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Transformation 5 Je suis fuyant… mais je ne confonds plus liberté et fuiteJ’ai longtemps cru que garder mes distances, c...
19/08/2025

Transformation 5
Je suis fuyant… mais je ne confonds plus liberté et fuite

J’ai longtemps cru que garder mes distances, c’était protéger ma liberté.
Que moins je m’impliquais, plus j’étais libre.
Moins je me livrais, plus je gardais le contrôle.
Je disais que j’avais besoin de mon espace.
Et je le pensais sincèrement.

Mais à force de repousser les autres au nom de ma “liberté”,
je me suis enfermé dans une forme de solitude que je ne choisissais plus vraiment.
C’était devenu une habitude, pas un élan.
Un mécanisme, pas une respiration.
Je fuyais la fusion.
Mais j’avais aussi peur de la connexion.
Parce qu’elle m’obligeait à être là, entier.
Sans masque.
Sans stratégie.
Et ça, je ne savais pas faire.
Alors je choisissais “l’indépendance” à tout prix.
Mais à quel prix, justement ?
Celui de la chaleur, de la complicité, de la confiance construite à deux.
Celui de cette liberté plus vaste :
la liberté d’être moi en présence de l’autre.
Aujourd’hui, je ne cherche plus à me protéger derrière le mot “liberté”.
Je sais que la vraie liberté,
ce n’est pas fuir les liens,
c’est oser être libre dedans.

🌿 Rester en lien sans me perdre.
Aimer sans me dissoudre.
Donner sans me vider.
C’est possible.
Et c’est ça, maintenant, ma vraie voie.

💬 Et toi, as-tu déjà confondu “rester libre” avec “ne pas t’attacher” ?
Est-ce que ta liberté te nourrit… ou t’isole ?



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Transformation 4 Je suis fuyant… mais j’écoute ce que je ressens au lieu de m’échapperJ’ai mis du temps à comprendre que...
13/08/2025

Transformation 4
Je suis fuyant… mais j’écoute ce que je ressens au lieu de m’échapper

J’ai mis du temps à comprendre que je ne fuyais pas les situations.
Je fuyais les sensations.
Ce n’était pas le lien qui me faisait peur,
c’était ce qu’il réveillait en moi.
Le trouble.
L’incertitude.
Le frisson dans la poitrine.
Le mélange de joie et de panique.

Dès que je sentais une émotion monter — qu’elle soit belle ou dérangeante —
je coupais.
Je me détachais.
Je me distrayais.
Je devenais flou, distant, cérébral.
Je cherchais l’issue mentale pour échapper à ce que mon corps voulait me faire vivre.
J’ai été champion de la fuite intérieure.

Mais à force de partir, j’ai perdu le chemin du retour.
Et puis un jour, j’ai essayé.
Juste une fois.
De rester avec ce que je ressentais.
Pas pour le comprendre.
Pas pour le transformer.
Juste pour l’écouter.
J’ai fermé les yeux.
J’ai senti ce picotement dans la gorge,
cette chaleur dans les yeux,
ce nœud sous les côtes.
Et je n’ai rien fait.
J’ai juste laissé vivre ce qui voulait se dire à l’intérieur.
Ce jour-là, j’ai compris que ce n’était pas l’émotion qui faisait mal.
C’était la résistance à l’émotion.
Aujourd’hui, je ne me force pas à tout ressentir d’un coup.
Mais je ne m’échappe plus dès que ça bouge en moi.
Je me pose.
Je respire.
Je reste.

🌿 Parce qu’être présent à soi,
c’est cesser de fuir l’endroit où la vie commence :
dedans.

💬 Et toi, quelles sensations t’ont toujours semblé “trop” ?
As-tu déjà fui une émotion belle… parce qu’elle te dépassait ?



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Transformation 3 Je suis fuyant… mais j’ose rester un peu plusJe connaissais tous les chemins de sortie.Le silence bien ...
11/08/2025

Transformation 3
Je suis fuyant… mais j’ose rester un peu plus

Je connaissais tous les chemins de sortie.
Le silence bien placé.
Le changement de sujet.
L’humour qui évite.
L’activité soudaine.
La fatigue simulée.
Le "je suis bien tout seul" murmuré comme une vérité… alors que c’était une armure.
Je partais sans partir.

