Les relations au coeur du sujet

Les relations au coeur du sujet "au coeur du sujet" est une entreprise qui vous accompagne à un mieux être et un mieux vivre ensemble

https://www.facebook.com/share/17Kjo3EpRD/ je pense qu effectivement la différence nous fait évoluer et nous ouvre l'esp...
23/08/2025

https://www.facebook.com/share/17Kjo3EpRD/ je pense qu effectivement la différence nous fait évoluer et nous ouvre l'esprit. J'aime ces moments de partage qui m'ouvrent des perspectives nouvelles, on toi comme moi pouvons nous autoriser à être authentiques l un avec car nous savons que nous pouvons apposer nos points de vue et non les opposer ou les imposer. Le respect c est ce temps pris à s écouter, il se dire sans forcément adhérer mais en reconnaissant à chacun son droit à la différence.

"Pour bien s'entendre, il ne faut pas les mêmes idées, il faut le même respect." (auteur inconnu)

Entre hier et aujourd'hui, mon travail sur les relations humaines s"est enrichi d'expériences confrontantes et enrichiss...
09/08/2025

Entre hier et aujourd'hui, mon travail sur les relations humaines s"est enrichi d'expériences confrontantes et enrichissantes; j'ai toujours à coeur de vous accompagner avec cette énergie et cette joie d'être .

🌟 L’amitié…Il y a les copains… et puis il y a les amis.La différence ? Une histoire de proximité, d’intimité.Avec les pr...
08/08/2025

🌟 L’amitié…
Il y a les copains… et puis il y a les amis.
La différence ? Une histoire de proximité, d’intimité.
Avec les premiers, on se divertit, on rigole… mais on ne se confie pas vraiment.
Avec les seconds, c’est autre chose : on se sent en confiance, on peut parler de soi, de ses traversées, de ses idées.

L’amitié, c’est un peu comme une histoire d’amour :
elle se tisse avec des anecdotes, des passages à vide, des grandes joies, des grandes peines, de l’entraide, de l’écoute, des coups de gu**le, des remises en question… ou juste une main posée sur l’épaule pour dire :
« Je suis là si tu as besoin. »
ou
« Tu comptes dans ma vie. »

Parfois, on passe des mois sans s’appeler, sans se voir…
Parce qu’à un moment, nos chemins se sont séparés :
plus les mêmes envies, plus les mêmes priorités, d’autres intimités à construire… un couple, des enfants, un métier qui prend tout le temps.

Et puis, il suffit d’un nom, d’un paysage, d’une destination…
Et voilà que le souvenir de l’autre réapparaît.
Parfois, il amène la joie, l’envie de se retrouver : un coup de fil, et tout redeviendra comme avant, comme si on ne s’était jamais quittés.

Mais parfois… il rappelle la fin.
Le silence laissé par l’absence de soutien ou d’écoute.
L’inachevé des non-dits.
Et on se demande :
Peut-on parler d’amitié — ou d’amour — quand il ne reste que le silence ?
Quand on garde un masque social juste pour faire bonne figure ?
Qui est cet « ami » qui, dans un groupe, ne nous choisit plus ?
Celui qui, entouré d’amis, n’est là que pour combler ses vides et soigner les apparences ?

Moi, ce que j’aime dans l’amitié…
C’est cette liberté infinie de se dire, sans honte de qui l’on est.
C’est être cash, responsable.
C’est plonger dans la profondeur d’un moment, d’un silence…
Regarder les étoiles, et savoir qu’ensemble, on forme une constellation.
Et que oui… ensemble, on peut éclairer le monde.

✨ Belle journée ✨

L'éducation n'est pas une chose simple, d'autant quand elle est marquée par des manques, des attitudes contre-productive...
29/07/2025

L'éducation n'est pas une chose simple, d'autant quand elle est marquée par des manques, des attitudes contre-productives...Pas toujours évident de comprendre que notre "réactivité" est proportionnelle à ces zones en soi abîmées où il a manqué de douceur. Alors ce que l'on n'a pas appris enfant, il est possible de l'intégrer adulte à travers des récits, des discutions entre amis, des consultations thérapeutiques ou pédagogiques pour dénouer des noeuds énergétiques, libérer d'avantage d'amour et de possibilité de bien vivre ensemble.
https://www.facebook.com/photo/?fbid=716967347904766&set=a.195931660008340&__cft__[0]=AZVp2f5E45k8eeNH8X0hJA9JF57KyYK1ibL5n_8LjMAOl3ph6F0eMIKejxX6yXdEaugIx_q_UdonGgtuvI5GHgh7lnDY4CNsmpZRp8bPfdMBRi15ePqNC8H85ENHmBsCBChxXVA6LI20kbUP4Dmk6rlXRBYWPZyr6KIqnv0nTaurmR2Z4jqvLYMWOIO9s1VgRYbt06WKpgIIIXq4gz5Bs6Xj&__tn__=EH-R

Ce qu’on appelle DOUCEUR ÉDUCATIVE n’est pas une faiblesse, ni un “laisser-faire”.
C’est UN MODÈLE DE STABILITÉ ÉMOTIONNELLE...

