
04/08/2025
J'ai pris le thé avec ma blessure d'humiliation et elle m'a avoué :
Tu ne me vois pas toujours, mais je suis là.
Dans ton silence, ta gêne, ta peur de déranger.
J'ai appris à te faire baisser les yeux.
À sourire pour masquer l'inconfort.
À te taire quand tu aurais voulu crier.
Je t'ai murmuré: "Cache-toi. N'embarrasse pas. Ne fait pas de vagues."
J'ai fait en sorte que tu deviennes minuscule.
Plus personne ne t'a vue... mais au moins, tu ne risquais plus d'avoir honte.
Je t'ai protégée, comme j'ai pu.
De ces regards qui t'ont figée sur place, comme si tu venais de faire quelque chose de mal.
De ces silences gênés quand tu partageais ce que tu ressentais.
Des sourires moqueurs ou condescendants, qui t'ont appris à ravaler ta vérité.
Tu te souviens? Ce noeud dans ta gorge, ce feu dans tes joues...
Comme si exister devenait une faute.
Mais je suis fatiguée, maintenant.
Fatiguée de te voir t'effacer.
Fatiguée de te voir demander pardon d'exister.
Tu n'as pas à vivre dans la gêne. Tu n'as pas à te cacher pour être aimé.
Je ne veux pas que tu t'éteignes en silence. Je ne veux pas que tu sois sage. Je veux que tu sois libre.
Je suis actuellement en pause. Mais si ce que tu viens de lire touche quelque chose en toi, tu peux déjà réserver ton appel gratuit de 30min.
>>>https://calendly.com/vitifairy/appel-decouverte