Parfois, je me mets à réfléchir

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Ça se précise😭
16/05/2020

Ça se précise😭

Dans une interview sur CNN, la PDG de YouTube, Susan Wojcicki, a déclaré que tout contenu ne suivant ...

Connaissez-vous l'histoire extraordinaire de  Neale Donald Walsh ?Cet homme est passé par des épreuves pénibles mais il ...
15/03/2020

Connaissez-vous l'histoire extraordinaire de Neale Donald Walsh ?

Cet homme est passé par des épreuves pénibles mais il a rebondi grâce à des "conversations" qu'il a eues avec "Dieu". Cela peut paraître étrange dit comme cela, mais à vous de juger après plus amples informations.

Cet ancien animateur de radio, est devenu un écrivain et conférencier célèbre, principalement connu pour ses livres dans lesquels il transcrit ses « conversations » avec Dieu, survenues à la suite d'un accident de voiture qui provoqua une crise majeure dans sa vie.

Un film a été tourné sur cette vie hors du commun ; on le trouve en intégralité et gratuitement sur YOUTUBE. Si vous êtes un peu démoralisé, je vous conseille fortement d'aller le voir. Après, à vous de choisir si vous y croyez ou non, mais vous aurez passé un bon moment.

https://www.youtube.com/watch?v=oKmyUEuBd4g

06/03/2020
Etes-vous cerveau droit ou cerveau gauche?Beatrice Millêtre, docteur en psychologie et psychothérapeute, a écrit un livr...
27/02/2020

Etes-vous cerveau droit ou cerveau gauche?

Beatrice Millêtre, docteur en psychologie et psychothérapeute, a écrit un livre très intéressant « Petit guide à l’usage des gens intelligents qui ne se trouvent pas très doués ». Il fait le point sur une notion encore très mal intégrée dans notre société : la différence entre les personnes qui utilisent en priorité l’hémisphère droit de leur cerveau et celles qui emploient plutôt le gauche.

Pourtant la découverte des différences entre nos deux hémisphères date des Années 80, lorsque Roger Sperry, prix Nobel de médecine, a expliqué que notre cerveau droit et notre cerveau gauche étaient spécialisés mais complémentaires. Un peu comme nos mains : il y a des droitiers et des gauchers qui utilisent une main de préférence mais les deux sont fonctionnelles.

Et quelles étaient les différences décelées entre les deux groupes ?

Les « cerveaux gauche » sont logiques, ils suivent un raisonnement pas à pas sur une ligne droite. Ils sont très bien structurés, ordonnés, cartésiens. Quand ils commencent une action, ils la mènent avec cohérence du début à la fin.

Les « cerveaux droits » sont très créatifs, plutôt artistes. Ils ont tendance à suivre leur intuition. Ils envisagent les possibilités en éventail et en parallèle, toutes en même temps. Ils ont parfois du mal à choisir. En mathématique, ils arrivent au résultat intuitivement, sans pouvoir donner la ligne logique ; ce qui les fait prendre pour des tricheurs. Ils sont souvent taxés d’étourderie car ils passent rapidement d’une action à l’autre en oubliant de terminer la première. Ils ont constamment le cerveau en ébullition et sont capables de réfléchir à plusieurs choses en même temps. Mais, à cause de cela, ils ont parfois du mal à exprimer ce qu’ils pensent car les mots ne viennent pas aussi vite que leurs idées.
Et ils sont souvent moqués, dénigrés car, du fait qu’ils sont une minorité (environ 20%), toute la société, l’école notamment, fonctionne avec une logique de cerveaux gauches et ceux qui ne rentrent pas dans ce moule sont considérés comme anormaux. Eux-mêmes finissent par se sentir non seulement différents mais, en échec à l’école, au travail, incompris par leur entourage, ils se jugent inintelligents, incohérents à la limite de la folie.

Pourtant, avec leur créativité, leur intuition ils peuvent devenir non seulement des artistes de génie mais aussi des scientifiques à la pointe des découvertes. Dans n’importe quelle équipe, ils vont être celui qui aura l’idée la plus originale, qui ne craindra pas d’innover. Il faut seulement que les autres comprennent et apprécient leurs capacités.

