Alpha Saliou

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Finissez avec les problèmes de l'année 2022 et rentrer en 2023 avec les merveilles de la nature .tu dois rentrer fêté av...
11/12/2022

Finissez avec les problèmes de l'année 2022 et rentrer en 2023 avec les merveilles de la nature .tu dois rentrer fêté avec l'homme de ta vie et avec tes enfants et finir avec les problèmes de dettes par-ci par-là une purification est nécessaire pour toi avec une consultation approfondir . contacter nous pour plus d'informations

Prendre un long bain est l'une des meilleures façons de se détendre après une journée ou une semaine difficile. Mais si ...
01/12/2022

Prendre un long bain est l'une des meilleures façons de se détendre après une journée ou une semaine difficile. Mais si vous recherchez un peu plus que la détente physique, vous pouvez facilement retirer des bénéfices spirituels de votre bain. Il vous suffit de trouver la bonne recette de rituel.
Les bains spirituels sont une forme de purification, un peu comme les bains rituels de la Rome antique. Ils sont censés être une sorte de bouton de réinitialisation pour votre énergie, et ils peuvent même vous aider à définir des intentions de méditation. Tout dépend de ce que vous ajoutez à l'eau du bain.
Selon Deborah Hanekamp, voyante et guérisseuse, ajouter des cristaux, des huiles essentielles et des herbes à l'eau est un acte de bénédiction. Tous ces éléments sont censés être spirituellement réparateurs et imprégner le bain de leurs pouvoirs de guérison. C'est ce qui rend les bains spirituels tellement uniques : contrairement à ce qui se passe lorsqu'on tient un cristal contre son corps ou qu'on purifie une pièce de la maison, tout le corps est immergé dans l'énergie que possèdent ces objets.
"Lorsque nous nous immergeons dans cette eau, elle nous bénit à son tour", explique Hanekamp, ajoutant qu'il faut, si possible, plonger la tête sous l'eau. "Nous retenons tellement d'énergie dans notre tête et cela nous aide à retrouver un esprit calme".
Hanekamp recommande de passer au moins 20 minutes dans le bain, mais si vous n'avez que quelques minutes à perdre (ou si vous n'avez pas de baignoire), vous pouvez tout simplement préparer un bain de pieds. Et si votre collection de cristaux est plutôt limitée (ou complètement inexistante), pas d'inquiétude. Hanekamp affirme qu'il est toujours possible de faire une expérience spirituelle dans un bain ordinaire, à condition de réfléchir aux moyens de se rendre service et de prendre soin de soi. Si vous sortez de la baignoire en vous sentant rechargé·e et avec un sens renouvelé de la détermination, considérez que votre mission est accomplie.

17/11/2022

Origine des Ibeji / Hooho selon un mythe du Cuba

Los Ibeyi

Le nom Jimaguas donné à ces santos vient de Cuba, une forme de plusieurs noms Mellizos, Gemelos, et Ibeyi. Beaucoup des Ibeyi donnés aujourd'hui ont leurs origines dans la célèbre maison des "Jimaguas del Pelenque" de Cuba.

Lydia Cabrera dans son livre "El Monte" parle de ces personnalités : A partir de 1880, dans une ferme de la juridiction de Mariano (La Havane), il y avait un lotissement appelé Palenque, qui fut converti en barrio des Africains, un peu plus loin de LA LISA et devant une maison connue comme la Maison du guérisseur, vivaient de nombreux Lucumi et criollos, tous filleuls des célèbres Ibeyi, deux jumeaux santeros très importants, avec d'innombrables filleuls à La Havane. Ils étaient appelés les "Pères des Jimaguas", leurs noms étaient "Perfecto et Gurmensindo". Beaucoup disent ou prétendent qu'ils possédaient Pelenque, ce qui aurait été vrai vu la renommée et l'honneur des Africains noirs et des Criollos de la région. "Palenque était aussi le sanctuaire des Ibeyis- San Cosme et San Damian bien que les principaux orishas étaient Ogun et Orishaoko..."

Mais selon Don Fernando Ortiz, dans son livre "Los Negros Brujos", il affirme que les Jimaguas de Palenque n'ont pas fabriqué d'Ocha, mais ont apporté avec eux à Cuba les secrets de ces orishas depuis leur terre natale, au large de la côte occidentale sud du Nigeria. Il poursuit en disant que les Jimaguas n'ont pas appris l'existence de ces orisha des Africains natifs du Nigéria mais de la Guinée, qui est formée de nombreuses tribus mais dominée par les Congos. De même, Don Fernando parle brièvement de l'arrestation des jumeaux par les autorités au XIXème siècle et des poupées qu'ils appelaient Jimaguas qui ont été ouvertes et dans lesquelles on a trouvé des restes humains, des cornes d'animaux, des racines, de la terre, des clous et des pierres, ainsi que des traces de sang séché.

