Cécile Dossin - Thérapeute énergéticienne

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Cécile Dossin - Thérapeute énergéticienne Oeuvrons ensemble à intégrer plus de paix à votre quotidien.

NISAGARDATTA MAHARAJ : Contemplez la vie en la regardant comme infinie, non divisée, toujours présente et active jusqu'à...
29/07/2025

NISAGARDATTA MAHARAJ : Contemplez la vie en la regardant comme infinie, non divisée, toujours présente et active jusqu'à ce que vous réalisiez que vous êtes un avec elle.
Ce n'est pas très difficile car vous ne ferez que retourner à votre condition naturelle.
Quand vous aurez réalisé que tout vient de l'intérieur, que le monde dans lequel vous vivez n'a pas été projeté sur vous, mais par vous , votre peur cessera.
En l 'absence de cette réalisation, vous vous identifiez à ce qui est externe, comme le corps, le mental, la société, la nation, l'humanité.
Dieu même, l'Absolu, mais ce ne sont que des dérobades devant la peur.
Ce n'est que lorsque vous accepterez pleinement la responsabilité de ce petit monde dans lequel vous vivez et que vous examinerez le mécanisme de sa création, de sa préservation et de sa destruction que vous pourrez être libéré de votre esclavage imaginaire.

QUESTION : Pourquoi donc est ce que je m'imagine aussi misérable?

NISAGARDATTA MAHARAJ : Vous ne le faites que par habitude. Changez vos façons de sentir , de penser faites-en l'inventaire et examinez-les de près .

20/05/2025
« Attendez une seconde, je vérifie. »C’est une phrase que je dis souvent en séance.Ce que je fais à ce moment-là, c’est ...
19/05/2025

« Attendez une seconde, je vérifie. »

C’est une phrase que je dis souvent en séance.
Ce que je fais à ce moment-là, c’est que j’écoute.
J’écoute si ce que je viens de dire est juste.
Je vérifie, à ma manière, si c’est le bon moment, la bonne chose à dire.
Si c’est validé, disons, par quelque chose de plus grand que moi. C'est souvent une note qui me tombe dans l'oreille. Elle peut sonner juste, ou trop haute ou est trop effacée. Je sais alors si je dois ajuster mon discours et comment.

Parce que dans une séance, je peux ressentir mille choses ou au contraire ne rien ressentir du tout.
Je peux voir des images. Avoir des sensations.
Mais ce n’est pas parce que je les perçois qu’il faut tout dire.
Mon travail, c’est d’être au service du rythme de la personne.
De l’accompagner vers ce qui est juste pour elle, au bon moment.

Un jour, en posant mes mains sur la tête d’une femme, j’ai vu une image :
une dame avec un vase sur la tête, en train d’aller chercher de l’eau, je savais que la situation ne lui convenait pas.
Je n’ai rien dit tout de suite.
À la fin, j’ai simplement partagé : « Il faudrait vraiment que vous buviez plus d’eau. »
Elle m’a répondu que c’était compliqué, elle m'a parlé de son blocage. J'ai pensé que de connaître cette histoire allait lui permettre de redécider sa relation à l'eau. Je ne sais pas si cela l'a aidé finalement.

Ce matin, une autre séance.
Une personne portait encore dans ses champs une vieille histoire non digérée avec un ami.
Et je voyais que certaines de ses relations actuelles étaient encore teintées de ça.
Je l’ai nommé, simplement. Mais j'aurais pu ne pas le faire, le poids émotionnel avait déjà été conscientisé pendant la séance.

Je ne cherche pas à en dire trop.
Je cherche à dire ce qui peut servir.
Pas ce qui flatte l’ego spirituel, ni ce qui nourrit l’idéalisation.
Juste ce qui peut aider à faire un pas de plus, ici et maintenant.

̂me

On connaît tous ces choses que l’on repousse.Ces élans qu’on sent en sourdine, mais qu’on remet au lendemain.Pas vraimen...
17/05/2025

On connaît tous ces choses que l’on repousse.
Ces élans qu’on sent en sourdine, mais qu’on remet au lendemain.
Pas vraiment par paresse, pas totalement par peur non plus…
C’est comme si quelque chose en nous disait : pas maintenant.

