Fabrice Branchu - Psychothérapie Relationnelle Saint Hilaire des Loges

15/07/2025

09/05/2025

La santé mentale, grande cause nationale ? Sur le papier, peut-être. Mais dans la réalité, les structures craquent, les jeunes souffrent, et les soignants alertent.
➡️ https://l.franceculture.fr/KNZ

04/04/2025

😰Vous avez du mal à gérer le stress, l’anxiété, ou la culpabilité qui vous pèsent au quotidien ? Prendre des décisions devient difficile et vous vous sentez parfois bloqué(e) ? Si vous cherchez à mieux comprendre vos émotions et à retrouver un peu de sérénité, il est peut-être temps de vous faire accompagner.

🤔Dans la vie, chacun traverse des moments où les émotions prennent le dessus. Que ce soit des difficultés à faire des choix, à affronter l’incertitude, ou à vous libérer du poids des attentes des autres, il est normal de se sentir perdu(e) par moments. Un accompagnement peut vous aider à faire le tri et à mieux vivre ces périodes.

😓 Il n’est pas facile de savoir par où commencer pour aller mieux. Avec un suivi personnalisé, vous pouvez apprendre à identifier vos émotions, à comprendre ce qui vous freine, et à trouver des solutions concrètes pour avancer, à votre rythme et selon vos besoins.

😊Que ce soit pour apaiser votre anxiété, sortir du doute, ou mieux gérer les décisions du quotidien, un espace de parole sans jugement peut être le premier pas vers un changement. Le but est de vous sentir plus léger(e), plus clair(e) dans vos choix, et plus en paix avec vous-même.

🧐Vous voulez mieux vous comprendre et mieux identifier vos désirs ? Prenons rendez-vous pour une première séance, en visio ou en cabinet, et commençons ensemble à alléger ce qui vous pèse.

Et le paragraphe:

Je m’appelle Fabrice, thérapeute spécialisé dans les émotions. Mon approche est centrée sur vous et votre singularité, car personne ne vit ses émotions de la même manière. J’exerce en cabinet entre Niort et Fontenay-le-Comte ou en visio. J’aime la nuance ce qui n’empêche pas de vivre de manière engagée,ce qui m’amène à accompagner les personnes avec humilité et authenticité.

02/04/2025

07/10/2024

Si la scène peut prêter à faire sourire, il est ici question d’un sujet que nous vivons tous et que nous avons tendance à chercher à éviter. Il s’agit de la finitude.
Au cours de notre existence, nous sommes amenés à vivre de multiples fins. Notre mort étant la dernière. Fin de projet, fin de vacances, fin de journée, fin d’histoire d’amour, départ des enfants de la maison… Toutes ces fins sont douloureuses à vivre d’une certaine manière et nous amènent à développer des habitudes pour éviter de les vivre.
A travers le partage que je m’apprête à livrer, j’espère apporter une maigre contribution à ce que c’est que d’être humain, à montrer qu’au-delà de nos nombreuses différences de goûts, de croyances, il y a certains éléments de la vie qui nous réunissent tous, la finitude en étant un.

