Maitre de soi

Maitre de soi Aimez la vie,
Aimez ce que faites,
Faites ce que vous aimez
Profitez de chaque instants. Avec Amour

14/02/2025

une planche de hêtre transformée en (presque) poésie 😄

06/02/2025
19/12/2024

Bonjour à tous,
L'année 2024 touche à sa fin, et peut être remuante quelque fois...
Pensez a prendre soin de vous et de votre entourage !!!
.. Par exemple, en vous offrant un massage, ou à offrir à vos proches pour Noël 🎁🎄

✨ En ce moment, profitez d'une remise de -30% sur l'ensemble des soins !! Offre valable jusqu'au 25 décembre 2024 🎄🎁 ✨

ET : 🎁 repartez avec un petit cadeau de Noël 🎁❤️

✨✨ Nouveauté ✨✨
A partir de janvier 2025, vous pourrez me retrouver tous les mercredis après-midi en Suisse, à Saint Blaise (près de Neuchâtel), pour l'ensemble des soins que je propose !
Et toujours à mon cabinet à Maiche toute la semaine.

Prenez rendez vous sur mon calendly :

calendly.com/maitredesoi

Prenez soin de vous et votre entourage ❤️

Et passez de merveilleuses fêtes de Noël ❤️❤️❤️🎁🎄✨🎅💖

Rémy

Aimez la vie,
Aimez ce que faites,
Faites ce que vous aimez
Profitez de chaque instants.
Avec Amour

24/04/2024

Si tu respires profondément et fais confiance aveuglement, les phénomènes disparaissent et tu réalises que tout est parfait, interconnecté, synchronisé et fruit d'une intelligence universelle.

Alors, arrive ce moment où le sentiment d’étrangeté t'entoure et te pénètre, et submerge tout,
Où le passé et le futur se dissolvent dans le moment présent,
Où le temps semble s’épaissir pour mieux accueillir entre les feuilles de ses secondes, notre perception de la grande convergence, ce curieux hasard.

Il faut ouvrir, ouvrir à fondre en sanglots, ouvrir si grand qu'il n'y ait plus de limite, il faut s'ouvrir en deux. Et là, plus rien ne peut te toucher puisque tout te traverse, t'avale, et te digère.

Ton mental ne te donnera aucune réponse, ton coeur ne te posera aucune question.

🦉Stephan Schillinger©️

- Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur CurieuxHasard.com/boutique

- Instagram

(Illustration : Maruimichi)

04/04/2024

Nous ne voyons pas la vie telle qu’elle est, mais uniquement à travers le filtre déformant de nos blessures.

La blessure narcissique, venue nous atteindre dans la perception que nous avons de notre propre valeur, génère un impérieux besoin de justifier notre existence. Notamment à travers le besoin de paraître, de rejeter, d’avoir raison, souvent d’ailleurs à l’endroit même de notre blessure.

Nous choisissons alors dans le grand magasin des masques que nous propose la société, celui qui nous permettra de survivre à cette souffrance que nous refoulons. Empêchant de ce fait la pénétration de la lumière de la conscience, qui guérit tout ce qu’elle touche.

De notre capacité à reconnaître nos masques et à les déposer pour conscientiser et accepter ce qu’ils protègent en vain, dépend la guérison.

Stephan Schillinger©️

📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique

🥰 Stages & conférences :
curieuxhasard.com/retraites

📸 instagram.com/paruncurieuxhasard

🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger

(Art : Boya Sun)

20/03/2024

"L’autre, ce coupable idéal, pour nous libérer de ce dont nous ne pouvions accoucher seul"

Faire de l’autre le coupable de cette douleur qui nous traverse est le piège qui se referme sur nous, quand, refusant de vivre pleinement cette émotion présente depuis toujours, notre inconscient nous fait choisir des relations (amicales, amoureuses, thérapeutiques, etc.) qui la réveillent.

Cet autre vers qui, quand il n’est pas un de nos parents, l’emotion refoulée nous a dirigé, en l’idéalisant afin de revivre plus intensément ce qui appelait à être extériorisé, libéré, accouché, depuis toujours.