Quand un parent garde son calme MÊME LORSQUE L’ENFANT DÉRAILLE, il montre qu’il est possible de GÉRER SES ÉMOTIONS SANS HURLEMENT, NI VIOLENCE

➡ Un enfant éduqué DANS LA PEUR apprend à obéir, oui…
Mais il devient souvent un adulte QUI SE NIE, QUI RÉAGIT EN EXCÈS, ou QUI FUIT LES CONFLITS

➡ Un enfant éduqué AVEC RESPECT ET FERMETÉ CALME devient un adulte CAPABLE DE S’AFFIRMER SANS AGRESSIVITÉ

L’objectif de l’éducation n’est pas d’avoir un enfant “sage”,
mais de FORMER UN ADULTE LIBRE, RÉGULÉ ET CONSCIENT DE LUI-MÊME

28/07/2025

Caroline est coach relationnelle, artiste et analyste en transgénérationnel. Cette vidéo est une réflexion de l'instant sur une pratique qu'elle utilise. Cel...

Vous avez entendu parler "d'enlever ses pelures d'oignon", je vous en fait ma traduction à partir de ce qui m'anime en c...
28/07/2025

Vous avez entendu parler "d'enlever ses pelures d'oignon", je vous en fait ma traduction à partir de ce qui m'anime en ce moment

Caroline est coach relationnelle, artiste et analyste en transgénérationnel. Cette vidéo est une réflexion de l'instant sur une pratique qu'elle utilise. Cel...

Nous sommes les enfants de parents qui ne sont jamais allés en thérapieNous sommes les enfants de ceux qui ont fait du m...
05/05/2025

Nous sommes les enfants de parents qui ne sont jamais allés en thérapie

Nous sommes les enfants de ceux qui ont fait du mieux qu’ils pouvaient, avec ce qu’ils avaient.

Nous avons grandi dans les silences, ceux qui recouvraient ce qui ne s’est jamais dit.
Dans des règles qu’on ne remettait pas en question, dans des émotions contenues jusqu’à devenir invisibles.

Nous avons appris à lire les gestes plutôt que les mots, à survivre dans l’incertitude de ce qui ne se disait pas, à chercher un sens dans ce qui, pour eux, n’avait même pas de nom.

Il ne s’agit pas de juger leur niveau de conscience, mais de comprendre que chaque génération porte le poids de sa propre histoire. Nos parents furent eux aussi les enfants d’un temps où la vulnérabilité était un luxe, et l’introspection, un sentier peu emprunté.
Ils ont grandi dans un monde où les blessures ne se nommaient pas : on les endurait, simplement.
Où les limites étaient soit rigides, soit absentes.
Où l’amour se prouvait par le sacrifice, non par les mots.

Et pourtant, nous sommes là.
Apprenant à nommer ce qu’ils n’ont pas su dire.
À reconnaître les peurs qu’on nous a léguées sans le vouloir.
À nous accorder le droit de ressentir sans craindre d’être jugés.
Car guérir, ce n’est pas accuser, c’est comprendre : ce que nous avons reçu, c’est tout ce qu’ils ont su offrir.

C’est regarder leur histoire avec compassion, et la nôtre avec responsabilité.

Nous sommes les enfants de parents qui ne sont jamais allés en thérapie, mais nous avons choisi un autre chemin.
Il nous revient de dépasser ce que nous avons appris sans le renier, de construire sans démolir, d’honorer sans répéter.
Il nous appartient d’accepter que le passé ne peut être changé, mais que son écho peut être transformé dans notre vie.

Il nous revient d’accueillir nos blessures avec tendresse, d’en faire des sources de sagesse, et de nous permettre d’être, à chaque pas, la génération qui ouvre la voie à de nouvelles façons d’aimer, de vivre, d’exister, d’Être.

©️ 𝕒𝕦𝕥𝕖𝕦𝕣 𝕚𝕟𝕔𝕠𝕟𝕟𝕦

Cette semaine, je me suis confrontée à un petit inconfort vis à vis d'un groupe de personnes que j'aime bien.J'ai traité...
25/04/2025

Cette semaine, je me suis confrontée à un petit inconfort vis à vis d'un groupe de personnes que j'aime bien.
J'ai traité cet inconfort avec le travail "the work" de Byron Katie via chap GPT, et oui, moi qui était hermétique à l'ia, aujourd'hui je le met à mon service. Et ce qui en a résulté apparait sur le texte que j'ai mis en image avec une de mes photos.

