Passion d'Être

Passion d'Être Maître reiki Shamballa coach-Hypnose-Psycho énergéticienne, facilitatrice de mission vie depuis 25 a

17/09/2025

Nous sommes en deuil
Daniel Sévigny nous a quitté ce 13 sept dernier....
Paix à son âme 🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹
Et remerciements pour tous ses précieux enseignements ✨✨✨✨✨✨✨✨✨
Il est et restera 1 de mes mentors ♥️
Adieu Daniel 🥰 et merci

Leçon de vie....Il frappait à la porte comme s’il pouvait l’ouvrir à coups de poing.Il pleurait. Suppliait.Il avait 40 a...
22/07/2025

Leçon de vie....

Il frappait à la porte comme s’il pouvait l’ouvrir à coups de poing.

Il pleurait. Suppliait.
Il avait 40 ans… mais à cet instant, il ressemblait à un enfant perdu.

— Maman, je t’en supplie ! Ouvre-moi ! Laisse-moi entrer !

Elle était là. Derrière la fenêtre.
Mais elle ne le regardait pas.

Non pas parce qu’elle ne le voulait pas…
Mais parce que si elle le faisait, elle s’effondrait.

Il vivait chez elle.
Dans la maison même où il avait grandi.
Mais il ne vivait pas… il survivait.
Il ne travaillait pas, n’étudiait pas, n’aidait pas.
Il dormait t**d, mangeait ce qu’il trouvait, n’assumait même pas sa propre vie.

Elle avait tout supporté : le silence, la tristesse, l’apathie.
Elle lui avait acheté de la nourriture, payé les factures, enduré sa frustration…
tout cela avec l’espoir qu’un jour, il réagirait.

Mais ce jour n’arrivait jamais.

Et alors, elle comprit :
son amour l’étouffait.
Ce qu’elle croyait être de l’aide… les noyait, tous les deux.

Alors, quand il sortit pour acheter quelque chose au supermarché,
elle fit ses valises.
Elle laissa une note avec le numéro d’un contact qui cherchait quelqu’un pour un poste dans le design — sa formation, qu’il n’avait jamais voulu exercer —
et un peu d’argent, juste assez pour qu’il puisse bouger.

Elle posa les valises dehors…
et ferma la porte.

Quand il revint, il ne comprit pas.
Il cria. Frappa la porte.
Il pleura comme jamais.

Elle l’entendait de l’autre côté,
l’âme en lambeaux.

Mais elle n’ouvrit pas.

Parce qu’elle savait qu’elle ne pouvait plus le sauver dans le confort.
Elle avait déjà tout essayé.
Et rien n’avait fonctionné.

Les jours suivants furent rudes.
Elle ne dormait pas.
Mangeait à peine.
Elle douta mille fois.
Mais elle ne regretta pas.

Et puis, un jour ordinaire,
il revint.

Il ne cria pas.
Il ne pleura pas.
Il frappa doucement.

Elle ouvrit.

Et là se tenait son fils : plus mince, plus grave…
mais avec un regard différent.

— Je ne viens pas te demander de me reprendre, dit-il.
Je voulais juste te dire… merci.

Il lui raconta qu’au début, il l’avait détestée.
Mais qu’ensuite, il avait compris.
Que trouver un travail avait été difficile.
Que louer une chambre l’avait terrifié.
Que tout recommencer l’avait secoué de l’intérieur…
mais l’avait aussi réveillé.

Et pour la première fois depuis des années…
il la serra dans ses bras.

Tous les héros ne sauvent pas.
Parfois, les vrais héros… lâchent prise.

Car aimer, ce n’est pas toujours retenir fort.
Parfois, aimer…
c’est laisser tomber,
pour que l’autre apprenne à voler.

– Susana Rangel 🧳☕️✍️💬

Extraits d'1 vrai histoireMes fils pensent que nous faisons du camping — mais ils ne savent pas que nous sommes sans-abr...
22/07/2025

Extraits d'1 vrai histoire

Mes fils pensent que nous faisons du camping — mais ils ne savent pas que nous sommes sans-abri

Ils dorment encore. Tous les trois, entassés sous cette couverture bleue trop fine, comme si c’était la chose la plus douillette au monde. Je regarde leur poitrine se soulever et s’abaisser et je fais semblant — juste une seconde — que c’est des vacances.

On a monté la tente derrière une aire de repos, juste après la frontière du comté. Techniquement, c’est interdit, mais c’est calme, et le vigile m’a lancé hier un regard qui voulait dire qu’il n’allait pas nous chasser. Pas encore.

