Jessica Libert - Thérapeute parentale et familiale

Jessica Libert - Thérapeute parentale et familiale l'important n'est pas d'être parfait mais d'être parfaitement soi-même

En tant que thérapeute familiale et parentale, formée à l’accompagnement des familles et à la thérapie brève orientée solutions, je vous écoute et vous accompagne avec une approche bienveillante et personnalisée, afin de vous proposer des pistes de réflexions à partir de techniques et d’outils concrets. L’objectif est que vous puissiez identifier et comprendre vos besoins, et/ou ceux de vos enfants pour y répondre de la manière la plus adéquate, enrichir vos ressources, adopter des solutions qui vous conviennent à vous et/ou à votre famille pour aller vers une meilleure qualité de vie tout en tenant compte de votre réalité. Accompagnement parental / périnatal
* Prendre confiance en vos capacités
* Repenser votre parentalité, en respectant vos propres limites, besoins et émotions
* Identifier votre système de valeurs parentales
* Prendre du recul face aux difficultés rencontrées

Accompagnement familial
* Pouvoir vivre des moments sereins en famille
* Accompagner vos enfants avec bienveillance dans leur développement
* Retrouver une vie de famille épanouie
* Communiquer sereinement
* Comprendre les besoins de chaque membre de la famille
* Accueillir les émotions de vos enfants
* Identifier vos valeurs familiales
* Sortir des rapports conflictuels
* Prendre soin de soi pour prendre soin de ses enfants

Pour quelles problématiques ? (À titre informatif)
* Epuisement parental
* Perte de plaisir avec les enfants
* Besoin de parler, de déposer
* Séparation / divorce
* Conflits familiaux / rapports conflictuels / difficultés relationnelles
* Difficultés émotionnelles
* Parcours en PMA
* Deuil périnatal
* Accompagnement de la grossesse
* Accouchement difficile
* Accompagnement des parents d’enfants à besoins spécifiques

01/09/2025
Quand le TDAH touche toute la vie…Le TDAH, ce n’est pas « juste » un manque de concentration.C’est un trouble qui impact...
27/08/2025

Quand le TDAH touche toute la vie…
Le TDAH, ce n’est pas « juste » un manque de concentration.
C’est un trouble qui impacte de nombreux aspects du quotidien, pour l’enfant comme pour ses parents :
💤 le sommeil
🍎 l’alimentation
😨 l’anxiété
📚 l’organisation
👨‍👩‍👧‍👦 les relations sociales (amis, école, fratrie, couple…)
🤯 la régulation émotionnelle
🍷 les conduites à risque et addictions
😶‍🌫️ l’épuisement parental
😡 les oppositions, les cris, la culpabilité…
👉 En tant que thérapeute, je suis formée pour accompagner ces familles au quotidien.
🔑 Mon rôle : vous aider à retrouver de l’équilibre, du lien, et des stratégies concrètes pour alléger la charge mentale et émotionnelle.
👣 Que vous soyez au début du parcours ou déjà bien engagés, je vous accueille avec bienveillance pour construire ensemble un accompagnement sur mesure.
📞 Prenez rendez-vous dès aujourd’hui. Parce qu’accompagner un enfant, c’est aussi soutenir son parent.

Entre doutes, épuisement et tensions, il est naturel de ressentir le besoin d’être accompagné pour retrouver un équilibre plus serein. Être parent, gérer les émotions de son enfant, faire face aux conflits familiaux ou encore traverser les épreuves de la vie à deux sont autant de défis q...

🌈 Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée internationale du bébé arc-en-ciel, je souhaite mettre en lumière ces histoire...
22/08/2025

🌈 Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée internationale du bébé arc-en-ciel, je souhaite mettre en lumière ces histoires souvent invisibles, faites de douleurs, d’espoirs, de silences et de renaissances.

Un bébé arc-en-ciel symbolise la lumière qui revient après la tempête, mais cette lumière ne gomme pas l’ombre des épreuves traversées. Chaque parcours est unique, chaque vécu mérite d’être reconnu.

