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Parce qu’un bon cabinet, c’est aussi un bon carnet. Extrait de carnet [13] ~Une vie heureuse se vit libre, autonome et p...
17/07/2025

Parce qu’un bon cabinet, c’est aussi un bon carnet. Extrait de carnet [13]

~Une vie heureuse se vit libre, autonome et plurielle~

’estpasthérapeute

Ces scènes de vie sont banales. C’est justement pour ça qu’elles méritaient d’être partagées.Pas dans une logique larmoy...
15/05/2025

Ces scènes de vie sont banales. C’est justement pour ça qu’elles méritaient d’être partagées.
Pas dans une logique larmoyante,
mais parce qu’elles disent quelque chose de nos douleurs ordinaires.
Elles nous rappellent que, bien encadrées, ces réalités peuvent devenir des leviers de résilience.
Ce partage est né d’un désir simple : transmettre, inviter à l’introspection, et ouvrir un espace de sublimation. 8 dessins sur 8 -

**~ Une image vaut 1000 mots ~**[illustration N-8 : L’infidélité comme bascule]Il est plus facile de juger l’adultère qu...
14/05/2025

**~ Une image vaut 1000 mots ~**
[illustration N-8 : L’infidélité comme bascule]

Il est plus facile de juger l’adultère que d’en comprendre les causes.
La psychanalyse ne voit pas l’infidélité comme un problème moral, mais comme un symptôme., comme un déplacement, une tentative – parfois désespérée, parfois inconsciente – de retrouver un élan vital.

Reconstruire, c’est long.

Sur cette illustration, la stimulation crée par un(e) collègue charmant(e) et à l’écoute se place exactement là où la carence conjugale est la plus vive : la routine écrasante, le manque de considération, le manque de connexion.

On commence à investir ailleurs — à l’extérieur — ce qui aurait pu, peut-être, se réparer à l’intérieur.

D’autres fois, l’infidélité agit comme un révélateur.
Elle met en lumière la fin d’un lien qui n’a jamais été tout à fait amoureux ou bien elle signe la fin d’un chemin partagé.

Dans tous les cas, l’infidélité éclaire.
Et si l’on parvient à traverser la douleur sans s’y noyer,
si l’on réussit à en faire quelque chose, elle ancrera un avant-après marquant et souvent très intéressant. Sans honte ni banalisation.

Un point de bascule.

Mais pour comprendre ce qui s’est joué,
il faudra aussi interroger les intentions de part et d’autre car une faute de parcours ne peut être pensée, ni traversée que si elle se tient hors de toute logique de perversion ou de toxicité.

Comprendre le symptôme, le dépasser et en sortir plus conscient et aligné.

**~ Une image vaut 1000 mots ~**[illustration N-7 : le célibat en terrain conjugal]On parle beaucoup de charge mentale, ...
13/05/2025

**~ Une image vaut 1000 mots ~**
[illustration N-7 : le célibat en terrain conjugal]

On parle beaucoup de charge mentale, de parentalité, d’équilibre vie pro/vie perso mais on évoque peu une autre réalité, plus silencieuse : celle des adultes célibataires qui avancent dans la vie sans partenaire, parfois sans enfant, et qui doivent composer avec une forme de solitude durable.

Il y a des solitudes qui crient fort. Et d’autres, plus discrètes, qui s’invitent poliment dans les événements familiaux ou professionnels.

Certains avancent en âge et en apparence — ils vont bien.
Mais en eux flotte un sentiment de suspension, de léger décalage : ni en marge, ni tout à fait dedans.
Un regard mi-tendre, mi-distant sur les scènes de couple, de parentalité, de continuité.

C’est l’ambivalence de celles et ceux qui portent un vrai désir de lien, mais dont le récit ne s’inscrit pas dans le cadre dominant.

