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Espace Santé Vandevelde Eric Microkinésithérapie , Sophrologie Caycédienne
Hypnose Ericksonienne, Lecture Biologique, Aromathérapie

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20/02/2022
20/02/2022
L’idée de base de l’éducation et de la psychologie moderne est qu’à moins d’avoir un ego solide, vous serez vaincu dans ...
24/05/2020

L’idée de base de l’éducation et de la psychologie moderne est qu’à moins d’avoir un ego solide, vous serez vaincu dans la bataille pour la vie.
L’homme humble est écarté de la compétition générale et relégué aux rangs inférieurs de la cité. Seules les personnes disposant d’un ego musclé et d’une personnalité assurée réussissent dans le monde.
De tel prémisses ont abouti à la mise en place d’une culture axée sur la production de personnalités égocentrées et ambitieuses.
En faisant comprendre à leurs enfants qu’ils doivent être brillants et surpasser leurs camarades, les parents jettent très tôt leur progéniture dans la course au plus gros égo.
Or, à tous points de vue, l’identification au masque, au personnage extérieur est la plus grave des maladies qui peuvent affecter un être humain.
A l’extrême opposé, la faillite et la sous estimation de l’égo infligent une blessure narcissique cuisante et crée un sentiment d’infériorité énorme qui sera un obstacle dans le voyage intérieur.
La personne qui se considère comme faible, a peur de tout n’ose s’engager dans rien. Un tel état d’esprit crée une fatalité, il est le plus garant de l’impuissance et d’une non prise de ses responsabilités.
L’égo Everest un barrage, l’égo taupinière tout autant.
L’égo est tension, l’invention de soucis, de défis assure sa survie.
Il faut comprendre que notre personnalité est un habit d’arlequin, un bric-à-brac rassemblé par les autres. Beaucoup d’idées se bousculent dans votre esprit, la plupart sont héritées de votre mère. Le reste du masque a été mis en place par votre père, par vos enseignants, vos amis et d’autres personnes. Vous constaterez que rien n’est venu du tréfonds de votre être. Que peut valoir une identité à la quelle vous n’avez même pas contribué ?
Vous êtes le seul à savoir qui vous êtes.
Dès que vous aurez saisi cela vous commencerez à chercher un moyen pour accéder à votre être réel, vous voudrez savoir qui vous êtes et ce qu’est votre vérité existentielle.
Vous cesserez de collectionner les commentaires extérieurs à votre sujet, vous ne demanderez plus aux autres de vous tendre un miroir, vous essayerez d’affronter votre visage primordial de manière directe, de vivre ce que vous êtes vraiment.
Qui peut vous aider ? Les autres ne savent pas non plus ce qu’ils sont.
Comment verraient ils plus clair en ce qui vous concerne ?
Un thérapeute pourra vous aider à allumer la lumière en vous, vous remettre face à vos responsabilités, vous guider et certainement pas vous dire ce que vous devez faire et prendre des décisions à votre place.
Lui-même ne pourra vous aider sur le chemin vers votre centre que si vous êtes honnête avec vous-même et osez passer par l’enfer. Avant de rejoindre votre cœur profond, il faudra ôter toutes vos béquilles, culbuter dans le désordre.
Renoncez à vos prothèses mentales, vos à priori, vos croyances que c’est l’autre qui est responsable de votre malheur, enlevez couche par couche tous vos leurres. Le chaos qui règne sous vos certitudes vous effrayera.
Contentez- vous d’observer les mécanismes, de voir comment cela fonctionne. Chaque mensonge en vous en a généré un autre, vous êtes complètement perdus dans un tissu d’illusions et ceux qui vous y ont acculé, souvent, n’en sont même pas conscients.
Eux-mêmes sont le produit de l’opinion de leur entourage. Votre père, votre mère vous ont conditionné. Allez-vous transmettre le virus à vos enfants ?
Dans un monde moins délirant et avec moins de manipulations, l’enfant apprendrait très tôt la vérité.
On lui dirait que l’identité sociale, surajoutée, est toujours fausse. On lui dirait en toute transparence de l’utiliser en attendant de découvrir ce qu’il est vraiment, rien de plus. On dynamiserait ce qu’il est déjà. Qu’il lui appartient d’abandonner ce personnage dès qu’il le pourra, alors il naîtra vraiment, existera de façon réelle, authentique. Il deviendra un individu, être indivisible.
L’avis des autres façonne votre personnalité, la connaissance que vous atteignez de l’intérieur vous donne une individualité.