Mon corps restait là, mais mon cœur s’échappait déjà.
Dès que ça devenait trop profond.
Trop doux.
Trop vrai.
J’avais appris à me retirer pour ne pas être blessé.
Et c’est devenu un réflexe.
Presque un automatisme.
Mais à force de fuir ce qui me touchait,
je ne touchais plus rien.
Ni l’autre.
Ni moi.
Ni la vie.

Et un jour, sans raison particulière,
je suis resté un peu plus longtemps dans une conversation.
J’ai laissé une main se poser sur mon bras sans me crisper.
J’ai dit « je ne sais pas » au lieu de répondre vite.
J’ai respiré. Juste respiré.
Et ce n’était pas si terrible.
C’était même… bon.
Inconfortable, oui.
Mais vivant.
Alors j’ai recommencé.
Pas à pas.
Je ne me force pas à m’exposer.
Mais je n’interromps plus systématiquement le lien.
Je reste un peu plus.
Dans la parole.
Dans le regard.
Dans le silence.

🌿 Parce que fuir est devenu plus douloureux que rester.

💬 Et toi, dans quelles situations as-tu envie de fuir… alors que tu aimerais, au fond, rester ?

Qu’est-ce que tu pourrais t’offrir, si tu osais ne pas t’éloigner tout de suite ?



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Transformation 2 Je suis fuyant… mais je n’en fais plus une identitéJ’ai longtemps dit que je n’étais “pas fait pour les...
06/08/2025

Transformation 2
Je suis fuyant… mais je n’en fais plus une identité

J’ai longtemps dit que je n’étais “pas fait pour les relations longues”.
Que je préférais les histoires simples, sans prise de tête.
Que je ne m’attachais pas facilement — que c’était ma nature. Mon “fonctionnement”.

Je pensais être lucide, honnête, mature.
Mais en vérité, j’étais juste blindé.
Pas parce que je n’aimais pas.
Mais parce que j’avais appris à me retenir d’aimer.
J’ai fait de ma fuite une posture.
Un discours.
Une protection.

Et puis un jour, j’ai vu clair.
Je me suis vu, en train de rationaliser ma peur, de théoriser mon évitement, de justifier ce qui n’était qu’une réaction figée.
Non, je ne suis pas “comme ça”.
Je suis devenu comme ça.
Parce qu’un jour, j’ai été trop atteint.
Ou pas assez accueilli.
Ou mal compris.
Et j’ai tiré la conclusion : “Je ne dois pas trop m’impliquer.”
Je l’ai répété tant de fois que j’ai fini par y croire.

Mais aujourd’hui, je n’ai plus envie de vivre en me tenant à distance de moi-même.
Je ne suis pas “froid”.
Je suis sensible, mais j’ai eu peur de ma propre chaleur.
Je ne suis pas “non attaché”.
J’ai juste appris à me détacher avant qu’on me rejette.

🌿 Alors je ne fais plus de ma fuite une identité.
Je la regarde comme un réflexe ancien.
Et je choisis de m’en libérer.
Pas pour devenir quelqu’un d’autre.
Mais pour redevenir quelqu’un de vrai.

💬 Est-ce que toi aussi, tu as construit une image “indépendante” pour ne plus être blessé ?
As-tu parfois confondu protection et isolement ?



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Transformation 1 Je suis fuyant… mais je reconnais enfin ma peur de l’intimitéJ’ai longtemps porté ce masque de l’autono...
04/08/2025

Transformation 1
Je suis fuyant… mais je reconnais enfin ma peur de l’intimité

J’ai longtemps porté ce masque de l’autonome, du libre, de l’indépendant.
Celui qu’on admire pour sa capacité à rester détaché, à ne pas “s’emballer”, à “garder la tête froide”.