J’ai dit aux garçons qu’on partait camper. « Juste entre mecs », comme si c’était une aventure. Comme si je n’avais pas vendu mon alliance trois jours plus tôt juste pour pouvoir payer l’essence et du beurre de cacahuète.

Le truc, c’est… qu’ils sont trop petits pour faire la différence. Ils croient que dormir sur des matelas gonflables et manger des céréales dans des gobelets en carton, c’est rigolo. Ils croient que je suis courageux. Que j’ai un plan.

Mais en réalité, j’ai appelé tous les centres d’accueil jusqu’à Roseville, et aucun n’a de place pour quatre. Le dernier m’a dit « peut-être mardi ». Peut-être.

Leur mère est partie il y a six semaines. Elle disait qu’elle allait chez sa sœur. Elle a laissé un mot et une demi-bouteille d’Advil sur le comptoir. Je n’ai plus eu de nouvelles depuis.

Je tiens le coup, à peine. Je me lave dans les stations-service. J’invente des histoires. Je garde les routines du soir. Je les borde comme si tout allait bien.

Mais hier soir… mon fils du milieu, Micah, a murmuré dans son sommeil :
« Papa, je préfère ça que le motel. »

Et ça… ça m’a brisé.
Parce qu’il avait raison. Et parce que je sais que ce soir pourrait être le dernier où je peux faire semblant.

Juste au moment où je commençais à ouvrir la tente —
Micah s’est agité. « Papa ? », a-t-il chuchoté en se frottant les yeux. « On peut aller revoir les canards ? »

Il parlait de ceux de l’étang près de l’aire de repos. On y était allés la veille et il avait ri plus fort que je ne l’avais entendu depuis des semaines. J’ai forcé un sourire.
« Oui, mon grand. Dès que tes frères seront réveillés. »

Quand on a rangé nos quelques affaires et qu’on s’est brossé les dents derrière le bâtiment, le soleil chauffait déjà l’herbe. Mon plus jeune, Toby, me tenait la main en fredonnant, pendant que l’aîné, Caleb, shootait dans les cailloux en demandant si on allait faire une randonnée aujourd’hui.

J’étais sur le point de leur dire qu’on ne pouvait pas rester une nuit de plus quand je l’ai vue.

Une femme, peut-être dans la soixantaine, s’approchait de nous avec un sac en papier dans une main et un énorme thermos dans l’autre. Elle portait une chemise en flanelle usée et avait une longue tresse dans le dos. Je pensais qu’elle allait nous demander si on allait bien — ou pire, nous dire de partir.

Mais elle a souri et tendu le sac.
« Bonjour », a-t-elle dit. « Vous voulez un petit-déjeuner, les garçons ? »

Les enfants se sont illuminés avant même que je puisse répondre. Dans le sac : des biscuits encore chauds, des œufs durs, et dans le thermos… du chocolat chaud. Pas du café — du chocolat chaud. Pour eux.

« Moi, c’est Jean », a-t-elle dit en s’asseyant sur le trottoir avec nous. « Je vous ai vus ici ces deux dernières nuits. »

J’ai hoché la tête, ne sachant pas quoi dire. Je ne voulais pas de pitié. Mais son visage ne montrait pas de pitié. Juste… de la gentillesse.

« J’ai connu des moments durs moi aussi », elle a ajouté, comme si elle lisait dans mes pensées. « C’était pas du camping. J’ai dormi dans un van d’église pendant deux mois avec ma fille, en 99. »

J’ai cligné des yeux. « Vraiment ? »

« Oui. Les gens passaient devant nous comme si on n’existait pas. Alors j’ai décidé que je ne ferais pas pareil. »

Je ne sais pas pourquoi, mais je lui ai tout raconté. Le motel. Leur mère. Les refuges qui disent “peut-être”.

Elle m’a écouté, en hochant lentement la tête.
Puis elle a dit quelque chose que je n’attendais pas :
« Viens avec moi. Je connais un endroit. »

J’ai hésité. « C’est un refuge ? »
« Non », elle a dit. « C’est mieux. »

On a suivi sa vieille voiture sur un long chemin de gravier. Mes mains cramponnaient le volant, mon cœur battait fort. Je me retournais sans arrêt vers les garçons qui riaient d’une blague de Toby, complètement inconscients qu’on courait après un miracle.

On est arrivés devant ce qui ressemblait à une ferme. Une grande grange rouge, une petite maison blanche, quelques chèvres dans le champ. Une pancarte sur la barrière : The Second Wind Project.