Il y a ces gestes qu’on sent prêts, presque,
et pourtant le corps ne suit pas.
L’esprit ralentit, le cœur hésite,
et on reste là, en flottement.

J’ai longtemps cru que remettre à plus t**d, c’était un manque de volonté.
Mais avec le temps, j’ai compris autre chose.
Dans les traditions anciennes, on ne forçait pas l’élan.
On observait.
On respectait les saisons intérieures comme on respecte celles de la terre.

Et j'aime cette forme de sagesse.

Parfois, c’est le corps qui sait qu’il a besoin de repos.
Parfois, c’est l’âme qui n’est pas prête.
Parfois, ce n’est juste pas encore le moment juste pour agir.

On voudrait aller plus vite, bouger, cocher, accomplir.
Mais il y a des jours où il faut juste laisser de l’espace.
Accepter le silence, la lenteur, l’incertitude.
Ne pas juger.
Accueillir ce qui est là, même si ce n’est pas ce qu’on avait prévu.

Remettre au lendemain, ce n’est pas fuir.
Ce n’est pas abandonner.
C’est parfois une forme d’écoute profonde.
Un dialogue discret entre ce qu’on croit devoir faire…
et ce qu’on sent, plus doucement, comme vrai.

Et dans ce “pas encore”, il y a parfois déjà… le début de quelque chose.

Et vous, est-ce qu’il y a quelque chose en vous en ce moment qui attend, tout doucement, de pouvoir éclore ?
Je vous lis si vous avez envie de déposer un mot ici.

❤️
11/05/2025

❤️

Aujourd’hui, j’avais une consultation.Enfin… j’aurais dû avoir une consultation.Mais la personne n’est pas venue. Sans p...
08/05/2025

Aujourd’hui, j’avais une consultation.
Enfin… j’aurais dû avoir une consultation.

Mais la personne n’est pas venue. Sans prévenir.

Dans notre métier, ça arrive.
Des "no-show", comme on dit. Des absents sans un mot.
Et même si on sait que ça fait partie du jeu… parfois, ça pique un peu.

Alors j’ai respiré.
J’ai regardé mon agenda.
Et j’ai décidé de transformer le vide en matière vivante.

J’ai pris ce temps, ce cadeau un peu étrange, pour créer.
Une publication Facebook, un texte, un instant de pause.
J’ai pris ce que je ressentais — un mélange de surprise, de déception, de questionnement —
et j’en ai fait quelque chose de doux.

Mais malgré tout…
Je me suis posée la question :

Qu’est-ce qui peut bien se passer dans la tête de la personne qui ne vient pas ?

Est-ce qu’elle a oublié ?
Est-ce qu’elle a eu peur de venir ?
Est-ce qu’elle s’est dit que ce n’était pas si important ?

Ou alors…
Est-ce qu’elle me fait tellement confiance,
qu’elle imagine que même en son absence, je vais transformer ce moment en moment d’amour, de paix, de présence ?

Et c’est un peu vrai.
Je tricote avec ce qui est là.
Je tricote avec mes émotions, avec les absences, avec les silences.

Et puis parfois…
Je tricote aussi avec mes peurs.

La peur de ne pas savoir payer mes factures.
La peur de ne pas être à la hauteur.
La peur que l’univers ne m’écoute pas assez fort.

Je les vois, ces peurs. Je les accueille.
Et je choisis, aussi souvent que possible, de ne pas les laisser tout décider.

Alors j’ai écrit.
J’ai rempli ce rendez-vous vide de ma propre présence.
Et peut-être que c’est ça aussi, être praticienne.

Apprendre à recevoir ce qui ne vient pas.
Et à s’offrir, à soi-même, un soin inattendu.

Cécile Dossin - Thérapeute énergéticienne

Et si le corps était un sanctuaire… et l’énergie, un langage sacré ?Les Esséniens, ces êtres de lumière retirés du monde...
02/05/2025

Et si le corps était un sanctuaire… et l’énergie, un langage sacré ?
Les Esséniens, ces êtres de lumière retirés du monde, pratiquaient une médecine bien différente de celle que nous connaissons aujourd’hui. Une médecine douce, vibratoire, intuitive… profondément spirituelle.

✨ Parmi leurs trésors oubliés : la chirurgie énergétique.