Ils ont aussi une tendance à l’introspection, ils aiment la philosophie, la spiritualité. Parmi vous qui me lisez avec intérêt, il y a certainement de nombreux « cerveaux droits ».

Quand notre société se rendra-t-elle compte de la richesse d’utiliser les différences au lieu de les marginaliser ? Aujourd’hui, on ne critique plus les gauchers et de plus en plus d’outils sont créés en fonction de ce qui était, il y a peu, taxé d’anomalie. Alors ne vous désespérez pas, les « cerveau droits », on finira par reconnaître vos talents ! Et surtout, commencez par vous persuader, vous-mêmes, que vous êtes aussi intelligents que les autres, seulement un peu différents …

Et vive les différences ! Que serait un monde où tous seraient identiques ? Grrrrrreu !!! .

L'EPIGENETIQUE, qu'est-ce que c'est?Tout le monde a entendu parler de l’ADN, des gènes qui transmettent notre patrimoine...
22/02/2020

L'EPIGENETIQUE, qu'est-ce que c'est?

Tout le monde a entendu parler de l’ADN, des gènes qui transmettent notre patrimoine héréditaire. Mais avez-vous entendu parler de l’épigénétique ou des thérapies épigéniques ?

Les Professeurs Joel de Rosnay, Pierre-Henri Gouyon, Nathalie Dostatni, (Directeur de Recherche à l’INSERM), multiplient les conférences et les ouvrages scientifiques pour nous expliquer ce qu’est cette science vieille de seulement quelques dizaines d’année. Jeune mais prometteuse grâce à ses applications possibles en médecine, avec des perspectives thérapeutiques nouvelles notamment à l'aide d'« épi-médicaments », mais aussi en biologie, agronomie, nutrition.

Alors que la génétique correspond à l’étude des gènes, l’épigénétique s’intéresse à une « couche » d’informations complémentaires qui définit comment ces gènes vont être utilisés par une cellule ou… ne pas l’être.

Nous possédons 30 000 gènes mais seulement une petite partie est active. C’est une protéine (l’Histone) qui allume ou éteint les gènes et une enzyme peut bloquer ou amplifier l’expression des histones.

Dans le corps, toutes les cellules ont le même ADN mais chacune exprime les gènes dont elle a besoin pour une fonction bien déterminée et les autres gènes restent inactifs.

La grande découverte, certifiée par l’épigénétique, c’est que notre environnement, notre mode de vie peut modifier l’expression de nos gènes, ceux qui seront actifs ou non.

Par exemple, une même larve d'abeille deviendra une reine ou une ouvrière en fonction de la

façon dont elle est nourrie, et un même œuf de tortue peut éclore en mâle ou femelle en fonction de la température. Il s'agit bien de l’expression du même code génétique global, mais des facteurs environnementaux ont sélectionné une expression plutôt qu'une autre, chacune étant disponible dans la « base de données » génétique.

Cela prouve que des mécanismes peuvent lier des facteurs environnementaux et l'expression du patrimoine génétique et que, dans certains cas, notre comportement agit sur l'expression de nos gènes.

Par exemple, un stress infantile produit une sensibilité au stress à l'âge adulte, et peut être éventuellement transmis à plusieurs générations suivantes.

De même, chez l'adolescent ou l'adulte humain, des expériences, des événements, des stress (physique, sexuel, de deuil, d'abandon ou d'autres facteurs environnementaux) génèrent la production d'étiquettes épigénétiques qui peuvent rester actives durant toute la vie de l’individu et même …

… Cet effet du traumatisme peut se transmettre d'une génération à l'autre via des modifications épigénétiques des cellules qui forment les spermatozoïdes et/ou les ovocytes. Les spermatozoïdes transmettent ce changement du programme génétique à la descendance et il est possible que les ovules fassent de même (phénomène moins étudié à ce jour).

En résumé, les modifications épigénétiques (pas de modification de l’ADN) sont héritables mais réversibles contrairement aux modifications génétiques héritables mais non réversibles (modification de l’ADN).

Donc notre manière de vivre affecte notre santé,

nous le savions depuis longtemps

mais l’épigénétique l’a prouvé.

Et tout peut changer suivant

comment nous nous comportons.

