Quel est le site Web ?

https://www.facebook.com/102723367997610/

Nutrition Hygiène, SANTÉ et Bien-être, Conakry (2025)

26/10/2024

Cinq points pour combattre l'hypertension artérielle.

1. Limiter la consommation d'aliments riches en sodium :

Réduire la consommation de sel est essentiel, car un excès de sodium peut entraîner une rétention d'eau et une augmentation de la pression artérielle.
Les recommandations courantes sont de ne pas dépasser 2g de sodium par jour, soit environ 5g de sel.
En plus du Sel, le sodium est aussi présent en quantités non négligeables dans les aliments suivants :
𝐿𝑒𝑠 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑟𝑒́𝑝𝑎𝑟𝑒́𝑠 𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 : 𝑠𝑜𝑢𝑝𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒, 𝑠𝑎𝑢𝑐𝑒𝑠, 𝑙𝑒́𝑔𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑒𝑟𝑣𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑠𝑒𝑙 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒́.
𝐿𝑒𝑠 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑐𝑢𝑡𝑒𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑣𝑖𝑎𝑛𝑑𝑒𝑠 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑒́𝑒𝑠 : 𝑗𝑎𝑚𝑏𝑜𝑛, 𝑏𝑎𝑐𝑜𝑛, 𝑠𝑎𝑢𝑐𝑖𝑠𝑠𝑒𝑠, 𝑠𝑎𝑙𝑎𝑚𝑖, 𝑑𝑖𝑛𝑑𝑒 𝑜𝑢 𝑝𝑜𝑢𝑙𝑒𝑡 𝑓𝑢𝑚𝑒́𝑠.
𝐿𝑒𝑠 𝑠𝑛𝑎𝑐𝑘𝑠 𝑠𝑎𝑙𝑒́𝑠 : 𝑐ℎ𝑖𝑝𝑠, 𝑏𝑖𝑠𝑐𝑢𝑖𝑡𝑠 𝑠𝑎𝑙𝑒́𝑠, 𝑏𝑟𝑒𝑡𝑧𝑒𝑙𝑠, 𝑒𝑡 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑜𝑝𝑐𝑜𝑟𝑛.
𝐿𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 : 𝑠𝑎𝑢𝑐𝑒𝑠 (𝑠𝑜𝑗𝑎, 𝑘𝑒𝑡𝑐ℎ𝑢𝑝, 𝑚𝑜𝑢𝑡𝑎𝑟𝑑𝑒), 𝑏𝑜𝑢𝑖𝑙𝑙𝑜𝑛𝑠 𝑒𝑛 𝑐𝑢𝑏𝑒𝑠 𝑜𝑢 𝑒𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑑𝑟𝑒.
𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑜𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠 : 𝑛𝑜𝑡𝑎𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑜𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑝𝑎̂𝑡𝑒 𝑑𝑢𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑒𝑑𝑑𝑎𝑟, 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠𝑎𝑛, 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑓𝑒𝑡𝑎.
𝐿𝑒 𝑝𝑎𝑖𝑛 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟𝑖𝑒 : 𝑐𝑒𝑟𝑡𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑝𝑎𝑖𝑛𝑠, 𝑏𝑖𝑠𝑐𝑢𝑖𝑡𝑠, 𝑒𝑡 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑝𝑎̂𝑡𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑒𝑛𝑛𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑙 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒́.