Ils voyaient l’être humain comme un tout.
Pas un assemblage de cellules… mais une constellation de corps subtils : physique, émotionnel, mental, spirituel.
Et lorsque l’un de ces corps était blessé, l’énergie circulait mal. Le déséquilibre s’installait. La maladie pouvait apparaître.

👐 Par l’imposition des mains, par la prière, par le souffle, les gestes lents, les visualisations sacrées,
les Esséniens réharmonisaient les flux.
Ils "retiraient" ce qui n’avait plus lieu d’être.
Ils "recousaient" les tissus de lumière.
Ils accompagnaient le corps… à se souvenir qu’il pouvait guérir.

Aucune coupure.
Aucun instrument.
Juste la présence, l’intention pure, la reliance au divin.

Aujourd’hui, cette chirurgie énergétique essénienne renaît dans les mains de certains praticiens, gardiens de cette sagesse millénaire.
Elle ne remplace pas, elle complète.
Elle parle à l’âme autant qu’au corps.

🕊️ Et si nous réapprenions à écouter nos énergies… comme on écouterait un battement d’ailes dans le silence ?

Et s’il ne restait qu’un seul critère ?J’ai écouté récemment une interview qui parlait du monde qui change, de conscienc...
30/04/2025

Et s’il ne restait qu’un seul critère ?

J’ai écouté récemment une interview qui parlait du monde qui change, de conscience universelle, de physique quantique, de cette époque étrange où plus rien ne tient tout à fait debout comme avant.
Et dans cette conversation, une phrase m’a marquée au fer doux :

« La Terre est en train de se scinder en deux champs de conscience. Et ce qui fera la différence entre les deux mondes… c’est la cruauté. »

Rien d’autre.

Pas l’intelligence, pas la spiritualité, pas le niveau de connaissance, ni même l’histoire ou les croyances.
Mais la cruauté.
Ou l’absence de cruauté.

Alors j’ai réfléchi.
Je me suis dit : qui est encore cruel aujourd’hui ?
On a dépassé tant de choses. Les discriminations, les inégalités, les violences de masse, on les regarde souvent comme des erreurs d’un autre temps.
Mais en cherchant… la réponse est vite arrivée.

Je suis tombée sur l’histoire d’une jeune femme trans au Mexique. Violée, battue, mutilée, jetée dans un canal.
Morte noyée.

Et mon cœur s’est figé.
Oui, il y a encore de la cruauté.

Et pendant que je cherche ma place, que nous la cherchons tous quelque part entre la confusion, le désir d’être pleinement nous-mêmes et le monde qui tangue… je me suis demandé si finalement, ce n’était pas une boussole, cette idée.
Un repère doux et puissant.
Ne plus être cruel.
Plus du tout.
Ni envers les autres.
Ni envers soi.

Et si c’était ça, l’invitation du moment ?
Faire partie de ceux qui adoucissent le monde.
De ceux qui élèvent sans écraser.
De ceux qui regardent sans juger.
Et qui vivent sans oublier qu’en face, il y a un cœur, toujours.

Et toi, tu sens cette bascule dans le monde en ce moment ?
Tu crois qu’on est en train de choisir la douceur comme nouveau territoire ?
Partage si ce texte a résonné quelque part en toi.

Vous avez déjà eu l'impression, après coup, d'avoir vécu en léthargie pendant des jours ?Comme si vous étiez passé à côt...
28/04/2025

Vous avez déjà eu l'impression, après coup, d'avoir vécu en léthargie pendant des jours ?
Comme si vous étiez passé à côté de ce que vous ressentiez vraiment, sans réussir à le voir sur le moment.

Souvent, on réalise bien plus t**d :
« Ah oui, c’est vrai, je pensais ça... »
Ou :
« En fait, c’était ça qui se jouait en moi... »

Et pourtant, à partir de ce moment de réalisation, la tentation est grande de vouloir comprendre.
De vouloir tout analyser, tout expliquer, tout décortiquer.
Mais ce qui a été devait être.
Ce qui est terminé est terminé.

Chercher à refaire l'histoire ne change pas ce qui a été vécu.
Et c’est ici que commence un véritable espace de liberté :
Accepter.
Lâcher prise.
Reconnaître que chaque chose a suivi son chemin juste, même si ce chemin n'était pas celui que nous aurions voulu choisir consciemment.