Non seulement pour nous mais

pour nos descendants sur plusieurs générations.

Nous savons que de nombreux cancers, la dépression, l’alcoolisme, l’obésité, l’hypertension, le diabète, les maladies auto-immunes, notamment allergiques, neurodégénératives ou métaboliques, des anomalies de comportement (agressivité, fragilité aux addictions, …) ont des causes épigénétiques. Mais la bonne nouvelle, c’est que grâce à cette même épigénétique nous savons que nous pouvons les améliorer en changeant de comportement.

Voici quelques facteurs environnementaux importants sur lesquels nous pouvons intervenir :

- Notre nourriture nous conditionne. Ce qui est bon : fibres, céréales complètes, soja, thé vert, raisin noir, cacao noir, curcuma… Mauvais : viandes, …
Plus on mange, moins on vit. Notamment l’obésité peut être programmée par l'épigénétique sur plusieurs générations.
- Notre activité physique, il faut bouger …
- Nos émotions, (amour, amitié, haine, jalousie…) ont un rôle primordial.
- L’harmonie des réseaux, familial professionnel et social. S’il y a dysharmonie dans la famille, le travail, si on vit dans une atmosphère conflictuelle, si la communication non violente ne s’est pas mise en place, le stress permanent crée une inflammation, un risque de dégénérescence cellulaire qui conduit au vieillissement prématuré et à la mort.
- La méditation a un effet particulièrement bénéfique.

ON EST RESPONSABLE
DE CE QU’ON FAIT DE NOS GÈNES

Alors pour répondre à la question du début, l’épigénétique, c’est quand la science découvre ce que disaient les sages
depuis des lustres…

CONSEILS TAOÏSTES POUR ETRE EN BONNE SANTE ET HEUREUX1) Souriez pour vous délivrer du Stress.La méditation du sourire in...
20/02/2020

CONSEILS TAOÏSTES POUR ETRE
EN BONNE SANTE ET HEUREUX
1) Souriez pour vous délivrer du Stress.
La méditation du sourire intérieur est une pratique très ancienne.

Le sourire stimule l’activité du thymus, glande à laquelle il est étroitement lié. Dans la conception taoïste, le thymus est la demeure de l’amour, du Qi et de la force vitale.

Selon la sagesse taoïste, le sourire contribue à la production d’énergie de vie par les organes, nourrissant ainsi l’ensemble du corps. Le sourire aide à l’assouplissement et l’humidification des organes, ce qui les rend ainsi plus efficaces.

2) Trouvez la parole juste
La parole juste est une parole authentique qui ne se perd pas dans le mensonge, le bavardage inutile ou la critique futile. Elle consiste à s’affranchir des fantasmes de l'ego.

Certaines paroles peuvent vous affaiblir tandis que d’autres peuvent vous renforcer.

Elle est aussi une parole intérieure bienveillante qui évite l’autocritique, la comparaison ou la culpabilité. Les paroles les plus puissantes sont celles que l’on adresse à soi-même. Elles créent notre propre réalité.

Pesez les mots que vous employez, car ces derniers créeront la réalité dans laquelle vous vivrez.

3) Accordez vos actions à l’ordre de l’univers
Focaliser son esprit sur le futur ou le passé est source d’inquiétude et d’anxiété. Ces énergies négatives peuvent provoquer une sorte d’immobilisme. Accaparés par nos propres problèmes, nous sommes alors incapables d’agir constructivement. Cultiver une attitude de paix envers soi-même et d’altruisme, nous libère de l’inquiétude en ouvrant notre cœur. C’est alors que nous pouvons agir dans le monde avec justesse.

En Occident, nous avons tendance à nous précipiter pour agir, à forcer le cours naturel des choses. La philosophie taoïste nous invite plutôt à agir en accord avec la nature, « la voie du tao ». Elle nous amène donc à nous poser une question fondamentale : quelle est notre place dans l’univers ?

4) Faites circuler votre énergie vitale
Il peut arriver que la circulation énergétique soit obstruée par des tensions. Il est alors important d’apprendre à faire circuler l’énergie de façon fluide. Ceci est fondamental pour retrouver la vitalité de l’organisme.