De même, dans les notes d'étude de A.B. Ellis (qui a travaillé avec Don Fernando Ortiz), il a été noté qu'une divinité nommée Ibeyi était considérée comme l'orisha gouvernant les jumeaux dans une ville appelée Erapos au Nigeria (il n'y a aucune référence à cette ville documentée) où il est dit que Ibeyi avait un grand temple où les jumeaux et leurs parents étaient donnés en plus grand honneur.

Pour quelque raison ou lieu d'origine que ce soit, nous recevons aujourd'hui les Ibeyi, les ILES savent que les Jimaguas Palenque sont les pères de ces orisha dans notre religion et nous sommes tous liés, ceux qui ont les Ibeyi remontent aux célèbres jumeaux de La Havane.

17/11/2022
12/11/2022

21 H, CONTE AFRIQUE NOIRE !

Conte : Mariko, le chasseur têtu

Mariko était un chasseur ! Mais quel
chasseur ! Il tuait les animaux comme si ce n’étaient pas des vies. Chaque jour, il en tuait des dizaines et des dizaines dont il exhibait les têtes et les queues comme trophées.

Un jour, sa femme qui n’en pouvait plus
de le voir ainsi massacrer les animaux, le
conseilla en ces termes :
- Mariko, s’il te plaît, arrête de tuer les
animaux comme tu le fais. Ce n’est pas
bien. Ce sont des vies.
Mariko se moqua de sa femme. Et dès le
lendemain, il alla massacrer trois
dizaines de bêtes sauvages dont il
ramena les queues au village.

A leur tour, les anciens du village le convoquèrent dans leur vestibule et lui dirent :
- Mariko, arrête de tuer les animaux comme tu le fais. Si les chasseurs qui t’ont précédé
sur cette terre avaient fait comme toi, tu ne serais pas devenu chasseur car pas un seul
animal sauvage ne leur aurait survécu.
Mariko se moqua des anciens. Et dès le lendemain, il alla massacrer quatre dizaines de
bêtes dont il ramena les queues au village.

Ce jour-là, Mariko partit à la chasse. Toute la journée, il battit en vain la savane et ne
rencontra aucune bête, même pas un petit écureuil. Le soir venu, il s’en retournait
bredouille au village en maugréant quand il vit, allongé au bord de la rivière, un grand
lézard qui se prélassait aux derniers rayons du soleil couchant. Ses yeux brillèrent de joie.
Il n’allait pas essuyer les moqueries de villageois en rentrant bredouille. Il pointa son arme
sur le lézard et allait tirer quand celui-ci, se mettant debout comme un homme, il chanta :

« Ne me tue pas Mariko. Ne me tue pas.
Je ne suis pas un lézard ordinaire.
Vois-tu ? Les marchands du Nord, du Sud
De l’Est et de l’Ouest passent et repassent par ce chemin. Ils me voient ici, tous les jours.
Ils ne m’ont pas tué parce qu’eux, ils savent
Que je ne suis pas un lézard comme les autres ! »

Mariko lui répondit en éclatant de rire :

- Vieux lézard, même si tu chantes toutes les chansons de ton répertoire, moi, je vais te
tuer !
Et pan ! il tua le lézard. Il le prit et le jeta sur son épaule et rentra au village.
Au moment de franchir la porte de sa maison, le lézard, bien que mort, lui chanta de
nouveau :
- Ne me tue pas, Mariko. Je ne suis pas un lézard ordinaire...
Mariko lui répondit :
- Continue de chanter, hein ! Je vais te rôtir et te manger tout à l’heure. Et on verra bien si
tu peux continuer de chanter dans mon ventre !
Il alla jeter le lézard devant sa femme :
- Prépare-moi ça, ma chérie. Je meurs de faim.
- Moi ? lui rétorqua sa femme. Non seulement, je ne prépare pas ce lézard. Mais je ne le
mangerai pas. Mes enfants ne le mangeront pas non plus. Tu m’entends, Mariko ?
- Tant p*s. Je me le préparerai moi-même.
Et Mariko de dépecer le lézard. Il le découpa en morceaux et jeta les morceaux dans le
poêle. Mais même en mijotant sur le feu, chaque morceau du lézard chantait :
- Ne me tue pas Mariko. Je ne suis pas un lézard comme les autres.
- Tu vas être prêt et je vais te dévorer à belles dents, dit Mariko. Et on verra bien si tu vas
continuer de chanter !