Touchés précisément à l’endroit de la blessure que nous avons placé au centre de la relation — comme un trophée, si imposant qu’il devient impossible pour cet autre de ne pas marcher dessus — nous faisons de cet autre le coupable, dont nous transformons les mots et les actes en autant de poignards pour rouvrir nos blessures. L’enjeu inconscient étant de revivre des émotions qui, contrairement à ce que nous prétendions vouloir, appelaient à être contactées pour être libérées, transcendées, guéries.

Le mal est fait, la douleur inacceptable est enfin contactée, et nous tentons de justifier cette douleur, pourtant tapie dans tous nos comportements, par les mots ou les actes de cet autre, alors si irrespectueux de cet enfant intérieur que nous lui avons confié à pleines mains, et qu’il n’a pourtant jamais demandé.

Un pas de plus sur le chemin de la guérison, qui part de Soi, passe par le moi, et mène, au final, à Soi. La guérison s’il en est, passe par la ré-appropriation de notre responsabilité, dans la construction des dynamiques relationnelles, dont nous tenterons de nous sortir vainqueurs, à l’aide d’une narration accusatrice. Le pouvoir est alors, une nouvelle fois, placé à l’extérieur de nous. Et nous pouvons revivre cette émotion qui à tellement besoin de sortir en remontant brutalement à la conscience.

Ce principal écueil qui se présente sur notre chemin de guérison est le contournement des émotions, en élaborant des narrations. En plaquant sur nos émotions plus de signification intellectuelle, que de présence ou de sensation. Nous voilà à vouloir « comprendre ». A accuser et déplorer, plus que de découvrir et embrasser notre rôle central dans l’accouchement, libérateur, de notre propre blessure originelle.

Retiens ceci : Tout ce qui se révèle souffrant en présence de l’Amour, est ce qui appelle à être purifié par lui.

🙏 Stephan Schillinger©️
📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique
🥰 Stages & conferences : curieuxhasard.com
📸 instagram.com/paruncurieuxhasard
🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger

https://www.facebook.com/share/HxDpQGwJQJHrKGcE/
15/03/2024

https://www.facebook.com/share/HxDpQGwJQJHrKGcE/

"L’autre, ce coupable idéal, pour nous libérer de ce dont nous ne pouvions accoucher seul"

Faire de l’autre le coupable de cette douleur qui nous traverse est le piège qui se referme sur nous, quand, refusant de vivre pleinement cette émotion présente depuis toujours, notre inconscient nous fait choisir des relations (amicales, amoureuses, thérapeutiques, etc.) qui la réveillent.

Cet autre vers qui, quand il n’est pas un de nos parents, l’emotion refoulée nous a dirigé, en l’idéalisant afin de revivre plus intensément ce qui appelait à être extériorisé, libéré, accouché, depuis toujours.

Touchés précisément à l’endroit de la blessure que nous avons placé au centre de la relation — comme un trophée, si imposant qu’il devient impossible pour cet autre de ne pas marcher dessus — nous faisons de cet autre le coupable, dont nous transformons les mots et les actes en autant de poignards pour rouvrir nos blessures. L’enjeu inconscient étant de revivre des émotions qui, contrairement à ce que nous prétendions vouloir, appelaient à être contactées pour être libérées, transcendées, guéries.

Le mal est fait, la douleur inacceptable est enfin contactée, et nous tentons de justifier cette douleur, pourtant tapie dans tous nos comportements, par les mots ou les actes de cet autre, alors si irrespectueux de cet enfant intérieur que nous lui avons confié à pleines mains, et qu’il n’a pourtant jamais demandé.

Un pas de plus sur le chemin de la guérison, qui part de Soi, passe par le moi, et mène, au final, à Soi. La guérison s’il en est, passe par la ré-appropriation de notre responsabilité, dans la construction des dynamiques relationnelles, dont nous tenterons de nous sortir vainqueurs, à l’aide d’une narration accusatrice. Le pouvoir est alors, une nouvelle fois, placé à l’extérieur de nous. Et nous pouvons revivre cette émotion qui à tellement besoin de sortir en remontant brutalement à la conscience.