Mais derrière cette maîtrise, il y avait autre chose.
Une peur bien plus profonde :
👉 La peur d’être vu.
👉 La peur d’être aimé pour de vrai.
👉 La peur d’avoir besoin de l’autre.
Parce que l’intimité, ce n’est pas juste la tendresse ou la sexualité.
C’est être vu dans ses failles, ses contradictions, ses hésitations.
C’est rester quand l’autre nous regarde sans détour.
Et pour moi, c’était ça le plus effrayant.

Alors je partais.
Pas toujours physiquement.
Mais je me retirais.
Je minimisais ce que je ressentais.
Je devenais froid, flou, inaccessible.
Et j’appelais ça "respecter mon espace".

Aujourd’hui, je sais que je ne respectais pas mon espace.
Je protégeais ma peur.
Et cette peur, c’était celle de l’attachement blessé.
Celui qu’on a connu trop tôt, trop mal, ou pas du tout.
Celui qui fait croire qu’être proche, c’est être en danger.
Mais je ne veux plus fuir.
Parce qu’en fuyant l’autre, je me fuyais moi-même.
Et à force de me protéger de la douleur,
je m’étais coupé de la chaleur.

🌿 Je ne suis pas devenu dépendant.
Je suis devenu vivant.

💬 Et toi ? Est-ce que tu te reconnais dans ce mécanisme ?
As-tu déjà fui quelque chose de beau par peur d’y croire ?



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Transformation 10Je suis contrôlant(e)… mais je m’ouvre à la joie sans devoir tout maîtriserIl y a eu un moment dans ma ...
31/07/2025

Transformation 10
Je suis contrôlant(e)… mais je m’ouvre à la joie sans devoir tout maîtriser

Il y a eu un moment dans ma vie où même le bonheur me stressait.
Les instants de joie me semblaient fragiles, risqués.
Je les regardais à distance, comme s’ils pouvaient disparaître d’un coup.
Comme s’il ne fallait surtout pas trop s’y attacher…
De peur de les perdre.

Alors j’ai appris à me contenir, même dans les bons moments.
À ne pas rire trop fort.
À ne pas me laisser emporter.
À ne pas me reposer dans ce qui me faisait du bien.

Parce qu’au fond, je ne pensais pas avoir le droit à cette joie-là.
Je pensais qu’il fallait la mériter.
Qu’elle n’était accessible qu’après avoir tout bien fait, tout bien géré, tout bien réglé.
Et je mettais la barre tellement haut… que je ne l’atteignais jamais.
J’étais trop dans le contrôle pour goûter pleinement à la vie.
Je retenais l’élan.
Je bridais l’instant.
Je planifiais la fête au lieu de la vivre.

Mais aujourd’hui, je m’entraîne à autre chose.
À accueillir un moment léger sans le questionner.
À rire sans me surveiller.
À dire oui à un plaisir simple, sans devoir le justifier.
À me reposer sans culpabilité.
À me sentir bien… sans attendre qu’un drame vienne me réveiller.
Parce que la vie n’a pas besoin d’être méritée pour être ressentie.
Parce que la joie n’est pas une récompense. C’est une énergie à laquelle je peux dire oui.
Parce que je ne suis pas ici pour tout maîtriser.
Je suis ici pour goûter. Vibrer. Respirer.

🌿 Se libérer du contrôle, parfois, c’est juste oser être heureux(se). Maintenant.

➡️ Et toi, est-ce que tu te sens libre de savourer ce qui est bon sans attendre la chute ?



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Transformation 9Je suis contrôlant(e)… mais j’ose être vulnérableJ’ai longtemps cru que montrer mes failles, c’était per...
30/07/2025

Transformation 9
Je suis contrôlant(e)… mais j’ose être vulnérable

J’ai longtemps cru que montrer mes failles, c’était perdre la face.
Qu’un(e) “vrai(e)” adulte ne pleure pas, ne tremble pas, ne doute pas.
Qu’il fallait avoir des réponses, toujours. Un plan. Une tenue impeccable. Un mental d’acier.

Alors j’ai appris à cacher.
À contenir.
À faire comme si.
Comme si tout allait bien.
Comme si j’étais toujours sûr(e) de moi.
Comme si rien ne me touchait.

