Trans-Humance

  • Home
  • Trans-Humance

Trans-Humance Facilitatrice en Constellations Familliales đŸ’«
ThĂ©rapies crĂ©atives.🎹
CrĂ©atrice de bijoux sens et objets đŸ’ïżŒ

Bonjour Ă  tous,Beaucoup d’entre vous me demandent souvent : « Mais qu’est-ce que c’est, au fond, les constellations fami...
22/09/2025

Bonjour Ă  tous,

Beaucoup d’entre vous me demandent souvent : « Mais qu’est-ce que c’est, au fond, les constellations familiales ? » đŸ’«âœš

Pour rĂ©pondre de façon simple et imagĂ©e, je vous invite Ă  dĂ©couvrir un film disponible sur Netflix qui illustre magnifiquement la psychogĂ©nĂ©alogie transgĂ©nĂ©rationnelle. C’est une maniĂšre trĂšs accessible de saisir ( EN PARTIE) en images ce que nous explorons en sĂ©ance et tout ce qui se joue dans une dynamique.
đŸ™Â« Les chemins de l'olivier » 🙏 est une sĂ©rie diffusĂ©e sur Netflix

Bon visionnage đŸŽ„
À vite
Jennifer pour Trans-humance

🍭Un bonbon chaque jour 🍭Dans deux jours, je prends la route de Compostelle.đŸ„łđŸ„łLe sac Ă  dos se prĂ©pare, piĂšce par piĂšce. L...
05/07/2025

🍭Un bonbon chaque jour 🍭

Dans deux jours, je prends la route de Compostelle.đŸ„łđŸ„ł
Le sac Ă  dos se prĂ©pare, piĂšce par piĂšce. L’essentiel, oui. Mais aussi un peu d’invisible.

Parmi les objets glissĂ©s Ă  l’intĂ©rieur
 il y aura des bonbons.đŸ­đŸŹđŸ„°đŸ˜‹đŸ‘…

Pas pour l’effort.
Mais pour la mémoire.

🍬 Chaque jour, un bonbon.

🎁Chaque jour, un souvenir d’enfance.🎁

Un goût, une image, un instant qui revient.
Je marcherai vers demain, tout en goĂ»tant Ă  ce qui m’a fondĂ©e.đŸ—ïžđŸ§±

Une maniĂšre douce, intime, d’emmener avec moi celle que j’étais.â€ïžđŸ’›đŸ©·đŸ§ĄđŸ©”đŸ’šđŸ’œ

👉 Suivez-moi si vous avez envie de dĂ©couvrir cette traversĂ©e, un pas et un souvenir Ă  la fois.

À vite
Jen pour Trans-humance

🌿 Je me prĂ©pare. Je marche. Je me forme Ă  accompagner.Depuis plusieurs mois, je suis engagĂ©e dans une formation approfon...
10/06/2025

🌿 Je me prĂ©pare. Je marche. Je me forme Ă  accompagner.

Depuis plusieurs mois, je suis engagée dans une formation approfondie en constellations familiales et en approche systémique appliquée aux dynamiques relationnelles et transgénérationnelles.

Mais cette formation ne se fait pas seulement dans des livres ou des cercles de parole.
Elle se fait aussi dans la vie. Dans le corps. Dans la relation. Dans le mouvement.

🎒 Le 7 juillet, je pars vivre une expĂ©rience intĂ©rieure.
Avec ma famille, nous marcherons une portion de la Via di San Francesco, à pied, depuis Assise jusqu’à Rome, en 14 jours.

Oui, Ă  pied jusqu’à Rome !! đŸ›ïžđŸ‡źđŸ‡č
Avec un sac Ă  dos chacun, contenant le strict minimum :

⛔2 culottes, 2 paires de chaussettes, 2 paires de chaussures, 2 t-shirts, 2 shorts, 1 brosse Ă  dents, 1 savon, 1 gourde, 1 pyjama, 1 boĂźte Ă  pharmacie ïżŒet mon carnet de bord.
Rien de plus.
AllĂ©ger le corps pour laisser la place Ă  l’essentiel.
Se dépouiller aussi, intérieurement.
Marcher vers l’inconnu, sans superflu.

Ce sera une marche lente, engagée, parfois difficile, physique, rugueuse.
Mais aussi profondément vivante.
Une traversĂ©e offerte Ă  ce qui, en moi, demande Ă  s’affiner, Ă  s’aligner, Ă  se relier.

Et rien que cela, dĂ©jĂ , c’est une constellation en mouvement.

