était profonde et rapide. Il rugit de frustration, tourna autour, mais ne put traverser.

L’éléphant arriva, paisible. Il ne courut pas. Il entra dans l’eau, chaque pas lourd mais stable. L’eau lui arriva jusqu’aux épaules, mais il continua. Bientôt, il atteignit l’autre rive. Il utilisa sa trompe pour porter les petits animaux, sa force pour déraciner un arbre et ouvrir un passage. Il créa un chemin de terre avec ses pas pour que les autres puissent suivre.

Quand tous les animaux furent sains et saufs, il ne dit rien. Il ne réclama ni acclamations, ni couronnes.

Mais cette fois, même les plus fiers s’inclinèrent.

Le lion, humilié, baissa la tête. Il s’approcha de l’éléphant et dit :

— Je croyais que le pouvoir venait de la force, mais je vois que la véritable grandeur vient de l’humilité et du service.

L’éléphant répondit avec douceur :

— Celui qui cherche à être craint sera un roi seul. Celui qui sert les autres sera un roi dans les cœurs.

Depuis ce jour, le lion changea. Il apprit à écouter, à protéger sans orgueil. Et l’éléphant, lui, resta comme toujours : silencieux, fort et humble, aimé de tous.

Morale :
La véritable grandeur ne réside pas dans la force ou la domination, mais dans l’humilité, le service et le respect des autres. Celui qui s’élève trop haut sans sagesse finit toujours par chuter, tandis que celui qui reste humble s’élève dans les cœurs.

Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie
Maison de Santé - Saint Sorlin En Valloire
Regroupement Santé Paramédical - Peaugres

10/07/2025

Un jour, j’ai entendu mon père dire :
« Dans une relation, il y aura toujours quelqu’un qui aimera plus.
Il y aura toujours quelqu’un qui se soumet, et un autre qui domine.
Et presque toujours, celui qui se soumet est celui qui finit par aimer le plus. »

Je n’ai rien compris à ce jeu de mots, alors je lui ai demandé de m’expliquer.

Alors il m’a pris la main et m’a dit :
« Tu sais, dans une relation, il y aura toujours quelqu’un qui pardonne l’impardonnable,
qui supporte l’insupportable,
qui accepte l’inacceptable,
et le pire de tout : qui justifie ce qui ne devrait jamais l’être. »

Ces personnes-là aiment pour deux.
Et même si beaucoup jugent cet amour, pensant qu’il manque d’amour-propre,
c’est en réalité l’amour le plus rempli d’espérance qui soit.
Car entre chaque pardon, entre chaque "je vais tenir encore un peu",
il y a une goutte d’espoir qui murmure :
"Essaye encore une fois, peut-être que cette fois-ci, la personne que tu aimes tant changera."

On parle beaucoup de ça,
et peut-être que c’est exactement ce que tu verras dans la vie :
quelqu’un qui aime pour deux.

Et ne juge jamais cette personne,
car elle mène un combat intérieur entre s’aimer soi-même… ou aimer quelqu’un d’autre.
Car ce qu’il y a de plus difficile à trouver,
c’est quelqu’un qui te laisse l’aimer sans t’obliger à cesser de t’aimer toi-même.

Je lui ai alors répondu :
« Je comprends… mais cette personne ne se lasse-t-elle jamais d’aimer de façon aussi cruelle ? »
Je me souviens qu’il m’a souri et m’a dit :

« C’est ça, la meilleure partie…
parce que cette personne, un jour, arrête d’aimer.
Et alors, l’autre se rend compte qu’il a perdu
la plus grande preuve d’amour qu’il aurait pu recevoir dans sa vie.
Et crois-moi,
c’est la pire chose qui puisse arriver à quelqu’un :
avoir eu face à soi l’amour le plus fidèle…
et s’être distrait à regarder des cœurs qui n’étaient que de passage. »

Il m’a pris dans ses bras et m’a dit :
« Je prie Dieu pour que jamais tu ne tombes sur une personne comme ça…
mais je Le supplie encore plus pour que jamais tu ne sois celle qui se soumet à l’autre. »

— Make Me Read ©️✍️

Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie
Maison de Santé - Saint Sorlin En Valloire
Regroupement Santé Paramédical - Peaugres

09/07/2025

POURQUOI LES GENS NE GUÉRISSENT PAS ?

"Parce que la guérison est très désagréable ! Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passé, de cesser d’être une victime et la peur du changement.

Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.

La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures.

La seule raison de nourrir et de garder le passé vivant, c’est l’amertume de ce qui s’est passé. Refuser de pardonner à un événement ou à une personne du passé produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites.
Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres pour les blessures qu’ils ont causées.