Cet été, alors que je rentrais d’une randonnée qui m’avait fait le plus grand bien, je me suis vu en train de tapoter de manière frénétique sur mon téléphone pour trouver un nouveau périple à effectuer.
Vite, vite, me disais-je, il faut trouver un nouveau projet, il ne faut surtout pas que cela s’arrête.
Je ressentais une espèce de précipitation, le cœur en alerte comme s’il en allait de ma vie. C’était absurde et cette attitude suscitait chez moi l’incompréhension. J’étais pourtant las et content que cela se termine mais je n'arrivais pas à m'en empêcher. C’était plus fort que moi. J’avais peur…peur d’oublier que j’aimais ça, peur que le retour du quotidien m’amène à mettre de côté quelque chose qui m’animait, peur de ne pas avoir la force de me relancer. Ces nombreuses peurs, dont tout le monde semble se fiche éperdument, je les ressentais très fortement.
Agacé de voir que la peur était encore aux manettes (dans ma vie c’est très fréquent), j’ai alors décidé de lâcher ce satané portable pour voir ce qu’il allait advenir. J’ai commencé à ressentir une sensation désagréable mais familière. Le vide, cette sensation physique au creux de mon estomac qui me rappelle à quel point si je n’agis pas, je ne suis rien. Puis j'ai été assailli par la tristesse de m’apercevoir que ce moment délicieux se terminait. Quoi que je fasse, il s’éloignait de moi. J’en avais les larmes aux yeux. Jamais plus je ne le revivrais de cette manière. C’était désespérant.
Mais plus je restais au contact de cette tristesse, plus elle devenait agréable. Ce moment devenait presque savoureux, un peu comme les bonbons acidulés, piquant et vivifiant. Je vivais un moment intense sans rien faire…ce qui a suscité à ma grande surprise de la joie. La joie d'être en vie, de me remémorer tous ces gens que j’ai croisé et qui à leur manière font partie de mon périple, la joie d'avoir partagé cela avec ma compagne.

Il m’a fallu une semaine pour « digérer » et retrouver l’envie de me lancer dans un nouveau projet.

Si je crois que c’est à chacun de définir ce que veut dire vivre pleinement, considérer que la fin fait partie intégrante de la vie est à mon sens une bonne manière de vivre pleinement la vie.

26/08/2024

Lorsqu'elle est choisie, la solitude peut aussi être une source de bonheur.
Pour ma part, elle me permet de me remettre à l'endroit suite aux diverses interactions sociales, de faire le tri dans mes pensées, sur les choses qui m'ont touchées, heurtées et de faire le tri entre ce qui m'appartient et ce qui ne dépend pas de moi.

Conjuguée à la course à pied, elle me permet souvent de me relier à mon intuition, à une certaine forme de créativité, qui me fait me sentir pleinement vivant et rend ma vie digne d'être vécue.

Et vous comment vivez-vous la solitude ?

12/06/2024

Souffrir d'une dépression, d'un burn out ou d'un profond mal-être finit inexorablement par amener les personnes en arrêt de travail.

Ces arrêts de travail, ces ruptures dans un quotidien bien huilé sont souvent mal vécus par les personnes en arrêt ce qui ajoute de la souffrance à une souffrance déjà bien présente. Le regard des autres, son propre regard sur soi en train de ne rien faire, le désoeuvrement, les moments d'intense désespoir...

Pourtant, ce n'est pas parce que vous êtes à l'arrêt qu'il n'y a pas de changements qui s'opèrent. Faire l'expérience du rien, de l'abandon de soi, de la coupure avec les relations sociales peut aussi être vu comme de nouvelles expériences de vie qui peuvent vous permettre de vous découvrir. Cela permet aussi de se poser les questions sur vos envies, vos attentes, vos espérances.

Ralentir le cours des choses, permet d'ouvrir beaucoup plus grand les yeux si tant est que vous vous autorisez à vivre ces expériences.

11/06/2024

Rêver sa vie c'est déjà épuisant, mais vivre ses rêves l'est encore plus.
Ceci dit, le problème pour nombre d'entre nous c'est qu'avant de vivre ses rêves, encore faut-il en avoir ou savoir ce que l'on désire.

Pour ma part, je n'ai jamais eu de rêves suffisamment stimulant qui me permette de m'y engager plus qu'une journée ou deux.

Ce qui a changé ? C'est que je ne cherche plus exclusivement les progrès hors de moi (notamment le regard des autres) mais que je me sens progresser. Je ne cherche plus les raisons à l'extérieur de moi, mais je prends en compte mes désirs, mes aspirations et parfois les confronte à celles et ceux des autres.

Se sentir progresser en tant qu'être humain, en tant que personne, en tant que thérapeute, en tant que papa, en tant que compagnon de vie est une expérience qui vaut la peine d'être vécue et qui donne du sens à ma vie.
Finalement, loin des standards actuels, je crois qu'il n'est pas besoin de faire des choses extraordinaires pour vivre une vie pleine dès lors que les choses que nous vivons ont du sens pour nous.