Mais à force de faire semblant, je me suis coupé(e) de ce qui me rend vivant(e).
Je ne montrais pas mes besoins.
Je ne disais pas quand j’avais mal.
Je ne demandais pas qu’on me tienne, qu’on m’écoute, qu’on m’accueille.
Je disais que je n’en avais pas besoin.
Mais en vrai… j’avais juste appris à survivre sans.

Aujourd’hui, j’apprends à me montrer autrement.
Pas dans le paraître.
Mais dans l’être.
À dire “je suis touché(e)”.
À reconnaître mes émotions, même quand elles sont désordonnées.
À dire que j’ai peur, parfois. Que j’ai besoin. Que je ne sais pas.
Et tu sais quoi ?
Je ne me sens pas plus faible.
Je me sens plus vrai(e).
Plus proche. Plus humain(e).
Je découvre que la vulnérabilité n’est pas une faiblesse.
C’est un pont.
Un lien.
Une force calme qui appelle la tendresse au lieu de la force.

🌿 Être vulnérable, ce n’est pas tomber.
C’est s’ouvrir. Et laisser quelqu’un entrer.

➡️ Et toi, oses-tu te montrer sans armure ?
Peux-tu dire “j’ai besoin de toi” sans te juger ?



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Transformation 8Je suis contrôlant(e)… mais j’apprends à lâcher l’image de perfectionPendant longtemps, je me suis ident...
29/07/2025

Transformation 8
Je suis contrôlant(e)… mais j’apprends à lâcher l’image de perfection

Pendant longtemps, je me suis identifié(e) à ce que je montrais.
Le ou la “carré(e)”. Le ou la “fiable”. Le ou la “qui gère”.
Toujours à l’heure. Toujours compétent(e). Toujours impeccable.
Et si je faisais une erreur… je m’en voulais. Vraiment.
Je pensais que si je me relâchais, j’allais décevoir.
Que si je montrais mes failles, j’allais perdre l’estime des autres.
Et surtout… je croyais que si je n’étais pas parfait(e), je ne serais pas aimé(e).
Alors j’ai tenu. Fort.
J’ai compensé. Brillé. Assuré.

Mais à l’intérieur, je m’épuisais.
Et parfois, je m’effondrais… en silence.
Ce que je ne voyais pas, c’est que ce masque de maîtrise… m’éloignait de moi.
Et des autres.
Car on ne peut être touché(e) vraiment… que quand on est vrai.

Aujourd’hui, je commence à faire tomber cette image.
Je commence à dire “je ne sais pas”.
À demander de l’aide.
À reconnaître mes hésitations.
À oser le flou, l’imparfait, l’inachevé.
Et tu sais quoi ?
Je me sens plus libre.
Plus proche.
Plus humain(e).

Je découvre que l’authenticité crée bien plus de lien que la perfection.
Et que ma valeur n’est pas dans ce que je montre, mais dans ce que je suis.
🌿 Lâcher le contrôle, parfois, c’est accepter de ne plus briller… pour enfin exister.

➡️ Et toi, as-tu parfois peur qu’on t’aime moins si tu ne parais pas “au top” ?


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Transformation 7Je suis contrôlant(e)… mais j’apprends à laisser l’autre être différent(e)Quand quelqu’un agissait autre...
28/07/2025

Transformation 7
Je suis contrôlant(e)… mais j’apprends à laisser l’autre être différent(e)

Quand quelqu’un agissait autrement que moi, je me tendais.
Quand ses choix ne suivaient pas mes logiques, je doutais.
Quand il ou elle exprimait un avis opposé, je me crispais.
Je ne le montrais pas toujours. Parfois, je disais que “chacun a le droit de penser ce qu’il veut”…

Mais au fond, je me sentais menacé(e).
Comme si la différence de l’autre remettait en cause ma propre légitimité.
Comme si le fait qu’il ou elle pense, ressente ou fasse différemment voulait dire :
“Tu as tort.”
“Tu n’es pas assez.”
“On ne te comprend pas.”