Pendant la méditation imaginez cette énergie qui circule en boucle en vous afin de nourrir les différentes régions du corps et tonifier l’organisme.

D’abord, l’énergie part des yeux puis se dirige ensuite vers le corps par la langue, la gorge, la poitrine et le nombril puis le coccyx et la colonne vertébrale pour revenir jusqu’à la tête.

5) Ecoutez chanter les oiseaux.
Dans nos vies frénétiques, nous sommes accaparés par notre mental. Nous avons parfois tendance à nous couper de notre environnement, ce qui crée des désordres en tout genre. Les oiseaux symbolisent les relations entre le Ciel et la Terre.

Ainsi, prenez le temps d’écouter le chant des oiseaux. Ils sont une grande source d’inspiration pour retrouver un sens d’harmonie entre Ciel et Terre.

6) Découvrez « la joie royale » d’être en harmonie
avec le cosmos
Selon la pensée taoïste, la joie permet de stimuler l’énergie vitale. La tristesse prolongée a pour conséquence de bloquer la circulation de cette l’énergie.

Chaque homme naît dans des circonstances particulières et avec des capacités singulières. En vivant en harmonie avec son environnement et en cultivant ses propres singularités, l’homme peut faire l’expérience de la « joie royale ».

7) Engagez-vous dans une pratique corporelle afin d’augmenter votre longévité.
Les techniques de gymnastique douce (Qi Gong et Tai Chi Chuan) visent à rendre le corps totalement souple et ouvert à la circulation des souffles.

Elles permettent de vivre plus longtemps et en meilleure santé.

8) Les techniques sexuelles.
Les taoïstes envisagent la sexualité comme un art permettant de préserver la longévité. Ils avaient mis au point des techniques telles que l’échange des souffles yin et yang des partenaires afin de tonifier l’énergie sexuelle.

9) Adoptez une alimentation saine, harmonieuse et équilibrée
La diététique dans le taoïsme a toujours eu une grande importance parmi les techniques de longévité.

Préférez des produits de saison, locaux, des aliments naturels, sains et vivants.

Adaptez votre alimentation à votre organisme. Les besoins alimentaires variant selon les individus, l’important est d’être à l’écoute des besoins de son corps.

10) Nourrissez-vous d’énergies positives
Les émotions négatives sont néfastes pour la santé. Certains individus vivent dans la colère, la peur, l’inquiétude, la tristesse ou d’autres types d’énergies négatives. Cela affecte leur énergie vitale et peut provoquer des maladies.

Le geste de se sourire à soi-même est l’équivalent d’un bain d’amour ayant le pouvoir de réparer des blessures et renforcer notre vitalité.

11) Être à l’écoute de son corps.
Nous tenons rarement compte des alertes subtiles que nous envoient nos organes lorsque nous les malmenons au travers de notre mode de vie ou alimentation ; cela est grave. Nous nous comportons parfois comme des tyrans à l’encontre de notre propre corps, le privant avec violence des ressources et de l’attention qu’il réclame.

Si nous apprenons à entrer en amitié avec nos organes et glandes en apprenant à être à l’écoute de leurs messages, nous développerons notre santé et notre vitalité.

12) Cultivez la modération dans votre vie
Les colères excessives, les chagrins, de même que les joies ou plaisir démesurés sont à éviter. Selon les préceptes taoïstes tout excès est néfaste.

13) Pratiquez la méditation taoïste
Parmi les méthodes taoïstes, nous retrouvons de nombreux exercices de l’esprit afin de :
- trouver la tranquillité de l’esprit par des techniques de visualisation de choses agréables, belles, paisibles…
- régulariser le corps en lui faisant prendre certaines postures spécifiques : assise, allongée, débout, à genoux, en marchant… celles où l’on se sent le mieux, suivant notre ressenti du moment.
- travailler le souffle pour retrouver une respiration lente et profonde, permettant de détendre les organes internes (cœur, poumon, fois, rate, estomac, intestins).