La douleur du célibat n’est pas un caprice affectif mais une souffrance existentielle, parfois traversée de blessures narcissiques anciennes : l’impression de ne pas avoir été choisi, de ne pas être aimable, de ne pas avoir de place dans la grande scène du lien.

Il y a l’absence d’amour. L’absence de récit.
Ce flou entre ce que l’on espère encore et ce que l’on commence à ne plus croire.
Et paradoxalement, un confort qui devient de plus en plus appréciable.

Il y a aussi une perte de modèles : beaucoup n’idéalisent plus le couple, parce qu’ils en perçoivent aussi les failles. Cela rend le désir plus lucide, mais parfois plus hésitant.

Avec le temps, certains deviennent forts, par nécessité. Mais à trop alimenter le “je sais tout faire seul(e)”, on risque de figer cette force en posture.

Certains se réfugient dans le travail, jusqu’à s’y fondre — une façon de tenir, mais aussi un signal à ne pas négliger.
C’est pourquoi les liens au travail ont leur importance, ils peuvent devenir de véritables capteurs de risque.

Ce n’est pas tant une solution qu’il faut chercher, mais un autre rapport à soi, au désir, à la temporalité.

Et pour les personnes que nous accompagnons, comme pour nous-mêmes : rester attentif à ce qui, derrière la solidité apparente, raconte une quête de sens, d’équilibre et de lien.

**~ Une image vaut 1000 mots ~**[illustration N-6 : Cohésion parentale]Devenir parent fragilise le couple. L’ambiance à ...
12/05/2025

**~ Une image vaut 1000 mots ~**
[illustration N-6 : Cohésion parentale]

Devenir parent fragilise le couple.
L’ambiance à la maison peut se répercuter au travail et ainsi de suite.

La mauvais positionnement est problématique dans chaque domaine de vie. Où est ma place ? Quelle est ma fonction ? Sur quoi je peux agir ?

L’enfant nous challenge, malgré lui et nous oblige à nous remettre en questions.

Aspects théoriques :
* La triangulation et la fonction du tiers :
Elles sont essentielles à la structuration de l’enfant. Elles introduisent la loi, la limite, et sépare l’enfant de la fusion avec le parent (souvent la mère).
Lorsqu’un enfant dit « pas maman, je veux papa », ou l’inverse, il peut tester la solidité de cette triangulation. Il cherche à voir s’il peut exclure un parent ou obtenir un pouvoir particulier. C’est aussi une manière de poser la question : “Y a-t-il un adulte entre vous deux qui tient la fonction de tiers et de repère ?”

*Le clivage et le besoin de sécurité :
L’enfant peut cliver le bon et le mauvais objet. Il peut attribuer au parent refusé les frustrations, et au parent préféré un idéal rassurant.
Ce clivage n’est pas pathologique en soi, il peut traduire un besoin de sécurité ou une difficulté passagère. Mais il devient problématique si les parents alimentent cette division en se positionnant l’un contre l’autre (par fatigue, culpabilité ou rivalité inconsciente).

*La rivalité oedipienne :
L’enfant prend conscience des places différentes des parents et peut vouloir écarter l’un pour “posséder” l’autre. Cela s’inscrit dans un processus de différenciation.
Un enfant peut dire “Je veux papa” pour exclure la mère dans une forme d’investissement œdipien ou inversement. Cela permet à l’enfant de chercher à comprendre l’organisation symbolique de la famille.

*La coopération et la solidité :
La notion de “parentalité conjointe” (Daniel Stern) souligne l’importance d’une alliance parentale stable, au-delà des variations affectives de l’enfant.
L’enfant cherche inconsciemment les failles dans cette alliance. Ce n’est pas une manipulation mais un test de sécurité : “Est-ce que mes parents sont capables de rester soudés, même si je les mets en difficulté ?”
C’est là que la parole adulte est essentielle : se soutenir, se relayer, discuter, se faire aider.

Si les parents sont eux-mêmes anxieux, l’enfant peut développer un lien d’attachement insecur et cherchera, toute sa vie, du réconfort dans une figure plus maternante et contenante.