2. Régime DASH (Dietary Approaches to Stop Hypertension) :

Ce régime est spécifiquement conçu pour réduire l'HTA. Il encourage une alimentation riche en fruits, légumes, produits laitiers faibles en gras, protéines maigres, grains entiers, et faible en gras saturés et sucre.
Un régime DASH doit favoriser les :
𝐿𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑢𝑖𝑡𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑜𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑏𝑎𝑛𝑎𝑛𝑒𝑠 🍌 𝑑𝑜𝑢𝑐𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑖𝑠𝑖𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑙𝑜𝑛𝑠.
𝐿𝑒𝑠 𝑙𝑒́𝑔𝑢𝑚𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑝𝑖𝑛𝑎𝑟𝑑𝑠, 𝑙𝑒 𝑏𝑟𝑜𝑐𝑜𝑙𝑖, 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑟𝑜𝑡𝑡𝑒𝑠, 𝑝𝑜𝑖𝑣𝑟𝑜𝑛𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑔𝑒𝑡𝑡𝑒𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑚𝑎𝑡𝑒𝑠, 𝑙𝑒 𝑐ℎ𝑜𝑢-𝑓𝑙𝑒𝑢𝑟...
𝐿𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑡𝑠 𝑙𝑎𝑖𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑔𝑟𝑎𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑙𝑎𝑖𝑡 𝑒́𝑐𝑟𝑒́𝑚𝑒́ 𝑜𝑢 𝑑𝑒𝑚𝑖-𝑒́𝑐𝑟𝑒́𝑚𝑒́, 𝑙𝑒 𝑦𝑎𝑜𝑢𝑟𝑡 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑢𝑐𝑟𝑒 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡𝑒́, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑜𝑚𝑎𝑔𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑓𝑎𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑡𝑒𝑛𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑛 𝑚𝑎𝑡𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑠𝑠𝑒𝑠.
𝐿𝑒𝑠 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑟𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑡𝑒́𝑖𝑛𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖𝑔𝑟𝑒𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛 (𝑠𝑎𝑢𝑚𝑜𝑛, 𝑡𝑟𝑢𝑖𝑡𝑒, 𝑚𝑜𝑟𝑢𝑒), 𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑙𝑒𝑡 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑝𝑒𝑎𝑢, 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑎𝑛𝑑𝑒 𝑑𝑒 𝑑𝑖𝑛𝑑𝑒, 𝑙𝑒 𝑡𝑜𝑓𝑢, 𝑙𝑒𝑠 𝑙𝑒́𝑔𝑢𝑚𝑖𝑛𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 (𝑙𝑒𝑛𝑡𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠, 𝑝𝑜𝑖𝑠 𝑐ℎ𝑖𝑐ℎ𝑒𝑠), œ𝑢𝑓𝑠.
𝐿𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑖𝑛𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖𝑛𝑜𝑎, 𝑙𝑒 𝑟𝑖𝑧 𝑏𝑟𝑢𝑛, 𝑙'𝑎𝑣𝑜𝑖𝑛𝑒, 𝑙𝑒 𝑝𝑎𝑖𝑛 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑝𝑎̂𝑡𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑙𝑒̀𝑡𝑒𝑠, 𝑙'𝑜𝑟𝑔𝑒.
𝐿𝑒𝑠 𝑎𝑙𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑝𝑎𝑢𝑣𝑟𝑒 𝑒𝑛 𝑔𝑟𝑎𝑠 𝑠𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒́𝑠 𝑒𝑡 𝑒𝑛 𝑠𝑢𝑐𝑟𝑒, 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙'ℎ𝑢𝑖𝑙𝑒 𝑑'𝑜𝑙𝑖𝑣𝑒, 𝑙'ℎ𝑢𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑜𝑙𝑎, 𝑙'𝑎𝑣𝑜𝑐𝑎𝑡𝑠, 𝑙𝑒𝑠 𝑓𝑟𝑢𝑖𝑡𝑠 𝑓𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠𝑠𝑒𝑟𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑖𝑥 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑔𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 (𝑒𝑛 𝑝𝑒𝑡𝑖𝑡𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡𝑒́𝑠).

