Mieux comprendre la médecine est un atout

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Prolapsus génital de la femme - Des solutions pour le traiter
DOCUMENT USAGERS - Mis en ligne le 09 mai 2022
Un prolapsus génital, appelé aussi « descente d’organes », peut apparaitre à tout âge même s’il est plus fréquent après 50 ans. C’est encore un sujet tabou. Beaucoup de femmes n’osent pas en parler et vivent dans l’inconfort alors que des solutions existent.

Ce document est conçu pour vous aider à mieux comprendre cette maladie et les différents traitements qui peuvent vous être proposés. Vous pourrez ainsi prendre la décision qui vous convient le mieux en lien avec votre médecin.

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Prolapsus génital : de quoi s’agit-il ?

Le prolapsus génital est une descente dans le vagin, ou à l’extérieur de la vulve, des organes du bas du ventre :

la vessie, on parle de cystocèle ;
ou l’utérus, on parle d’hystérocèle ;
ou encore le re**um, on parle de rectocèle.
Cette descente d’organes résulte d’un relâchement des ligaments et des muscles du périnée.

Prolapsus Positions



Qu’est-ce qui le favorise ?

Plusieurs facteurs peuvent participer à la survenue d’un prolapsus sans qu’il ne soit possible de définir une cause précise.

Les principaux facteurs de risque du prolapsus sont liés à l’âge, à la ménopause, aux antécédents obstétricaux (par exemple des accouchements difficiles, des grossesses multiples, …), à des facteurs génétiques ainsi qu’à des situations favorisant une pression importante sur les organes pelviens (la toux chronique, la constipation chronique, la manière de porter des charges lourdes, l’obésité, la sédentarité, …).



Quels sont les symptômes ?

Le prolapsus est parfois découvert par hasard lors d’un examen clinique alors qu’il n’occasionne aucun symptôme.

Le symptôme le plus fréquent est la sensation de pesanteur pelvienne (sensation de boule ou de gêne dans le vagin), parfois associé à :

des troubles urinaires (infections récidivantes, difficulté à uriner, fuites urinaires, besoins d’uriner urgents et fréquents) ;
des troubles anorectaux (constipation, incontinence a***e) ;
des troubles sexuels ou vaginaux (gênes ou douleurs lors des rapports).
La présence d’une « boule » dans le vagin occasionne un inconfort qui varie selon le stade d’avancement. Généralement, c’est en position debout et en fin de journée que la gêne est la plus forte.

Un traitement est nécessaire en cas de gêne avérée, impactant votre qualité de vie ou en cas de troubles associés (urinaires, anorectaux, sexuels). Dans les autres cas, une simple surveillance suffit.



Quelles sont les conséquences ?

Ces symptômes du prolapsus peuvent avoir un impact sur votre qualité de vie. Ils peuvent :

perturber vos activités physiques (diminution, voire arrêt de l’activité physique) ;
affecter votre activité professionnelle, vos relations sociales ;
avoir des répercussions sur votre activité sexuelle ;
conduire à un mal-être (anxiété, dépression).


Comment le médecin fait-il le diagnostic ?

Le diagnostic de prolapsus est établi lors d’un examen clinique gynécologique. Il est parfois nécessaire de répéter cet examen pour bien visualiser le prolapsus.

Aucun examen complémentaire n’est nécessaire pour confirmer le diagnostic.

Votre médecin vous questionnera aussi sur les conséquences du prolapsus sur votre quotidien, afin d’évaluer son retentissement



Comment le prolapsus évolue-t-il ?

La prise en charge du prolapsus génital n’est pas une urgence. Il n’est généralement pas dangereux et ne présente pas de complications dans la grande majorité des cas. Seules les formes de prolapsus extériorisées (vous pouvez voir ou sentir l’organe en dehors de la vulve) en permanence peuvent exposer à un risque de complications locales ou au niveau des reins.

Il n’y a pas non plus de risque d’aggravation rapide, l’évolution naturelle du prolapsus est lente dans le temps.