Si vous mettez ces conseils en pratique,

vous vivrez longtemps,

en bonne santé et heureux…

Vaincre la haine? La haine, cette émotion encore plus dangereuse que la colère ou le stress ! Car la plupart du temps no...
12/02/2020

Vaincre la haine?
La haine, cette émotion encore plus dangereuse que la colère ou le stress ! Car la plupart du temps nous faisons plus de mal à nous-même qu’à ceux que nous haïssons, tant sur le plan physique (maladies diverses) que spirituel (entrave au bien-être, à l’évolution…). Et ce mal touche même les personnes qui vivent autour de nous, elles subissent la lourdeur de l’atmosphère, la négativité des énergies dégagées.

Mais souvent nous ne voulons pas reconnaître que nous haïssons : « Mais non, je ne le hais pas, il est gentil mais il… » et là, la liste des récriminations est longue. Alors comment reconnaître ce sentiment inavouable ?

Eh bien c’est simple : si quand nous entendons prononcer le nom de la personne, que nous y pensons, ou que nous la croisons, nous sentons la colère nous submerger, une boule se former dans la gorge, ou le ventre… Ne nous abusons pas, il s’agit bien de haine.

Alors comment transformer ce sentiment qui, nous le savons,

est particulièrement néfaste ?

D’abord en comprendre mieux la cause. Nous avons l’impression d’avoir subi une injustice impardonnable… Mais en grattant un peu, nous nous apercevons que c’est surtout notre ego surdimensionné qui en a pâti : « Comment a-t-on pu nous faire ça à nous qui sommes si intelligent, si adorable, si…si… si… ? ». Essayons de regarder les choses plus objectivement, comme un observateur impartial (d’accord, ce n’est pas facile). La faute est-elle assez grave pour un sentiment aussi fort que celui que je ressens ? La personne n’a-t-elle pas eu des raisons que nous avons du mal à admettre ? N’a-t-elle pas agi au mieux sur le moment ? N’a-elle pas des circonstances atténuantes qui nous ont échappées de prime abord ? Avait-elle la connaissance de toutes les implications de ses actes ? A-t-elle le niveau de conscience pour comprendre le mal qu’elle a fait ?

La suite en cliquant sur ce lien :
http://evemelanreflechit.over-blog.com/2019/12/vaincre-la-haine.html

La haine, cette émotion encore plus dangereuse que la colère ou le stress ! Car la plupart du temps nous faisons plus de mal à nous-même qu’à ceux que nous haïssons, tant sur le plan physique (maladies diverses) que spirituel (entrave au bien-être, à...

Notre futur ou NOS FUTURS La physique quantique nous apprend que le facteur temps n’existe pas vraiment : le passé, le p...
11/02/2020

Notre futur ou NOS FUTURS
La physique quantique nous apprend que le facteur temps n’existe pas vraiment : le passé, le présent et le futur coexisteraient . C’est difficile à comprendre, n’est-ce pas ? Je reconnais que j’ai du mal à intégrer ce concept. Mais il y en a un plus facile à imaginer et plus rassurant : il y aurait une infinité de futurs possibles et notre avenir se déterminerait à chaque instant de notre vie ; chaque choix que nous faisons nous dirige vers un futur plutôt qu’un autre. Nous ne sommes pas prédestinés, nous pouvons choisir notre devenir. Au moment « M », un de nos futurs possibles prédomine et c’est celui que pourra peut-être percevoir une personne ayant un don de « voyance ». Mais si nous choisissons une route différente, ce n’est pas celui qui était prévu primitivement qui arrivera. Prenons l’exemple d’un gros fumeur, son futur « tout tracé » risque d’être de mourir dans 10 ans d’un cancer des poumons. Mais s’il décide d’arrêter de fumer, de faire du sport…, il peut s’orienter vers un nouveau futur et vivre en bonne santé de nombreuses années. Il est vrai que se remettre vraiment en question n’est pas facile. Pourtant, c’est non seulement l’avenir de notre vie actuelle qui est en jeu mais aussi l’évolution spirituelle de notre âme. S’intérioriser, découvrir la cause de nos problèmes, changer de voie, nous créer notre propre vie…, cela vaut quelques efforts, non ?
Cela est non seulement vrai individuellement mais, au niveau de l’humanité il en est de même. Aujourd’hui notre futur ne parait pas très réjouissant. On a peur de catastrophes écologiques, de désordres climatiques destructeurs, voire de l’extinction de l’humanité. Mais si nous « arrêtions de fumer et faisions du sport » nous pourrions éloigner notre « cancer ». Seulement, il faut le vouloir vraiment, faire des efforts, changer de manière de nous comporter. Ce futur tant désiré, il faut aussi commencer par l’imaginer, demander l’aide de nos guides pour permettre que plus de monde prenne conscience des enjeux, sans peur morbide mais pleins d’espoir, et avoir confiance… Il ne faut pas oublier que le négatif attire le négatif, les peurs amènent la noirceur de notre humanité : haine, guerre, amour de l’argent, du profit, du pouvoir. C’est en diffusant de la lumière autour de nous que nous pourrons avoir un avenir lumineux…