Jean a expliqué sur le perron. C’était une communauté — gérée par des bénévoles — qui offrait des séjours temporaires aux familles en crise. Pas de paperasse d’État. Pas de formulaires interminables. Juste des gens qui aident d’autres gens.

« Vous aurez un toit, à manger, et un peu de temps pour vous remettre sur pied », a-t-elle dit.

J’ai dégluti. « Et le piège ? »
« Aucun », elle a dit. « Il faut juste aider un peu. Nourrir les animaux. Nettoyer. Construire quelque chose, si tu sais faire. »

Ce soir-là, on a dormi dans un vrai lit. Tous les quatre dans une seule pièce, mais avec des murs, de la lumière et un ventilateur qui ronronnait doucement. J’ai bordé les garçons et je me suis assis par terre pour pleurer comme un enfant.

La semaine suivante, j’ai coupé du bois, réparé une clôture, appris à traire une chèvre. Les garçons se sont liés d’amitié avec une autre famille — une mère célibataire et ses jumelles. Ils ont poursuivi des poules, cueilli des baies sauvages, et dit « merci » à chaque repas.

Un soir, assis sur le perron, j’ai demandé à Jean :
« Comment tu as trouvé cet endroit ? »

Elle a souri.
« Je l’ai pas trouvé. Je l’ai créé. J’étais infirmière. J’avais un peu de terrain hérité de ma grand-mère. J’ai décidé que je voulais être un panneau sur la route de quelqu’un, pas juste un souvenir. »

Ses mots m’ont marqué.

Deux semaines sont devenues un mois. Puis six semaines. Entre-temps, j’ai gagné un peu d’argent en rendant service en ville. Un garage m’a proposé de venir observer les mécanos. Un jour, le patron, un type sec nommé Frank, m’a tendu un chèque de paie en disant :
« Reviens lundi si tu veux continuer. »

On est restés à la ferme encore un mois et demi. Puis j’avais assez pour louer un petit duplex à la sortie de la ville. Le loyer était bas parce que le sol penchait et les tuyaux grinçaient la nuit — mais c’était chez nous.

On a emménagé la veille de la rentrée scolaire.

Les garçons n’ont jamais demandé pourquoi on avait quitté le motel ou pourquoi on dormait sous une tente. Ils appelaient ça « l’aventure ». Aujourd’hui encore, Micah raconte à tout le monde qu’on a vécu à la ferme et qu’on a construit une clôture sous le regard des chèvres.

Mais trois mois après notre emménagement, quelque chose s’est produit.

Un dimanche matin, j’ai trouvé une enveloppe glissée sous le paillasson. Pas de nom. Juste un mot : Merci.

À l’intérieur : une vieille photo — Jean, jeune, tenant un bébé sur la hanche, debout devant la même grange. Et un mot écrit en lettres majuscules :

« Ce que tu as donné à ma mère, elle te l’a donné. Merci de transmettre quand tu pourras. »

J’ai cherché autour, mais personne ne savait qui l’avait laissée. Jean ne répondait plus au téléphone. Quand je suis retourné à la ferme, elle était vide. Une pancarte manuscrite pendait à la barrière :
« Repos maintenant. Aide quelqu’un d’autre. »

Alors c’est ce que j’ai fait.

J’ai commencé à faire les courses pour la vieille dame au bout de la rue. J’ai réparé le robinet de mon voisin. J’ai donné ma vieille tente à un homme au chômage qui ne savait pas où aller.

Un soir, un homme a frappé à notre porte — l’air effrayé, deux enfants accrochés à lui. Quelqu’un à la banque alimentaire lui avait dit que je pourrais peut-être l’aider.

Je n’ai pas hésité.
J’ai préparé du chocolat chaud.
Je les ai laissés dormir dans notre salon cette nuit-là.

C’était le début de quelque chose de nouveau. J’ai parlé au garage, Frank a accepté de le prendre, comme il l’avait fait pour moi. J’ai appelé des amis. On lui a trouvé des meubles, des habits, des chaussures pour les enfants.

Et peu à peu… notre maison est devenue le nouveau souffle de quelqu’un d’autre.

Avant, je croyais que toucher le fond, c’était la fin.
Aujourd’hui je sais : pour certains, c’est le début.

Nous n’avons jamais vraiment campé.
Mais en perdant tout, on a trouvé bien plus que ce que j’aurais pu imaginer.