Ce principal écueil qui se présente sur notre chemin de guérison est le contournement des émotions, en élaborant des narrations. En plaquant sur nos émotions plus de signification intellectuelle, que de présence ou de sensation. Nous voilà à vouloir « comprendre ». A accuser et déplorer, plus que de découvrir et embrasser notre rôle central dans l’accouchement, libérateur, de notre propre blessure originelle.

Retiens ceci : Tout ce qui se révèle souffrant en présence de l’Amour, est ce qui appelle à être purifié par lui.

🙏 Stephan Schillinger©️
📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique
🥰 Stages & conferences : curieuxhasard.com
📸 instagram.com/paruncurieuxhasard
🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger

Écouter son corps, Ce n'est pas la chose facile et intuitive que l'on apprend depuis enfant.Je me suis rendu compte, il ...
16/02/2024

Écouter son corps,
Ce n'est pas la chose facile et intuitive que l'on apprend depuis enfant.
Je me suis rendu compte, il y a 8 ans (j'avais 36 ans), que je ne savais pas écouter mon corps du tout.
J'ai donc décidé d'apprendre à l'écouter, petit à petit, apprendre les conséquences de mes actes, de mes grignotages, de mes paroles, les critiques, de mes pensées négatives et positives aussi 😉.

J'ai appris la respiration, la méditation, le yoga, la danse, la bienveillance envers moi-même, bref : les changements d'habitude (très important)...
Tous ces petits pas qui me donne maintenant un liens plus sain et plus fort avec moi même ❤️.
Maintenant, j'essaie de lui parler, d'écouter les petites choses qu'il a à me dire. Quelques fois j'écoute ses hurlements aussi, mais c'est OK, je suis en apprentissage, donc je ne désespère pas !

Car je me dis que je vais passer le reste de ma vie avec moi même, donc autant apprendre à m'aimer, à me respecter et a prendre soin de moi 🙏❤️.

Et plus je prends soin de moi, plus je peux prendre soin des autres avec plus d'amour ❤️❤️❤️

Je vous souhaite une belle vie avec votre merveilleux corps ❤️

Rémy

http://xn--matredesoi-w8a.fr/

14/02/2024

C’est déjà une première prise de conscience, sur ce chemin d’éveil, de fissurage de cette armure rouillée, étroite, sclérosée, dans ce processus de déconstruction de tous les mécanismes : ce nouveau chantier ne s’entame pas à coups de masse, de pelles mécaniques, ou à mesure d’efforts ; ou bien pour les plus courageux, par quelques bâtons de dynamite, intelligemment placés, parfois proches, très proches, des fondations. Mais, par la volonté d’abandon de toute poursuite, de toute défense, de toute protection et de toute identité factice.
À notre décharge, nous n’y pouvons rien, ou presque. Nous avons été catapultés là, dans ce monde matériel, en totale innocence, et, bien que nous soyons tous volontaires dans ce laboratoire qu’est l’existence humaine dans un monde matériel, la création d’une identité délimitée et séparée du grand tout dont nous venons, nous tombe dessus dès le plus jeune âge.
Mais alors, que découvrons-nous en dessous de ces gravats ? Sous ces coups de pioche ? Sous les fondations de ces remparts ? À quel endroit prennent racine les muscles qui relient la tortue à sa carapace ? Réponse : à l’endroit le plus fragile, le plus meurtri, le plus atteint. Les civilisations ont construit leurs ouvrages de défense aux endroits de défaites mémorables – « je ne me ferai plus avoir à cet endroit ! »
Nous construisons nos défenses les plus infranchissables à l’endroit où l’épée a transpercé nos croyances sur la valeur que nous nous accordions. La carapace de la tortue n’est pas orientée vers le sol, mais vers la direction d’où des milliards d’entre-elles se sont vu enlever la vie. C’est donc bien à ces endroits, d’inconsolable tristesse et de mémorable débâcle, qu’il conviendra d’avoir le courage de se déshabiller, et de se regarder.

