Monique Tribillac - Psychothérapie en mémoires cellulaires

06/08/2025

24/07/2025

Le vrai pouvoir vient de l’humilité – Un enseignement de sagesse profonde:
Le véritable pouvoir n’est pas celui qui fait du bruit, ni celui qui s’impose par la force ou le contrôle. Il ne cherche ni à briller ni à dominer. Il se déploie silencieusement, depuis un espace intérieur où l’ego s’est incliné devant la grandeur de la vie. C’est là que réside l’humilité : non pas dans l’effacement, mais dans la reconnaissance paisible de sa juste place au cœur du vivant.
Être humble, ce n’est pas se rabaisser, mais se libérer de l’illusion de supériorité. C’est accueillir sa lumière comme ses ombres, sans s’y attacher ni s’en glorifier. C’est savoir que chaque être est un fragment du Tout, et que nul n’est au-dessus d’un autre dans la vérité de l’âme.
L’humilité est l’empreinte de ceux qui ont traversé l’épreuve, connu la chute, goûté le silence. Elle naît de la conscience que toute chose nous est donnée en confiance — non pour être possédée, mais pour être honorée. Le pouvoir qui en émane est pur, car il ne cherche ni à convaincre, ni à conquérir : il rayonne par la présence, la bonté et la cohérence.
Celui qui marche dans l’humilité inspire sans parler, enseigne sans imposer, éclaire sans s’élever. Il devient canal, et non obstacle, pour l’amour, la paix et la vérité. Il reconnaît que tout ce qu’il accomplit n’est que le fruit d’un courant plus vaste, une Grâce à laquelle il s’est offert.
Le vrai pouvoir, celui qui transforme et élève, vient de l’humilité. Car seule l’humilité permet de voir clairement, d’aimer librement, et de servir noblement. Et c’est dans cette offrande de soi, dans cette sagesse dépouillée de toute prétention, que l’âme devient réellement grande. Pensées thérapeutiques et action quantique.

07/05/2025

À quarante ans, l’aigle se retrouve face à un choix déchirant
: vivre… ou mourir.
Ses serres, trop longues, trop recourbées, ne saisissent plus leur proie.
Son bec, devenu trop crochu, ne peut plus déchirer la chair.
Ses plumes, lourdes et épaisses sur sa poitrine et ses ailes, entravent le vol, alourdissent l’élan.
Alors il ne lui reste que deux voies :
Se laisser dépérir…
Ou affronter la douleur d’une métamorphose.
L’aigle s’exile dans son nid, haut perché sur les cimes silencieuses.
Là, commence le supplice de la renaissance.
Il fracasse son bec contre la roche, jusqu’à le briser.
Puis il attend.

Lentement, dans la souffrance, un nouveau bec pousse.
Avec lui, il arrache ses vieilles serres, une à une.
Et lorsqu’elles ont repoussé, il les utilise pour retirer, avec rage et courage, les plumes pesantes de sa poitrine et de ses ailes.
Cent cinquante jours d’isolement.
De douleur.
De silence.
Mais lorsque l’épreuve s’achève… l’aigle s’élève à nouveau.
Renouvelé.
Affermi.
Libre.
Et il vit encore… trente ans de plus.
Il faut parfois changer pour vraiment vivre.
Et le changement fait peur. Il dérange. Il brise.
Mais s’accrocher à ce qui ne nous sert plus — les vieilles habitudes, les schémas toxiques, les croyances érodées —, c’est choisir la chute.
Ce n’est qu’en abandonnant les poids du passé que nous pouvons nous élever vers l’avenir.
La douleur de la transformation est bien réelle.
Mais le pouvoir de renaître l’est tout autant.
Auteur inconnu

09/04/2025

Le cœur guérit lorsqu'il comprend, non lorsqu'il oublie, et moi, je n'oublie pas, car oublier, c'est fuir mon histoire.
Alors, je resterai.
Je reste aux côtés de ma douleur, le temps qu'il faut pour accepter une peine, une défaite, une déception, un adieu.
Le temps qu'il faut pour m'offrir une caresse.
Car j'ai appris qu'au bout du chemin, on ne meurt pas.
Non. Finalement, on renaît.
Andrew Faber

01/04/2025

Tant que j'ignore le mécanisme dont je suis l'objet
Je suis impuissant à changer quelque chose.