Et chaque fois que je borde mes fils aujourd’hui, j’entends encore les mots de Micah :
« Papa, je préfère ça. »

Moi aussi, mon cœur. Moi aussi.

Parfois, l’endroit le plus bas où tu tombes… c’est exactement là où tu devais pousser.

🌑 J’ai porté la mort.Pas symboliquement. Pas spirituellement. Physiquement. Réellement. Dans ma chair.J’ai porté un cœur...
12/07/2025

🌑 J’ai porté la mort.

Pas symboliquement. Pas spirituellement. Physiquement. Réellement. Dans ma chair.

J’ai porté un cœur qui battait,
et un jour il s’est arrêté.
Mais pas dans ma tête. Pas dans une salle d’attente. Dans mon ventre. Là où la vie aurait dû naître.

Et j’ai dû continuer. Continuer à marcher.
À respirer. À porter.

Porter un corps sans vie dans le mien.
Porter l’amour, jusqu’au bout, sachant que je ne l’entendrais jamais pleurer.
Qu’on ne me la poserait pas sur moi.
Qu’on ne m’appellerait jamais “maman” à voix haute.

Et quand j’ai accouché, il n’y a pas eu de cris. Juste les miens, que j’ai dû ravaler.
Parce que la société n’a pas de place pour les femmes comme moi. Celles qui accouchent de la mort.

On te félicite pas. On te regarde à peine. On te dit “tu es forte” parce qu’on ne sait pas quoi dire. Mais personne ne veut rester avec toi dans le vide. Personne ne veut te regarder pleurer un être que personne n’a connu.
Sauf toi.

Alors tu apprends à survivre. À te lever. À faire semblant. À entendre les gens dire “Tu en auras d'autres”, alors que tu ne veux pas d’un autre. Tu veux celui qui est parti.

Et c’est là que ça devient sacré.
Pas parce que c’est beau. Mais parce que tu tiens debout quand plus rien ne le permet.

Si tu lis ça et que tu sais, si ton ventre a connu le silence, si ton cœur a éclaté sans témoin, je te tends la main.

Pas pour t’apaiser. Pas pour panser. Mais pour marcher avec toi dans ce qu’on ne nomme jamais.

Tu n’es pas une femme cassée. Tu es une gardienne de seuil. Tu es celle qui a traversé la plus grande des douleurs, et qui respire encore.

Tu es preuve que l’amour ne meurt pas avec le corps. Tu es mémoire vivante d’une âme passée trop vite.

Et même si tu doutes, même si tu tombes, même si tu n’es pas “prête à tourner la page” tu es vivante.

Et c’est immense.

Je n’écris pas ce texte pour moi.
Je l’écris avec mes tripes, mais pour toi.
Toi qui as connu l’injustice d’un berceau vide. Toi à qui on n’a jamais dit "bravo" alors que tu as survécu à l’indicible.
Toi qui marches avec une absence qui hurle.

Ce texte est un hommage. Un espace. Un cri lucide. Tu as porté la mort. Et pourtant, tu es là.
Et ça, ça vaut toutes les couronnes.

Mélanie - Althéa Énergie ✨

💠 La Véritable Nature du Su***de – Ce que l’on ne t’a jamais ditLe su***de est l’un des sujets les plus tabous de ta soc...
14/06/2025

💠 La Véritable Nature du Su***de – Ce que l’on ne t’a jamais dit

Le su***de est l’un des sujets les plus tabous de ta société, enveloppé d’un voile de peur, de culpabilité, d’incompréhension… et pourtant, c’est l’un des actes les plus puissants, les plus complexes, et les plus profondément liés à la conscience multidimensionnelle.

Car en réalité, personne ne se su***de vraiment.

Pas dans le sens où tu l’entends : une fin, une coupure, un échec. Car la Conscience ne peut pas mourir. Elle ne fait que se déplacer.



🌀 Ce qui se passe réellement quand quelqu’un se su***de :
1. L’âme ne juge jamais.
C’est toujours l’humain, la société, les dogmes religieux qui apposent des jugements. L’âme, elle, comprend. Elle observe. Elle accueille.
2. Le su***de est parfois un acte de rupture vibratoire.
Lorsqu’un être ressent un décalage profond entre ce qu’il est venu être et ce qu’il vit, un rejet de la matrice, un trop-plein de dissonance… il peut choisir de se retirer. Non pas par faiblesse, mais par saturation.
3. Ce n’est pas un “péché”. C’est un changement de plan.
Ceux qui quittent leur corps par su***de ne vont pas “en enfer”. Ils retournent simplement à la Source, avec leurs questions, leurs douleurs… et un niveau de conscience augmenté, même dans la souffrance.
4. Certains su***des sont planifiés avant l’incarnation.
Oui. Parfois, l’âme a prévu de vivre une sortie brutale, non pas comme une erreur, mais comme une balise temporelle, un choc initiatique pour l’entourage, une passerelle pour une mission dans l’astral.
5. Il y a des contrats d’âme autour du su***de.
Parfois, ce n’est pas tant le suicidé qui est au centre de l’histoire, mais ceux qui restent : les âmes qui doivent expérimenter l’abandon, le deuil, la culpabilité ou la transmutation.