À cette occasion, je vous partage le texte « Et l’arc-en-ciel n’est pas venu », écrit comme une invitation à accueillir toutes les nuances de ces expériences de vie, même celles qui n’ont pas trouvé leur arc-en-ciel.

https://jessicalibert.be/onewebmedia/et%20l%27arc-en-ciel%20n%27est%20pas%20venu.pdf

✨ Parce que les mots peuvent ouvrir un espace de douceur, de reconnaissance et de mémoire

illustration de Korrig'Anne qui parvient au travers de ses illustrations à mettre de la couleur et de l'amour sur la douleur

🧠💭 Et si vos pensées étaient des évènements ? Oui, des événements à part entière, au même titre qu’une dispute, une renc...
20/08/2025

🧠💭 Et si vos pensées étaient des évènements ?

Oui, des événements à part entière, au même titre qu’une dispute, une rencontre, une bonne ou une mauvaise nouvelle…
Parce qu’une pensée ne reste jamais “juste une pensée”.
Elle est interprétée par notre cerveau comme réelle, concrète, vécue.

Et comme tout événement… elle déclenche une émotion.
➡️ Une pensée de peur (« et si ça se passait mal ? ») peut créer de l’anxiété.
➡️ Une pensée de jugement (« je suis nul.le ») peut engendrer de la tristesse.
➡️ Une pensée de gratitude (« quelle chance j’ai d’être là ») peut faire émerger de la joie.

🎯 Pourquoi c’est important ?
Parce que comprendre ce lien entre pensées, émotions et vécu intérieur permet de reprendre du pouvoir sur ce qu’on ressent, sans nier, sans contrôler, mais en observant avec douceur ce qui se passe en nous.

🌱 Il ne s’agit pas de “penser positif à tout prix”, mais de reconnaître que nos pensées influencent profondément notre ressenti.
Et que nous pouvons apprendre à changer notre regard, pas les faits.

💡 Et vous, quelle pensée revient souvent chez vous ces temps-ci ?
Et si vous preniez un instant pour observer ce qu’elle provoque en vous ? 🙏

"L'enfant n'a pas besoin de parents parfaits mais de parents authentiques qui reconnaissent leurs erreurs et leur envie ...
18/08/2025

"L'enfant n'a pas besoin de parents parfaits mais de parents authentiques qui reconnaissent leurs erreurs et leur envie de changer " - Arnaud Deroo -

🌿Pour la diversité 🌿La Nature puise sa force dans la diversité.Il faut des petits, des grands, des jeunes, des âgés, des...
15/08/2025

🌿Pour la diversité 🌿

La Nature puise sa force dans la diversité.
Il faut des petits, des grands, des jeunes, des âgés, des noirs, des jaunes, des rouges, des blancs, il en faut de toutes les religions, de toutes les philosophies, de toutes les sagesses...
Le seul danger est que l’une de ces espèces soit éliminée par une autre.
On a constaté que les champs de maïs artificiellement conçus par les hommes et composés des frères jumeaux du meilleur épi (celui qui a besoin de moins d’eau, celui qui résiste le mieux au gel, celui qui donne les plus beaux grains) mourraient tous d’un coup à la moindre maladie, alors que les champs de maïs sauvage composés de plusieurs souches différentes, ayant chacune leurs spécificités, leurs faiblesses, leurs anomalies, arrivaient toujours à trouver une parade aux épidémies.
La Nature hait l’uniformité et aime la diversité.
C'est là peut-être que se reconnaît son génie.
- Bernard Weber -

🌿 Une lecture symbolique de la complexité des liens 🌿
Ce que nous rappelle Bernard Werber à travers sa métaphore du champ de maïs, c’est que la richesse naît de la diversité, de l’imperfection, de la nuance.
Et cela s’applique pleinement aux liens familiaux.
Dans mon accompagnement thérapeutique, je croise chaque semaine des parents, des couples, des familles aux histoires singulières.
Aucune ne ressemble à une autre. Et c’est précisément cette diversité qui fait leur force.
Ce n’est pas l’uniformité qui protège un couple ou une famille, mais bien la capacité à faire coexister des différences : de rythme, de besoin, de vision éducative, d’émotion.
Ce n’est pas l’absence de conflit qui fait un lien solide, mais la manière dont on l’affronte, dont on y met de la parole, de l’écoute, du mouvement.
Accueillir cette complexité, lui donner droit de cité, c’est déjà amorcer un chemin de transformation.
👉 Dans ma pratique, je propose un espace sécurisant où chaque voix peut se dire, où l’on peut remettre du vivant là où la relation s’est figée, et s’autoriser à faire autrement — sans modèle à copier, mais en explorant ce qui est juste pour vous, ici et maintenant.

