08/08/2025
Je vous partage ce post que j'ai trouvé fort intéressant
Excellente lecture lumineux et lumineuses
Vous n’êtes pas libres.
On fabrique vos besoins, on dirige vos désirs, on façonne vos goûts.
Les médias vous hypnotisent, la politique vous endort, la publicité vous enchaîne, les religions vous soumettent.
Vous vivez dans une cage dont vous défendez les barreaux.
Brisez-les.
Pensez par vous-mêmes.
C’est le seul acte de rébellion qui vaille.
Vous croyez être libres.
Vous vous le répétez chaque jour, fiers de vos choix, de vos goûts, de vos envies. Mais tout cela est une illusion soigneusement entretenue. Vous ne choisissez pas vraiment : on choisit pour vous. Vos besoins sont fabriqués, vos désirs orientés, vos goûts formatés par un système qui ne veut pas votre éveil, mais votre docilité.
On vous apprend à aimer ce qu’il faut aimer, à détester ce qu’il faut détester, à penser dans les limites qu’on vous trace. Les médias, la publicité, la politique se relaient pour occuper votre esprit, canaliser votre énergie et maintenir votre attention loin de ce qui compte réellement. Ils remplissent vos journées d’images, de slogans, de divertissements, de fausses urgences. Ils vous offrent une cage dorée dont vous admirez les barreaux.
Les normes sociales sont vos chaînes invisibles. Elles dictent ce qui est normal et ce qui ne l’est pas. Elles vous poussent à vous juger entre vous, à vous censurer vous-mêmes. Vous craignez d’être différents plus que vous ne craignez d’être esclaves. Alors vous suivez la majorité, même lorsqu’elle court droit vers l’absurde.
Les religions, elles aussi, se sont souvent alliées à ce contrôle. Elles promettent des récompenses après la mort pour que vous acceptiez la servitude ici-bas. Elles érigent la souffrance en vertu, la soumission en sainteté, et placent votre esprit sous la garde d’autorités humaines qui se prétendent divines.
Et ainsi, la grande mascarade continue. Vous vivez vite, vous consommez sans fin, vous parlez beaucoup mais vous ne pensez pas vraiment. Vous avez confondu mouvement et liberté. La vérité, c’est que vous êtes prisonniers d’un système qui se nourrit de votre inconscience.
Brisez les murs. Questionnez chaque désir, chaque croyance, chaque règle. Cherchez d’où viennent vos pensées et à qui elles profitent. Réapprenez à vouloir par vous-mêmes, à voir par vos propres yeux. La liberté ne se reçoit pas, elle se conquiert, et elle commence par le courage de penser autrement, même seul.
Le secret des druides