Quand nous arrivons à voir un événement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet événement reflue vers les circuits énergétiques de notre corps physique.

Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime.

La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations. En cela, le changement peut être effrayant !

Il est facile de rester dans un circuit d’attente en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire alors que c’est rarement vrai. En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence.

Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.

La guérison nécessite une action comme manger correctement, faire de l’exercice quotidiennement, penser autrement, … qui produit des changements sains dans le physique.

Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps. Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’Énergie sont intimement liées." 🕊💫

Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie
Maison de Santé - Saint Sorlin En Valloire
Regroupement Santé Paramédical - Peaugres

05/07/2025

Ma mère m'a dit un jour : « Si quelqu'un te fait du mal, pardonne-lui, mais n'oublie jamais ce qu'il a fait. » Ce conseil m'a toujours guidé chaque fois que je rencontrais de nouvelles personnes. Pourtant, cela devient parfois épuisant. C'est décourageant de faire preuve de gentillesse et de ne recevoir que de la douleur en retour, d'admirer quelqu'un pour être trahi dans son dos.

Un jour, j'ai demandé à ma mère : « Maman, est-ce qu'ils méritent vraiment mon pardon ? »

Elle a souri, repoussant une mèche de cheveux derrière son oreille.

« Tout le monde mérite d'être pardonné », a-t-elle dit. « S'ils t'ont fait du mal une fois, ils méritent une chance. S'ils le font deux fois, donne-leur une autre chance. Mais s'ils t'ont fait du mal une troisième fois, il est temps de te pardonner. »

Déconcerté, je l'ai regardée avec des yeux interrogateurs. Elle a ri doucement.

« Pardonne-toi d'avoir cru en eux, pour être déçu. Pardonne-toi d'avoir trop fait confiance. Pardonne-toi d'avoir donné une autre chance, en pensant que cela arrangerait les choses. Et, ma chère, donne-toi la chance d'être libre – libre de la haine et de la vengeance, libre de ton passé. »

De nombreuses années plus t**d, j'ai appris que mon père avait trompé non pas une, mais trois fois. Les deux premières fois, ma mère lui a pardonné, mais la troisième fois l'a laissée dévastée et le cœur brisé.

Je lui ai demandé si elle détestait maintenant papa, et elle a simplement souri et secoué la tête.

« Mon cœur n'a pas de place pour la haine », a-t-elle dit. « Je ne mérite pas d'en souffrir. Je lui ai pardonné, mais cela ne veut pas dire que j'ai oublié. Quand il me verra sourire malgré tout, il saura qui a vraiment souffert. »

Elle a ajouté : « La meilleure chose que tu puisses faire pour quelqu'un qui t'a blessé est de vivre une vie meilleure. Montre-lui ce qu'il a perdu en trahissant ta confiance, et comment ses actions t'ont aidé à grandir et à aller de l'avant. »

À ce moment-là, j'ai compris la profonde vérité de ses paroles. Sans sa sagesse, je serais peut-être encore hanté par des choses qui n'étaient pas de ma faute. Sa sagesse m'a appris que pardonner, c'est se libérer et permettre à son cœur de trouver la paix.

Via la page "Coach Noël"

Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie
Maison de Santé - Saint Sorlin En Valloire
Regroupement Santé Paramédical - Peaugres

05/07/2025

03/07/2025

Parfois, une femme adulte choisira la solitude —
Non par froideur ni par distance, mais comme un acte profond d’autopréservation. C’est un choix né de l’expérience, des tempêtes de drames, de bruit et de chaos émotionnel. Elle a appris, souvent à ses dépens, que sa paix est sacrée, et que parfois, le geste le plus courageux qu’elle puisse poser est de s’éloigner pour la protéger.

Quand elle se retire, ce n’est pas qu’elle s’en fiche.
Au contraire, c’est parce qu’elle tient profondément à son propre bien-être, à sa guérison, et aux parties fragiles de son âme qui ont encore besoin de tendresse. Elle sait désormais que tout le monde ne mérite pas une place au premier rang de sa vie — surtout ceux qui épuisent son énergie ou troublent sa quiétude.

Sa solitude est son sanctuaire, un lieu doux et paisible où elle peut respirer librement, penser avec clarté, et reconstruire doucement les morceaux d’elle-même que le monde a tenté de briser.

Se choisir, ce n’est pas de l’égoïsme ; c’est une question de survie.
C’est une sagesse acquise dans la douleur et forgée par la résilience. Dans ces instants de calme, elle n’exclut pas les autres : elle s’accueille elle-même. Elle crée un espace sacré où son cœur peut se reposer, son esprit retrouver la clarté, et son âme rassembler la force d’affronter à nouveau le monde — mais cette fois, à ses propres conditions.