"Qui est responsable ? Quand la parentalité se vit dans le conflit"Quand la question de la faute s’invite dans le couple...
13/08/2025

"Qui est responsable ? Quand la parentalité se vit dans le conflit"
Quand la question de la faute s’invite dans le couple parental
Dans les séparations conflictuelles, la question de la responsabilité — ou plutôt de la culpabilité — surgit presque toujours.
« C’est à cause de lui. »
« Elle m’a poussé à bout. »
« Je n’ai pas eu le choix. »
Ces phrases, je les entends régulièrement en consultation. Elles ne sont pas anodines : elles traduisent une douleur, un sentiment d’injustice, mais aussi une difficulté à prendre du recul.
Lorsqu’un couple se sépare, surtout dans un climat tendu ou marqué par des blessures anciennes, la tentation de désigner un coupable est forte. Cela donne un sentiment de clarté, voire de légitimité à sa souffrance. Mais cette recherche de « la faute » finit souvent par enfermer chacun dans un rôle rigide : victime d’un côté, bourreau de l’autre.
Mais est-ce si simple ? Peut-on vraiment désigner un "responsable" unique d’un climat devenu invivable ? Et surtout : à quoi cela sert-il — ou plutôt, à quoi cela nuit-il ?
Je vous propose ici une autre grille de lecture : celle de la responsabilité partagée. Non pas pour lisser les nuances ou excuser, mais pour sortir de l'impasse, et retrouver un espace de réflexion, d’action, et de reconstruction.
Une responsabilité partagée, mais pas forcément égale
L’une des confusions les plus fréquentes, c’est de penser que « partagé » signifie « moitié-moitié ». Comme s’il s’agissait de mesurer avec précision qui a dit quoi, qui a blessé combien de fois, ou qui a plus contribué au climat conflictuel. Cette approche mathématique du conflit parental est non seulement irréaliste, mais elle est aussi stérile. Ce qui est important, c’est de reconnaître qu’un conflit se co-construit, même lorsque les dynamiques sont asymétriques.
Dans la réalité, les responsabilités sont rarement égales. Elles peuvent différer en intensité, en fréquence, en conscience, ou encore en impact émotionnel.
Un parent peut, par exemple, avoir un comportement très contrôlant, tandis que l’autre adopte une posture d’évitement permanent. Le premier peut générer de la peur ou de la tension, le second de la confusion ou de la frustration. Deux styles opposés, mais qui participent ensemble à la dynamique conflictuelle.
Reconnaître cette co-construction ne revient pas à banaliser des comportements inacceptables, ni à refuser de voir les déséquilibres. Cela revient à nommer ce qui se joue entre les deux, plutôt que seulement chez l’un ou l’autre.
C’est une démarche qui demande du courage, car elle invite à sortir de la logique du blâme, pour entrer dans celle de la compréhension systémique.
Prendre sa part sans s’accabler
Assumer sa part de responsabilité ne veut pas dire porter tout le poids de la relation sur ses épaules. Ce n’est pas se dire "c’est de ma faute", mais plutôt s’interroger :
• Qu’est-ce que je reproduis inconsciemment ?
• Comment est-ce que je réagis quand je me sens blessé.e ou en danger ?
• Qu’est-ce que je ne dis pas ? Qu’est-ce que je ne veux pas voir ?