« Il est souvent tragique de voir à quel point d’évidence un homme gâche sa propre vie et celle des autres sans pouvoir,...
23/05/2020

« Il est souvent tragique de voir à quel point d’évidence un homme gâche sa propre vie et celle des autres sans pouvoir, pour rien au monde, discerner dans quelle mesure toute la tragédie vient de lui-même et se trouve sans cesse alimentée et entretenue par lui même.»

Jung

Ces personnes qui s’identifient à leur souffrance …Mon expérience de thérapeute m’a amené à croiser le chemin d’hommes e...
14/05/2020

Ces personnes qui s’identifient à leur souffrance …

Mon expérience de thérapeute m’a amené à croiser le chemin d’hommes et de femmes surtout, qui dégagent, sous des apparences de bienveillance, une énergie de violence particulièrement nocive.

J’en suis arrivée à la conclusion que ces personnes se sont identifiées à leur cause.
Autrement dit, elles sont « devenues cette cause » et n’existeraient plus sans cette agitation.

Il y a « victimisation » lorsque l’on s’est enfermé dans cette posture et qu’elle devient notre raison d’être …
Ce piège provoque une souffrance inouïe que l’on finit par renvoyer sur son entourage, mari, enfants …

Les professionnels apportant une autre vision que la leur, vision restée sclérosée sur la violence et la haine, deviennent donc un danger pour elles.

Ces personnes n’admettent aucun avis contradictoire et éjectent avec une violence à la hauteur de leur état interne ceux qui, à leurs yeux, s’opposent à elles et à leur vérité.
Ces personnes sont mues d’une grande colère qu’elles ne peuvent diriger vers la vraie source et donc, pour soulager cette tension, trouvent un bouc émissaire et détruisent la cible ou les cibles, comme un mari ou ses enfants.
De plus, dégageant cette énergie destructrice, elles vont attirer à elles, tel un trou noir, les « victimes » qui se trouvent à ce stade légitime de colère et vont les y maintenir. Qui se ressemblent s'assemblent?
C’est là que ce trouve le plus grand danger, s’identifier à la souffrance.
Mon expérience professionnelle m’a permis de me rendre compte que certains enfants devenus adultes victimes de parents manipulateurs en arrivent à s’identifier à leur propre souffrance.
Je veux dire par là qu’elles « deviennent » cette souffrance.
Elles « sont » le symbole de la souffrance de toutes les autres et arborent cette identité comme un étendard valorisant.
Sans l’expression de cette souffrance elles pensent inconsciemment ne plus exister.
Toute leur vie tourne alors autour de ce drame et de ses conséquences. Elles tombent dans ce que l’on pourrait appeler une complaisance victimaire.
Elles se découvrent une énergie (colère – haine) immense qui, ne pouvant être contenue, va être renvoyée vers l’extérieur.
Elles semblent capables de traîner cette haine et cette violence toute leur vie puisqu’elles sont devenues leur identité. C’est un clivage d’image.
Il faut bien comprendre que si ces personnes en sont là c’est qu’elles n’ont pas trouvé d’autres voies pour évacuer ce déferlement d’émotions de souffrances ressenties de leur enfance.
Le travail de consolidation de la blessure intérieure n’a pas pu se faire.

Plus la souffrance persiste dans le temps plus l’individu peut acquérir une personnalité qui se nourrit elle même de cette perversion.
Elle pourra vivre des phénomènes dissociatifs qui auront des postures perverses comme celles-là même qu’elles combattent.
Cette énergie de haine, de colère, de souffrance peut alors, soit se retourner contre elle-même (maladie), soit être orientée vers l’extérieur.
Dans ce deuxième cas, deux possibilités encore : Soit elles deviennent perverses à leur tour en manipulant les autres pour leur propre bénéfice, soit elles légitiment cette capacité acquise et créent une dérivation en s'entourant de personnes qui ont vécu ou vivent la même situation. " Pour s'entraider"....mais voyons !

Elles déversent l’énergie de leur colère et haine non gérée pour se libérer de leur tension et provoquent ainsi de réactions vives abondant dans leur sens et dont elles se nourrissent à leur tour.
Elles font tout pour confirmer leur schéma de victime et crée les situation pour confirmer leur position.