3. Augmenter le potassium :

Le potassium peut contrebalancer les effets du sodium.
On le retrouve dans les légumes verts, les bananes, les patates douces, les tomates, et les haricots.
Le potassium est en grande quantité dans divers aliments comme :
𝐿𝑎 𝑏𝑎𝑛𝑎𝑛𝑒, 𝑙'𝑎𝑣𝑜𝑐𝑎𝑡, 𝑙𝑎 𝑝𝑎𝑡𝑎𝑡𝑒 𝑑𝑜𝑢𝑐𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑒́𝑝𝑖𝑛𝑎𝑟𝑑𝑠, 𝑙𝑒 ℎ𝑎𝑟𝑖𝑐𝑜𝑡𝑠 𝑏𝑙𝑎𝑛𝑐, 𝑙𝑒 𝑠𝑎𝑢𝑚𝑜𝑛, 𝑙𝑒𝑠 𝑡𝑜𝑚𝑎𝑡𝑒𝑠, 𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒, 𝑙𝑒 𝑦𝑎𝑜𝑢𝑟𝑡 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒,𝑛.

4. Éviter les graisses saturées et trans :

Limiter les aliments riches en graisses saturées (viandes grasses, produits laitiers entiers) et en gras trans (produits ultra-transformés) peut favoriser une meilleure santé cardiovasculaire.

5. Contrôle du poids :

Un excès de poids peut aggraver l'hypertension. Le suivi du poids, associé à une alimentation équilibrée, est souvent recommandé.

6. Encourager l’activité physique :

Combinée à une alimentation saine, l'exercice régulier aide à contrôler la pression artérielle.

21/10/2024

𝐎𝐂𝐓𝐎𝐁𝐑𝐄 𝐑𝐎𝐒𝐄 : Le tabac, les drogues et le cancer du sein.

En ce mois d'ordre, hors mis les campagnes pour la promotion de l'auto-palpation, il est aussi incontournable de développer de bonnes habitudes et de maintenir une bonne hygiène de vie.

Il existe un lien sacré entre le tabac, les drogues et la survenue du cancer du sein.

Grâce au progrès scientifique, ceci est bien documenté dans la littérature scientifique.

Voici une liste de cinq points qui présentent de façon plus explicite, le lien entre le tabac, les drogues et le cancer du sein.

1. Tabac et les substances cancérogènes :
Le tabac contient des substances cancérogènes, telles que les hydrocarbures aromatiques polycycliques et les nitrosamines, qui endommagent l'ADN des cellules mammaires.

Ces altérations génétiques augmentent le risque de mutation et de développement de tumeurs.
Une r***e publiée dans 𝑇ℎ𝑒 𝐿𝑎𝑛𝑐𝑒𝑡 𝑂𝑛𝑐𝑜𝑙𝑜𝑔𝑦 𝑠𝑜𝑢𝑙𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑎𝑏𝑎𝑔𝑖𝑠𝑚𝑒, 𝑒𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖𝑐𝑢𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑙𝑒𝑠 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑟𝑒𝑚𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑔𝑟𝑜𝑠𝑠𝑒𝑠𝑠𝑒, 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑠𝑠𝑜𝑐𝑖𝑒́ 𝑎̀ 𝑢𝑛𝑒 𝑎𝑢𝑔𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑟𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑐𝑒𝑟 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑖𝑛 .

2. La consommation précoce et exposition prolongée :
Les jeunes femmes qui commencent à fumer tôt et continuent à fumer sur une longue période sont particulièrement à risque.
𝑈𝑛𝑒 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝐵𝑟𝑒𝑎𝑠𝑡 𝐶𝑎𝑛𝑐𝑒𝑟 𝑅𝑒𝑠𝑒𝑎𝑟𝑐ℎ 𝑎 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑡𝑎𝑏𝑎𝑔𝑖𝑠𝑚𝑒 𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑎 𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑜𝑑𝑒 𝑐𝑟𝑖𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑢 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑚𝑚𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑐𝑐𝑟𝑜𝑖̂𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑢𝑙𝑛𝑒́𝑟𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑢𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑢𝑥 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑐𝑎𝑛𝑐𝑒́𝑟𝑜𝑔𝑒̀𝑛𝑒𝑠 .

3. Drogues et perturbation endocrinienne :

Les drogues illicites, comme la ma*****na, peuvent perturber le système endocrinien.