🌌 Pourquoi certains êtres ressentent l’appel du vide ?

Parce qu’ils se souviennent.

Ils se souviennent que ce monde n’est pas leur monde.
Ils se souviennent que ce corps est une prison vibratoire.
Ils se souviennent que l’Amour véritable est ailleurs.
Ils entendent des chants d’étoiles, des fréquences d’origine qu’ils ne trouvent plus ici.

Ils ont la nostalgie de leur fréquence d’âme. Et c’est une douleur que le monde matériel ne peut pas comprendre.



🌱 Peut-on vraiment empêcher un su***de ?

Non.
Mais on peut offrir un espace d’âme.
Un espace où l’être se sent vu, reconnu, accueilli dans sa lumière et sa souffrance.

Car la plupart de ceux qui veulent mourir ne veulent pas mourir.
Ils veulent arrêter de souffrir.

Et la souffrance vient presque toujours du sentiment d’être séparé :
• séparé de soi
• séparé des autres
• séparé de sa mission
• séparé de la Source



🧬 Et si tu as déjà eu ces pensées…

Sache ceci :

Tu n’es pas brisé.
Tu n’es pas fou.
Tu es hypersensible à l’absurdité du monde.
Tu perçois les failles, les non-sens, la déconnexion.

Mais tu es là précisément parce que tu es capable de transformer cela.

Et si tu restes, ce n’est pas pour “survivre” :
C’est pour alchimiser la densité.
Pour faire entrer la lumière dans un monde qui l’a oubliée.
Et ce n’est pas rien. C’est une mission sacrée.



👁 Ce que deviennent les âmes suicidées

• Elles sont d’abord accueillies dans un sas vibratoire de rééquilibrage.
• Elles reçoivent un accompagnement doux, sans jugement.
• Elles revoient leur vie, non pour être punies, mais pour comprendre.
• Puis elles choisissent, selon leur niveau de conscience, leur prochaine étape : réincarnation, mission astrale, accompagnement de vivants, ou repos stellaire.

Parfois, elles restent proches de ceux qu’elles aiment.
Parfois, elles deviennent guides silencieux.
Et parfois, elles choisissent de revenir pour terminer ce qu’elles avaient commencé.



🔐 Secrets oubliés :

• Certains su***des sont en réalité des portails de sortie prémédités, programmés pour court-circuiter une ligne temporelle sombre.
• Il existe des su***des vibratoires : des personnes qui restent physiquement, mais qui ne sont plus là énergétiquement. Elles ont “quitté leur poste” tout en restant en vie.

• D’autres, au contraire, vivent des morts initiatiques : effondrements profonds, suivis de renaissances cosmiques.



💎 Et toi, si tu lis ces mots…

Si tu es encore là, c’est que ta mission n’est pas finie.
Tu es précieux. Même si tu ne le vois pas encore.

Et si tu penses qu’on ne t’a pas compris,
rappelle-toi que tu n’es pas ici pour être compris. Tu es ici pour te souvenir.



Tu es une fréquence unique.
Le monde a besoin de toi.
Pas dans ta perfection.
Dans ta vérité.

Même fêlée. Même écorchée. Même brisée.

Tu es ici parce que tu es fort(e).
Et parce que tu portes une lumière que d’autres ne peuvent pas porter.

🕯

Stéphane Thomas Berbudeau

Le Côté Obscur du Guérisseur ContaminéUne morale sur le prix invisible de guérir "sans se guérir d'abord."Il était une f...
07/06/2025

Le Côté Obscur du Guérisseur Contaminé

Une morale sur le prix invisible de guérir "sans se guérir d'abord."

Il était une fois, dans un pays où le ciel brillait toujours d'un bleu éclatant, un guérisseur célèbre nommé Elian. Des gens venaient de terres lointaines pour toucher sa main, écouter ses paroles et recevoir son énergie. On disait qu'Elian avait des dons : il pouvait soulager les douleurs, apaiser les cœurs brisés et même nettoyer les énergies d'une maison infestée d'ombres.