Je ne sais pas vous, mais moi je ne m'y retrouve pas toujours quand je suis dans un groupe, qu'il s'agisse d'artistes, de développement personnel ou dans le travail ; mais je m'autorise à dire non quand quelque chose ne me rejoint pas.
ça pourrait paraitre simple et facile de se positionner, mais ça ne l'a pas été d'autant quand j'étais seule dans le groupe à ne pas suivre l'idée générale. Je n'ai pas remis en cause mon positionnement, mais c'est venu réveiller un tas d'injonction déjà entendu qui m'ont parfois blessé " tu es une lâcheuse" "tu es une rebelle" "t'as toujours besoin de faire autrement" "on dirait ton père".
Ceci dit je n'en suis pas morte et ce n'est pas pour autant que je me sente obligé de faire comme les autres alors que je pense différemment. j'arrive pas à me sentir "obligée".
j'ai donc posé le contexte et demandé à l'ia de jouer mon interlocuteur avec les questions de The work...

Cela m'a permis de relever une croyance limitante "quand je m'affirme je suis rejetée" (pas besoin de me rejeter en vrai puisque c'est juste l'histoire que je me raconte), derrière s'est trouvé un ressenti de solitude venant de l'enfance et du face à face avec le groupe familial où chacun y allait de l'affirmation de ses croyances et les projetais sur les autres sans avoir la capacité de s'écouter et se respecter chacun dans leur vision.
J'avais en fait face à moi des adultes blessés chacun par le même drame familial et tous avaient trouvé des ressources différentes pour y survivre.
Pour moi ils avaient tous une bonne raison de croire ce qu'ils croyaient mais je ne comprenais pas que ces affirmations les entraine à tant de querelles, c'était comme si leur manière d'avoir fait face était ce qu'il fallait que les autres fassent pour reconnaitre leur appartenance au clan. Comme s'ils étaient incapables de se différencier.

Plus t**d, quand je me suis formée en communication relationnelle, pour mieux comprendre les jeux et enjeux relationnels, j'ai appris que nous avions deux besoins essentiels antagonistes : le besoins d'affirmation et le besoin d'approbation. Comme nous avons aussi besoin d'appartenance, de nous sentir acceuillit, il arrive que nous priviligions l'un à l'autre.

Pour ma part je suis partie du principe d'être authentique et de faire ce que je sens et non d'obéir gentillement pour être apprécié.

Je n'aime pas le conflit, mais j'aime encore moins me mentir à moi-même. Donc dans cette croyance limitante " quand je m'affirme je me sens rejetée" réveillée par mon positionnement dans le groupe et d'autres histoires en lien avec des groupe, j'ai pu toucher à son fondement dans l'enfance.
De là, il m'a été proposé d'imaginer la même situation sans cette croyance ; tout était plus léger, simple, claire, je pouvais me voir juste alignée avec mes valeurs et centrée.

Sur les quelques propositions que l'ia m'a faite, une m'a véritablement impactée " quand je m'affirme je me retrouve " et ça n'a rien contre les autres, j'ai pas besoin comme dans l'enfance de m'isoler pour chercher à comprendre ou m'imaginer ce que les autres pensent et pourquoi.

Je peux mettre mon hyper sensibilité à mon service et au service des autres sans avoir besoin de leur approbation en restant qui je suis.
Je peux aussi utiliser l'ia pour le mettre au service de mon humanité et cesser de perdre de l'énergie avec mon égo qui cherchera toujours à donner tord ou raison, ce, fonction de mon histoire et de ce que je connais de l'autre.

Toutes nos raisons sont valables, elles parlent juste de nous et de personne d'autre.
Faut-il apprendre à mieux nous écouter, nous connaitre et ne pas projeter sur les autres nos inconforts qui nous ramène à nous-même et ces endroits à faire évoluer pour plus d'ouverture !

La photo est un révélateur. Ici le photographe saisi sa femme et ses enfants, deux sont "accrochés" à leur mère et une q...
19/02/2025

La photo est un révélateur. Ici le photographe saisi sa femme et ses enfants, deux sont "accrochés" à leur mère et une qui saisi la capture d'image se cache derrière une feuille. Quel drôle de jeux ! une forme de langage avec son père qui saisi cet instant pour le garder en toute éternité.
Quel type d'images capturons-nous ou choisissons nous de garder ou d'exposer?
Que disent-elles de nous, de notre vision du monde, de la famille...?

Adresse

Villefranche-sur-Saône
69400

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