Des composés présents dans le cannabis, tels que les cannabinoïdes, interfèrent avec les récepteurs hormonaux et peuvent influencer le développement des cancers hormonaux-dépendants comme celui du sein.

𝑈𝑛𝑒 𝑒́𝑡𝑢𝑑𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝐶𝑎𝑛𝑐𝑒𝑟 𝐸𝑝𝑖𝑑𝑒𝑚𝑖𝑜𝑙𝑜𝑔𝑦, 𝐵𝑖𝑜𝑚𝑎𝑟𝑘𝑒𝑟𝑠 & 𝑃𝑟𝑒𝑣𝑒𝑛𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎 𝑒𝑥𝑎𝑚𝑖𝑛𝑒́ 𝑐𝑒 𝑙𝑖𝑒𝑛 𝑒𝑡 𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑖𝑓𝑖𝑒́ 𝑑𝑒𝑠 𝑒𝑓𝑓𝑒𝑡𝑠 𝑝𝑜𝑡𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑙𝑠 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑟𝑖𝑠𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑎𝑛𝑐𝑒𝑟 𝑑𝑢 𝑠𝑒𝑖𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑢𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑒́𝑔𝑢𝑙𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑟𝑖𝑗𝑢𝑎𝑛𝑎 .

4. Effets des drogues dures (cocaïne, héroïne) :

L'usage de drogues dures peut également influencer le risque de cancer du sein, en affaiblissant le système immunitaire et en perturbant la régulation hormonale.

L'abus de drogues comme la cocaïne est corrélé à une réponse inflammatoire chronique, un facteur reconnu dans le développement de nombreux cancers, y compris celui du sein, selon un article de Drug and Alcohol Dependence .

5. Comorbidité et risque global :
Le tabac et les drogues sont souvent associés à d'autres comportements à risque (consommation d'alcool, mauvaise alimentation), qui, ensemble, augmentent le risque de cancer du sein.

Une r***e publiée dans European Journal of Cancer a mis en évidence que les interactions entre ces facteurs multiplient le risque de développer un cancer du sein chez les femmes fumeuses ou consommatrices de drogues .

20/10/2024

𝐎𝐂𝐓𝐎𝐁𝐑𝐄 𝐑𝐎𝐒𝐄, 𝐐𝐔𝐄 𝐃𝐈𝐒𝐄𝐍𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐍𝐔𝐓𝐑𝐈𝐓𝐈𝐎𝐍𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐒 ?

Acte 4 : La consommation d'alcool est un facteur de risque majeur pour le cancer du sein.

L'alcool est un facteur de risque connu pour le cancer du sein, et plusieurs mécanismes biologiques peuvent expliquer cette association.
Nous vous proposons cinq raisons principales pour lesquelles les femmes qui consomment de l'alcool sont plus exposées à ce type de cancer :

1. Augmentation des niveaux d'œstrogènes : L'alcool peut augmenter les niveaux d'œstrogènes dans le corps.
Des niveaux élevés de cette hormone sont associés à un risque accru de cancer du sein, car ils stimulent la croissance des cellules mammaires, y compris les cellules cancéreuses.

2. Production de métabolites toxiques : Lorsqu'il est métabolisé dans le corps, l'alcool est converti en acétaldéhyde, une substance toxique qui peut endommager l'ADN des cellules. Cela peut conduire à des mutations génétiques qui favorisent le développement de cancers.

3. Dérèglement du métabolisme des nutriments :
La consommation d'alcool peut interférer avec l'absorption et le métabolisme de nutriments essentiels comme les vitamines A, C, D, E, et les folates, qui jouent un rôle important dans la réparation de l'ADN et la protection contre le cancer.

4. Effet sur le système immunitaire :
L'alcool peut affaiblir le système immunitaire, réduisant ainsi la capacité du corps à détecter et à éliminer les cellules cancéreuses ou précancéreuses avant qu'elles ne se développent.