Quand le lézard fut bien cuit, Mariko, se mit à le manger. Il invita sa femme. Sa femme
refusa. Il invita ses enfants, tous refusèrent. Et il mangea tout seul.

Aussitôt qu’il eut fni de manger, il eut soif, une grande soif qui se mit à lui brûler la gorge.
Il cria sur sa femme :
- Apporte-moi à boire ! Je meurs de soif, je meurs de soif !
Sa femme lui apporta verre d’eau qu’il but d’une rasade. La soif s’aggrava.
Il cria sur ses enfants :
- Apportez-moi de l’eau ! Je meurs de soif ! Je meurs de soif !
Chaque enfant lui apporta une cruche d’eau. Il les avala d’une traite. La soif s’aggrava.
Mariko se leva et alla prendre le canari d’eau. Il avala la contenance d’une seule rasade.
La soif empira.
Il sortit de la maison en courant, sortit du village à toute allure. Il partit à la rivière, celle
au bord de laquelle il avait tué le lézard. Il se baissa et commença à boire l’eau de la
rivière. Mais la soif s’aggrava. Il but, but et but. Son ventre s’enfla, se gonfa et fnit par
exploser. Les morceaux du lézard en sortirent, se recollèrent.

Et soudain, le lézard se dressa devant Mariko mourant et lui dit :
- Que t’avais-je dis, Mariko ? Tu l’apprendras à tes dépens.

C’est depuis ce jour que si l’on continue à chasser les animaux, on le fait avec raison.


Conte du Mali

12/11/2022

21 h Afrique

Conte : La jeune femme, la tourterelle et le vieux

Youma était une orpheline. Sa mère était morte en lui donnant la vie. Très jeune, on l’avait mariée à un homme. Un homme jaloux, si jaloux qu’il avait quitté tout le monde pour aller s’installer au milieu de la forêt. Tous les soirs, de retour de la chasse, il battait Youma.

Ce soir-là, il fut particulièrement cruel. Après avoir battu Youma comme on bat son mil, il s’empara de son fusil et menaça de la tuer. Youma se sauva dans la nuit. Elle voulait rejoindre le village de ses parents.

Mais le village de ses parents et le hameau de son mari étaient séparés par une grande rivière. Dans cette rivière, vivait un vieux caïman mangeur d’hommes. Une fois la nuit tombée, personne ne pouvait traverser cette rivière sans se faire dévorer par le vieux caïman.

Youma se retrouva au bord de la rivière. Si elle s’y jetait, le vieux caïman allait la
dévorer, mais si elle retournait chez son mari, celui-ci allait peut-être la tuer. Elle tremblait, pleurait, se lamentait. Soudain, la rivière se mit à remuer dans tous les sens, balayée comme par une tempête. Dans l’obscurité, Youma vit émerger de l’eau et nager vers elle quelque chose comme une île fottante : c’était le vieux caïman.

Il vint s’amarrer prêt de Youma et lui dit :
- Monte sur mon dos, ma flle. Je vais te faire traverser !
Youma m***a et le caïman la transporta sur l’autre rive. En la déposant, il lui dit
cependant :
- Que cela reste entre nous ! Personne d’autre ne doit le savoir !
Youma rentra chez ses parents. Sa marâtre effrayée lui demanda :
- Qui t’a aidée à traverser la rivière ? Dis-moi !
Elle répondit en baissant les yeux :
- Personne.

Son père lui posa la même question, de même que les vieux du village, les jeunes. A
tous, elle répondit :
- Personne.
Mais le jour où son copain d’enfance lui dit :
- Entre nous, qui t’a fait traverser la rivière ? Il y a le vieux caïman mangeur d’hommes.
Même les plus braves chasseurs ne peuvent s’y hasarder une fois la nuit venue ! Dis-moi
le secret, entre nous !
Elle répondit :
- C’est le vieux caïman lui-même qui m’a aidé ! Mais que cela reste entre nous !
Mais cela ne resta pas entre eux. Car ce que Youma ne savait pas, c’était que la petite
tourterelle la surveillait. La petite tourterelle qui avait été témoin du pacte avec le vieux
caïman !