✹ Cette marche n’est pas un dĂ©tour.
Elle est une étape. Une mise à nu.
Un temps pour Ă©prouver, non pas ce que je “sais”, mais ce que je suis prĂȘte Ă  habiter, dans la posture d’accompagnante.
Je marche pour incarner ce que j’enseignerai.
Pour que mes futures constellations soient enracinées, traversées, vivantes.
Pour que mes objets rituels et futurs ateliers de céramique portent la mémoire du chemin.
Et que mes gestes soient habitĂ©s d’expĂ©rience, pas seulement d’intention.

đŸŒ» Ce chemin nourrira TRANS-HUMANCE.
Dans le silence, dans les tensions, dans les rencontres aussi.

📌 Pendant ces 14 jours, je partagerai un peu de ce que la route me souffle :
les doutes du matin, les silences du soir, les visages croisés, les douleurs acceptées, les émerveillements inattendus.
Je ne publierai pas pour “raconter”, mais pour vous emmener un peu avec moi, lĂ  oĂč on perd ses repĂšres, lĂ  oĂč quelque chose en soi se remet Ă  respirer.

đŸ“· Ce ne sera pas un reportage.
Ce sera un fil fragile, sincĂšre.
Comme un carnet de bord intérieur.
Une marche oĂč chacun pourra, peut-ĂȘtre, retrouver un bout de son propre chemin.

đŸ›ŽïžđŸ›ŽïžCe ne sera pas beau. Ce ne sera pas grandiose.
Ce sera rĂ©el. Et peut-ĂȘtre
 ça parlera aussi de vous.đŸ›ŽïžđŸ›Žïž

💬 Et vous

Quel serait pour vous ce chemin symbolique Ă  parcourir ?
Qu’auriez-vous besoin de dĂ©poser, ou de retrouver, Ă  force de pas ?

À vite
Jennifer pour TRANS-HUMANCE

✹GuĂ©rison Familliales ✚« ïżŒAvant de vous parler concrĂštement de ce qu’est une Constellation Familiale, j’aimerais vous ra...
16/05/2025

✹GuĂ©rison Familliales ✹

« ïżŒAvant de vous parler concrĂštement de ce qu’est une Constellation Familiale, j’aimerais vous raconter l’histoire de Gustave
 Une histoire personnelle, profonde, qui m’a permis de comprendre Ă  quel point nos blessures familiales peuvent traverser les gĂ©nĂ©rations sans qu’on en ait conscience.”

Pour clore en partie ce voyage intĂ©rieur, j’ai façonnĂ© une couronne de deuil ïżŒen porcelaine que j’ai fait cuire chez une cĂ©ramiste ,ïżŒsymbole de mĂ©moire et de paix. Ce geste artisanal m’a permis d’honorer Gustave et de poser un acte de rĂ©conciliation avec mon passĂ©. ïżŒ

ïżŒâ™„ïžGustave.
L’enfant de la Meuse.
L’enfant de mon sang.

Il s’appelait Gustave Leclercq.
Il avait 14 ans.
Un fils, un frÚre, un élÚve.
Et un jour glacial de fĂ©vrier 1870, la Meuse l’a pris.

Je l’ai entendu pour la premiùre fois à neuf ans.
Un bruit de couloir. Un secret soufflé sans suite.
« c’est le petit qui saitïżŒ noyĂ©. »
On disait qu’il avait six ans.
Mais les souvenirs étaient flous, fragmentés.
Et moi, ce nom ne m’a jamais quittĂ©e.

Il a planté une graine.
Et j’ai voulu comprendre.
Pourquoi ? Comment ? OĂč ? À cause de quoi ?
Je n’ai pas lĂąchĂ©.

J’ai fouillĂ©. Longtemps.
J’ai Ă©pluchĂ© les archives, les actes, les journaux, les cartes.
Et peu Ă  peu, les piĂšces du puzzle ont pris place.

Ce que j’ai dĂ©couvert m’a bouleversĂ©e.
Gustave avait Ă©tĂ© renvoyĂ© de l’école pour un simple re**rd.
Ce jour-lĂ , il n’est pas rentrĂ© chez lui.
Il est allé jouer au bord de la Meuse.
On a retrouvé son cartable posé sur la berge.

Plus t**d, en retraçant les archives, j’ai retrouvĂ© l’adresse exacte de son domicile et l’école qu’il frĂ©quentait.
Alors j’ai calculĂ©.
À pied, dans le froid de fĂ©vrier, il lui fallait environ une demi-heure de marche pour rejoindre sa classe.
Et Ă  cette Ă©poque, il n’y avait ni gants chauffants, ni manteaux doublĂ©s, ni bus scolaires.
Seulement le vent, la boue, le gel sur les doigts d’un petit garçon qui avançait seul.