Il est important de noter que certaines personnes font une forme de déni de leur état de souffrance intérieure, et qu’elles « subissent » alors leurs symptômes qui leur sert parfois de faire valoir.
Seconde possibilité, elles vont prendre leur revanche sur la vie, prenant pour acquise la croyance que le monde est mauvais, qu’il faut se battre pour se protéger et détruire ce qui les menaces personnellement dans leur identité.
Et dans le dernier cas, elles vont souvent souhaiter créer, s’entourer d’autres victimes qui sont dans cette étape légitime et normalement temporaire de colère, l’alimentant de la leur et se nourrir de celle des autres.
Ces personnes là sont promptes à détruire tout ce qui peut s’opposer à elles car, comme pour les manipulateurs qu’elles combattent, elles ont besoin d’être reconnues dans cette souffrance.
Posez vous à ce stade la question de qui est manipulateur.
Elles se « nourrissent » du conflit mais ceux/celles qui s’opposent en mettant en évidence leurs contradictions, les confrontent, font miroir, deviennent des « ennemis » car ils sont vécus comme mortifères.
Ceux qui s’opposeront à elles deviendront des boucs émissaires, des personnes à abattre.
C’est ce qui peut arriver avec les perversions ou séquelles de perversions lorsqu’il n’y a pas eu de résilience.

La constitution du Moi est elle-même pervertie si bien qu’il se crée une confusion entre le Bien et le Mal, voire une véritable inversion.
Et si quelqu’un s’oppose à cela, il sera vécu, sincèrement, comme un agent de mort.
Éliminer le sujet du problème, du conflit intérieur revient pour elles à éliminer le problème …
Leur pulsion peut alors être utilisée pour rassembler et utiliser les victimes qui les entourent afin de les soutenir dans leur besoin d’être un bourreau expiatoire.
Ces mécanismes ont pour but de soulager leurs propres tensions.
Que faire pour accompagner ces personnes vers la voie d’une résilience qui les aidera et protégera ceux qui les entourent ?
Cette tâche semble bien difficile car elles ne sont pas demandeuses ou alors consultent par défaut mais sans conviction ou pensent que la solution va venir de l’extérieur, du thérapeute et vivent souvent dans la domination et le contrôle des autres…

Au niveau individuel il serait toute fois important de tenter de mettre en évidence le caractère stérile de la posture mise en place.
Ensuite les ramener à ce qui est positif en elles, ce qu’elles ont construit, revenir aux éléments simples de leur vie actuelle, l'amour qui les entoure.
Au niveau plus social, il n’y a malheureusement pas grand chose à faire car, comme avec les manipulateurs pervers, tout ce qui pourra être avancé comme argument salvateur, sera déformé et utilisé comme élément destructeur
Contrer un tel tempérament a pour capacité d'alimenter leur énergie.

Geneviève SCHMIT

Le « oui mais non » Nuancer un « oui » avec un « mais », quelle drôle d’idée n’est-ce pas ?« Oui mais non en fait. »Ces ...
28/01/2018

Le « oui mais non »

Nuancer un « oui » avec un « mais », quelle drôle d’idée n’est-ce pas ?
« Oui mais non en fait. »
Ces petits mots égrainés dès le début de la phrase sont tellement agaçants (chez les autres !)

Le « oui mais » n’est ni un oui, ni un non. Quand nous le prononçons, il laisse comme un arrière goût d’indécision, voire de manque total de confiance en soi et signe le départ d’un beau jeu psychologique.

Il est aussi une preuve de notre désir de nous déresponsabiliser.
Après un « oui mais », on cherche en effet des excuses…pour ne pas agir.
Bref, le « oui mais » n’est pas très positif et fait perdre du temps. En effet, mieux vaut dire non et proposer une alternative plutôt qu’un « oui mais » frustrant.
A force de pratiquer le « oui mais », on finit par l’adopter pour tout : je suis content mais…, je t’aime mais…, je suis fier de moi mais…

Comment traduire le oui mais non?

Oui tu peux faire cela mais finalement, non, tu ne peux pas. Ou encore « oui je suis d ‘accord mais au fond je ne le suis pas. Ou l’inverse.
Mais qui dit oui et qui dit non ? Une petite voix intérieure qui vient s’immiscer dans le discours pour exprimer une contradiction, un conflit entre ce que je pense et ce que je crois, entre ce que je dis et ce que je pense ou m’autorise à penser.