Arriva le jour où elle devait retourner chez son mari. De nouveau, toute seule, elle se retrouva au bord de la rivière, dans la nuit. C’était le clair de lune. Le vieux caïman émergea de l’eau et commença à nager vers elle quand la petite tourterelle, perchée sur une branche, chanta :

- Son père le lui a demandé, elle a répondu : Personne !
Sa mère le lui a demandé : Personne !
Même les vieux le lui ont demandé, toujours : Personne !
Mais quand son copain le lui a demandé, elle a répondu :
C’est le vieux caïman lui-même
Qui m’a aidée !

Le vieux caïman se tourna vers la tourterelle et lui dit :
-Ta chanson est certes belle. Mais je ne l’ai entendue que d’une oreille. Si tu venais te
percher sur ma langue pour la répéter, je l’entendrais des deux !
La petite tourterelle sauta sur la langue du vieux caïman et acheva sa chanson dans
l’estomac de celui-ci.

Ensuite, le vieux caïman vint se ranger auprès de Youma :
- Monte, ma flle. Je vais te faire traverser. Et gare à ton mari si de nouveau, il touche un
seul de tes cheveux. Il aura affaire à moi !
Il fit traverser Youma et lui donna beaucoup de richesses : des vêtements, de l’or et des
chevaux. Elle devint une reine et fonda sa dynastie.


Conte du Mali

12/11/2022

Lupita, Nakia dans Black Panther a visité le pays. 🇧🇯

12/11/2022

Candomblé _ Vodun du Brésil

BAHIA, presque tout le monde appelle la capitale animée de l'État brésilien de Bahia. Et ce n'est pas sans raison. Le nom officiel de la ville est très évocateur : Sao Salvador da Bahia de Todos os Santos - Saint Sauveur de la Baie de tous les Saints. La ville se trouve à quelque 760 miles au nord de Rio de Janeiro, sur une péninsule tropicale située entre une baie d'un bleu profond et l'Atlantique. Principal port d'entrée des esclaves noirs pendant plus de 300 ans, Bahia, sous son vernis portugais, reste la ville la plus africaine du Brésil. Elle grouille aujourd'hui d'une population de 1,2 million d'habitants, dont 70 % sont noirs ou mulâtres, et elle est le centre d'un culte afro-brésilien dynamique appelé Candomblé, une forme de vaudou.

Plus ancienne ville du Brésil, Bahia mêle le passé et le présent avec son mélange d'architecture baroque et moderne, son amalgame de races, son mélange de catholicisme et de cultes africains qui prospèrent côte à côte. Les cultes sont arrivés avec les navires négriers après 1549, lorsque les Portugais ont fait de Bahia la première capitale du Brésil. Dès le début, maîtres et esclaves se sont installés pour s'occuper du métissage, et on peut se demander qui a le plus influencé qui. Il est certain que la religion africaine la plus authentique du Brésil, le Candomblé de Bahia, exerce une influence puissante sur la vie de nombreux Bahianais aujourd'hui.

Le candomblé, un culte monothéiste, vénère un être suprême appelé Olorum ou Zatnbi, mais il règne par l'intermédiaire de divinités subsidiaires appelées orixas, auxquelles les adorateurs, principalement les pauvres, demandent de l'aide - en amour, dans la maladie, pour supporter une vie difficile. Le culte identifie ses propres divinités africaines aux saints catholiques correspondants, une précaution raisonnable si l'on considère que l'Église a proscrit le candomblé pendant des siècles. Oxossi, dieu de la chasse, par exemple, correspond à saint Georges, le tueur de dragons.

Les réunions de candomblés à Bahia ont généralement lieu le vendredi et le samedi soir. Les Candomblés enregistrés dans la ville sont plus de 800, contre une centaine d'églises, mais l'office du tourisme, très prévenant, fournit une liste sélective de terreiros, ou maisons de culte, qui acceptent les visiteurs. Sans être des pièges à touristes, ils offrent un aperçu fascinant de la magie afro-brésilienne à l'œuvre. Et bien que les mystères intérieurs, y compris les sacrifices d'animaux, soient trop sombres pour tous sauf les initiés, les visiteurs peuvent assister aux festas, ou célébrations, qui suivent. Gilberto Freyre, historien et sociologue brésilien, décrit ces cérémonies comme "bruyantes et exubérantes, avec pratiquement aucune répression des impulsions individuelles".