En thérapie, j'invite souvent les personnes à décrire leurs expériences, leurs émotions, leurs pensées, leurs ressentis non pas pour la beauté du geste, mais parce que progressivement cela leur permet de mieux rentrer en contact avec leur propre expérienciation et avec la complexité qui sommeille en elles.
Le but étant à terme qu'elles deviennent plus conscientes d'elles mêmes et développent leur autonomie dans la réalisation de leurs désirs.

Vous pouvez en apprendre un peu plus sur moi et la thérapie que je propose en consultant mon site www.lesprofondheures.fr

07/06/2024

Pourquoi aller voir un psy ?

De toute façon ça sert à quoi d'en parler ?
J'ai toujours été comme ça.
Je ne suis pas à plaindre.
Ca ne m'a jamais rien apporté.

Et effectivement, en parler ne va pas changer la situation. Mais c’est peut-être le début de votre changement à vous, ce changement intérieur, intime, ce changement que nul autre que vous ne pourra percevoir. Et si jusqu'a maintenant ça ne vous a rien apporté, qui vous dit que ce sera encore la même chose ?

Oui, ça fait peur de s’embarquer dans un truc dont on ne connaît ni les tenants, ni les aboutissements, d'aller parler à un inconnu dans un lieu inconnu... Ces peurs, ces gènes, ces inconforts vous amène souvent à préférer votre mal-être plutôt que de prendre le risque de faire changer quelque chose. Ce n'est pas du masochisme, simplement la peur face à une situation inconnue et incertaine....et ça c'est humain.

Pourtant, la thérapie n'amène pas forcément à tout chambouler dans sa vie. Le changement peut aussi avoir lieu en nous. Devenir plus lucide sur soi, amène forcément à changer nos propres perceptions, à changer nos automatismes, à oser des modes d’être qui nous semblaient impossibles, à se sentir plus légitime, à se sentir plus sûr de soi, plus enraciné, plus ouvert.
La thérapie que je propose ne consiste pas à être analysé, ou à chercher des raisons de vos difficultés dans un passé lointain mais bien à chercher à vous comprendre en situation, à travers ce que vous vivez au quotidien.
Votre vécu de ces situations parle toujours de vous, de votre manière unique de vous relier au monde, de vos valeurs, de vos talents, de vos fragilités, de votre perception de vous même et du monde.
Si je n’ai pas le pouvoir de vous soulager de vos souffrances, si je prends le parti de ne pas savoir à votre place ce qui pourrait être bon pour vous, je m’engage de tout mon cœur à vous aider à vous élucider, à trouver vos propres clés pour faire face à ce que nous partageons tous, le simple fait d’être humain.

Et si, vivre est difficile, je crois profondément que nous avons tous le potentiel en nous de vivre une vie plus alignée et ancrée.

Si ça vous intéresse, vous pouvez me contacter au 06.19.35.62.61 ou prendre rendez-vous directement sur mon site internet www.lesprofondheures.fr

17/05/2024

Faire un choix consciemment ( en sachant pourquoi je fais ce choix et pas un autre) n'est pas si aisé que cela.

J’ai reçu un homme qui était dans un état de tension important alors que le sujet peut, de prime abord prêter à sourire.

Il était en proie à un dilemme important depuis plusieurs mois. Epris de 2 femmes il n’arrivait pas à choisir. L’une était sa compagne avec qui il était en couple depuis de nombreuses années et l’autre une fréquentation amicale pour laquelle il ressentait un profond désir. Pourtant il ne pouvait renoncer à sa compagne actuelle. Pensées incessantes, ruminations, le problème lui paraissait sans solution et empiétait de plus en plus dans sa vie.

Sa requête était simple, je devais lui dire laquelle choisir.
Après une première séance où j’ai été bousculé par tant d’aplomb et d’insistance dans sa demande, je lui ai expliqué que je n’étais pas là pour faire des choix à sa place, mais que je pouvais l’aider à clarifier la situation et à identifier ce qui avait le plus de valeur pour lui.