Je l’imagine

Les joues rougies par le froid.
Les mains gelées.
Le souffle qui sortait en vapeur blanche.
Son cartable bien serré contre lui.
Peut-ĂȘtre une miche de pain dans la poche.
Et malgrĂ© tout ça
 il arrive.
Il arrive Ă  l’école.

Et c’est là que mon cƓur se serre.
Car ce qui me déchire le plus

C’est d’avoir imaginĂ© tout ce chemin parcouru dans le froid,
avec l’espoir de pouvoir, enfin, se rĂ©chauffer un peu.
Entrer dans une piĂšce plus chaude,
entendre des voix humaines,
sentir que la journée pouvait commencer malgré la fatigue.

Mais non.
Il a été renvoyé.
Il a dĂ» repartir dehors.
Encore une fois seul, transi, puni.

Et puis
 la Meuse.
On ne saura jamais s’il a glissĂ©, s’il a jouĂ© trop prĂšs du bord, s’il a Ă©tĂ© poussĂ©.
Mais ce que je sais, c’est que ce jour-là, il n’avait pas beaucoup de chances.
L’eau de la Meuse en fĂ©vrier est glaciale.
À cette tempĂ©rature, il faut Ă  peine quelques minutes pour que les membres se tĂ©tanisent.
Le corps cesse de répondre.
Impossible de se débattre.
La panique s’installe.
Le cƓur s’accĂ©lĂšre.
Et dans le bruit assourdissant de l’eau trouble,
commence l’engloutissement.
Un silence intérieur.
Un cri que personne n’entend.
Un enfant qui se noie dans l’indiffĂ©rence d’un monde trop froid.

Un jour, durant des vacances, j’ai participĂ© Ă  une journĂ©e de canyoning.
Je me suis lancĂ©e dans l’eau d’un saut.
J’ai ouvert les yeux sous l’eau.
L’eau Ă©tait trouble. FoncĂ©e. InquiĂ©tante.
Et là

La panique.
Mon souffle s’est coupĂ©.
Je suis remontée à la surface, haletante, prise dans une peur viscérale.
Mon mari est venu prĂšs de moi.
Il m’a dit doucement :
« Calme-toi. »
Mais je tremblais.
Je pleurais.
Et j’ai murmurĂ©, sans comprendre pourquoi :
« Je me noyais
 je me noyais
 C’est encore l’histoire de Gustave. Il est lĂ . »

Je le sentais.
Comme un fantÎme plus petit que moi, tout contre mon épaule.
Il murmurait doucement Ă  mon oreille :
« Raconte mon histoire. Cette douleur doit ĂȘtre rĂ©parĂ©e. Tu es la seule Ă  pouvoir m’aider. »

Et il avait raison.

L’an dernier, nous avons dĂ©mĂ©nagĂ©.
Nous avons inscrit notre fils dans une Ă©cole
 juste en face de la Meuse (coĂŻncidence ?)ïżŒ
Comme Gustave.
Et cette annĂ©e-lĂ , mon fils avait exactement le mĂȘme Ăąge que Gustave.
Et moi, l’ñge du pĂšre de Gustave quand il a dĂ» enterrer son enfant et dĂ©clarer son dĂ©cĂšs Ă  la Commune.ïżŒ

Quelques jours avant de retrouver l’article de journal, je passais des nuits terribles.
Je me rĂ©veillais avec une tristesse immense, sans savoir d’oĂč elle venait.
Je répétais à mon fils :
« Ne va pas prĂšs de la Meuse en sortant de l’école. Rentre vite. »
Je me fĂąchais.
Je ne comprenais pas pourquoi.

Puis, une nuit, j’ai ouvert ma boüte d’archives.
Et j’ai vu la date.
Nous Ă©tions Ă  deux jours prĂšs de l’anniversaire de la mort de Gustave.

C’était une mĂ©moire.
Une onde.
Un cri qu’on n’avait jamais entendu.

Cette nuit-lĂ , j’ai retrouvĂ© l’article.
Et quand j’ai lu les mots, j’ai su.
Et j’ai pleurĂ©.
Pas seulement comme moi.
Mais comme sa mĂšre.
J’ai senti sa douleur me traverser, vive, dĂ©chirante.

J’ai pleurĂ© un enfant qui n’était pas le mien,
mais dont l’histoire Ă©tait ancrĂ©e dans mon sang.

J’ai senti son pĂšre, droit, tremblant, obligĂ© d’avancer,
de signer un acte, d’ĂȘtre fort.
Parce que les temps étaient durs,
et que la douleur ne pouvait pas prendre trop de place.