Manger des insectes !!! C’est l’un des thèmes à la mode depuis quelque temps. C’est nutritif, ça ne coûte pas cher à pro...
27/01/2020

Manger des insectes !!!
C’est l’un des thèmes à la mode depuis quelque temps. C’est nutritif, ça ne coûte pas cher à produire et leur empreinte carbone est dérisoire : beaucoup en font la nourriture du futur.
Considérée comme une horreur dans la culture européenne, la consommation d’insectes se révèle être la règle dans de nombreuses régions du monde. En effet, la viande étant trop peu disponible dans certaines parties du globe, la consommation d’insectes s’est imposée naturellement comme une alternative efficace.

En Australie par exemple : les Aborigènes consomment une espèce particulière de papillons de nuit : Agrotis infusa. Ceux-ci se concentrent par centaines de milliers dans les montagnes durant l’automne, après avoir traversé tout le continent. Or leur abdomen contient énormément de lipides (60 % de leurs corps est composé de gras !), c’est donc un mets de choix. Ils sont d’autant plus appréciés que l’Australie est un pays où l’on trouve fort peu de graisses, les Aborigènes ne pratiquent pas l’élevage animal et il n’y a quasiment pas de plantes oléagineuses. Se tourner vers les insectes est donc une question de survie
Ils sont consommés sous forme notamment de farine et de galettes. A ce qu’il paraît, c’est absolument délicieux, cela a un goût de frangipane.
Mais de nombreux autres pays d’Afrique ou d’Asie se délectent de ces mets qui nous répugnent. Comme d’autres nous regardent avec un air dégoûté quand on leur parle d’escargots ou de cuisses de grenouilles… Finalement tout est question d’habitudes.

Mais si nous examinions les choses sur un plan plus scientifique ?

1. Des aliments riches en protéines
Les protéines sont à la base du fonctionnement du corps. D’après des études scientifiques, le taux de protéines des insectes comestibles est supérieur à celui des végétaux ainsi qu’à celui des viandes, œufs et volailles vendus dans le commerce. Il peut atteindre 75% sur extrait sec.

2. Une solution pour nourrir 9 milliards d’individus d’ici 2050:
Si manger des insectes se pose aujourd’hui en tant que question, il se pourrait que cela devienne une évidence et une nécessité dans les décennies à venir. Nous serons 9 milliards sur terre en 2050. Comment nourrir tout ce monde ? La production et la consommation d’insectes se révèlent être une solution 100 % naturelle pour répondre à ce défi.

3. Un élevage avec un faible impact environnemental:
Les chercheurs de l’Université de Wageningen (Pays-Bas) ont récemment montré que l’élevage d’insectes comestibles comme les criquets, les grillons et les vers de farine produisait beaucoup moins de gaz polluants comme le méthane et l’oxyde de nitrate que les élevages porcins et bovins. Produire un kilo de vers de farine entraine l’émission de 10 à 100 fois moins de gaz à effet de serre que produire un kilo de viande de porc. A poids égal, le cochon produit 8 à 12 fois plus d’ammoniac que les criquets et jusqu’à 50 fois plus que les sauterelles. L’élevage d’insectes est ainsi une alternative pour la production de protéine animale à faible impact environnemental.

