De CORPS ET D'ÂME

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De CORPS ET D'ÂME Un ressourcement en conscience, un travail dans l'énergie et la lumière avec le magnétisme et l'?

29/10/2024

Les jours filent vers l'hiver et pourtant, même si le temps rafraichit, le soleil se laisse admirer au travers de ce qui reste de feuilles.
Une merveille ces journées flamboyantes. C'est un véritable enchantement qui remplit les heures et qui me fait rêver, moi qui suis devenue spectatrice de mon quotidien. J'ai beau tenter mille stratégies plus f***es les unes et les autres, je ne sais plus rien faire de mes mains ni de mes bras, quant à mes jambes elles refusent de me porter d'un bout à l'autre de la maison, et c'est encore pire si je m'aventure jusqu'au bout du jardin où les quelques petites fleurs qui subsistent se réjouissent de mes promenades...
Bref, je dois réapprendre tout ce qui fait la vie sur cette Terre que je le veuille ou non... La nécessité fait loi, me direz vous,mais voyez, je suis plus maladroite encore que l'enfant qui vient de naître!
Jamais je n'avais envisagé que ma vie se termine de cette façon, croyez-moi et je trouve terriblement cruel d'en être ainsi réduite à rééduquer mon corps à chaque instant, mais c'est ainsi et il faut bien le prendre....
Je pense bien à vous mes amis et mes amies et les pensées qui me viennent sont pleines de tendresse... Cela au moins m'appartient encore!!!...

18/10/2024

Mon navigateur ne veut plus naviguer caril n'est pas à jour!
j'suis coincée dans mon coin...
Mes amis,attendez moi que je fasse le nécessaire!!!!
Oh, la la lala...
Je ne sais pas comment le faire

06/10/2024

Chaque jour, elle écoute les nouvelles, désemparée par l"état du monde...
Le monde humain de tous côtés et depuis tant de siècles a décrété des lois stupides, pire même, des lois qui sément le malheur sur les 5 continents.
Ceux qui ont encore quelque raison ont bien essayé de prévenir les plus fous, mais ceux-là sont nombreux et ils font mine de ne rien entendre!...
Et la folie va grandissant.
Le monde des humains est sur la voie des catastrophes qui s'enchaînent, et sur cette voie, nul ne peut plus faire machine arrière!
L'auto-destruction est à son comble et l'on joue à la guerre du plus fort. La guerre du plus méchant, la guerre du plus diabolique..
Pauvres humains, ils ont fait de la planète Terre un enfer!... disaitelle, le coeur serré.
Pauvres humains, ils s'auto détruisent et sèment le malheur à chacun de leurs discours...
La Terre conçue comme un paradis n'est plus que feu, inondations et destructions, et l'on n'entend plus que les cris de douleur de ceux qui souffrent.
Les jours s'enchaînent, terribles, se lamentait-elle.
Et voici ce qu'elle leur disait encore:
Ö, pauvres humains, ayez le courage de changer d'attitude et de discours, ô pauvres hommes, laissez vivre vos enfants dans la Paix, laissez leur découvrir le paradis sur la Terre, tel qu'il fut programmé pour une vie fratenelle et paisible, oui, si paisible...

Un jour comme aujourd 'hui...Le soleil active des songes pleins de joyeuse fantaisies Qui font chanter ma poitrine, laqu...
03/10/2024

Un jour comme aujourd 'hui...
Le soleil active des songes pleins de joyeuse fantaisies
Qui font chanter ma poitrine, laquelle contemple
Les fleurs qui se hérissent , remplies de bonheur...
Le buissom mauve , cette merveille dresse ses bouquets
Vers le ciel bleu qui chante et qui danse...
Déjà les feuilles de la tonnelle ont rvêtu leur plus douce nuance
Et offrent aux passants bouleversés, des grwppes gorgées
D'un arome particuier automnal.
Quelques papillons blancs font la fête et se régalent
De tous côtés, la pelouse est un paradis,
Un cadeau particulier qui sent la fëte...
Cachés sous les herbes, se réjouissent des milliers d'insectes
Qui tremblent de bien être et dont la vie exprime une pleine joie
À chaque seconde les voici tousi vivants et fiers d'être ici
Par ce beau jour quand se oromène la vie