12/11/2022

La divinité Ogun

Ogun est l'esprit du fer en Afrique de l'Ouest. Il est le fer. Tenez un couteau ou un fer à cheval dans votre main et vous tenez Ogun. Ogun est le patron des métallurgistes qui, traditionnellement, servent aussi de chamans, de sorciers, de guérisseurs et de chefs de rituels.

Ogun est également le patron de tous ceux qui travaillent du métal, y compris les bijoutiers, les chirurgiens, les agents de la force publique, les chefs cuisiniers, les chauffeurs de taxi et de bus, les soldats... la liste est infinie. La vénération d'Ogun est au moins aussi ancienne que l'âge du fer, qui a commencé en Afrique vers 500 avant notre ère.

Selon le mythe Yoruba, Ogun a conduit les orishas sur Terre et les a aidés à survivre et à s'adapter. Il coupe des chemins à travers tous les fourrés et les obstacles avec sa machette. Ogun est un héros culturel : il a enseigné aux gens le travail du fer ainsi que les rituels magiques et spirituels, la chasse et la guerre. Bien qu'il ne soit pas un esprit de l'agriculture, Ogun est le premier à avoir fabriqué les outils qui rendent l'agriculture possible.

Ogun est considéré avec ambivalence. C'est un guérisseur qui provoque également la mort violente : couteaux, fusils, épées, guillotines et chars ne sont que quelques-uns de ses outils. C'est aussi un patriarche qui protège les orphelins et héberge les sans-abri. Ogun est vénéré dans toute l'Afrique occidentale et apparaît dans pratiquement toutes les traditions de la diaspora africaine.

Ogun déteste les menteurs. C'est pourquoi il existe une tradition béninoise consistant à prêter serment sur du fer, de la même manière que l'on prête serment sur la Bible ailleurs. Si le serment est rompu, Ogun rendra justice. Il exprime sa colère par des "accidents" impliquant du métal, notamment des accidents de voiture, des accidents de train, des armes à feu, des couteaux...

11/11/2022

SIMPLE ET PUISSANTE RECETTE POUR FINIR AVEC L'ÉJACULATION PRÉCOCE ET LA FAIBLESSE SEXUELLE.

Ingrédient

Feuille sèche du canne a sucre .

Procédures

Faire bouillir dans l'eau pendant 15 min les feuilles sèches du Canne a sucre.
Prenez cela avec verre a bambou matin et soir une heure avant ou après le mangé.
Faire ce traitement durant un mois et dis adieu a la faiblesse sexuelle et a L'éjaculation précoce. Ceci vous permettra d'être au point et en forme au lit.

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11/11/2022

🌵 ALOÈS ( ALOÈS VERRA)

Utiliser cette plante pour guérir d'énormes maladies. JMH

⏩ Pour : diabète, ulcères d'estomac, fatigue, maladies auto-immunes, constipation, mauvaise digestion, problème circulatoires, herpès , les crampes d'estomac , les maux gastriques , Cancer, maladies de peau incurables, problèmes digestifs chronique...

Diluer deux à trois cuillérées à soupe du gel ou Jus de pulpe dans un verre d'eau ou de jus de fruit et boire 2 à 3 fois par jour. On peut aussi manger simplement la pulpe.

⏩POUR LA CONSTIPATION

Mettre quelques grammes de résine dans de l’eau et laisser diluer. Boire un petit verre au milieu des repas tous les deux jours pendant deux semaines. La résine peut irriter les estomacs délicats

⏩POUR LA PLAIE ET LES BLESSURES

Passer le gel sur les blessures de temps en temps.

⏩POUR L'AIDE MÉMOIRE

Mélangez l'aloès avec miel pur. Prenez les matins et les soirs au coucher. Ce mélange rafraichit le cerveau et vous aurez la facilité à bien garder vos leçons

⏩POUR AVOIR UN PÉNIS DE FER BIEN DUR ET GROS

Prenez le gèle de l'aloès et chaque soir au coucher, masser tout doucement en appuyant et en tirant sur votre machine tous les soirs sans masturber. Ne portez pas de caleçon durant cette nuit. Vous verrez le résultat dans moins de deux mois. JMH

⏩LES FEMMES, POUR RÉTRÉCIR VOTRE VAGIN ET REDEVENIR A NOUVEAU VIERGE

Mettez le gèle d'aloès dans le vagin les soirs au couché.