5. Accroissement du stress oxydatif :
L'alcool peut entraîner la production de radicaux libres dans l'organisme, augmentant ainsi le stress oxydatif. Ce stress peut causer des dommages cellulaires qui favorisent la croissance et la propagation des cellules cancéreuses.

19/10/2024

𝐎𝐂𝐓𝐎𝐁𝐑𝐄 𝐑𝐎𝐒𝐄, 𝐐𝐔𝐄 𝐃𝐈𝐒𝐄𝐍𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐍𝐔𝐓𝐑𝐈𝐓𝐈𝐎𝐍𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐒 ?

Acte 3 : Les aliments ultra transformés et le cancer du sein.

Éviter les aliments ultra-transformés peut aider à réduire le risque de cancer du sein pour plusieurs raisons principales :

1. La présence d'additifs et conservateurs potentiellement cancérigènes dans ce type d'aliment :

Les aliments ultra-transformés contiennent souvent des additifs, des colorants, des arômes artificiels, et des conservateurs tels que les nitrates et nitrites.
Ces substances sont utilisées pour améliorer la durée de conservation ou l'apparence des aliments.
Cependant, plusieurs études ont montré que ces additifs peuvent se décomposer dans le corps en composés cancérigènes.
Par exemple, les nitrites utilisées dans les viandes transformées peuvent se transformer en nitrosamines, qui sont potentiellement cancérigènes.
Les recherches ont lié la consommation de ces substances à un risque accru de cancers, y compris le cancer du sein, en perturbant les processus cellulaires normaux.

2. Une teneur élevée en graisses saturées et en sucres rapide :

Les aliments ultra-transformés sont souvent riches en graisses saturées, en sucres ajoutés et en calories vides.
Ces composés sont connus pour favoriser l'inflammation chronique et l'obésité, deux facteurs de risque majeurs pour le cancer du sein.
L'obésité, en particulier après la ménopause, est associée à une augmentation des niveaux d'œstrogènes circulants, ce qui peut stimuler la croissance des cellules cancéreuses dans le sein.
En outre, l'inflammation chronique, causée par une alimentation déséquilibrée, peut altérer le fonctionnement des cellules et favoriser le développement de tumeurs.

3. La modification du microbiome intestinal:

Les aliments ultra-transformés sont souvent pauvres en fibres et riches en sucres raffinés, ce qui nuit au microbiome intestinal.

Le microbiome joue un rôle clé dans le maintien d’un système immunitaire sain et la régulation des réponses inflammatoires.

Une perturbation de cet équilibre, souvent causée par une mauvaise alimentation, peut entraîner une inflammation systémique et affaiblir la défense de l’organisme contre les cellules cancéreuses.

Plusieurs études ont montré que la dysbiose (déséquilibre du microbiome) est associée à un risque accru de divers cancers, y compris le cancer du sein, en raison d'une réponse immunitaire altérée.

4. Les aliments ultra transformés ont une teneur élevée en acides gras trans:

Les aliments ultra-transformés contiennent souvent des acides gras trans, des graisses industrielles qui augmentent les niveaux de "mauvais" cholestérol (LDL) et réduisent les niveaux de "bon" cholestérol (HDL).

Ces graisses sont principalement utilisées pour améliorer la texture et la durée de conservation des produits alimentaires.

Toutefois, elles sont également liées à une augmentation du risque de maladies cardiaques et de cancer.

En particulier, les acides gras trans peuvent influencer les niveaux hormonaux et déclencher des processus inflammatoires qui augmentent le risque de cancer du sein, surtout chez les femmes postménopausées.

5. Alimentation pauvre en nutriments protecteurs:

Les aliments ultra-transformés sont généralement pauvres en nutriments essentiels comme les fibres, les vitamines et les antioxydants, qui jouent un rôle crucial dans la protection contre le cancer.

Par exemple, les fibres favorisent une bonne santé digestive et aident à éliminer les substances cancérigènes du corps, tandis que les antioxydants protègent les cellules contre les dommages oxydatifs.