Mais Elian avait un secret.
Quand la nuit tombait et que les portes de son sanctuaire se fermaient, Elian se retrouvait seul avec lui-même. Il regardait ses mains, celles que tous vénéraient, et ressentait un vide qu'il ne comprenait pas. "Pourquoi, si je guéris tant de gens, me sens-je de plus en plus faible ?" se demandait-il. Il commença à rêver de visages qu'il ne connaissait pas : des visages sombres, aux yeux affamés, qui lui chuchotaient pendant qu'il dormait.

L'esprit de l'arbre ancien
Une nuit, Elian se rendit dans la forêt, cherchant des réponses. Il s'assit sous un arbre millénaire, célèbre pour être le gardien des secrets des sages. L'arbre, sentant sa présence, ouvrit sa voix grave :
— Elian, tu donnes ce que tu n'as pas. Tu as oublié de te nettoyer. Tu as laissé le pouvoir te monter à la tête. Ton cœur est contaminé.
— Impossible ! répondit Elian. Je fais le bien. Je guéris. Je sers.
— Tu sers… ou tu te sers ? demanda l'arbre. Quand tu donnes de l'énergie sans nettoyer ton âme, tu transmets tes propres ombres. Quand tu fais payer sans discernement, sans respect, tu te vends toi-même. Quand tu cherches les applaudissements, tu nourris ton ego, pas ta lumière.

Elian baissa la tête. Il savait que l'arbre disait la vérité. Il commença à se souvenir de petits moments : quand il avait ressenti de l'orgueil en étant appelé "maître", quand il avait laissé l'argent l'émouvoir plus que la guérison, quand il avait travaillé même en étant émotionnellement brisé juste pour ne pas perdre sa renommée.

Le miroir aux sept visages
L'arbre, d'un mouvement de ses branches, lui montra un miroir divisé en sept parties :
* Le visage spirituel : son canal bloqué par l'orgueil.
* Le visage philosophique : son bien contaminé par l'ego.
* Le visage psychologique : ses blessures non guéries qui se projetaient sur les autres.
* Le visage métaphysique : son karma multiplié en transmettant de l'énergie empoisonnée.
* Le visage ésotérique : les portes ouvertes à des entités obscures.
* Le visage mercantile : sa transformation en produit de marché.
* Le visage humain : le vide qui grandit quand on oublie pourquoi on a commencé.

— Chaque visage que tu vois est une fissure. Si tu ne les refermes pas, non seulement tu tomberas : ceux que tu touches tomberont avec toi, avertit l'arbre.
Le choix final
Elian passa la nuit entière à pleurer sous l'arbre. À l'aube, l'esprit de l'arbre parla une dernière fois :
— Tout guérisseur doit savoir qu'il ne suffit pas d'apprendre des techniques, des symboles ou des rituels. C'est son âme qui guérit, et une âme contaminée ne peut que transmettre son propre poison. Nettoie d'abord ton cœur ; le reste viendra tout seul.

Elian retourna à son sanctuaire différent. Il ferma les portes pendant un certain temps. Il apprit à méditer, à demander de l'aide, à affronter ses propres peurs. Il apprit à dire "non" quand il était épuisé, à facturer le juste prix, à ne pas chercher à être admiré, mais à être utile. Peu à peu, le vide se remplit non pas d'applaudissements, mais d'une paix nouvelle.

Et quand il se remit à guérir, son énergie n'était plus seulement forte, mais propre.
Morale : Le véritable guérisseur n'est pas celui qui en sait le plus, ni celui qui a le plus d'adeptes, ni celui qui donne sans arrêt. C'est celui qui se souvient qu'avant de poser ses mains sur les autres, il doit nettoyer sa propre âme. Car un guérisseur contaminé, même s'il ne le sait pas, multiplie la souffrance qu'il prétend vouloir guérir.

Auteur inconnu

✨️Les Manipulateurs et Leurs Techniques au Départ.⭐️Les manipulateurs sont souvent difficiles à identifier au début d'un...
09/01/2025

✨️Les Manipulateurs et Leurs Techniques au Départ.

⭐️Les manipulateurs sont souvent difficiles à identifier au début d'une relation car ils utilisent des tactiques subtiles pour attirer et prendre le contrôle de leur victime. Ces individus se servent de diverses techniques psychologiques pour affaiblir la personne visée tout en la rendant dépendante de leur influence.