Les adeptes du « oui mais non » sont des individus à qui un parent aurait volé leur « liberté de penser ».
L’usage intensif, au début de chaque phrase, de ce tic ambivalent trahi un individu qui vit sous la contrainte de deux choix qui s’excluent mutuellement et qui impose cette contrainte à ces proches.
Regardez dans votre enfance, la source est là .
Revisitez le comportement de vos parents et les multiples chantages dont vous avez été l'objet. Affectifs surtout.

Ce type d’éducation produit des enfants contradicteurs et contradictoires, incapable de faire un choix dans la mesure où chaque situation débouche pour eux sur deux sens interdits ou deux sanctions.
Il est donc toujours « perdant ».

« Tu peux manger tout le gâteau, mais laisse-en quand même pour tout le monde »
Traduire :«Tu peux t’empiffrer mais gare à toi si tu manges tout » dit la mère à sa fille.
Traduire « Je veux mais je ne peux pas » tel est le sens primitif de cette injonction paradoxale.

La double contrainte est décrite par Bateson, et raccroche ce mécanisme au tableau clinique de la schizophrénie, symptôme mineur certes de ce trouble psychotique mais très présent.
J’y reviendrai .
Hélas la manie d’opposer ces contraintes risque de vous décrédibiliser aux yeux de vos enfants et leur inoculer cette incapacité à prendre parti et à faire des choix.

« Je voudrais un nouveau jeu pour ma Wii » vous demande votre fils, « oui mais non je t’ai déjà dit que je voulais que tu me rapportes un beau bulletin» répond le parent.

La carotte d’accord ! Mais alors pourquoi pas un « non je veux d’abord que …. » et pas un "oui mais non"!

Oui je veux te faire plaisir en t’achetant ce jeu mais non, tu ne le mérites pas : telle est la translation de votre « oui mais non ».
Mettez vous deux secondes à la place de l’enfant, vous avez répondu oui et non en même temps
Ca fait beaucoup à porter non ?

Votre gamin dira dans la cours d'école à son pote; " Ma mère ne sais pas ce qu'elle veut elle dit toujours oui mais non quand je lui demande quelque chose"
"Et la tienne" ?
"Pareil lui dit son pote. Ca doit venir d'un court-circuit dans la tête" lui répond son ami futur psy

Le oui mais non est un Jeux dangereux... Un jeu de "Victime" Jeu extrêmement répandu, votre interlocuteur arrive vers vo...
28/01/2018

Le oui mais non est un Jeux dangereux...

Un jeu de "Victime"

Jeu extrêmement répandu, votre interlocuteur arrive vers vous, la mine défaite, presque au bord des larmes, vous regarde avec des yeux de cocker. Au bout de sa vie pour des raisons qui sont les siennes, il vient de passer une journée d’enfer comme toutes ses journées d’ailleurs.
« L’enfer c’est les autres, la vie… » est sa croyance fondamentale bien sûr.
Si son langage « non verbal » n'est pas suffisamment explicite, il complétera le tableau en dramatisant les faits, une vraie pièce de théâtre.
La « Victime » cherche le "Sauveteur" qui sommeille en vous et votre souhait de rendre service, d'être utile à votre prochain, votre gentillesse naturelle, ou, pourquoi pas, votre côté Zorro.

Si vous tombez dans le panneau, il vous racontera en long, en large et en travers, ce qui semble le préoccuper, avec des phrases kilométriques.
Et le "Sauveteur" en vous proposera des solutions dont il n’a que faire car la « Victime » ne cherche pas de solution.

En bref, à tout ce que vous allez proposer, suggérer, votre interlocuteur va opposer des objections, la "Victime" qu'il était au départ, se muant progressivement en "Victime pleurnicharde", puis en "Victime persécutrice". Et l'échange peut durer ainsi, un certain temps...
Oui la « Victime « peut devenir très persécutrice,

Et voilà que le "coup de théâtre" se profile à l'horizon lorsque lassé, le "Sauveteur" en vous se mue en "Persécuteur" : "Ecoute, je ne sais plus quoi te dire ou te proposer, alors débrouille-toi"

Et suit le moment de confusion, de gêne ou de stupeur : lorsque soit votre interlocuteur repart, comme il est venu, avec le regard de cocker et en plus les épaules basses, ou qu'il vous jette à la figure quelque chose comme :
"Je savais bien que je ne pouvais pas compter sur toi..." ou "Tu es intelligent, tu devrais comprendre pourtant.", " Et tu dis que tu m'aimes !".. Oui la "Victime est très narcissique.