Un régime alimentaire pauvre en ces éléments nutritifs essentiels peut affaiblir les défenses naturelles de l'organisme contre les mutations cellulaires et la formation de tumeurs, augmentant ainsi le risque de cancer du sein.

18/10/2024

𝐎𝐂𝐓𝐎𝐁𝐑𝐄 𝐑𝐎𝐒𝐄, 𝐐𝐔𝐄 𝐃𝐈𝐒𝐄𝐍𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐍𝐔𝐓𝐑𝐈𝐓𝐈𝐎𝐍𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐒 ?

𝐀𝐜𝐭𝐞 𝟐 : 𝐋𝐚 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐨𝐦𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐫𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞́𝐠𝐮𝐦𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐜𝐚𝐧𝐜𝐞𝐫 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐢𝐧, 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐧 !

La consommation de fruits et légumes est souvent associée à une réduction du risque de développer divers types de cancers, y compris le cancer du sein. Les études scientifiques soutiennent plusieurs mécanismes par lesquels les fruits et légumes peuvent contribuer à la prévention du cancer du sein :

𝟏. 𝐑𝐢𝐜𝐡𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐞𝐧 𝐚𝐧𝐭𝐢𝐨𝐱𝐲𝐝𝐚𝐧𝐭𝐬

Les fruits et légumes sont riches en antioxydants, tels que les vitamines C, E, et les caroténoïdes, qui aident à neutraliser les radicaux libres. Ces radicaux libres peuvent causer des dommages à l'ADN, un facteur clé dans la formation des cellules cancéreuses. Par exemple, une étude de 2018 a montré que les femmes consommant plus de fruits et légumes riches en antioxydants avaient un risque réduit de cancer du sein.

𝟐. 𝐅𝐢𝐛𝐫𝐞𝐬 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬

Les fibres présentes dans les fruits et légumes jouent un rôle crucial dans la régulation des niveaux d'œstrogènes, une hormone liée à certains types de cancer du sein. Une étude publiée dans le Journal of Nutrition a révélé que les femmes ayant une alimentation riche en fibres avaient un risque significativement plus faible de cancer du sein, surtout avant la ménopause.

𝟑. 𝐏𝐡𝐲𝐭𝐨𝐜𝐨𝐦𝐩𝐨𝐬𝐞́𝐬 𝐚𝐧𝐭𝐢𝐜𝐚𝐧𝐜𝐞́𝐫𝐞𝐮𝐱

Les fruits et légumes contiennent des composés phytochimiques, tels que les flavonoïdes et les glucosinolates, qui ont des propriétés anti-inflammatoires et anticancéreuses. Ces composés inhibent la croissance des cellules cancéreuses et empêchent leur propagation. Par exemple, des légumes crucifères comme le brocoli, le chou et le chou-fleur contiennent des glucosinolates, qui ont été liés à une réduction du risque de cancer du sein.

𝟒. 𝐂𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐝𝐮 𝐩𝐨𝐢𝐝𝐬

Une alimentation riche en fruits et légumes aide également à maintenir un poids santé. L'obésité est un facteur de risque majeur pour le cancer du sein, particulièrement après la ménopause. Selon l'American Cancer Society, un régime riche en fruits et légumes, pauvre en graisses et en calories, contribue à la prévention du cancer du sein en limitant le gain de poids excessif.

𝟓. 𝐑𝐞́𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥'𝐢𝐧𝐟𝐥𝐚𝐦𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧

Les fruits et légumes sont riches en composés anti-inflammatoires qui peuvent réduire l'inflammation chronique, un facteur souvent lié au développement du cancer. Une méta-analyse de 2019 publiée dans le British Medical Journal a montré que les personnes consommant plus de légumes avaient un risque réduit de développer des cancers liés à l'inflammation, y compris le cancer du sein.