Après 4 séances, les choses étaient devenues claires et il savait ce qu’il voulait même si le fait de renouveler son choix tous les jours restait un effort puisqu'il devait renoncer à l'autre.

L’esprit désembué, il pouvait continuer son chemin.


Nous sommes tous traversés par des moments de confusion, de ruminations, de souffrances, de mal être et souvent, plutôt que d’aller voir quelqu’un pour en parler nous préférons souffrir silencieusement.
Les raisons invoquées sont souvent du type :

- Ce n’est pas grave.
- Il y a pire que moi.
- Ca va passer.
- Ca coûte cher.
- Ca va durer longtemps.

Mais si mettre un voile sur nos souffrances est une pratique courante chez nous les humains, malheureusement ça ne les fait pas disparaitre.

Alors si vous cherchez une approche qui consiste à vous rencontrer, à dialoguer, à chercher avec vous, n'hésitez pas à me contacter au 06.19.35.62.61 ou à prendre directement rendez-vous sur mon site internet www.lesprofondheures.fr

Au plaisir de vous rencontrer.

Fabrice

29/04/2024

La Thérapie Existentielle au féminin s’invite en Sud Vendée.😃

Deux manières différentes de vous accueillir, mais une volonté commune de vous aider à cheminer.

Bénédicte Murail Psychothérapie existentielle est installée sur la commune de Liez entre Fontenay le Comte et Benet.

Ma nouvelle vie commence...
J'ai l'immense plaisir de vous annoncer que j'ai obtenu l'autorisation de démarrer mon activité de Psychothérapie Existentielle.

Je suis donc habilitée à recevoir de la clientèle en cabinet ou en visio.

Pour + d'infos et me contacter, n'hésitez pas à parcourir mon site internet.
Et merci par avance pour vos partages 🧡

16/04/2024

Alain, la cinquantaine, cadre supérieur vient en consultation parce qu’il n’arrive pas à gérer sa colère. S’il a décidé de venir c’est parce que cette fois il a été violent avec une autre personne Il se fait peur et ne veut plus sortir afin d’éviter de croiser du monde. Il a terriblement conscience du plaisir qu’il peut prendre lorsque sa colère le submerge et se sent capable du pire dans ces instants.

Si lors des premières séances nous avons longuement échangé autour de la situation qui avait déclenché sa venue, nous avons progressivement élargi notre champ d’exploration.
Nous échangions à propos de situations banales de la vie quotidienne, le but étant d’accroitre la conscience de ce qu’il vivait au quotidien. Il s’est progressivement rendu compte que le problème n’était pas la colère, mais la peur et l’anxiété ressentie lorsqu’il ne savait pas ce que pensait l’autre et qu’il ne se sentait pas respecté. La colère était sa manière d’exiger de l’autre une réponse.

Pour gérer son anxiété (ou peur), il a alors commencé à élaborer mentalement une solution qui consistait « à se mettre le doute » (ce sont ces mots) afin de ne pas basculer dans la colère. Puis, il a osé sortir pour se tester en situation.
S’il a bien conscience que rien n’est gagné, il se sent progresser et a plus confiance dans sa capacité à faire face aux situations délicates. Il se découvre aussi plus à l’écoute des autres.

Ce qui me fait sourire et qui m’amène à penser que la vie est décidément coquine c’est que la « solution » d’Alain est la dernière que j’aurai donnée si j’avais été dans le conseil. En effet, dans ma vision du monde, je vis souvent mes doutes comme une calamité. Je m’aperçois que pour d’autres cela peut être une bénédiction.

Si le cheminement de chacun est unique (Alain est amené à douter de ces certitudes, le mien consiste à m’engager malgré mes doutes) nous avions tous les 2 crée des manières d’être qui nous permettaient d’éviter de nous confronter à l’incertitude et à l’anxiété.

Si la certitude est rassurante la confrontation à l’incertitude bien qu'anxiogène est aussi gratifiante et permet de vivre une vie plus libre… En l’occurrence Alain n’est plus l’esclave de sa colère.

*Alain est un pseudo