Le but de la « Victime » est de valider des croyances qu’elle a sur elle, la vie, les gens, son entourage personnel ou professionnel...

Explication :

Les personnes qui jouent à ce jeu ne cherchent pas de solution à leurs problèmes. Ce qu'elles aiment et ce qu'elles veulent, C'EST SE PLAINDRE, SE VICTIMISER, ça fait tellement de bien...

Grâce à ce jeu, elles vont de plus chercher à valider, notamment les croyances suivantes :

• Ma situation est tellement compliquée qu'il n'y a aucune solution. Oui, ce que les autres vivent n’est pas comparable à leur souffrance bien évidemment !
• Je vais lui demander de l'aide, mais je sais que je n'ai rien à attendre de lui (ou d'elle), car il (elle) est nul(e)
• Personne ne peut rien pour moi
• Je ne m'en sortirai jamais
• La vie est difficile
• L’amour est une souffrance. La victime à très peu d’empathie vous l’aurez compris, son narcissisme l’étouffe.
etc...

Les "Oui, mais..." sont aisément repérables, dans la mesure où ils viennent constamment rechercher une aide qu'au final ils rejettent. Après vous être fait piéger quelques fois, vous parviendrez à les identifier facilement.
Il ne s'agit pas de refuser toute forme d'appui aux personnes qui en ont vraiment besoin et qui sont prêtes à l'accepter.
Toutefois, les vrais "Oui, mais..." sont redoutables, car ils épuisent des bataillons de sauveteurs, alors qu'ils ne cherchent qu'à vous mettre en échec.

Donc, une suggestion : "Fuyez-les" et surtout ne proposez aucune aide, puisque ce n'est pas ce qu'ils cherchent.

Proposez juste votre "qualité d'écoute", et c'est déjà beaucoup.
Et peut-être un "renforcement" du style "oui, c'est vrai que c'est compliqué".
Le résultat est que la fois suivante, ils iront chercher ailleurs et cesseront progressivement, à défaut de se victimiser, de vous persécuter.
Il est vrai que leur estime pour vous n'en sortira pas renforcée, mais dites-vous que, de toutes façons, les solutions qui vous auriez pu proposer auraient été rejetées confirmant leurs croyances négatives sur vous qui ressemblent à :
« Ou bien tu m'aides, mais tes suggestions sont nulles, ou bien tu ne m'aides pas et tu es nul par ton absence de suggestions.

Alors perdu pour perdu, autant ne pas ajouter une perte de votre temps et de votre énergie, tous deux si précieux...
Quand on pense que nos enfants nous imitent…le « oui mais » est un sacré cadeau empoisonné sur la route d’une vie épanouie.

L’amour inconditionnel pour nos enfants. Nous souhaiterions qu’ils n’aient aucun doute sur notre amour profond pour eux....
26/01/2018

L’amour inconditionnel pour nos enfants.

Nous souhaiterions qu’ils n’aient aucun doute sur notre amour profond pour eux.
Donc, nous faisons de notre mieux pour leur montrer.
Il n’y a que des preuves d’amour, bien sûr !

Mais…il y a une différence entre ce que nous voulons, ce que nous disons et ce qui est réellement compris par l’enfant.
Faites comme si vous ne saviez pas, n’êtes vous pas passés par là ?
Peut-on imaginer quelques secondes les impacts des messages mal décodés par nos enfants sur leur vie future…

« Tu serais gentil de m’aider à débarrasser la table »
« Tu ne dois pas aimer ton papa plus que maman »

Voici comment l’enfant que nous avons été aurait pu comprendre ce type d’injonctions « anodines » :

La violence affective peut être aussi destructrice que la violence physique et plus sournoise, car elle passe inaperçue et ne laisse pas de traces visibles à priori.