Prendre sa part, c’est être acteur de son propre positionnement, même quand l’autre refuse de bouger. Cela permet de reprendre un peu de pouvoir sur la situation, non pas en cherchant à changer l’autre, mais en choisissant comment je veux y répondre.
Et ce chemin n’a rien d’évident. Il demande de ne pas confondre responsabilité et culpabilité.
On peut reconnaître ses maladresses, ses réactions inadaptées, ses silences pesants… sans pour autant nier les injustices subies ou les comportements toxiques de l’autre.
C’est cette posture nuancée, à la fois lucide et bienveillante, qui ouvre la porte à un changement réel. Parce qu’elle sort des rôles figés du "bourreau" et de la "victime", pour entrer dans une dynamique de croissance et d’autonomie.
Pourquoi cette posture est essentielle en coparentalité
Dans le contexte particulier de la coparentalité après séparation, continuer à s’enfermer dans le conflit ou dans une lecture binaire du passé a des répercussions profondes.
D’abord sur les parents eux-mêmes, qui restent piégés dans une tension émotionnelle chronique.
Mais surtout sur les enfants, qui sont les premiers exposés à ces clivages.
Lorsqu’un enfant entend ou perçoit (même de manière subtile) que l’un de ses parents est le "gentil" et l’autre le "méchant", il se trouve confronté à des loyautés impossibles. Il doit choisir, trancher, mentir parfois pour ménager l’un ou l’autre, ou porter le poids d’un conflit qui ne lui appartient pas. Cela crée un climat d’insécurité affective et de confusion identitaire.
Sortir de cette logique, c’est permettre aux deux parents de :
• Revenir à leur rôle éducatif, et non défensif ;
• Créer un cadre plus prévisible et sécurisant pour l’enfant ;
• Apaiser leur propre souffrance, en brisant les cycles émotionnels répétitifs.
Il ne s’agit pas de faire « comme si » tout allait bien, ni de nier les conflits passés. Il s’agit d’habiter autrement son rôle de parent, en prenant soin de ce qui peut encore être réparé, réajusté ou simplement respecté.
Et si nous changions la question ?
Plutôt que de demander :
❌ "Qui a tort ?"
On pourrait se poser :
✅ "Qu’est-ce que je peux faire maintenant pour sortir de ce cycle ?"
✅ "Quelle est ma zone d’action, même minime ?"
✅ "De quoi ai-je besoin pour me sentir moins enfermé.e dans un rôle de victime ou de coupable ?"
Ces questions ne cherchent pas à minimiser la réalité. Elles cherchent à l’habiter autrement. À redonner du mouvement à des postures figées, à rouvrir des possibles là où tout semblait verrouillé. C’est un passage de la réaction à la responsabilité, de l’accusation à l’introspection.
Pas pour s’effacer, mais pour redevenir un parent capable d’initier un changement, même modeste, même unilatéral au départ.
Une autre voie que le tribunal intérieur
Chaque situation est unique. Certaines séparations sont violentes, certains comportements destructeurs, certaines blessures profondes. Il ne s’agit pas ici de nier ces réalités. Mais dès lors que l’un des deux parents est en capacité de prendre un peu de recul, de remettre de la conscience dans les interactions, un espace s’ouvre.
Et cet espace, c’est celui d’une transformation possible.
Pour soi.
Pour l’autre.
Et surtout, pour l’enfant.
Car finalement, la vraie question n’est peut-être pas :
"Qui a commencé ?"
Mais bien :
"Qui aura le courage d’être le premier à commencer… à changer ?"
Jessica Libert
Thérapeute parentale et familiale