01/10/2024

En quelques instants,
Elle revit les années passées sur cette terre lointaine
Où le vent pouvait se perdre à l’infini et mugir
En poussant les flots changeants du Saint-Laurent,
Les transformant d’un coup en montagnes de glace.
C’était un fleuve si large que nul n’apercevait les limites de son lit...
C’était un fleuve-roi qui pouvait être scintillant et calme
Ou mystérieux, colérique et puissant,
Avec mille merveilles tout au long de son cours,
Clochers sages et maisons blanches massées sur ses rives.
Elle se souvint que dans ce pays d’immensité et de contrastes,
On voyait des baleines sauter ou fendre les flots,
S’arc-boutant et soufflant de leurs naseaux glissants,
Et que la lune à son heure veillait la plaine miroitante.
En un éclair, elle se souvint des grands voiliers d’oies
Qui filent vers le sud tout en caquetant,
Marbrant le ciel de leurs ailes mouvantes
Par dessus les forêts d’érables et d’épinettes.
Elle revit tout cela avec bonheur, avec tendresse.
Elle avait tout emporté dans sa mémoire et dans son âme,
Et quand elle y pensait, surgissait encore le froid cru et tranchant
Qui picotait les veines, qui hérissait sa peau;
Ce froid impitoyable qui vous endort à jamais
Si vous n’y prenez garde…
Elle avait tant aimé ce pays qu’il l’avait modelée
Et qu’elle l’avait appris par coeur dans un coin de son âme,
Alors, chaque jour lorsqu’elle sortait pieds nus sur le sable
Doux et chaud,
Avec amour, elle y pensait encore.
Nadine Grelet @ 2013/05/20.

23/09/2024

LC'et la belle saison, l'automne reprend ses droits ,,
C'est le temps des couleurs qui bouleverse chaque jour
Il faut ouvrir son coeur, sentir s'.émerveiller...
La nature se fait belle et remplit de promesses
l" air qui se parfume, léger et luinineux
Les arbres rougissent jusqu'au bout de leurs feuillles
Qui s'allègent et frémissent comme des papillons

19/09/2024

C’était encore l’hiver à Montréal et malgré le froid vif, le ciel était rempli d’une douceur particulière qui annonçait le printemps. Je marchais, bien emmitouflée, avec cette sensation de légèreté que me procurait le rythme de ma respiration. Mon corps était heureux. Mes joues picotaient et mes narines aspiraient l’air avec gourmandise. Mon souffle se givrait sur le bord de mon écharpe qui formait un ruban humide autour de mes lèvres, et mes yeux se plissaient pour se protéger de la lumière qui éclaboussait la ville.
Allongeant le pas, je replaçais mon sac qui avait glissé le long de mon épaule et je continuais ma route sur le boulevard Saint-Laurent où les voitures à la queue leu-leu, déversaient leurs odeurs nauséabondes. Les travailleurs alignés devant l’arrêt de l’autobus, asphyxiés, guettaient le moment où la grosse machine cracherait en ronronnant un flot de gens pressés pour en avaler un autre. Ce panorama apocalyptique contrastait avec la finesse de mes sensations. Je traversais la grande artère pour atteindre une rue tranquille. « Plus rien d’humain dans nos villes modernes, pensais-je. Pollution, laideur, misère, fatigue… Même la beauté du ciel devient impuissante à faire oublier le visage hideux du quotidien ! ». Je repoussais les pensées maussades qui voulaient avoir raison de moi et foulais la neige omniprésente, ramassée en monticules sur le coin des trottoirs. Le vent avait fini par s’infiltrer sous ma jupe et ma peau se hérissait, meurtrie par cette caresse sauvage. Au long des ans, je n’avais jamais pu m’habituer à l’hiver canadien. « Pourtant, il y a si longtemps, pensai-je ! » et j’accélérais ma course. J’avais envie d’une bonne tasse de thé fumante et parfumée. J’avais envie d’avoir chaud, de me laisser couler dans la tiédeur rassurante de la maison où je pourrais me détendre. Je voulais être seule pour m’abandonner aux étranges sensations qui surviennent dans ces moments-là.

Dans la maison déserte, je quittai mes bottes, lançai mon chapeau et mes gants sur le coin de la commode et m’allongeai sur le canapé en proie à mes rêveries. Alors, jaillie du fond de moi, la vision surgit. Lumineuse et mouvante, survol de mon périple durant les dernières décennies, elle prit les formes les plus diverses pour m’entraîner dans mon propre labyrinthe. Docile, je me laissai guider par les sensations, les images et les émotions qui chuchotaient mon histoire. Loin de refouler ce monde étrange, j’étais à l’écoute. Quelle douceur m’habitait alors ! J’aurais voulu que le temps s’arrête, que ma vie suspende son cours, que mon cœur s’immobilise éternellement dans ce bonheur-là.
Dans ces moments de perfection où l’énergie circule sans entrave, le flot impétueux du moi profond fait surface et suit le fil qui l’entraîne vers sa source. Rien ne l’arrête. Le passé resurgit en vagues imprévisibles et distribue des images claires par-delà le temps, tandis qu’un bien-être voluptueux m’envahit. Ces états paradisiaques peuvent être d’une brièveté surprenante et débouchent sur ce qui est enfoui si profondément au creux de notre âme qu’on le croyait effacé …