**~ Une image vaut 1000 mots ~**[illustration N-5 : La perte d’un bébé]◾️Le deuil périnatal comme deuil spécifiqueEn psy...
10/05/2025

**~ Une image vaut 1000 mots ~**
[illustration N-5 : La perte d’un bébé]

◾️Le deuil périnatal comme deuil spécifique

En psychologie du deuil, on reconnaît que la perte d’un bébé pendant la grossesse ou peu après la naissance engendre un deuil “sans traces” ou “sans corps” visible dans certains cas, ce qui peut rendre l’élaboration psychique plus complexe. Ce deuil est souvent désocialisé, non autorisé.

◾️Le fantasme d’enfant imaginaire

La grossesse active chez la mère un “enfant imaginaire”, un bébé rêvé, fantasmé, qui porte des projections conscientes et inconscientes. La fausse couche ne fait donc pas seulement perdre un fœtus biologique, mais un projet, une image mentale, un futur symbolique. Ce qui est perdu, c’est autant le bébé réel que l’investissement narcissique porté sur lui.

◾️L’épreuve narcissique et l’identité parentale

Perdre un bébé confronte la femme (et parfois le couple) à une atteinte narcissique. Cela touche à l’image de soi, à la féminité, à la capacité à “donner la vie”, à l’identité parentale en construction. Il s’agit d’une blessure identitaire.

◾️ La temporalité du traumatisme

La fausse couche peut constituer un événement potentiellement traumatique, notamment si elle est vécue dans des conditions brutales, médicalisées, silencieuses ou non accompagnées.
Certains auteurs parlent d’un temps suspendu, où le vécu émotionnel est mis de côté et ne revient qu’ultérieurement, parfois à l’occasion d’une nouvelle grossesse.

🔶 ▶️ Ce qui sera important pour le couple et le prochain enfant :

La ritualisation et la reconnaissance.

Dans de nombreuses approches (systémiques, humanistes ou psychanalytiques), on insiste sur le besoin de reconnaissance symbolique de la perte : Nommer l’enfant, créer un rituel, inscrire cet événement dans la lignée familiale ou personnelle.
Cela aide à éviter que le deuil ne reste figé ou occulté en créant un tabou ou une dissociation, ce qui peut avoir des effets à long terme sur les liens familiaux ou la parentalité future.

Prendre le temps, assainir, matérialiser, comprendre, accepter pour mieux créer la suite.

**~ Une image vaut 1000 mots ~**[illustration N-4 : Le non désir]Elle la regarde bercer son bébé, essuyer un filet de la...
10/05/2025

**~ Une image vaut 1000 mots ~**
[illustration N-4 : Le non désir]

Elle la regarde bercer son bébé, essuyer un filet de lait, respirer entre deux pleurs.
Et dans cette scène banale, elle ne projette rien. Ni rêve, ni frustration.
Seulement la confirmation douce et solide que ce n’est pas son désir à elle.
Parfois, ce n’est pas celle qui semble débordée qu’il faut plaindre.
Et ce n’est pas celle qui reste libre qu’il faut interroger.
Deux amies, deux chemins.

**~ Une image vaut 1000 mots ~**[illustration N-3 : Recueil de sperme]« Pantalon sur les chevilles, écran face à lui, po...
08/05/2025

**~ Une image vaut 1000 mots ~**
[illustration N-3 : Recueil de sperme]

« Pantalon sur les chevilles, écran face à lui, porte fermée à clé. Il doit “se débrouiller” pour produire la matière première d’un projet de vie. »

Dans les couloirs de la PMA, le masculin se fait souvent discret. Pourtant, la fertilité n’est pas qu’une affaire d’ovaires stimulés et de courbes à surveiller. Il y a aussi cette chaise froide, cette injonction silencieuse à “faire sa part”, sans plainte ni vagues.