4. Une source plus sure de nourriture:
Le Dr. Dicke est entomologiste à l’Université de Wageningen aux Pays-Bas, selon lui une des raisons majeures de consommer des insectes serait qu’en tant qu’aliments ils transmettraient moins de maladies vers l’Homme comparé aux sources de viande traditionnelle. Les humains et les animaux d’élevages traditionnels ont beaucoup de maladies communes. Ainsi, certaines qu’on retrouve chez les animaux traditionnels peuvent se développer en mutant chez l’Homme. Les récentes grippes aviaires et porcines en sont un parfait exemple.

5. Un taux de conversion inégalé:
En effet, avec 10 kg d’aliments vous produisez 1 kg de viande bovine, 3 kg de viande porcine, 5 kg de volaille et 9 kg d’insectes. Ainsi, produire de grosses quantités de protéines nécessite moins de produits agricoles.

6. Une alternative aux productions animales intensives:
Et que dire des problèmes dus aux élevages intensifs : souffrance animale, l’espace disponible est réduit au minimum vital… Des maladies apparaissent fréquemment et entraînent l’utilisation massive d’antibiotiques et d’anxiolytiques qui se retrouvent dans la viande que nous ingérons. Avec l’élevage, le transport et l’abattage des animaux peuvent aussi être sources de multiples souffrances ; elles émeuvent de plus en plus de gens qui deviennent végétariens.

7. L’élevage participe au maintien de la biodiversité:
Dans les pays traditionnellement consommateurs, l’élevage permet de réduire les prélèvements en milieu naturel par un approvisionnement fiable en insectes comestibles. L’élevage peut aussi réduire la pollution organique en recyclant les déchets agricoles et forestiers dans de l’alimentation de haute qualité.

8. Une variété de goûts et de formes:
On compte aujourd’hui près de 1400 espèces d’insectes consommées par l’être humain. On leur associe des goûts très diversifiés, allant de la noix pour les vers de farine au gorgonzola pour les nèpes. Dans le nord-est de la Thaïlande, une étude révèle que 75% des personnes interrogées invoquent le gout comme principales raisons de manger des insectes.
De la fourmi minuscule à la punaise d’eau géante, la taille et la forme des insectes comestibles est d’une richesse incomparable. Seule l’imagination peut limiter les combinaisons de goûts et de formes qui peuvent être créées. Ingrédients dans de nombreux plats, les insectes comestibles se retrouvent comme condiments en apéritifs, en plats principaux ou en dessert.

Alors, … prêts pour la dégustation ? Ou le défi ? …

Battements binauraux ou la musique qui guérit      Énormément de sites de musique parlent de sons ou battements binaurau...
13/01/2020

Battements binauraux ou la musique qui guérit

Énormément de sites de musique parlent de sons ou battements binauraux comme d’une panacée qui guérirait miraculeusement des tas de pathologies. Cela va des problèmes dépressifs à la régénération cellulaire… Que faut-il en penser ?
Et d’abord, qu’est-ce que c’est ?
L’effet binaural a été découvert en 1839 par Heinrich Wilhelm Dove, mais l’utilisation de la stimulation auditive pour améliorer le fonctionnement du cerveau humain a été mise en lumière en 1973 par Gerald Oster, un biophysicien du Mount Sinai Hospital à New York (États-Unis). C’est à la suite à ces découvertes que les médecins du monde entier ont incorporé la stimulation auditive pour aider les gens à :
• réduire les troubles liés à l’anxiété,
• entrer dans différents niveaux de conscience,
• augmenter la concentration mentale
• stimuler différentes parties du cerveau.
• améliorer tout ce qui concerne le développement personnel,
• encourager la concentration profonde et la relaxation émotionnelle,
• favoriser la créativité et la relaxation de l’esprit

Mais d’abord un petit rappel de comment fonctionne notre cerveau
Lorsque le cerveau est actif, il crée des ondes cérébrales. Cela peut être mesuré grâce à l’électroencéphalographie (EEG) en plaçant des électrodes directement sur le cuir chevelu. Diverses formes d’activité cérébrale (« rythmes cérébraux ») sont alors révélées, correspondant à divers ensembles d’ondes cérébrales. Les catégories d’ondes cérébrales sont déterminées selon leurs nombres de cycles par seconde, c’est-à-dire selon leurs fréquences (mesurées en hertz).