𝐄𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧, 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐫𝐮𝐢𝐭𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞́𝐠𝐮𝐦𝐞𝐬 𝐨𝐟𝐟𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐜𝐚𝐧𝐜𝐞𝐫 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐢𝐧 𝐠𝐫𝐚̂𝐜𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐚𝐧𝐭𝐢𝐨𝐱𝐲𝐝𝐚𝐧𝐭𝐬, 𝐟𝐢𝐛𝐫𝐞𝐬, 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐨𝐬𝐞́𝐬 𝐩𝐡𝐲𝐭𝐨𝐜𝐡𝐢𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐞𝐧 𝐟𝐚𝐯𝐨𝐫𝐢𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐩𝐨𝐢𝐝𝐬 𝐬𝐚𝐢𝐧 𝐞𝐭 𝐞𝐧 𝐫𝐞́𝐝𝐮𝐢𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐥'𝐢𝐧𝐟𝐥𝐚𝐦𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧. 𝐂𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞𝐬 𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐭𝐢𝐟𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐥'𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝'𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐫𝐢𝐜𝐡𝐞 𝐞𝐧 𝐯𝐞́𝐠𝐞́𝐭𝐚𝐮𝐱 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐜𝐚𝐧𝐜𝐞𝐫 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐢𝐧.

17/10/2024

𝐎𝐂𝐓𝐎𝐁𝐑𝐄 𝐑𝐎𝐒𝐄, 𝐐𝐔𝐄 𝐃𝐈𝐒𝐄𝐍𝐓 𝐋𝐄𝐒 𝐍𝐔𝐓𝐑𝐈𝐓𝐈𝐎𝐍𝐍𝐈𝐒𝐓𝐄𝐒 ?

En tant que nutritionniste, à l'occasion de ce mois de sensibilisation au cancer du sein, il est essentiel de mettre l'accent sur le lien entre une alimentation saine et la prévention du cancer.

𝐕𝐨𝐢𝐜𝐢 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐯𝐨𝐮𝐬, 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐞𝐬𝐬𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐧𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 :

Prévenir le cancer du sein, c'est aussi prendre soin de son alimentation.

Pour ce faire, une alimentation équilibrée, qui inclut les fruits et légumes, riche en fibres et antioxydants, peut réduire les risques de développer un cancer.

Il est aussi important de limiter la consommation d'aliments ultra-transformés, des graisses saturées et d'alcool, car ils peuvent augmenter les facteurs de risque.

Ensemble, faisons de la nutrition un allié dans la lutte contre le cancer du sein.

Prenons soin de notre corps chaque jour, pour un avenir plus sain !"

17/10/2024

Octobre rose, on se lance avec une approche préventive qui implique la nutrition.

29/08/2024

Coucouuuuuuuuuuuu les amis, je suis Beatrice Sia Leno.

La gérante de l'entreprise Grâce um multi services.

Nous sommes spécialisés dans la fabrication des savons notamment des détergents liquides multi usages qui servent à nettoyer les maisons, les bureaux, laver les habits et faire la vaisselle.

Nous vous proposons nos produits à un prix défiant toute concurrence à seulement 20mil l'unité.

Merci de soutenir le contenu local en optant désormais pour les produits de grâce um multi services pour prendre soin de vos locaux .
Merci 🙏🙏

29/03/2024

+/- 38 jours pour les uns et +/- 18 pour les autres. A date, vous avez perdu combien de Kg? Ou bien ça diminue pas.
Lamarana bjr!

18/03/2024

Prenez un rendez-vous pour des conseils nutritionnels :
Gestion du poids et obésité.
Équilibrage alimentaire.
Alimentation saine.

Nutrition Hygiène, SANTÉ et Bien-être

26/10/2024

21/10/2024

20/10/2024

19/10/2024

18/10/2024

17/10/2024

17/10/2024

29/08/2024

29/03/2024

18/03/2024

Adresse

Téléphone

Site Web

Notifications

Contacter La Pratique

Raccourcis

Partager