Quand c’est lui qui “pose problème”, il ne se donne pas toujours le droit à la peine. Il s’inquiète pour elle. Il culpabilise de ne pas pouvoir “lui offrir ce qu’elle mérite”, comme s’il fallait honorer une fonction plus qu’exprimer une douleur. Et dans ce silence, la souffrance s’enkyste.

En séance, je vois à quel point leur présence dès le premier rendez-vous change la dynamique. Ce n’est pas qu’un soutien moral : c’est un enjeu d’équité, un projet à deux corps, deux regards, deux vécus. Les zones de fragilité ne sont pas les mêmes, les stratégies de compensation non plus. Mais les émotions, elles, méritent le même droit d’exister.

L’absence de l’homme au premier rendez-vous de rencontre n’est jamais anodine, c’est déjà une information en tant que professionnelle. Que se cache t-il derrière cette fuite ? Du déni ?
Ou bien c’est elle qui a besoin de tout gérer seule et qui crée un problème de positionnement ?

Une chose est sûre : même sans injections ni protocoles médicaux complexes, l’homme traverse lui aussi une épreuve. Il ne s’agit pas de hiérarchiser les douleurs, mais de donner à chacun un espace légitime pour les vivre. S’investir, ce n’est pas seulement “accompagner” : c’est aussi s’impliquer avec ses tripes, ses mots, son énergie.

Et dans ce parcours si intime, si chargé, pouvoir dire : “Moi aussi, j’ai besoin d’aide.”

LA condition pour une belle réussite.

**~ Une image vaut 1000 mots ~**[illustration N-2 : Épanouissement au travail et désir d’enfant.]Ennui chronique, pressi...
07/05/2025

**~ Une image vaut 1000 mots ~**
[illustration N-2 : Épanouissement au travail et désir d’enfant.]

Ennui chronique, pression continue, tristesse, burn-out, dissociation, crise d’angoisse… Le travail peut causer beaucoup de souffrance psychique.
Selon Santé Publique France, 1 actif sur 4 rapporte un niveau de détresse psychologique élevé. Et pourtant, on continue souvent à minimiser ce mal-être.

Depuis le Covid, la quête de sens a pris de l’ampleur. Aimer son travail est devenu un objectif affiché, parfois même une injonction.
Mais attention si cette quête est légitime, elle peut aussi nous piéger dans une illusion — celle d’un travail passion sans contraintes, ce qui mène souvent à une nouvelle déception.

Avoir des projets, c’est la vie !

En séance, je les écoute tous, je les soutiens toujours.
Les projets sont des révélateurs de rêves et portent nos plus grandes valeurs.
S’autoriser à projeter librement ses idées sur un mur blanc, sans se soucier du regard des autres, de l’approbation de ses parents, ou de la faisabilité, est une première étape précieuse.

Ensuite vient le travail de fond :
structurer la réflexion, prioriser, retrouver confiance, avancer pas à pas, souvent avec l’appui de plusieurs professionnels.

Analyser la situation professionnelle actuelle :
• Mon mal-être est-il contextuel, relationnel, existentiel ?
• Est-il ponctuel ou chronique ? Est-ce possible
de l’alléger ? Qu’est-ce qui dépend de moi ?
• À quel point cela met-il en danger ma santé mentale ?
• Mise en relief : où en suis-je dans ma vie ? Ai-je vécu un changement important récemment ? (naissance, deuil, séparation…)
• À quoi j’aspire ? Qu’est-ce que je sais et aime faire ?
• Comment cela peut-il répondre à une demande
existante ?
• Dans quel environnement professionnel est-ce que je me projette ?

Le « où, quand, comment, avec qui » vient plus t**d. Quand l’énergie revient, quand la clarté s’installe après le doute et le repos.

Après une naissance, par exemple, beaucoup de femmes ressentent un “avant / après”.
Elles aspirent à autre chose, tolèrent moins, s’affirment davantage.En s’écoutant, en prenant du plaisir à s’observer évoluer, elles se renouvellent — parfois en lâchant prise plus volontiers qu’avant.