Quels sont les traitements possibles ?

Les traitements ont pour objectifs de maintenir en place les organes qui sont descendus et/ou d’agir sur les troubles associés (troubles urinaires, anorectaux et sexuels).

Il existe deux types de traitements : les traitements conservateurs, c’est-à-dire sans intervention chirurgicale, et les traitements chirurgicaux. Des mesures « hygiéno-diététiques » sont associées à ces traitements.



Mesures « hygiéno-diététiques »

Votre médecin, ainsi que les professionnels de santé qui participent à votre prise en charge, vous expliqueront les mesures à mettre en place au quotidien pour vous aider à réduire l’impact d’un prolapsus et éviter une récidive :

perdre du poids et privilégier une bonne hygiène alimentaire ;
traiter la constipation chronique ;
mieux gérer les efforts de poussée aux toilettes ;
mieux gérer la manière de porter des charges ;
mieux gérer les efforts de poussée lors de la toux ;
limiter la sédentarité ;
favoriser l’activité physique.


Traitements conservateurs

Dans la majorité des cas, ce sont des traitements conservateurs qui vous seront proposés : la pose d’un pessaire et/ou la prise en charge rééducative, associés à des mesures « hygiéno-diététiques ».

S’ils s’avèrent insuffisants, un traitement chirurgical pourra être envisagé.

Le pessaire est un dispositif médical positionné dans le vagin pour corriger le prolapsus. Il peut être utilisé en permanence ou occasionnellement.
Ce dispositif a démontré son efficacité et permet de soulager rapidement les symptômes. Il est adapté à toutes les patientes quels que soient leur âge et la sévérité du prolapsus.

Différents types de pessaires existent, votre médecin, sage-femme ou kinésithérapeute vous aidera à déterminer le modèle le plus adapté à votre situation. Parfois il est nécessaire de tester plusieurs pessaires avant de trouver le bon.

Pour plus d’informations sur les modalités d’utilisation du pessaire, consultez le document dédié « Le pessaire gynécologique : à quoi ça sert ? Comment l’utiliser ? »



La rééducation comprend différentes techniques (entraînement des muscles du plancher pelvien par exemple) qui vous seront proposées selon votre situation, et qui pourront évoluer en fonction de l’amélioration des symptômes.
Ces techniques rééducatives, pratiquées par un(e) kinésithérapeute ou une sage-femme, visent à limiter les situations à risque pour votre prolapsus et à optimiser le travail de vos muscles dans les activités quotidiennes.

La rééducation améliore les symptômes et la qualité de vie. Elle peut être proposée seule en cas de prolapsus modéré ou en association avec le pessaire.



Traitements chirurgicaux

La chirurgie pourra vous être proposée si les traitements conservateurs ne sont pas suffisants ou s’ils ne sont pas adaptés à votre situation.

Le choix de la technique chirurgicale résulte d’une prise de décision partagée entre vous-même et votre chirurgien. Elle dépend de votre situation clinique (type de prolapsus, symptômes, état de santé) et de vos attentes.

Différentes techniques chirurgicales existent, les principales actuellement utilisées sont :

La chirurgie par voie vaginale (autologue) : Le chirurgien pratique des sutures des ligaments et des muscles du bassin, sans utiliser de prothèse, en passant par les voies naturelles (le vagin).
La chirurgie par voie abdominale (promontofixation) : Le chirurgien utilise une prothèse synthétique pour replacer les organes en position haute. Cette technique s’effectue le plus souvent par coelioscopie.
Une autre technique est réalisée par voie vaginale (colpocléisis) : il s’agit de fermer le vagin de façon définitive. C’est une technique peu invasive adaptée aux personnes âgées. Dans ce cas, la pénétration vaginale n’est plus possible.
Actuellement, les prothèses synthétiques utilisées pour la chirurgie par voie vaginale ne sont plus autorisées.