⏩POUR LES FEMMES QUI SOUFFRENT DES KYSTES

Prenez quelques feuilles d'aloès et garder au frigo pendant deux semaines. Découper ensuite ces feuilles en petits morceaux puis,les presser jusqu'à obtention du gel
Mettre ce gel dans un bocal et ajouter une quantité de miel équivalent au gel
Mettre le mélange au frigo.
Et commencer le traitement en prenant chaque matin a jeun une cuillère pendant 45 jours.

⏭Vous pouvez utiliser le gèle de l'aloès en associant a d'autres ingrédients pour empêcher l'évolution du VIRUS de SIDA dans l'organisme.

La suite ici 👉https://youtu.be/GaLcDlF8iZg

Secret d'Afrique : Nos Cultures

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11/11/2022
11/11/2022

Chers frères chères sœurs , pour éviter des problèmes dans la vie , il faut surtout éviter de trop raconter ton bonheur et ton avenir a tout le monde . Préserve ta vie , même tes propres frères et soeurs peuvent te combattre . Quand tu n'as plus de secret tu n'as plus de mystère , et quand tu n'as plus de mystère tu n'existe plus. Ne laisse pas n'importe qui avoir accès dans ta vie .
Ce n'est pas parce qu'une personne te montre les dents aujourd'hui qu'il est d'accord avec ton bonheur. C'est souvent ceux qui sont auprès de nous qui nous trahissent ,et la vie est fait ainsi .
Que la divine mère épaille sur nos différents chemins , toutes ces personnes pouvant consister un handicape pour notre vie .
Bon début de semaine a tout un chacun de nous , et que cette semaine soit la meilleure a tous et toutes 🙏🏽

11/11/2022

21 h Afrique

Conte : La chèvre et le vieillard

Il y a très longtemps, dans une contrée lointaine où les forêts étaient partout, vivait seul un hideux vieillard avec une chèvre qu’il aimait par-dessus tout. Celle-ci était très vieille, mais restait en vie par amour pour lui. Le vieillard désirait une
descendance. Un beau jour, alors que le vieillard était allé couper du bois, sa chèvre, voulant lui prouver son amour, alla voir le génie de l’arbre.

Arrivée là-bas, le génie lui demanda de sa voix grave :
- Que veux-tu, petit animal ?
- Je voudrais rendre mon maître
heureux.
- De quelle manière puis-je t’aider ?
- Mon maître souhaite une
descendance et j’aimerais la lui apporter.
Le génie réfléchit un moment puis lui dit :
- Je peux te transformer en femme.

Toute heureuse, la chèvre sautait déjà partout à l’idée de rendre le vieillard joyeux.
C’est à ce moment-là que le génie énonça une phrase bizarre :
- Kalakou, Kalakou, bérékoukiiiiiiii !
Et la chèvre se transforma en une superbe femme :
- Je te remercie, grand génie de l’arbre.
Alors qu’elle s’en retournait, le génie lui cria :
- Tu sacrifieras ton cinquième enfant sur mon arbre.
Elle s'en retourna sans prêter attention à ce que lui disait le génie.
Quand le vieillard rentra chez lui, il fut surpris de trouver une femme. Celle-ci le
rassura :
- C’est moi, ta chèvre ! Je suis allée voir le génie de l’arbre pour qu’il me transforme en femme afin d’assurer ta descendance comme tu le souhaitais.

Le vieillard la reconnut. Ils eurent un premier enfant, puis un deuxième, un troisième, un quatrième et le cinquième. La vie se déroula, ils vécurent heureux, sans problème.
Un jour, alors que les enfants jouaient dans la forêt, le cinquième enfant alla se cacher derrière un arbre. L’arbre l’attrapa et se mit à l’engloutir. Il se mit à chanter en
s’adressant à ses frères :

« Bori, bori, djinamori, bori
Bori djinamori
Ka ta fo m’bayé
Djinamori bori
Bori djinamori »

Les autres enfants, ayant entendu les cris de leur frère, allèrent prévenir leur mère :
- Maman, Maman...
La mère entendit leurs cris et leur demanda :
- Mais que se passe-t-il, mes petits ?
- Bourouki s’est fait engloutir par l’arbre et il chante :
« Bori, bori, djinamori, bori
Bori djinamori
Ka ta fo m’bayé
Djinamori bori
Bori djinamori »

La femme se souvint alors de ce que lui avait dit le génie. Elle alla voir celui-ci avec son mari, le vieil homme.
- Rends-moi mon enfant, dit-elle au génie.
Le génie lui répondit :
- Tu sacrifieras ton cinquième enfant sur mon arbre, souviens-toi. Tu l’as fait, alors je le prends !
La femme lui répondit :
- Mais tu n’as pas précisé à quel âge je devais le sacrifier et ceci est une faute dans les droits conférés aux génies. Tu dois donc me le rendre.
Le génie réfléchît et avoua :
- C’est vrai, malheureuse, tu as raison, je dois te le rendre.
Ils repartirent donc avec les cinq enfants et vécurent heureux.
Un oubli peut toujours être rattrapé.