« Je t’aime si tu m’aides à débarrasser la table. »
« Je t’aime si tu m’aimes plus que ton papa . »
« Je t’aime si ………………..»
Alors anodin ou pas ?
Vous ne faites que répéter les messages de vos parents, vous, parents d’aujourd’hui.
Même si vous en avez souffert dans votre propre enfance.
La répétition de ces formulations a imprimé deux choses dans notre cœur et dans notre cerveau :

• une insécurité affective fondamentale : « si je ne fais pas ce qu’on m’a demandé, va-t-on encore m’aimer ? »
• une croyance de base : « Pour être aimé, je dois répondre aux attentes de mes parents et des autres, rendre des comptes, mériter, faire des efforts… »

Et voilà, nous sommes dans les pièges du conditionnement de l’amour conditionnel.
Alors adulte, on dit « oui » à tout pour paraître sympathique à tout le monde.
Avec un beau sourire et une belle façade qui va en leurrer plus d’un et qui cache notre souffrance, jusqu’à ce que nous craquions…
On s’adapte ainsi continuellement pour « plaire » aux autres, et surtout à nos parents. Ce serait tellement insupportable de les trahir ! Pour nous ça l'est déjà mais pour eux .......

Nous refoulons nos différences de peur d’être rejeté et nous tolérons l’autre dans la mesure où il nous ressemble…c’est rassurant…
Et pourtant, désaccord ne signifie pas désamour !
Je ne sais pas dire non…alors je dis oui et je déprime.
Nous devons avoir suffisamment de confiance en soi et d’estime de soi pour prendre notre place dans la relation, sans agression ni démission.
Suffisamment de lucidité pour arrêter de dire et de croire que ce sont les autres la cause de nos problèmes.
Cela passe par une écoute active des besoins de l’autre et une expression des nôtres et surtout une solide remise en question de soi…..
A+

Vous projetezQuand vous êtes amoureux, la personne semble belle, sans comparaison. Quand vous détestez, la même personne...
16/11/2017

Vous projetez

Quand vous êtes amoureux, la personne semble belle, sans comparaison. Quand vous détestez, la même personne semble être la plus laide et vous ne vous rendez jamais compte de ce fait.
La même personne peut être la plus laide et la même personne peut être la plus belle...
L'intervention du mental est le problème,
parce que le mental ne peut créer que des rêves...
Par votre exaltation le rêve commence à ressembler à la réalité. Si vous êtes trop exalté alors vous êtes intoxiqué, alors vous n'êtes plus dans vos sens.
Alors tout ce que vous voyez est uniquement votre projection.

Osho

L'ÉCOUTESi vous écoutez avec toutes sortes de préjugés, c'est une mauvaise façon d'écouter, c'est en fait une manière de...
05/11/2017

L'ÉCOUTE

Si vous écoutez avec toutes sortes de préjugés, c'est une mauvaise façon d'écouter, c'est en fait une manière de ne pas écouter.
Vous semblez écouter mais vous entendez seulement, vous n'écoutez pas. Écouter réellement veut dire que vous avez mis votre mental de côté. Ca ne veut pas dire que vous devenez crédule, que vous commencez à croire tout ce que l'on vous dit. Ca n'a rien à voir avec la croyance ou le scepticisme.
L'écoute juste veut dire:
"À l'instant, je ne suis pas concerné par croire ou ne pas croire. En ce moment, il n'est pas question d'être d'accord ou pas d'accord. Je tâche simplement d'écouter ce qui est dit. Plus t**d, je peux décider de ce qui est juste et de ce qui est faux, plus t**d je peux décider ou de suivre ou de ne pas suivre."

Et la beauté de l'écoute réelle est que la vérité possède sa propre musique. Si vous pouvez écouter sans préjugés, votre cœur dira que c'est vrai. Si c'est vrai une cloche tinte dans votre cœur. Si ce n'est pas vrai, vous restez distants, non concernés, indifférents, aucune cloche ne sonne dans votre cœur et il ne se produit aucune synchronicité.

La qualité de la vérité est, que si vous l'écoutez avec un cœur ouvert, elle crée immédiatement une réponse en vous, votre véritable centre s'élève. Il commence à vous pousser des ailes et soudain tout le ciel s'ouvre.

Il n'est pas question de décider logiquement si ce qui est dit est vrai ou faux, au contraire, il est question d'amour, pas de logique. La vérité crée immédiatement un amour dans votre cœur, quelque chose se déclenche en vous de façon mystérieuse.