🙏 Par un Curieux Hasard - Stephan Schillinger©️
📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique
📸 instagram.com/paruncurieuxhasard
🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger
(illustration : Miles Johnston)

14/02/2024

— J’aimerais guérir ce manque de confiance en moi qui me pourrit la vie, qui m’entrave au quotidien.
— Je t’invite à explorer le lien entre ce manque de confiance et le sentiment de culpabilité de ton enfance. L’enfant que nous étions éprouve naturellement de la culpabilité envers les problèmes qui l’entourent. Tout le reste du chemin est notamment dédié à la construction de couches sur cette émotion, qui est la plus destructrice de toute les émotions possibles. Le vestige de ce sentiment de culpabilité peut prendre la forme d’un manque de confiance en soi, qui biaise nos relations d’adulte.

— Et que faire de cette culpabilité, que je ressens vraiment comme un « poids » ?
— Ne pas la rejeter, mais l’accepter, puis « déposer » ce poids qu’elle est dans notre ventre. Nous sommes inévitablement le réceptacle des blessures de ceux dont nous avions mendié l’amour : nos parents. Il est une réalité particulièrement libératrice : ce poids que nous avons endossé en tant qu’enfant, en vérité, ne nous appartient pas.

Retiens ceci : L’enfant que tu as été, et qui crie maintenant en toi, n’a plus besoin de ce sentiment de culpabilité pour justifier son existence...

🙏 Stephan Schillinger©️

📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique

🥰 Stages & conferences : curieuxhasard.com

📸 instagram.com/paruncurieuxhasard

🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger

(Illustration : Erik Thor Sandberg)

14/02/2024

Aujourd’hui, j’ai dansé avec mon ombre. Cette adversité qui nous apparaît parfois comme une guerre à mener, le sera jusqu’à ce que nous y voyions une danse. Il faut du courage pour danser avec ce qui incarne pour nous une polarité négative, et sans qui souvent nous ne sommes rien. Le courage de danser les guerres est plus intense que celui qui permet de les mener : C’est le courage initiatique. Celui que la nature récompense.

Que ce soit marcher sur des braises, boire le Soma des Védas, le Yage des Shipibos, le Peyotl des Kiowas, il s’agit à chaque fois d’une initiation, c’est-à-dire d’une expérience directe. L’expérience directe, consiste à cesser de jouer à la dînette, avec décors, accessoires, grigris, livres et titres pompeux. C’est se heurter aux parois de sa personne en supprimant les gargarisantes spéculations, la prétention de quelconque titre ou don autoproclamé, ou tout autre masque.

Il n’y a besoin d’aucune étiquette si nous nous affranchissons de toute perspective de profit et tendons simplement la main. Seul celui qui fait n’a besoin d’aucun titre, puisqu’il fait. Tout au plus est-il à ce moment, poète ou mystique.
Baignons-nous dans la rivière, enlaçons les arbres, approchons-nous du feu, buvons l’eau de la source, trouvons les autres.
Celui qui a trouvé cette voie vers le courage ne combat plus, il danse.

🙏 Stephan Schillinger©️
📚 Extrait des livres « Par un Curieux Hasard » disponibles sur curieuxhasard.com/boutique
🥰 Stages & Curieuses Journées : curieuxhasard.com/retraites
📸 instagram.com/paruncurieuxhasard
🎬 youtube.com/c/paruncurieuxhasardstephanschillinger

(Art: Chiara Bautista)

Adresse

Maîche

Heures d'ouverture

Lundi 08:00 - 20:00
Mardi 08:00 - 20:00
Mercredi 08:00 - 20:00
Jeudi 08:00 - 20:00
Vendredi 08:00 - 20:00
Samedi 08:00 - 20:00

Téléphone

+33671677517

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Maitre de soi publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Maitre de soi:

Partager