J’ai aussi compris pourquoi je n’ai jamais aimĂ© le carnaval.
Il tombait toujours en février.
Mais dans ma lignĂ©e, fĂ©vrier, c’était le mois du deuil.

Et puis, j’ai dĂ©couvert comment on honorait les morts en 1870.
Le corps était posé sur la table à manger.
Les voisins venaient, apportaient Ă  manger.
On priait. On veillait.
Des bougies. Des fleurs de lys.
Pas seulement pour la beauté.
Mais aussi pour masquer l’odeur du corps qui commençait Ă  se dĂ©composer.

Et ces priÚres, ces veillées, elles duraient souvent une semaine entiÚre.
Plusieurs fois par jour.
On priait avec ferveur, ensemble, en silence ou en larmes.
Pas seulement pour accompagner le défunt.
Mais aussi pour s’assurer qu’il trouve la paix.
Qu’il ne revienne pas hanter les vivants.
Parce que dans ces croyances anciennes, si le deuil n’était pas fait correctement,
si les Ăąmes n’étaient pas apaisĂ©es,
elles pouvaient revenir.
Errer. S’accrocher.

C’était profondĂ©ment spirituel.
Un mélange de peur, de respect et de foi.
Une maniùre de garder le lien avec l’invisible,
tout en protégeant ceux qui restent.

Ma plus grande dĂ©ception, c’est de ne pas avoir de photo de lui.
Mais j’ai la chance d’avoir un portrait de ses frùres, de ses sƓurs, de ses parents.
Souvent, je l’imagine.
Et parfois, avant de m’endormir, je lui demande de venir me voir dans mes rĂȘves.

Parce que les histoires de famille, qu’elles soient joyeuses ou dramatiques,
contiennent des pépites.
Elles nous façonnent.
Elles nous traversent.
Elles nous expliquent.

Aujourd’hui, Gustave repose dans le caveau familial.
Il en a été le premier occupant.
Il a retrouvé sa place.
Et moi, je l’ai rĂ©intĂ©grĂ© dans mon arbre gĂ©nĂ©alogique.
Il ne sera plus jamais une rumeur.
Ni une absence.
Il est un nom. Une vie. Une douleur.
Et surtout : une transmission.

Parce que cette histoire, mĂȘme si elle ne m’appartient pas directement,
elle vit dans mon souffle.
Elle palpite dans ma peau.
Elle me traverse.
Et aujourd’hui, je l’honore.
Pour lui.
Pour moi.
Pour ceux qui n’ont jamais Ă©tĂ© Ă©coutĂ©s.

Et peut-ĂȘtre

Pour vous, qui lisez, et sentez au fond de vous qu’il y a aussi,
dans votre lignée, une mémoire oubliée
qui attend qu’on lui rende sa voix.

Et aujourd’hui encore, quand je traverse le pont de la Meuse,
je ne peux m’empĂȘcher de m’arrĂȘter un instant.
De fermer les yeux.
De respirer profondément.
Et de murmurer tout bas :
« Je te vois, Gustave. Maintenant, j’ai entendu ton histoire. »

đŸ‘‰đŸŒ ïżŒïżŒ Avez-vous dĂ©jĂ  eu le sentiment que des schĂ©mas familiaux ou des non-dits influencent encore votre vie aujourd’hui ? đŸ„€

ïżŒSi vous avez aimĂ© mon histoire, ou si elle vous touche, n’hĂ©sitez pas Ă  partager la page de Trans-humance đŸ™ïżŒ

À vite ♄
Jennifer pour Trans-humance

"Trans-humance : un mot que vous avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  croisĂ© ici."Plus qu’un simple terme liĂ© Ă  la migration des troupeau...
28/04/2025

"Trans-humance : un mot que vous avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  croisĂ© ici."

Plus qu’un simple terme liĂ© Ă  la migration des troupeaux, Trans-humance est pour moi une mĂ©taphore profonde de nos chemins de vie : des passages, des Ă©volutions, des mouvements intĂ©rieurs qui nous conduisent vers d’autres espaces de nous-mĂȘmes.

Il y a un an, j’ai ressenti le besoin de m’éloigner du tumulte extĂ©rieur, des rĂ©seaux, du systĂšme pour mieux Ă©couter le murmure intĂ©rieur qui ce jouait en moi !!

Presqu'une année de silence apparent
 mais de profonde transformation.

Cette pĂ©riode m’a permis de me recentrer, de me nourrir de nouvelles pratiques, d’approfondir ma vision de ce que je souhaite partager avec vous, en cohĂ©rence avec ce que je suis devenue.