Et alors, je cherchais à convaincre. À corriger. À faire plier.
Je me disais que c’était pour le bien commun, pour l’harmonie, pour éviter les erreurs.
Mais en vérité… je voulais juste ne pas me sentir effacé(e) par la différence.
Ce que je ne voyais pas, c’est que cette manière de faire… m’éloignait.
De moi.
Des autres.
Du lien.

Aujourd’hui, je commence à laisser plus de place.
À écouter vraiment.
À ne pas interrompre.
À ne pas rectifier systématiquement.
À me dire que l’autre peut être en désaccord… sans que ça me définisse.
Je découvre que l’altérité ne me menace pas.
Elle m’enrichit.
Elle m’ouvre.
Elle me renvoie à ma capacité d’accueillir, sans me perdre.
Et j’apprends à respirer même quand je ne comprends pas.
Même quand je ne suis pas d’accord.
Même quand l’autre m’échappe.

🌿 L’amour du lien commence peut-être là :
Quand je ne cherche plus à changer l’autre pour me rassurer.

➡️ Et toi, comment réagis-tu quand l’autre ne pense pas comme toi ?
Est-ce que tu laisses sa vérité exister à côté de la tienne ?



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Transformation 6Je suis contrôlant(e)… mais j’apprends à laisser l’autre être différent(e)Quand quelqu’un agissait autre...
25/07/2025

Transformation 6
Je suis contrôlant(e)… mais j’apprends à laisser l’autre être différent(e)

Quand quelqu’un agissait autrement que moi, je me tendais.
Quand ses choix ne suivaient pas mes logiques, je doutais.
Quand il ou elle exprimait un avis opposé, je me crispais.
Je ne le montrais pas toujours. Parfois, je disais que “chacun a le droit de penser ce qu’il veut”…

Mais au fond, je me sentais menacé(e).
Comme si la différence de l’autre remettait en cause ma propre légitimité.
Comme si le fait qu’il ou elle pense, ressente ou fasse différemment voulait dire :
“Tu as tort.”
“Tu n’es pas assez.”
“On ne te comprend pas.”

Et alors, je cherchais à convaincre. À corriger. À faire plier.
Je me disais que c’était pour le bien commun, pour l’harmonie, pour éviter les erreurs.
Mais en vérité… je voulais juste ne pas me sentir effacé(e) par la différence.
Ce que je ne voyais pas, c’est que cette manière de faire… m’éloignait.
De moi.
Des autres.
Du lien.

Aujourd’hui, je commence à laisser plus de place.
À écouter vraiment.
À ne pas interrompre.
À ne pas rectifier systématiquement.
À me dire que l’autre peut être en désaccord… sans que ça me définisse.
Je découvre que l’altérité ne me menace pas.
Elle m’enrichit.
Elle m’ouvre.
Elle me renvoie à ma capacité d’accueillir, sans me perdre.
Et j’apprends à respirer même quand je ne comprends pas.
Même quand je ne suis pas d’accord.
Même quand l’autre m’échappe.

🌿 L’amour du lien commence peut-être là :
Quand je ne cherche plus à changer l’autre pour me rassurer.

➡️ Et toi, comment réagis-tu quand l’autre ne pense pas comme toi ?
Est-ce que tu laisses sa vérité exister à côté de la tienne ?



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Transformation 5Je suis contrôlant(e)… mais je ne veux plus forcer l’amourJ’ai longtemps cru qu’aimer, c’était faire au ...
11/07/2025

Transformation 5
Je suis contrôlant(e)… mais je ne veux plus forcer l’amour

J’ai longtemps cru qu’aimer, c’était faire au maximum.
Être présent(e). Prévenant(e). Irréprochable.
Anticiper les besoins, combler les manques, rassurer l’autre même quand moi, je doutais.

J’avais besoin de me sentir indispensable.
Comme si ma valeur dépendait de ce que je faisais pour l’autre.
Mais derrière tous ces gestes “d’amour”, il y avait une tension.
Un besoin d’être reconnu(e).
Une peur panique d’être mis(e) de côté.