Il existe différents types d’ondes cérébrales connues sous les noms d’ondes Gamma, Bêta, Alpha, Thêta, Delta, ainsi que d’autres ondes aux fréquences infra-basses.
• Les ondes Gamma opèrent au-dessus des 40 Hz. L’onde Gamma est une onde cérébrale à haute fréquence extrêmement rapide. Ces ondes cérébrales sont présentes quand une personne se trouve dans un état d’éveil spirituel impliquant amour et altruisme. Quand une personne commence à se concentrer, c’est à ce moment-là que les ondes cérébrales Bêta prennent le relais.
• Les ondes Bêta opèrent à des fréquences comprises entre 13 et 40 Hz et sont présentes lorsqu'une personne est en état de « vigilance », c’est-à-dire dans l’état normal de conscience correspondant à la vie tous les jours. Ces ondes sont également présentes lorsqu'une personne réfléchit à la résolution de problèmes, prend des décisions ou est dans un état de concentration mentale. Les sous-catégories d’ondes cérébrales Bêta sont : Bêta basse fréquence de 13 à 15 Hz (« Bêta 1 »), Bêta moyenne fréquence de 15 à 20 Hz (« Bêta 2 ») et Bêta haute fréquence de 20 à 40 Hz (« Bêta 3 »). Ces rythmes cérébraux Bêta correspondent à des états d’excitation, de grande anxiété et de pensée profonde. En général, beaucoup d’énergie est utilisée dans l’état Bêta, ce qui explique pourquoi une personne peut se sentir mentalement épuisée après de longues périodes dans ce rythme cérébral.
• Les ondes Alpha opèrent entre 7 et 13 Hz et sont généralement présentes lorsque le cerveau est calme. Habituellement ces ondes cérébrales sont associées à la méditation (Zen et Transcendantale), l’apprentissage et la création. Par exemple, après de longues séances passées à étudier, le cerveau est fatigué et les ondes cérébrales Alpha commencent alors à se manifester lorsque la personne décide de prendre une pause par exemple. En outre, les ondes cérébrales Alpha déclenchent les premiers stades du sommeil (« le pré-sommeil »).
• Les ondes Delta opèrent entre 0,5 et 4 Hz et sont générées au cours du
sommeil profond ou lorsque l’esprit est dans un état méditatif très profond («Yoga Nidra »). Les ondes Delta sont étroitement liées au processus de réparation du corps (guérison etc.).
• Les ondes de fréquences infra-basses représentent les plus basses ondes cérébrales qui existent. Elles sont difficiles à mesurer avec précision. Ce type d’ondes cérébrales opère à 0,5 Hz et en-dessous. Le fonctionnement du réseau cérébral est affecté par ces rythmes cérébraux de fréquences infra-basses.

Toutes ces fréquences sont inaudibles, beaucoup trop basses pour que nous puissions les entendre avec nos oreilles humaines.
L'oreille humaine entend de 20 à 16.000 Hz. Et surtout dans la zone utile, car correspondant aux fréquences de la voix humaine et des sons familiers de nos activités, de 500 à 3.500 Hz

Mais les chercheurs se sont aperçus que lorsqu’une oreille entend une fréquence de 528 HZ par exemple et l’autre oreille une de 520 HZ, le cerveau fait la différence des deux et entend une fréquence de 8HZ qui correspond à ses ondes alpha. La musique va donc améliorer la relaxation, médiation etc.

Pour cela il est donc très important d’écouter ces fréquences sur casque pour que vos deux oreilles perçoivent des fréquences d’ondes différentes et puissent faire la soustraction.

A vous de tester, mais attention, on trouve sur certains sites des musiques dites « magiques » à un prix défiant toute compétition (dans le mauvais sens). Alors, soyons prudents, sur YouTube on peut regarder de très belles vidéos avec de magnifiques musiques, alors pourquoi s’en priver ? En voici quelques exemples :
https://www.youtube.com/watch?v=Y-vwV0S6uRk

https://www.youtube.com/watch?v=SiTaBBOdIKA

Il existe aussi une autre théorie basée sur les fréquences hertziennes qui produiraient un effet positif sur notre santé, celle du solfège sacré.
Nous l’examinerons dans un prochain article.

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