Conte du Mali

11/11/2022

Conte : La ruse de Gayndé le lion

Trois bœufs vivaient ensemble, dans une forêt, loin des autres animaux. Dans cet endroit, l’eau et le pâturage étaient abondants. Les bœufs vivaient dans la joie et la bonne humeur ; il leur arrivait d'organiser des soirées de fête où ils dansaient et chantaient mazeyenkoum, ma zeyenkoum, chacun disant aux deux autres : que vous êtes jolis, que vous êtes beaux. Seulement les trois bœufs étaient de couleurs différentes, l'un était blanc, l'autre noir et le troisième, lui, était brun.

Un jour, ils reçoivent la visite de Gayndé le lion qui leur propose de rester quelques jours avec eux. Ils acceptent et continuent de vivre comme si de rien n'était. Lui, ce qu'il désire, c’est manger les bœufs, mais comme ils sont tout le temps ensemble, il ne peut pas le faire.

Un soir, il vient à côté du bœuf blanc et du bœuf marron et leur dit en douce :
- J'ai remarqué une chose que vous n’avez pas vue : ce bœuf noir, il est trop gourmand.
Tout le pâturage, toute l'eau, si vous ne faites pas quelque chose, il va les finir bientôt et vous allez tous mourir de faim. J'ai même vu que dans l'enclos où vous dormez, il prend toute la place. Alors tuons-le avant qu'il ne soit trop t**d !

Les deux bœufs opposent un refus catégorique à la proposition du lion :
- Non, nous refusons, c’est notre frère.

Le lendemain, le bœuf blanc et le bœuf brun commencent à prêter attention à la façon de manger et de boire du bœuf noir. Quand ils s'arrêtent pour l'observer, lui continue à manger et boire comme si de rien n'était. Une semaine passe, le lion comme la première fois vient voir le bœuf blanc et le bœuf brun, et leur fait la même proposition. Encore une fois les deux bœufs opposent un refus mais un refus moins catégorique :
- Non, non, c'est notre frère.
Les jours se succèdent et les deux bœufs prêtent de plus en plus attention au comportement du bœuf noir. À la fin de la troisième semaine, après la fête du soir, les deux bœufs aident le lion à tuer le bœuf noir. Le lion aussitôt mange le bœuf noir.

Un mois après, le lion s'approche discrètement du bœuf brun et lui dit :
- Tu vois, ce bœuf blanc, il est différent de nous, toi comme moi nous sommes bruns, mais lui, il diffère de nous : il est blanc. Tuons-le et, comme ça, nous allons rester seuls dans la forêt avec notre belle couleur. Le bœuf brun, n'ayant pas compris la ruse du lion, l'aide à tuer le bœuf blanc, que le lion dévore sur le champ.

Quelque temps après, comme le bœuf brun était tout seul dans la forêt avec le lion, ce dernier n'a pas de peine pour le manger.
On dit en woloof : « mboloo moy dooley » (c'est l'union qui fait la force).


Conte de Mauritanie

11/11/2022

OBA DIMEDJI maison ALLADE, Adjibamè Kpomassè 2017

Egouns Orisha de Ouidah

11/11/2022

Le dévouement de Yamadou Hâvé

Il y a très longtemps de cela, des Peuhls de la famille d'un chef célèbre nommé Diâdié fondèrent un village qu'ils appelèrent Bambéro, du nom d'une m***agne voisine. Le village prit peu à peu de l'importance et ne t**da pas à compter 333 flèches ou guerriers.

Les Tomaranké (de la région de Médine) virent d'un mauvais œil la prospérité rapide de ces nouveaux venus et, poussés par la jalousie et la cupidité, leur déclarèrent la guerre. Les Peuhls étaient bien peu nombreux encore pour résister à tant
d'ennemis mais, malgré cela, ils se résolurent à la résistance la plus acharnée.