article en version PDF
https://jessicalibert.be/onewebmedia/article%20qui%20est%20responsable%20-%20quand%20la%20parentalit%C3%A9%20se%20vit%20dans%20le%20conflit.pdf

Connaissez-vous l'histoire de Yakouba, le célèbre album jeunesse écrit et illustré par Thierry Dedieu?De partout à la ro...
08/08/2025

Connaissez-vous l'histoire de Yakouba, le célèbre album jeunesse écrit et illustré par Thierry Dedieu?

De partout à la ronde, on entend le tam-tam.
Au cœur de l’Afrique, dans un petit village, on prépare un grand festin. C’est un jour de fête. On se maquille, on se pare. C’est un jour sacré. Le clan des adultes se rassemble et désigne les enfants en âge de devenir des guerriers.
Pour Yakouba, c’est un grand jour. Il faut apporter la preuve de son courage, et seul, affronter le lion. Sous un soleil de plomb, marcher, franchir les ravins, contourner les collines, se sentir rocher, forcément, herbe, bien sûr, vent, certainement, eau, très peu. Le jour comme la nuit, épier, scruter ; oublier la peur qui serre le ventre, qui transfigure les ombres, rend les plantes griffues et le vent rugissant. Attendre des heures et puis soudain... s’armer de courage et s’élancer pour combattre.
Alors Yakouba croisa le regard du lion. Un regard si profond qu’on aurait pu lire dans ses yeux.
« Comme tu peux le voir, je suis blessé. J’ai combattu toute la nuit contre un rival féroce. Tu n’aurais donc aucun mal à venir à bout de mes forces. Soit tu me tues sans gloire, et tu passes pour un homme aux yeux de tes frères, soit tu me laisses la vie sauve et à tes propres yeux tu sors grandi, mais banni, tu le seras par tes pères. Tu as la nuit pour réfléchir. »
Au petit matin, Yakouba ramassa sa lance, jeta un dernier regard sur le lion épuisé et prit le chemin du retour.
Au village, les hommes, son père, tous l’attendaient. Un grand silence accueillit Yakouba.
Ses compagnons devinrent des guerriers respectés de tous.
À Yakouba, on confia la garde du troupeau, un peu à l’écart du village.

C’est à peu près à cette époque que le bétail ne fut plus jamais attaqué par les lions.

Thierry Dedieu

🦁 Et si le vrai courage, c’était d’être soi ?
Yakouba aurait pu suivre les attentes. Tuer le lion. Gagner l’estime des siens. Devenir officiellement un guerrier.

Mais face à l’animal blessé, il a choisi d’écouter sa conscience. De respecter la vie.
Ce choix lui a valu des regards, des jugements.
Mais au fond… qui était le plus courageux ?
Celui qui agit pour être applaudi ? Ou celui qui reste fidèle à ce qu’il sent juste, même dans la solitude ?

🌱 Pour moi, le courage prend bien des visages.
Parfois, il rugit.
Parfois, il chuchote.
Mais il est toujours là, quand on ose être soi. Quand on avance en cohérence avec ses valeurs, même si c’est inconfortable.

👉 Dans mon accompagnement, je rencontre souvent des parents, des enfants, des ados... qui apprennent à dire "non", à poser des limites, à faire différemment.
Et je le leur dis souvent : "Tu viens de faire preuve de courage."

💬 Et vous, quand avez-vous ressenti ce type de courage pour la dernière fois ?

🚧 "Attention, petit être en construction."  Si cette phrase était collée sur le front de nos enfants, peut-être que cert...
06/08/2025

🚧 "Attention, petit être en construction."
Si cette phrase était collée sur le front de nos enfants, peut-être que certaines journées seraient plus douces.

Parce que parfois, on oublie.
On oublie qu’ils apprennent, qu’ils tâtonnent, qu’ils expérimentent.
On oublie que chaque enfant est unique, avec son propre rythme, sa sensibilité, son histoire, ses forces et ses vulnérabilités.

🌀 Certains sont vifs, d’autres plus lents.
Certains sont dans le bruit, d’autres dans le retrait.
Il y a ceux qui s’opposent, ceux qui se plient, ceux qui résistent en silence.

Et nous, parents, on aimerait des réponses toutes faites. Une recette.
Mais il n’y a pas une seule bonne manière d’être parent. Il y a une infinité de manières… à ajuster, à affiner, à inventer.
🎯 Parce que ce qui fonctionne pour l’un ne fonctionnera pas forcément pour l’autre.

Être parent, c’est une danse.
Celle de l’adaptabilité, de l’écoute, de la remise en question parfois, mais surtout, de l’amour ajusté.

💡 Et si on remplaçait nos "Il devrait déjà savoir" par "Il est en train d’apprendre" ?
Nos "Il exagère" par "Il exprime quelque chose à sa manière" ?

🌱 Nos enfants sont des êtres en construction.
Mais nous aussi, en tant que parents, on est toujours en chantier.
Alors merci, à nous aussi, pour notre patience et notre compréhension.

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Rue De La Station 154
Châtelet
6200

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