Alors je m’investissais. Beaucoup. Trop parfois.
Je voulais garder le lien. À tout prix.
Même si l’autre ne demandait rien.
Même s’il ou elle avait besoin d’espace.
Je resserrais la prise.
Et je ne comprenais pas pourquoi ça finissait toujours par s’éloigner.

Aujourd’hui, je comprends.
Je ne donnais pas pour aimer.
Je donnais pour être sûr(e) d’être aimé(e) en retour.
Et ça, ce n’est pas de l’amour. C’est une négociation déguisée.
L’amour, le vrai, ne se contrôle pas.
Il se propose. Il se reçoit. Il circule.
Il ne force pas. Il n’achète pas. Il ne manipule pas.

Alors j’apprends.
À écouter sans intervenir.
À aimer sans m’imposer.
À offrir sans attendre.
J’apprends à faire confiance à l’espace.
À ne pas remplir tous les vides.
À ne pas penser que l’amour se prouve.
Parfois, il se respire.
Et ça change tout.

🌿 Aimer, ce n’est pas garder.
C’est laisser l’autre libre de rester.

➡️ Et toi, quand tu aimes… est-ce que tu laisses de la place à l’autre ?
Ou est-ce que tu as parfois besoin de contrôler pour ne pas te sentir oublié(e) ?



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Transformation 4Je suis contrôlant(e)… mais je ne veux plus être dur(e) pour ne pas souffrirJe m’étais construit(e) une ...
09/07/2025

Transformation 4
Je suis contrôlant(e)… mais je ne veux plus être dur(e) pour ne pas souffrir

Je m’étais construit(e) une solidité impressionnante.
On me disait fort(e), stable, inébranlable.
J’étais rapide à réagir, tranchant(e) dans mes décisions, souvent impatient(e) aussi.
Je voulais que les choses soient claires, efficaces, nettes.

Mais un jour, j’ai compris que cette dureté…
n’était pas un caractère.
C’était un bouclier.
Je n’étais pas dur(e) parce que j’aimais l’être.
Je l’étais parce que j’avais peur.
Peur que les choses dérapent si je ne surveille pas.
Peur que les autres me blessent si je ne mets pas de distance.
Peur d’être trahi(e), rabaissé(e), abandonné(e), si je montre une faille.

Alors j’étais dans la maîtrise.
De tout.
Du temps.
Des mots.
Des gens.
Mais cette maîtrise était un masque.
Elle m’évitait de ressentir ce que je n’étais pas prêt(e) à accueillir :
La peine.
Le doute.
Le sentiment de ne pas être à la hauteur.
Et je devenais exigeant(e), parfois dur(e) avec ceux que j’aimais.
Je voulais qu’ils comprennent, qu’ils suivent, qu’ils mènent les choses “comme il faut”.
Mais ce n’était pas de la fermeté bienveillante.
C’était une peur mal déguisée.

Aujourd’hui, je regarde cette partie de moi avec tendresse.
Je comprends pourquoi j’ai fait ça.
Pourquoi j’ai serré les dents au lieu de pleurer.
Pourquoi j’ai exigé au lieu de demander.
Pourquoi j’ai crié parfois… quand j’aurais voulu juste être pris(e) dans les bras.
Je ne me juge plus.
Mais je choisis d’apprendre une autre voie.
Celle où je ne confonds plus autorité et dureté.
Celle où j’ose dire “je suis touché(e)” au lieu de frapper avec des mots.
Celle où je laisse ma force s’allier à ma douceur.

🌿 Ce n’est pas en serrant les poings qu’on évite la blessure.
C’est en acceptant qu’elle fait partie du vivant.

➡️ Et toi, quand est-ce que tu sens que ta dureté te protège plus qu’elle ne te sert ?



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Je suis un raviveur d’étincelle.

Coach de vie et magnétiseur. Mon action quotidienne est de soulager vos blessures émotionnelles et physiques pour vous accompagner vers une libération et un épanouissement personnel. Je suis un "raviveur d'étincelle"... remettre de l'énergie là où elle s'est tarie.