Je suis née en plein Paris quand les bombardements de la seconde guerre mondiale faisaient trembler la France. Cette nuit-là, le ciel s’embrasait et crachait en mugissant des projectiles meurtriers; les Alliés attaquaient l’usine d’armements située à cinq cents mètres de l’appartement où habitaient mes parents. En cette heure tumultueuse où la capitale était plongée dans le noir le plus complet, le vacarme des tirs et les hurlement des sirènes commandaient à tous de descendre aux abris. Ma mère enceinte de son premier enfant était près de son terme. Elle eût si peur peur que les contractions la prirent. Mon père affolé, dut avec elle, traverser en toute hâte les lignes allemandes en montrant patte blanche, pour l’emmener jusqu’à l’hôpital. Lorsqu’ils arrivèrent enfin devant la maternité, les vitres jonchaient le sol et je ne tardai pas à pousser mon premier cri.
Je me suis toujours demandé si cette entrée en matière n’était pas le raccourci prémonitoire de ce que j’aurais à vivre...

LES CHUCHOTEMENTS DE L'ESPOIR,
Nadine Grelet

16/09/2024

J'ai froid tu ce matin, mon corps tremble
Alors je pense à toi, ton souvenir me réchauffe
Je me souviens de la chaleur de tes bras
De ta douceur et de tes forces,
Et je reviens aux joies de ces moments magiques
Quand tout à coup nos âmes
Remplies du désir immense, subtil et mystérieux
Qui est impératif, qui envahit nos sens
Comme autant de merveilles
Qui éclatent entre nous
Comme mille chansons et refrains éternels
Qui nous transportent au sommet du ciel,
Et nous remplissent de bonheur
À chaque fois que toi et moi on s’aime

13/09/2024

Le vent qui court dans la ville
Glisse, souffle et me surprend.
De tous côtés, il me bouscule
Et le voilà, puissant sans scrupule
Qui déracine, coupe et soulève
Toute chose qui devant lui s'élève
Que suis-je au milieu du tourment?
Mon esprit lutte avec le vent,
Ma tête devient f***e et s'éparpille
Oh, prends garde à tes pensées
File ma fille sans t'attarder
Fais taire ta soudaine colère
Et cache tes espoirs secrets!
Méfie-toi de ce grand vent
Du vent qui pousse, du vent qui court
Ce fort blizzard perturbe ton âme
Et dans ton coeur ravive la flamme
Enferme tes rêves sous ton chapeau
Et garde-les serrés bien chauds
Car en ce jour ils pourraient s'envoler
Et tout d'un coup disparaître
Au prochain coup de tempête...
Nadine Grelet © 5/5/ 2021.

11/09/2024

À la croisée des chemins
À la rencontre des possibles
Nous marchons vers demain
Irréductibles et sourds...
N.G. © 14/8/18.

09/09/2024

Elles sont indisciplinées, mes pensées
Prise au dépourvu je les écoute
Depuis tant d'années!
Petites voix légères
Déposant sur le fil du temps
Une foule de sentiments
Et de sensations diverses...
Parfois orages et ouragan
Elles batifolent et semblent f***es
Elles vont de ci de là
Et se déversent dans l'univers
Poussées par les évènements
Qui suivent un chemin illogique.
Mystérieuses, elles gravent le destin
Et parfois tragiques,
L'air de rien me pressent encore
Et chamboulent en moi
Les certitudes qui s'écroulent
De tous bords tous côtés.
Parfois je suis lassée
De leurs danses et de leurs chimères
J'essaie de les regarder
Comme des comètes qui éclairent
Puis jouent dans la lumière
Au moment où une partie de moi
Que je ne comprend pas
Cherche en vain le mode d'emploi
De toutes ces formes-pensées,
Qui dessinent et clament
De tous les côtés,

Le monde entier!
Nadine Grelet © 26/01/2016.

04/09/2024

Septembre est arivé tout ensoleillé...
Les feuilles se colorent et se brodent
De taches rouge ou de fils d'or
La nature s'émerveille et de tous cotés dit sa joie
D'etre au coeur du vieux monde
Celui qui est éterene
Qui clame et qui espère chaque jour s'adapter
Et garder le droit de vivre
Dans la paix et dans la beauté...
Mes amis, sachons nous préserver
De tout ce qui nuit
A la néfaste ignorance, a son obsession
Cruelle qui mutile notre société...

Nadine Grelet @ 4 .9 .24 .

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