18/08/2025
🌍✨ 10 septembre 2025 – Le véritable sens du mouvement « Bloquons tout »
Par Stéphane Thomas Berbudeau
Depuis quelques semaines, circule un appel inédit : « Bloquons tout », une grève totale à partir du 10 septembre 2025.
L’idée ? Ne plus consommer, ne plus acheter, ne plus travailler, ne plus alimenter la machine, même juste une journée.
En surface, cela ressemble à une mobilisation sociale.
Mais sur le plan vibratoire, les Archives révèlent que c’est bien plus profond :
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🔎 1. Une vibration collective qui sature
Ce mouvement n’a pas été initié par un parti, un syndicat ou une institution. Il est né d’un soupir de l’âme collective. Comme si le peuple exprimait d’une seule voix : « Stop, on ne veut plus nourrir ce système. »
C’est un appel inconscient à débrancher la Matrice.
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⚖️ 2. Un double jeu en arrière-plan
• Du côté du peuple : c’est une tentative de couper l’alimentation du système, de reprendre un peu de souveraineté.
• Du côté du système : c’est aussi une occasion d’observer et de tester jusqu’où les gens sont prêts à aller. Les élites surveillent ce genre de mouvement pour mesurer notre dépendance réelle et préparer leurs récupérations.
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🔢 3. La date du 10/09/2025 n’est pas anodine
• Le 9 symbolise la fin d’un cycle, la mort symbolique.
• Le 10 annonce un nouveau départ, une complétude.
Placés ensemble, cela ouvre un portail de passage : soit une boucle qui se referme (frustration, illusion de victoire), soit un passage qui s’ouvre vers autre chose (autonomie, création d’un autre monde).
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⚠️ 4. Le danger si l’on reste en surface
Si cette journée n’est vécue que comme un boycott ponctuel, basé sur la colère et l’illusion de punir le système, alors :
• elle ne produira qu’une frustration passagère,
• le lendemain, tout reprendra comme avant,
• et l’énergie dégagée sera récupérée dans l’astral par ceux qui s’en nourrissent.
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✨ 5. Le potentiel lumineux si c’est vécu consciemment
Si ce 10 septembre devient plus qu’un boycott, il peut être une activation vibratoire :
• poser une intention claire de souveraineté,
• se demander « De quoi suis-je encore dépendant ? »,
• initier des gestes d’autonomie (réparer, créer, partager, échanger),
• utiliser ce jour pour se relier à d’autres dans la solidarité, la créativité, la conscience.
Alors, ce 10 septembre restera inscrit dans les Archives comme un jalon de bascule : le moment où une partie de l’humanité a choisi de ne plus nourrir la bête, et de commencer à bâtir autrement.
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⚡ Mon avis
Oui, je soutiens l’idée de couper ce jour-là. Mais pas seulement dans la matière.
Je choisis de le vivre comme un portail de conscience, en débranchant mes automatismes, mes dépendances, mes habitudes de consommation… et en les remplaçant par des actes d’autonomie vibratoire.
Le véritable enjeu n’est pas « bloquer le pays un jour ».
Le véritable enjeu est : « Comment arrêter, en moi, de nourrir le système chaque jour ? »
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