24/11/2025
Vous aussi, vous avez ce petit dossier secret, classé entre “j’aurais dû faire autrement” et “mais pourquoi j’ai fait ça” ?
Ce truc qu’on retourne dans tous les sens… sans réussir à se pardonner ?
On a tellement été conditionnés à “bien faire”, à “être sage”, à “ne pas décevoir”, qu’on finit par se juger plus durement qu’il ne le faudrait.
Au point d’oublier un détail essentiel :
➡️ ce qu’on a fait, on l’a fait avec nos ressources du moment.
Certaines phrases entendues dans l’enfance, certaines croyances, certains choix faits sous pression nous serrent encore le cœur des années après. On garde ça comme un énorme monstre intérieur, persuadés qu’il va nous dévorer si on s’en approche.
Et pourtant… quand on regarde ces émotions en face, elles deviennent moins effrayantes.
Parfois même utiles.
Parfois protectrices.
Parfois révélatrices.
Le souci, c’est que la culpabilité ne connaît pas le contexte.
Elle débarque juste avec un mégaphone : « HONTE SUR TOI ».
(Sympa l’ambiance.)
Alors qu’il existe d’autres lectures :
– “J’ai essayé de tenir bon trop longtemps.”
– “J’ai dit oui quand mon corps criait non.”
– “J’ai fait un choix difficile pour m’en sortir.”
– “J’ai mis fin à quelque chose qui n’était plus OK pour moi.”
– “J’ai avancé comme j’ai pu, avec mes ressources du moment.”
La vraie force est là :
🥀 reconnaître
🌿 apprivoiser
✨ transformer
Ainsi le grand monstre de la culpabilité peut devenir moins terrifiant… et parfois même éclairant.
On se rappelle qu’on peut apprendre sans se punir.
Et c’est exactement ce que j’explore en ce moment : le pardon envers soi.
Le vrai. Celui qui libère, qui apaise, qui redonne de la respiration.
🎀 Petit partage perso :
Lundi prochain, je participe au cercle de femmes sur le pardon de Juliette Jacquemin
Un espace doux, sécurisant, pour déposer ce qui pèse et se reconnecter à quelque chose de plus léger.
Si le sujet vous appelle aussi… ça fait du bien de ne pas cheminer seule.
Aujourd’hui, je vous invite à :
🌿 respirer
🌿 reconnaître votre humanité
🌿 choisir la tendresse plutôt que le jugement
Juste pour aujourd’hui. Juste un peu.