Mais si vous écoutez mal, c'est-à-dire plein de votre mental, plein de vos ordures, plein de votre savoir, alors vous ne permettrez pas à votre cœur de répondre à la vérité. Vous manquerez la merveilleuse possibilité, vous manquerez la synchronicité. Votre cœur était prêt à répondre à la vérité…
Il répond seulement à la vérité, souvenez-vous, il ne répond jamais à ce qui est faux.
Avec ce qui est faux il reste complètement silencieux, sans réaction, sans émotion, sans mouvement. Avec la vérité il commence à danser, à chanter comme si soudain le soleil s'était levé, la nuit sombre n'est plus, les oiseaux chantent, les lotus s'ouvrent et tout l'univers s'éveille.

Osho

PRENDRE UNE DÉCISIONDécider est bon lorsque cela sort de la vie, c'est mauvais lorsque cela vient seulement de la tête. ...
03/11/2017

PRENDRE UNE DÉCISION

Décider est bon lorsque cela sort de la vie, c'est mauvais lorsque cela vient seulement de la tête.
Et lorsque cela vient seulement de la tête ce n'est jamais décisif, c'est toujours un conflit.

Les alternatives restent ouvertes et le mental ressasse sans arrêt, comme ceci, comme cela. C'est comme cela que le mental crée le conflit.
Le corps est toujours ici et maintenant, le mental n'est jamais ici et maintenant, c'est là tout le conflit. Vous respirez ici et maintenant, vous ne pouvez pas respirer demain et vous ne pouvez pas respirer hier.
Vous devez respirer maintenant, mais vous pouvez penser à demain et vous pouvez penser à hier.

Donc le corps reste dans le présent, alors que le mental continuent de sautiller entre passé et futur et il y a une rupture entre le corps et le mental. Le corps est dans le présent, le mental n'est jamais dans le présent. Ils ne se rencontrent jamais, ils ne se rencontrent jamais par hasard. Et à cause de cette rupture, l'inquiétude et la tension surgissent, elles sont là. Cette tension est l'inquiétude.
Le mental doit être ramené au présent, parce qu'il n'y a aucun autre temps.

Quand vous êtes en accord avec le corps, vous connaîtrez pour la première fois ce qu'est le présent.
Autrement c'est juste un mot, le mental n'en a jamais fait l'expérience, le mental ne l'a jamais éprouvé. Il connaît le passé, il connaît le futur.
Aussi lorsque vous dites : «le présent », le mental comprend quelque chose entre le passé et le futur, entre une chose et une autre, mais le mental n'en a aucune expérience.

Ainsi pendant une heure chaque jour, détendez-vous dans la respiration et laissez la respiration aller. Elle va et vient automatiquement. Lorsque vous marchez, cela va automatiquement. Lentement, lentement il y aura des espaces et ces espaces vous donneront une première expérience du présent. De ces jours, soudainement la décision surgira, quoi qu'elle soit.

Peu importe quelle décision monte. La chose la plus importante est d'où elle vient, pas ce quelle est, mais d'où elle vient. Si elle vient de la tête, elle créera la misère. C'est une autre voix qui décidera à votre place.

Mais si une certaine décision résulte de votre totalité alors vous ne vous repentirez jamais, même un seul instant. Un homme qui vit dans le présent ne connaît pas de repentir, il ne regarde jamais derrière lui, il ne change jamais son passé ni ses souvenirs et il n'arrange jamais son avenir.

Décidez à partir de la tête est une chose laide. Le mot même décision veut dire: de-cision, il vous coupe. Ce n'est pas un bon mot. Il signifie simplement qu'il vous coupe de la réalité. La tête vous coupe continuellement de la réalité.

Mon objectif tout entier est sur l’instant, parce que ce moment contient tout. Maintenant est la seule réalité, tout le reste est souvenir ou imagination.
Et même pour que le passé existe en tant que souvenir, le présent est nécessaire. Il n'existe pas en tant que passé, il existe comme une pensée dans le présent.
Il en va de même pour le futur. Le futur n'existe pas en tant que futur, il existe en tant qu'imagination dans le moment présent.

Osho

IntuitionCette petite voix intérieure est très forte chez les enfants, mais lentement, lentement, elle devient plus faib...
02/11/2017

Intuition

Cette petite voix intérieure est très forte chez les enfants, mais lentement, lentement, elle devient plus faible et s’éteint.
Les voix des parents et des professeurs, de la société deviennent alors de plus en plus fortes à tel point que si vous voulez découvrir quelle est votre voix, vous devez passer à travers une foule de bruits intérieurs, de votre mental.