Comme le rappellent les Quatre Accords Toltèques :
Fais toujours de ton mieux — et comprends que ton "mieux" change d'instant en instant.

Il ne reste alors qu'à revenir au présent.
À se pardonner.
À s'aimer.
Et à faire de la place pour ce qui est déjà là, prêt à naître.

Et vous, avez-vous déjà ressenti ce déclic intérieur qui change tout ?
Partagez votre expérience en commentaire, je vous lirai avec plaisir.



Cécile Dossin - Thérapeute énergéticienne

Petit rappel que le karma n'est pas une injure mais un processus qui vaut pour chacun. ❤️
27/04/2025

Petit rappel que le karma n'est pas une injure mais un processus qui vaut pour chacun. ❤️

"Et si je n'étais pas sûre... Mais que cela suffisait ?"Quand on est énergéticienne et qu'on travaille avec les énergies...
25/04/2025

"Et si je n'étais pas sûre... Mais que cela suffisait ?"

Quand on est énergéticienne et qu'on travaille avec les énergies, on travaille forcément avec des aides, des guides, des sensations. Et pourtant…

Alors que je suis certaine de ce que je ressens — que je les ressens, en tout cas — même si ma façon de les traduire n’est pas toujours parfaitement juste, même si je me pose des questions sur comment les rendre aux gens avec le plus de justesse et de respect, sans y ajouter mes propres couches d’ego ou de croyances…

Alors que je suis certaine de faire ce qui est juste, de faire confiance à mon ressenti profond, à ma joie…
Il m’arrive pourtant, souvent, de me demander si tout cela existe vraiment.

Mon esprit cartésien cherche encore des explications.
Est-ce que l’archange Michaël est un vrai archange ?
Est-ce une énergie ?
Est-ce que cette énergie est créée par un flux global ?
Est-ce une entité, une vraie ?
Pourquoi certains y croient et d’autres pas ?
Comment peut-il y avoir plusieurs religions ? Plusieurs dieux ?
Alors qu’il n’y a qu’une seule et même énergie ?

Et je me pose la question…
Est-ce que je les invente ?

Et puis, je retourne en consultation.
Et là, de nouveau, je suis sûre.
Sûre que je fais ce qui est juste.
Sûre que je suis à ma place.

C’est un drôle de paradigme :
Ne pas vouloir tomber complètement dedans…
En être incapable, en vérité.
Et en même temps, me donner avec abnégation.
Dire que c’est juste.
Que ça a du sens.
Et que je ne serais plus capable de faire autre chose aujourd’hui.
Parce que fondamentalement, j’aime ce que je fais.

Et puis, quand je rentre chez moi…
Le champ des possibles s’ouvre à nouveau.

Un jour, en grande conversation avec moi-même —
avec mon ange gardien,
avec ces présences qui me traversent l’esprit
et qui parfois me murmurent qu’elles sont là, avec moi —
je me suis dit que peut-être…
ne pas savoir, ce n’était pas si grave.

Si je devais le savoir, je le saurais.

Et peut-être que je fais simplement partie de celles qui transforment les doutes.
Qui détricotent.
Qui posent des mots sur ce que d'autres n’osent pas encore imaginer.
Et qui, parfois, posent encore quelques limites à l’intérieur même de l’illimité.

Cécile Dossin - Thérapeute énergéticienne

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Qu’est-ce que la thérapie énergétique?

Comme on le sait maintenant, tout ce qui se passe dans notre tête est susceptible de s’exprimer au travers de notre corps. Et l’inverse est également vrai. Nous n’avons pas toujours conscience de nos propres mécanismes, certains étant installés dès le plus jeune âge, jusqu’au jour oùnous nous retrouvons coincés dans des schémas pénibles voire destructeurs. Grâce à cette approche, issue des médecines traditionnelles indiennes et chinoises, nous dénouons les pensées complexes que notre système tout entier a intégrées. Relançant des flux énergétiques d’un côté, rééquilibrant nos chakras de l’autre, nous permettons à notre corps et notre esprit d’entrevoir l’essentiel et d’y retourner. Cette thérapie naturellement douce respecte votre rythme sans oublier son objectif : que vous redeveniez autonome, inspiré et joyeux.