03/10/2023
NOUS ATTIRONS CE QUE NOUS VIBRONS ✨
Souvent, j’entends dire « je sais que je suis une bonne personne, comment ça se fait que j’attire toujours ce genre de personnes qui me rend malheureux/se? » Car si nous sommes une bonne personne, nous devrions attirer de bonnes personnes, non?
Non ! Pas nécessairement ! Car nous pouvons avoir des qualités de « bonne personne » mais n’avoir pas encore réglé les blessures d’enfance, les manques, la négligence, la violence, le rejet, l’abandon, les peurs, les traumatismes, etc. Et ce sont les vibrations de ces blessures qui attireront à nous les personnes parfaites pour les faire remonter à la surface afin que nous acceptions enfin de les soigner. De fait, nous attirons les fréquences auxquelles nous vibrons. Par conséquent, si nous voulons attirer une amoureux/se, nous devons prendre le temps de soigner nos plus grosses blessures car sinon, nous attirerons la personne qui nous poussera à le faire car elle vibrera à la même fréquence. Plus nous soignons nos blessures, en prenant soin de nous, en creusant au plus profond de nous, plus nous libérons nos basses fréquences. Et ainsi, nous libérons aussi de la place en nous pour que s’installent des fréquences plus élevées qui attireront des personnes qui vibreront à ces mêmes nouvelles fréquences.
Il n’est pas nécessaire de régler toutes nos blessures pour attirer l’Amour, mais les plus importantes relationnellement doivent vraiment avoir été soignées pour que nos relations ne soient plus douloureuses. Sinon nous répéterons continuellement les mêmes patterns amoureux difficiles.
Faire de la place pour rencontrer quelqu’un, ce n’est pas seulement physiquement ou matériellement. C’est faire de la place dans notre âme en nous délestant de ce qui ne nous sert plus, en soignant ce qui nous a fait souffrir afin que cela ne soit plus nécessaire de le répéter car la leçon aura été apprise.
Quand nous comprenons enfin que nous attirons ce que nous avons besoin de soigner en nous, nous voyons alors nos partenaires amoureux précédents comme autant de maîtres venus nous éveiller.
Texte : Diane gagnon