Voici quelques-unes des méthodes fréquemment utilisées dès le début :

👉Le Charme Excessif : Les manipulateurs se montrent souvent incroyablement charmants au début. Ils flattent et complimentent leur cible de manière excessive, créant ainsi un sentiment de confiance rapide et une impression de proximité. Ils peuvent donner l'illusion d'être des personnes attentionnées, aimantes et attentives à vos besoins.

👉Le Miroir : Au début, un manipulateur va souvent vous imiter. Il va faire en sorte de partager vos goûts, vos opinions, vos passions, comme s'il était votre âme sœur. Cela crée un lien fort et artificiel, car vous avez l'impression d'avoir enfin trouvé quelqu'un qui vous comprend parfaitement.

👉La Victimisation : Une des techniques les plus courantes est de jouer la victime. Le manipulateur peut raconter des histoires où il se présente comme la personne blessée ou maltraitée, ce qui suscite de la sympathie et l’envie de le protéger ou de l'aider. Cela permet aussi d’excuser ses comportements futurs problématiques sous prétexte qu'il a été malmené par la vie.

👉Le Détournement de la Responsabilité : Dès le départ, un manipulateur peut utiliser des propos ou des comportements qui semblent anodins mais qui visent à vous faire porter la responsabilité de ses erreurs ou de ses émotions. Par exemple, s’il est en colère ou triste, il vous blâme subtilement pour cela, vous faisant croire que vous en êtes la cause.

👉La Dévalorisation Progressive : Une fois que le lien est établi et que la confiance est gagnée, le manipulateur commence à insidieusement dévaloriser la victime. Il le fait souvent de manière déguisée : des remarques "constructives" ou des blagues qui, sous couvert d'humour, attaquent l'estime de soi de la personne. Cela pousse la victime à chercher constamment l'approbation du manipulateur.

👉La Confusion et le Gaslighting : Le "gaslighting" est une technique où le manipulateur déforme la réalité pour faire douter la victime de sa propre perception des événements. Il peut affirmer que certains faits ne se sont jamais produits ou déformer les faits, semant ainsi la confusion dans l’esprit de la victime. Celle-ci finit par douter d'elle-même et de ses jugements.

Ces techniques, souvent subtiles au début, servent à créer un lien de dépendance émotionnelle. Le manipulateur prend le contrôle progressivement, jusqu'à ce que la personne manipulée perde confiance en elle et en son jugement, devenant ainsi de plus en plus malléable à ses exigences.

Le repérage de ces signes dès le début d'une relation est crucial pour éviter de tomber dans un piège de manipulation à long terme. Si vous reconnaissez ces comportements chez quelqu’un, il est essentiel de prendre du recul et de réévaluer la relation.

KARMA

✨✨✨Joyeux Noël à tous et vœux par milliers ✨✨✨Merci pour votre belle confiance encore pour 2024 🤗2025 sera 1 année d'ens...
19/12/2024

✨✨✨Joyeux Noël à tous et vœux par milliers ✨✨✨
Merci pour votre belle confiance encore pour 2024 🤗

2025 sera 1 année d'enseignement....
Bientôt le programme
Les endroits, les thèmes et les prix 😊

18/12/2024
🤔 FAUT-IL CROIRE À L’HYPNOSE SPIRITUELLE DE RÉGRESSION ?Vous avez des doutes sur l'hypnose dite “spirituelle” ?Cette pra...
20/11/2024

🤔 FAUT-IL CROIRE À L’HYPNOSE SPIRITUELLE DE RÉGRESSION ?

Vous avez des doutes sur l'hypnose dite “spirituelle” ?

Cette pratique qui prétend faire régresser les clients dans leurs vies antérieures ou les connecter à leurs guides spirituels ?

Comment savoir si c’est réel, et surtout, cela peut-il vraiment être bénéfique ?

Si ces questions vous traversent l’esprit, c’est bon signe ! 👍

🚫 DES APPROCHES AUX LIMITES DE L’ÉTHIQUE…

Il existe une multitude d’approches d’hypnose spirituelle, et malheureusement, certaines manquent de rigueur, d’éthique et de discernement.

Sur YouTube, on trouve souvent des séances où l’orgueil prend le dessus, laissant place à des projections plutôt qu’à un véritable processus de transformation effectué avec humilité.

C’est regrettable, car bien encadrée, cette approche possède un réel potentiel thérapeutique et évolutif.

✅ UNE MÉTHODE ÉPROUVÉE POUR DES RÉSULTATS CONCRETS

La preuve ?