Mais il y a aussi la question du désir d’enfant, parfois en opposition avec le quotidien professionnel. Là encore, il est intéressant de tout (re)considérer pour faire de la place, libérer, apaiser.

Mot de la fin : ne rien sacraliser, ne rien diaboliser. Chercher du sens, oui mais l’équilibre est plus durable et complète et quand plus rien ne va, il faut savoir partir.


~ Une image vaut 1000 mots ~[illustration N-1 : , Elodie Barbera merci !]« LOGISTIQUE & SOLITUDE autour de la PMA »Comme...
06/05/2025

~ Une image vaut 1000 mots ~
[illustration N-1 : , Elodie Barbera merci !]

« LOGISTIQUE & SOLITUDE autour de la PMA »
Comment bien vivre les traitements ?
Faut-il en parler à son entourage ?

Certaines périodes de vie nous obligent à contenir nos émotions tout en agissant, dans une bulle faite de pudeur et parfois de peur.

La symbolique du ventre, lieu des injections hormonales, nous ramène au Centre, au Cocon, au Nid. C’est intime.

Sur cette illustration, la jeune femme quitte la table d’amis pour aller se piquer dans la salle de bain.
Tout dépend de la manière dont elle vit ce moment. Cela lui appartient mais si le poids du secret devient trop lourd et isole, il est peut-être temps de s’interroger.

Pourquoi choisit-on de ne pas en parler ?
Honte ? Superstition ? Peur de susciter de la pitié ? Ces raisons méritent d’être explorées.

C’est en comprenant ses intentions que l’on peut s’en libérer — et accueillir la PMA comme une aventure à part entière, plutôt qu’un tunnel à traverser seul.e.

Parfois, l’aide discrète d’une amie peut faire toute la différence.
Oui, les traitements sont exigeants, mais ils s’inscrivent dans un élan de vie, un projet courageux. Il y a de la beauté, aussi.

Et si vous êtes de l’autre côté de la scène — autour de la table — et que vous sentez qu’un proche vit cela, osez poser la question :
Est-ce que je peux t’aider ?
Si oui, comment ?

La PMA nous invite à lâcher prise, mais aussi à recevoir — à accepter l’aide et la tendresse des autres, à faire confiance. Ce ne sont que des graines d’amour.

Et si, au contraire, vous ressentez le besoin de vivre cette expérience en silence, dans une écoute intérieure, c’est aussi légitime.
L’essentiel est d’en parler à votre partenaire — votre principal allié.

aussireussite

✍️ Ce sera la semaine du dessin à partir de demain sur mes réseaux ! 👫🧍‍♀️🧍🧍‍♂️👩‍❤️‍💋‍👨[1 illustration = 1 thème]~ J’ai ...
05/05/2025

✍️ Ce sera la semaine du dessin à partir de demain sur mes réseaux ! 👫🧍‍♀️🧍🧍‍♂️👩‍❤️‍💋‍👨
[1 illustration = 1 thème]

~ J’ai choisi le visuel pour décrire des situations de vie.

J’ai imaginé chaque scène, je les ai pensées et croquées avant qu’elles soient superbement illustrées par Barbera. Ces dessins sont le reflet de problématiques que j’accompagne au quotidien, et qui appellent à relever les défis avec résilience et amour.

N’hésitez pas à partager vos expériences, votre avis - tout est perception.

Ce sont des situations communes, mais parfois très douloureuses ; des situations qui, cachent souvent une montagne plus complexe dont les causes sont plus profondes qu’elles n’y paraissent. ~

Parce qu’un bon cabinet, c’est aussi un bon carnet. Extrait de carnet [9]
28/04/2025

Parce qu’un bon cabinet, c’est aussi un bon carnet.
Extrait de carnet [9]

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