Alors, si tu remarques qu’elle devient silencieuse, ne confonds pas cela avec de l’indifférence ou de la faiblesse.
Ce silence est un puissant acte d’amour de soi.
C’est sa manière de dire :
« Ma paix n’est pas négociable. Je ne la sacrifierai pour rien ni pour personne. »
Et cette force — tranquille, ferme et inébranlable — mérite plus que tout le respect.

À chaque femme qui a appris à honorer ses limites et à protéger sa paix :
tu es puissante, tu es sage, et tu mérites chaque parcelle du sanctuaire que tu bâtis pour toi-même.

Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie
Maison de Santé - Saint Sorlin En Valloire
Regroupement Santé Paramédical - Peaugres

02/07/2025

Un magnifique film d'animation pour aborder le sujet du deuil en douceur :

https://papapositive.fr/le-cerf-volant-un-magnifique-court-metrage-pour-aborder-le-deuil-avec-les-enfants/

Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie
Maison de Santé - Saint Sorlin En Valloire
Regroupement Santé Paramédical - Peaugres

01/07/2025

Non, la kinésiologie ce n’est ni de la sorcellerie, ni de la voyance.
Nous ne sommes ni médiums, ni gourous, ni «lanceurs de vérités».

En kinésiologie, nous utilisons le test musculaire : un outil simple et puissant. Quand le corps subit un stress, le tonus musculaire change. Le corps enregistre tout ce qu’il vit : c’est ce qu’on appelle la mémoire cellulaire. Contrairement à la tête, il ne ment pas, ne nie pas, ne fuit pas.

Mais attention :
On ne cherche pas LA vérité.
On ne fait pas d’enquête.
On ne cherche pas à prouver.
On identifie des stress, des déséquilibres, des blocages.

Il est donc dangereux et inacceptable d’utiliser le test musculaire pour affirmer :
«Vous avez subi ça à tel âge»,
«Ce n’est pas votre père»,
«Je vous dis LA vérité, arrêtez de croire tout ce qu’on vous a dit jusqu’à maintenant »…
Ce n’est ni fiable, ni déontologique, ni respectueux. Et cela peut laisser des blessures profondes.

En séance, une personne nous confie son corps et son inconscient. Elle est vulnérable. Notre posture doit être sécure, humble et cadrée. On écoute, on accompagne, on équilibre, dans la bienveillance.
On ne « balance » pas. On ne juge pas. On ne joue pas à deviner.
Notre rôle n’est pas de tout expliquer, encore moins de créer de nouvelles blessures.
Le dialogue se fait avec le corps, pas avec l’ego.

La kinésiologie est un outil formidable : elle utilise le test musculaire pour identifier les stress, mettre « en vibration » le corps pour pouvoir l’équilibrer au mieux, en puisant dans des approches variées (MTC, brain gym, visualisation…). Mais elle demande un cadre, une formation, une supervision.
À nous de l’utiliser avec éthique et conscience.

Nous avons un diamant entre les mains. À nous de ne pas le transformer en arme.



Source : Sandra proche 🙏🏼😊

Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie
Maison de Santé - Saint Sorlin En Valloire
Regroupement Santé Paramédical - Peaugres

25/06/2025

🔀 CHANGEMENT 🔀

Qu'est-ce que tu veux VÉRITABLEMENT ?🤔
✔️Je ne te parle pas de ce que tu veux dans tes mains, mais ce que tu veux dans ton COEUR.

Qu'est-ce que tu désires PROFONDÉMENT ?🧐
✔️Sans avoir de mots, mais juste de SENSATIONS.

Qu'est-ce que tes peurs t'empêchent d'ACCOMPLIR ?🤔
✔️Pour être dans ta vie de rêve, et ne plus te demander comment sortir de ta prison ?

Qu'est-ce qui t'empêche d'être LIBRE ?🦋
✔️Pour rire et sourire en illimité,
✔️Pour j***r de l'expression de ton être tout entier.

Qu'est-ce que tu ATTENDS ?🧐
✔️Pour sortir de ta torpeur, et enfin aller vers ton bonheur.

👉 Tes émotions te parlent,
Ton corps te secoue,
Écoute tes peurs,
Celles qui te disent de changer,
Et non celles qui te disent de forcer,
Et tu pourras enfin te LIBERTÉ.🕊💎

Céline Marion
Révèl’EssenCiel Kinésiologie
Maison de Santé - Saint Sorlin En Valloire
Regroupement Santé Paramédical - Peaugres