Quelquefois c'est votre père qui parle, quelquefois c'est votre mère, quelquefois c'est votre grand-père, quelquefois c'est votre professeur, et ces voix sont toutes différentes.

Votre intuition a toujours été réprimée. On vous a dit d'écouter vos aînés, d'écouter les prêtres, d'écouter les professeurs. On ne vous a jamais dit d'écouter votre propre cœur.
Vous avez une silencieuse petite voix, inaudible, et dans la foule des voix qui vous ont été imposées, c'est presque impossible de la découvrir.

D'abord vous devez vous débarrasser de tous ces bruits, parvenir à une certaine qualité de silence, de paix, de sérénité. Alors seulement, vous découvrirez, par surprise, que vous avez aussi votre propre voix. Elle avait toujours été là.

Aussi valables que soient ces idées, elles sont inutiles parce que ce ne sont pas les vôtres. La seule idée valable est celle qui surgit en vous, grandit en vous, s'épanouit en vous.
Quoique vous fassiez, pensiez, décidiez, demandez-vous : "est-ce que ceci vient de moi ou est-ce un autre qui parle ?"
Revisitez tout ce qu’on vous a demandé d’être, de penser, de décider, d’aimer.

Vous serez surpris quand vous reconnaîtrez la véritable voix.
Peut être c'est votre mère, vous l'entendrez à nouveau parler. Peut être c'est votre père, il n'est pas du tout difficile de les reconnaître. Elles sont enregistrées en vous exactement comme elles vous ont été données pour la première fois, le conseil, l'ordre, la discipline, la manipulation ou le commandement.

Vous pouvez retrouver beaucoup de gens, les prêtres, les professeurs, les amis, les voisins et les parents. Ce n'est pas la peine de lutter. Il faut simplement savoir que ce n'est pas votre voix mais celle d'un autre. Quel que soit cet autre vous savez que vous n'allez pas l'oublier.
Quelles que soient les conséquences, bonnes ou mauvaises, vous êtes maintenant décidé à revenir à vous-même, vous êtes décidé à être mature.
Vous êtes suffisamment resté enfant. Vous êtes suffisamment resté dépendant. Vous avez écouté toutes ces voix et leur avez suffisamment obéi. Et où vous ont-elles mené ? Dans un gâchis.

Une fois que vous avez identifié à qui appartient cette voix, remerciez la personne, demandez-lui de vous laisser tranquille et dites-lui au revoir.
La personne qui vous a donné sa voix n'était pas votre ennemie. Ses intentions n'étaient peut être pas mauvaises, mais ce n'est pas une question d'intention.
La question est qu'elle vous imposait quelque chose qui ne venait pas de votre source intérieure, et quelque chose qui vient de l'extérieur fait de vous un esclave psychologique.
Une fois que vous avez clairement dit à une de ces voix, 'laisse-moi tranquille' votre relation à elle, votre identité avec elle, est rompue.

Elle était capable de vous contrôler parce que vous pensiez que c'était votre voix. Maintenant vous savez que ce ne sont pas vos pensées, ni votre voix, c'est quelque chose d'étranger à votre nature. Le reconnaître suffit.
Débarrassez-vous des voix qui ne sont pas les vôtres et rapidement vous serez surpris d'entendre une petite voix tranquille que vous n'aviez jamais entendue avant... et vous reconnaîtrez soudain que c'est votre voix.

Elle a toujours été là, mais c'est une très silencieuse petite voix parce qu'elle a été réprimée quand vous étiez un tout petit enfant, et la voix était très faible, juste un germe, et il était couvert avec toutes sortes de saloperies.
Et maintenant vous charriez cette m***e et vous avez oublié la plante qu'est votre vie, qui est toujours vivante, attendant que vous la découvriez.
Découvrez votre voix et ensuite suivez-la sans peur.
Où qu'elle vous guide, c'est le but de votre vie, c'est votre destinée.
C'est seulement là que vous trouverez l'accomplissement, la satisfaction. C'est seulement là que vous vous épanouirez, et avec cet épanouissement vient la connaissance.

Mais attention votre mental est fort, il vous illusionnera encore maintes fois, lorsque c’est « vous » qui choisirez, plus votre mère ou une autre voix , il n’y aura plus rien à dire.

Osho

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