Quelles informations vous aideront à prendre votre décision ?

Afin que vous puissiez participer à la décision de traitement, votre médecin doit vous informer des différentes options pour vous traiter.

Vous devrez être informée des bénéfices attendus et des complications spécifiques, fréquentes ou graves observées avec chaque option thérapeutique.

Vous devrez aussi être informée des modalités de surveillance et de suivi après l’intervention.

En cas de pose d’une prothèse (par voie abdominale), à l’issue de l’intervention un document vous sera remis dans lequel devront figurer les caractéristiques (type, numéro de lot...) de cette prothèse et des modalités d’implantation opératoire (lieu, date, nom du chirurgien...). Le professionnel de santé a l’obligation de vous remettre ces informations.



Quel sera le suivi en cas d’intervention chirurgicale ?

Une consultation post-opératoire avec le chirurgien qui vous a opérée vous sera proposée systématiquement, même en l’absence de symptômes.
Une consultation de suivi à distance (environ 1 an), avec votre médecin vous sera proposée systématiquement afin de s’assurer de la bonne évolution du traitement.
Il faut noter qu’une récidive du prolapsus n’est pas exceptionnelle, mais elle ne s’accompagne pas toujours de la réapparition des symptômes et son risque est variable d’une patiente à une autre. Elle peut survenir plusieurs mois ou années après l’intervention.

Cette récidive peut nécessiter une adaptation de la prise en charge médicale ou une nouvelle intervention.



Comment adapter votre quotidien ?

En l’absence de gêne, d’inconfort ou de douleurs, vous pourrez reprendre progressivement des activités physiques, professionnelles ou de loisirs à partir de la troisième semaine après l’intervention.

En ce qui concerne l’activité sexuelle, vous pourrez reprendre des rapports sexuels avec pénétration au-delà de quatre semaines après l’intervention.



Dans quel cas devez-vous consulter après l’intervention ?

Vous devrez consulter rapidement un médecin, en cas d’apparition de symptômes de type : fièvre, saignements, douleurs intenses, malaises, vomissements, difficultés pour uriner…
En cas de chirurgie avec prothèse synthétique, l’apparition de symptômes de type : douleurs chroniques, saignements anormaux (vaginaux, urinaires ou anaux), pertes vaginales anormales, nécessite que vous consultiez le chirurgien qui vous a opérée.
Il faut noter que ces symptômes peuvent survenir tardivement après l’intervention (parfois plusieurs mois ou années après).



Cette fiche est destinée à vous informer sur les traitements du prolapsus génital de la femme.
Elle ne se substitue pas à l’information que peut vous apporter votre médecin.
Si vous avez des doutes ou des questions, n’hésitez pas à le consulter pour plus d’information.


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NEUROSCIENCES : Comment le stress psychologique provoque-t-il des troubles digestifs ?
Quand on parle des intestins, on dit souvent qu’ils sont notre deuxième cerveau. Sous l’effet du stress, ils peuvent être source de douleurs et de désagréments. Pour mieux comprendre le lien entre stress et troubles digestifs, une équipe de chercheurs de l’Inserm a mis en place une étude chez la souris.
Constipation, diarrhée, douleurs… Le stress peut entraîner des troubles digestifs handicapants et impactant de manière majeure sur la qualité de vie. Pourtant les facteurs et mécanismes qui régissent ces interactions ne sont encore que très peu connus. Certains experts ont toutefois constaté que les personnes traitées de façon chronique par administration de cortisol, également appelée « hormone du stress ». Parce qu’elles n’en produisent plus ou pas assez, peuvent souffrir de troubles digestifs lorsque leur traitement est mal équilibré. Cette hormone est produite majoritairement par les glandes surrénales, mais aussi au sein de certains organes et cellules. C’est ce mécanisme qui a poussé une équipe de chercheurs de l’Inserm à se pencher sur cette question. Pour ce faire, l’équipe étudie le rôle du cortisol dans les troubles intestinaux.
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Des essais sur des souris
Pour cela, ils ont soumis des souris à un stress psychologique en les plaçant pendant quatre jours et pendant une heure sur une plateforme entourée d’eau. Ils ont remarqué que la quantité de selles émise par ces souris était plus élevée que celle produite par leurs congénères restées en cage. Pour comprendre les processus responsables de cette accélération du transit, ils ont par la suite étudié leur système nerveux entérique situé dans l’intestin. Ils ont ainsi pu découvrir que celui des animaux qui avaient été stressés comportait davantage de neurones producteurs d’acétylcholine, un neurotransmetteur connu pour faciliter la contraction intestinale.