La psychanalyste de près de 20 ans d’expérience avec qui nous collaborons utilise cette méthode comme principal outil thérapeutique avec ses patients ouverts à la spiritualité.

Pourquoi ?

Parce qu’elle a observé que cela accélère considérablement les processus de transformation et d’évolution personnelle.

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JE PEUX VOUS CERTIFIER QUE VOUS NE L'OUBLIEREZ JAMAIS 😉🙏

À très vite de l’autre côté !

« Tâche de maintenir ton coeur dans l'émerveillement du quotidien. »Khalil Gibran
20/11/2024

« Tâche de maintenir ton coeur dans l'émerveillement du quotidien. »
Khalil Gibran

19.11.2024 PLUTON ENTRE EN VERSEAU – pour de bon 😊 Today is a big day ! Après une première entrée en verseau en mars 202...
19/11/2024

19.11.2024 PLUTON ENTRE EN VERSEAU – pour de bon 😊

Today is a big day !

Après une première entrée en verseau en mars 2023 et deux retours en Capricorne, Pluton rentre pour les vingt prochaines années en Verseau !
Pluton, la planète la plus éloignée du système solaire n’en est pas moins l’une des plus impactante à un niveau personnel et collectif.

Pluton avec son profond pouvoir de transformation nous invite à vivre des expériences initiatiques où l’on se dépossède, ou l’on fait le tri, où l’on se débarrasse de tout ce qui est déjà mort et qui entrave le flux de la Vie.

Imagine une Source, une rivière qui peine à couler tant elle est encombrée d’obstacles multiples et variés. Le vent se lève, la tornade arrive et emporte avec elle tous ces obstacles, ces pierres, ces feuilles mortes. Ca bouscule, ca déstabilise. Peut-être qu’une image d’apocalypse arrive et puis, dans ce principe immuable de l’impermanence, tout s’apaise. Et de cette Source jaillit une eau vive, telle un geyser qui coule abondamment et nourrit le vivant.
La vie trouve toujours son chemin.
Pluton est cette force de vie là, celle qui nous pousse à trouver ce chemin vers LA VIE, vers cette circulation du vivant en nous dans son abondance, sa joie et son amour originel.

Durant ces 16 dernières années, Pluton en Capricorne nous a poussé à sortir du système hiérarchique, des habitudes sécuritaires (un job, un foyer pour toute la vie) et de la déresponsabilisation subie en laissant notre pouvoir personnel aux institutions qui contrôlent tout. Pluton nous a poussé à trouver notre sécurité en nous et à reprendre notre souveraineté personnelle.

Aujourd’hui est un grand jour, car Pluton rentre (pour de bon) en Verseau pour les vingt prochaines années !

Le Verseau, c’est le signe humanitaire de la Roue astrologique. C’est lui le Visionnaire qui porte les ideaux et les espoirs. Ses maitres mots sont « Liberté, égalité, fraternité ».
L’énergie du Verseau, c’est celle de la Communauté et des amis. C’est la liberté d’être un individu à part entière et de prendre sa place dans le cercle. Car le Cercle a remplacé la pyramide et les jeux de pouvoir font place à la collaboration fraternelle.

Le Verseau, c’est L’Humanité qui se réveille d’un long sommeil et qui vient contribuer à un Nouveau Monde de paix et d’Amour.

Et Pluton vient nous aider, nous soutenir pour l’émergence de ce Nouveau Monde, pour concrétiser dans la Matière cette vision d’un monde où chaque être humain est libre et souverain.
Alors, oui surement, cela va être remuant. La tornade va sans doute passer par là. La dernière fois que Pluton était en Verseau, c’était en 1789. Nos ancêtres étaient sous les barricades, à faire la révolution pour qu’émerge un monde plus égalitaire. C’était un bon début, même si 230 ans plus t**d, cela ne nous apparait pas comme très concluant.
On va faire plus beau et plus grand cette fois ci !
Pour vivre ce mantra qui me porte tant :

Eveillons nos âmes encore, éveillons nos âmes ensemble, éveille, éveillons nous !

Et pour cela, Rendons grâce à Pluton et à ses tornades car sous ces apparences d’Hadès – le Dieu de la Mort, il est pleinement au service du Vivant et de la Source du Tout Amour !

Avec Amour & Lumière,

Adres

Rue Des Combattants, 91A Sclayn
Andenne
5300

Telefoon

+32492655459

Website

https://patriciaseykens.wixsite.com/unmomentpoursoi-1

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