Un marabout, du nom de Malick Sy, qui voyageait dans la région, vint alors à Bambéro. Il proposa aux Peuhls de leur préparer un grigri qui leur assurerait la victoire malgré leur grande infériorité numérique :
— Mais, ajouta-t-il, il vous faudra souscrire à la condition que je vais vous poser...
— Parle ! dirent les Peuhls.
— Voici ma condition : vous fixerez ce grigri à la pointe d'une flèche. Au début du combat, l'un de vous, un membre de la famille de Diâdié, un de vos concitoyens que vous aimez le plus, décochera la flèche au milieu des ennemis. Il sera tué dans le combat mais, à ce prix, je vous garantis la victoire.

Chacun alors s'offrit pour ce mortel honneur, mais Malick Sy resta muet jusqu'à ce qu'un jeune homme du nom de Yamadou Hâvé se fût proposé.
Alors, le marabout déclara :
— Celui-ci est l'homme que j'attendais !
— Voilà qui est bien, dit Yamadou aux Peuhls, mais puisque je m'offre pour votre salut, je vous demande de consentir à votre tour à mes demandes !
Il y avait là quatre tribus peuhles : les Diallo, les Diakhité, les Sidibé, les Sankaré. Toutes donnèrent leur consentement.
— Le marabout, reprit Yamadou, a dit que, par la vertu du talisman, je mourrai demain pour le salut de ma race. Je suis prêt, mais j'ai trois enfants : deux garçons et une fille ; le premier est Ségo Dohi, le deuxième Mamadou Dohi et la troisième Sané Dohi. Chers Peuhls, je vous les confie, eux et leurs enfants ! Je demande que leurs descendants commandent aux Peuhls du Khasso. Je désire qu'ils puissent épouser les femmes de votre race.

Les Peuhls, à l'unanimité, déclarèrent qu'il en serait selon son désir. C'est à la mare de Tombi-Fara que se produisit le choc entre les Malinké et les Peuhls. Le combat à peine commencé, Yamadou Hâvé se précipita, flèche en main, au milieu des ennemis pour les frapper à mort. Il se battit vaillamment et ne tomba qu'au moment où les
Malinké prirent la fuite. Et la prédiction du marabout fut entièrement réalisée. Les Peuhls remportèrent la victoire tandis que leurs adversaires, ayant perdu leur roi, furent en grande partie anéantis.

La paix fut ainsi assurée pour de longues années et les Peuhls s'acquittèrent de leur dette envers les enfants du héros. Ils les élevèrent avec considération. Ils firent de Ségo Dohi leur roi dès sa majorité et maintinrent le pouvoir suprême à ses descendants.


Conte d'Afrique

11/11/2022

Danse des chasseurs

Les chants funèbres des chasseurs Yoruba et leur rôle dans le maintien et le renouveau des traditions culturelles. Les hymnes funèbres des chasseurs Yoruba, désignés par le terme de "ìrèmjé," sont des complaintes de composition poétique : chantés par les chasseurs, ils forment une partie d'un rite de passage pour leurs confrères défunts.

Bien qu'évoquant surtout la douleur des chanteurs pour les disparus, ces hymnes font souvent allusion aux concepts traditionnels sur lesquels reposent les us et coutumes Yoruba, à savoir les outils habituels, les divers travaux et métiers, les types vestimentaires, les danses, les moeurs et les normes de la société.

Comme le texte de chaque hymne est tiré essentiellement de sources traditionnelles, chaque cérémonie "d'ìrèmjé" est pour la génération présente un rappel du passé servant de gouverne pour l'avenir : c'est cette fonction didactique de "l'ìrèmjé" qui en constitue l'un des aspects les plus importants.

Cette intervention s’intéresse à trois types de chants pratiqués par des chasseurs, nommés saka, agijo et agere, qui font exception dans le paysage musical yoruba. Ces chants, interprétés uniquement par les chasseurs traditionnels de l’extrême-ouest du Nigeria et par quelques communautés situées au Bénin, sont mesurés et relativement fixés par la tradition. Ils sont considérés comme musicaux avant d’être littéraires.

En revanche, ailleurs dans le pays Yoruba, les chants de chasseurs sont mi-chantés mi-parlés, non mesurés, improvisés et considérés comme un genre poétique plutôt que musical. Or ces chants, malgré leurs caractéristiques intrinsèques opposées, semblent tous occuper les mêmes fonctions dans le culte de la divinité des chasseurs, Ogun.

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