Pour identifier les mécanismes impliqués, ils ont ensuite mis en évidence que les neurones entériques exprimaient le récepteur aux glucocorticoïdes (GR). Ces derniers permettent de lier le cortisol à l’organisme. En bloquant ces récepteurs à l’aide de médicaments, les chercheurs ont pu constater que les troubles intestinaux, tout comme la production d’acétylcholine, étaient réduits.

Pour Michel Neunlist, l’un des chercheurs de l’étude, « La réponse au stress psychologique, mais aussi à d’autres stress (nutritionnel, inflammatoire) débute dans le cerveau en menant à l’activation de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien et à l’augmentation du taux de cortisol. L’hypothalamus peut être stimulé par ces stresseurs et conduire à la libération de plusieurs hormones comme la corticotropine. Cette dernière amène l’hypophyse à libérer une autre hormone ACTH (adrénocorticotropine). Cette dernière qui, via le sang, atteint les glandes surrénales où elle provoque la libération de cortisol. Le cortisol circule ensuite dans le système sanguin afin d’atteindre l’ensemble des organes où il exercera ses effets ».

Un stress chronique délétère
Le stress aigu est une réaction de défense, un mécanisme naturel qui va nous permettre de survivre. Dans ce cas de figure, les hormones du stress placent l’organisme dans une configuration de « combat » ou de « fuite ». Le rythme cardiaque s’accélère, tout comme la fréquence respiratoire. La digestion est mise au repos sauf le transit qui est précipité pour perdre des selles et gagner quelques grammes afin d’optimiser la fuite ou le combat.

En revanche, quand il est chronique, le stress entraîne une activation permanente de l’axe HPA. Cela peut contribuer de manière importante à l’évolution ou la sévérité de différentes pathologies telles que le syndrome métabolique, des maladies cardiovasculaires, des troubles musculosquelettiques et aussi mentaux. Ainsi, le stress psychologique lié par exemple aux conditions de travail, à la perte d’un proche, peut favoriser la rechute dans les maladies chroniques digestives ou du cerveau. Comme la maladie de Crohn, les troubles de l’intestin irritable (qui touchent près de 15 % de personnes en France) ou encore la sclérose en plaques.

Mieux comprendre les mécanismes responsables des troubles digestifs
Pour Michel Neunlist, « mieux comprendre les mécanismes responsables des troubles digestifs induits par le stress chronique, en particulier ceux conduisant au remodelage du système nerveux entérique, représente probablement un enjeu majeur pour limiter les effets de stress chronique non seulement dans les maladies digestives, mais aussi dans d’autres maladies chroniques dans lesquelles le tube digestif est impliqué ». Il poursuit : « ces conclusions ont été obtenues chez la souris, il faut dorénavant valider le concept chez l’Homme ».

Mais ces résultats permettent déjà une meilleure compréhension du rôle du cortisol dans les troubles digestifs. Cela pourrait amener à de nouvelles approches thérapeutiques. En effet, à ce jour les traitements des troubles digestifs, et plus largement d’autres pathologies chroniques, liés au stress restent limités et souvent inefficaces.

L’objectif est de vous proposer des outils et des solutions adaptés comme par exemple sur la perception, la motivation, le raisonnement, les émotions, la mémoire ou encore l’attention qui sont à l’origine de nos comportements.

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