Aujourd’hui, je reviens, habitĂ©e d’une certitude nouvelle :

Nous sommes tous appelés à entreprendre, à notre rythme, une Trans-humance intérieure.

Comme les moutons qui migrent vers des terres plus fertiles, nous aussi traversons des saisons de transition, des changements de cap, des moments d’ajustement profonds oĂč il nous faut lĂącher l’ancien pour rejoindre ce qui nous appelle vraiment.

À travers cette exploration, j’ai compris que la psychogĂ©nĂ©alogie, les constellations familiales, la crĂ©ation de bijoux porteurs de sens, la cĂ©ramique intuitive et l’écriture inspirĂ©e sont autant de chemins puissants pour accompagner ces passages.

Des outils concrets pour comprendre d’oĂč nous venons, libĂ©rer ce qui pĂšse, honorer nos racines
 nos ancĂȘtres et enfin crĂ©er librement notre chemin Ă  partir de notre essence vĂ©ritable.

Mon souhait aujourd’hui est de vous accompagner dans vos propres Trans-humances intĂ©rieures par l’expression, par la conscience, par l’acte crĂ©atif et symbolique.

Merci Ă  vous qui ĂȘtes toujours lĂ , merci Ă  ceux qui arrivent maintenant.
Merci Ă  la vie pour ces cycles de silence et de renouveau.

La route continue
 et elle est plus belle quand elle est partagée.

Mes premiers espaces seront mis en place pour 2026, à mon rythme, mais dÚs aujourd'hui je partage avec vous mon chemin, mes découvertes et mon énergie.

A vite
Jennifer pour Trans-Humance

ïżŒïżŒïżŒïżŒ Bonjour,ïżŒIl n’y a rien de plus beau que ce que la nature nous offre, associĂ© ïżŒavec la porcelaine, celui-ci nous don...
22/12/2024

ïżŒïżŒïżŒïżŒ Bonjour,

ïżŒIl n’y a rien de plus beau que ce que la nature nous offre, associĂ© ïżŒavec la porcelaine, celui-ci nous donne un parfait mariage tout en dĂ©licatesse dont je suis tombĂ© follement amoureuse ♄

ïżŒïżŒA trĂšs vite.
Trans-Humance

‌FĂȘtes Saint Martin ‌J’ai l’immense plaisir de vous annoncer que j’exposerais lors des fĂȘtes Saint Martin !Merci Ă  Tan...
09/10/2023

‌FĂȘtes Saint Martin ‌

J’ai l’immense plaisir de vous annoncer que j’exposerais lors des fĂȘtes Saint Martin !

Merci Ă  Tannya Peters de m’avoir invitĂ© chez elle ♄
Je serais au numéro 69, rue de la liberté 4 à Tourinne-la-grosse

57es FĂȘtes de la Saint-Martin : du dimanche 5 au dimanche 26 novembre 2023, avec :
- vernissage des expos du parcours officiel d'art contemporain le samedi 4/11 (sur invitation)
- inauguration officielle le samedi 4/11 Ă  17h15 au Relais Saint-Martin
- et grand concert d'ouverture le samedi 4/11 Ă  20h

À dĂ©couvrir en novembre :

- Game Over, le parcours officiel d'art contemporain, commissaire : Rohan Graeffly,
- 230 artistes dans 100 lieux, quasi tous privés, tous les samedis et dimanches, de 13h à 18h, du 5 au 26 novembre;
- La Rose Blanche, un extraordinaire spectacle créé spécialement pour Tourinnes par Muriel Clairembourg. 70 acteurs, choristes et musiciens vous feront revivre l'histoire vraie de ces jeunes étudiants allemands qui, en 1942, ont osés se lever en Allemagne contre le régime n**i.

Découvrez dÚs à présent le programme complet sur tourinnes.be.

Billetterie en ligne pour le concert d'ouverture et pour le spectacle Ă  partir du 16 octobre sur tourinnes.be.

À bientĂŽt Ă  Tourinnes pour de nouveaux magnifiques moments de partage, de rencontres artistiques et de convivialitĂ©.

À partager sans modĂ©ration !

04/06/2023

Address


Opening Hours

Monday 09:00 - 17:00
Tuesday 09:00 - 17:00
Thursday 09:00 - 17:00
Friday 09:00 - 17:00

Telephone

+32476717460

Website

Alerts

Be the first to know and let us send you an email when Trans-Humance posts news and promotions. Your email address will not be used for any other purpose, and you can unsubscribe at any time.

Contact The Practice

Send a message to Trans-Humance:

  • Want your practice to be the top-listed Clinic?

Share

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram