Mon Massage Bien-Etre Le Massage Ré-Conciliant

Mon Massage Bien-Etre  Le Massage Ré-Conciliant Praticien et formateur reconnu. Ce massage Réconciliant est devenu l'unique méthode de massage que je propose.

Il pourra prendre des orientations diverses pour mieux s'adapter à vos besoins du moment. Le temps de paroles permettra de cibler vos besoins. N'hésitez pas à me contacter si vous avez la moindre question!

18/11/2025
"Ma philosophie est simple : ce que les gens disent de moi ne me regarde pas.Je suis ce que je suis, et je fais ce que j...
17/11/2025

"Ma philosophie est simple : ce que les gens disent de moi ne me regarde pas.
Je suis ce que je suis, et je fais ce que je fais.
Je n’attends rien, j’accueille tout.
Et cela rend la vie plus légère.
Nous vivons dans un monde étrange,
où les funérailles comptent plus que le défunt,
où le mariage a plus de valeur que l’amour,
où l’apparence l’emporte sur l’âme.

Nous vivons dans une culture de l’emballage,
qui méprise le contenu."

Anthony Hopkins

Allez, viens privilégier ton contenu avec un massage Réconciliant 💆‍♀️💆‍♂️🧘‍♀️😇

AVANT DE T’AIMER, JE M’AIMELaisse-moi te dire qu’avant de me donner à toi, j’ai besoin de me donner à moi-même, de conna...
16/11/2025

AVANT DE T’AIMER, JE M’AIME

Laisse-moi te dire qu’avant de me donner à toi, j’ai besoin de me donner à moi-même, de connaître tous mes recoins et de pénétrer dans les zones les plus silencieuses de mon âme. Je veux connaître chacun de mes secrets, savoir ce qui me fait du bien et ce qui me fait du mal, et creuser les raisons de ces sentiments. Je suis de celles, ceux qui pensent qu’avant un « je t’aime », il faut savoir se dire « je m’aime » pour être juste avec l’autre.

J’ai besoin de savoir quelles sont mes blessures et quel est le point d’achoppement qui les fait saigner à nouveau. Connaître mes forces et savoir ce qui me définit, quelle est mon empreinte, mon point fort… pour ensuite, quand la situation le demande, t’offrir un sourire. Je préfère m’aimer avant tout pour ainsi pouvoir t’aimer bien et sainement. Et si tu doutes encore, ne t’inquiète pas, une fois que tu auras terminé cette lettre, tu sauras ce que je veux dire.

Lorsque je ne savais pas m’aimer

J’ai commencé à me rendre compte de l’importance de s’aimer lorsque j’ai oublié de le faire. Au moment le pire où je me trouvais et que je me consacrais à mendier de l’amour à d’autres pour bien me sentir.

Mon bien-être faux dépendait de l’approbation des autres et de leur moral. S’ils, elles décidaient de me valoriser et qu’ils, elles m’offraient un compliment, je pensais être heureux(se). À l’inverse, quand ils, elles me critiquaient et qu’ils,elles me dévalorisaient, je me considérais comme nul(le). Sans le savoir, j’offrais les clés de mon bien-être à toutes(tous), en m’oubliant.

Je suis arrivé(e) si loin que j’ai fini par devenir ce que les autres voulaient pour moi et donc un(e) inconnu(e) complet(ète) pour moi-même. Je ne savais même pas ce que j’aimais, où je voulais aller et quels étaient mes rêves car les autres le décidaient pour moi. Je me refusais à moi-même l’opportunité de me connaître, je ne savais même pas que c’était possible.

Et un beau jour, j’ai explosé. Seul(e), mais j’ai explosé. Au début, je ne savais pas ce qui m’arrivait, je ne ressentais que du mal être et je pleurais. Mais avec le temps, je me suis rendu(e) compte que c’était un appel au secours vis à vis de moi-même. À partir de ce moment, j’ai commencé à prendre conscience que je ne pouvais pas continuer à être quelqu’un « à moitié » et aux dépens des autres. Je me suis fatigué(e) d’être qui je n’étais pas pour que le reste se sente bien et j’ai commencé petit à petit à me découvrir. J’ai commencé à m’aimer.

Je m’aime ainsi, imparfait(e) mais authentique

J’ai soudain pris conscience que je pouvais être plus indépendant(e) de ce que j’imaginais, que mon opinion était également valide et mes yeux était jolis. J’ai adoré me rendre compte que je savais agir sans que les autres ne me donnent leur aval (même si bien sûr, cela a été difficile à atteindre).

Je m’appréciais, je me demandais « Comment vas-tu ? » et si la journée s’était bien passée. Je me lançais même des défis pour faire émerger le soleil. Je n’avais alors plus besoin que les autres me disent ce que je valais car moi, de manière autonome, j’étais capable de le savoir. Si on m’envoyait une critique ou que je ne savais pas faire quelque chose, ce n’est pas de moi que je doutais.

J’ai appris à aimer mes défauts, à les modifier et à valoriser mes réussites et mes capacités. Grâce à cela, j’ai abandonné l’obsessive pensée d’être parfait(e) pour plaire à toutes(tous). Maintenant, j’aime mes imperfections car si je ne les aimais pas, ce serait comme amputer une partie de moi.

Je m’aime pour pouvoir me montrer authentique face à toi et ne pas feindre qui je ne suis pas.

Je m’aime pour éviter que tu ne me rejettes

Tu te demanderas sûrement quel est le lien entre le fait de m’aimer et de t’aimer, mais il est nécessaire que tu le saches pour comprendre comment aurait pu tourner notre relation si je ne m’étais accordé(e) aucune valeur à moi-même.

Si je ne m’aimais pas, je t’obligerais à te souvenir de moi en permanence et à rassasier mes doutes sur ton amour et mon manque de confiance. Tu serais responsable de la manière dont je me sens ou du moins, c’est ainsi que je le percevrais, et tu agirais en conséquence. Tu devrais me sauver à chaque fois que mes insécurités apparaîtraient et remettre en cause mon courage.

Ce ne serait pas un amour sain, mais plutôt une relation qui aurait pour objectif de guérir mes blessures. Je ne dis pas quand je me sens mal, tu ne dois pas m’apporter ta chaleur ou tes bras pour refuge, mais que tu n’es pas responsable de ma personne. Tu n’as pas le devoir de me rappeler à mon bon souvenir et de me dire combien je vaux pour que je me sente bien. Ça, c’est ma tâche.

Je refuse que tu paies pour les fantômes de mon passé. C’est pour cela que j’ai besoin de temps pour m’aimer, pour identifier mes peurs et mes vulnérabilités et ne pas les traîner dans notre relation. Car tu n’as pas à me sauver de mes vides, tu n’es pas mon sauveur.

Je m’aime pour te donner le meilleur de moi et ne pas te responsabiliser de mon mal être. Je m’aime car mon objectif est de grandir avec toi.

Ce que j’aime, c’est partager mon chemin avec toi à partir de la confiance et de la compréhension pour construire un amour loin du besoin et continuer à grandir. C’est pour cela, qu’avant de t’aimer, je m’aime. Car je ne souhaite pas me perdre dans la relation, mais me perdre en toi.

Source : nos pensées
(Via l'âme agit en couleur by Cynthia)

"Ma philosophie est simple : ce que les gens disent de moi ne me regarde pas.Je suis ce que je suis, et je fais ce que j...
14/11/2025

"Ma philosophie est simple : ce que les gens disent de moi ne me regarde pas.
Je suis ce que je suis, et je fais ce que je fais.
Je n’attends rien, j’accueille tout.
Et cela rend la vie plus légère.
Nous vivons dans un monde étrange,
où les funérailles comptent plus que le défunt,
où le mariage a plus de valeur que l’amour,
où l’apparence l’emporte sur l’âme.

Nous vivons dans une culture de l’emballage,
qui méprise le contenu."

Anthony Hopkins

Et si c'était une séance de massage Réconciliant ce doux pour toi ?

La vie n'est supportable que si l'on y introduit non pas de l'utopie mais de la poésie, c'est à dire de l'intensité, de ...
13/11/2025

La vie n'est supportable que si l'on y introduit non pas de l'utopie mais de la poésie, c'est à dire de l'intensité, de la fête, de la joie, de la communion, du bonheur et de l'amour.
Edgar Morin- (La Complexité Humaine)

Et si tu venais découvrir le massage Réconciliant pour en garder le souvenir ?..plutôt que le regret ...

La colère, quand elle ne trouve pas de bouche, descend dans le ventre. Elle s’installe dans les plis du silence, devient...
10/11/2025

La colère, quand elle ne trouve pas de bouche, descend dans le ventre. Elle s’installe dans les plis du silence, devient pierre, devient fatigue, devient amertume, devient ce poids qu’on appelle tristesse. On croit qu’on a tourné la page alors qu’on s’est simplement avalé les mots. Le sourire comme pansement, la gentillesse comme stratégie de survie. Et le corps qui encaisse, jusqu’à se souvenir pour nous de ce qu’on n’a jamais osé dire.

On nous a dressés à comprendre, à excuser, à rationaliser. On nous a appris ces dernières années à pardonner avant même de digérer. À transformer l’injustice en sagesse, la morsure en leçon. Mais le corps, lui, ne philosophe pas. Il garde la trace. Le foie s’enflamme, la gorge se ferme, le plexus chauffe comme un métal rouge. Ce feu, faute de sortir, s’éteint de l’intérieur et devient pluie. Une pluie épaisse qui, parfois, s’appelle mélancolie, douleur, fatigue chronique !

J’ai choisi cette photo parce qu’elle dit tout de cette colère là. Une ombre d’humain sans tête, clouée au sol par un poteau noir. Le corps est là, les bras ouverts, mais sans souffle. C’est l’image même du feu qu’on a empêché de vivre. Une colère décapitée, tenue droite par la honte et le contrôle. À force d’étouffer l’élan, l’ombre se durcit, le vivant devient silhouette. Pourtant il suffirait d’un souffle, d’un mot, d’un cri pour que la forme se réchauffe, que l’humain reprenne son axe, que le corps retrouve sa lumière.

Et quand cette colère n’a pas trouvé d’espace pour se dire, elle s’invente d’autres chemins. Elle s’échappe dans les commentaires venimeux des réseaux, dans les coups de klaxon rageurs, dans ces gestes d’agacement qui éclaboussent sans vraiment viser. Derrière les écrans, derrière les volants, elle cherche encore un visage à qui parler. C’est la même colère, mais désincarnée, privée de sa chair, privée de sa parole. Une humanité qui s’exprime à distance parce qu’elle ne sait plus où poser sa voix. Elle est partout!

Exprimer la colère, c’est rendre au feu sa noblesse. Le feu éclaire, purifie, limite, révèle. Ce n’est pas l’autre qu’on brûle, c’est le mensonge que l’on s’invente. Et parfois, la colère, c’est la première vraie respiration après des années à respirer pour les autres. La tristesse n’est rien d’autre qu’une colère bâillonnée (et parfois, c’est l’inverse : la colère cache l’immense tristesse). Quand la voix revient, le corps se redresse. Quelque chose retrouve la verticalité du vivant. Dire non et remettre des balises c’est se remettre debout.

J’admire ceux qui savent se mettre en colère. Ceux qui savent dire : « là, ça suffit ! » Ceux qui s’indignent sans se justifier, qui posent leurs limites sans peur de perdre l’amour. Ceux-là sont des maîtres du feu. Ils rappellent au monde que la clarté est une forme de tendresse.

Ceux qui ont connu des traumas savent que la colère a parfois disparu. Quand il n’y a plus d’issue, le corps se fige. L’arrêt, c’est la seule issue qu’il restait. C’est la peau qui se ferme pour ne pas exploser. Alors le gel devient normalité, et on s’oublie dans l’endurance. Jusqu’au jour où la colère revient. Elle surprend, elle déborde, elle fait trembler les murs. Et pourtant, c’est une bénédiction. Elle dit que la vie reprend ses droits.

La colère n’est pas un danger, c’est une renaissance. Ce n’est pas une destruction, c’est une lucidité. Elle arrache le voile de la complaisance et remet le souffle là où il manquait. On ne veut plus être traversé sans être vu, utilisé sans être nommé. C’est le cri du corps qui réclame la vérité.

Et à ceux qui ne vivent pas cette tempête, ceux pour qui les mots sortent sans peur, ceux qui savent se dire avant de se perdre ; gardez cette posture. Regardez ceux qui apprennent à se relever sans juger leurs tremblements.

La colère des uns ne menace pas la paix des autres ! (Je ne parle pas de violence ici, soyons clairs.)

La juste colère déblaye la route commune vers plus de justesse.

La colère pure et alignée n’est pas contre la vie. Elle est pour la vie. Pour la clarté. Pour la dignité. Pour la réconciliation entre la douceur et la vérité. Quand elle est entendue, elle devient lumière.

10.11.25

Sandra Mioli

Crédit photo : Trippy vib

J'apprends lentement que je n'ai pas à réagir à tout ce qui me dérange.J'apprends lentement que l'énergie qu'il faut pou...
08/11/2025

J'apprends lentement que je n'ai pas à réagir à tout ce qui me dérange.

J'apprends lentement que l'énergie qu'il faut pour réagir à chaque mauvaise chose qui vous arrive, vous épuise et vous empêche de voir les autres bonnes choses de la vie.

J'apprends lentement que je ne vais pas être le réconfort de tout le monde et que je ne pourrai pas amener tout le monde à me traiter comme je veux être traité et ce n'est pas grave.

J'apprends lentement qu'essayer si fort de "gagner" n'importe qui n'est qu'une perte de temps et d'énergie et que cela ne vous remplit que de vide.

J'apprends lentement que ne pas réagir ne signifie pas que je suis d'accord avec les choses, cela signifie simplement que je choisis de m'élever au-dessus.

Je choisis de tirer la leçon qu'elle m'a servie et d'en tirer des leçons. Je choisis d'être la plus grande personne.
Je choisis ma tranquillité d'esprit parce que c'est ce dont j'ai vraiment besoin.
Je n'ai pas besoin de plus de drame.
Je n'ai pas besoin que les gens me fassent sentir que je ne suis pas assez bien.
Je n'ai pas besoin de bagarres, d'arguments et de fausses connexions.

J'apprends lentement que parfois, ne rien dire du tout, dit tout.

J'apprends lentement que réagir à des choses qui vous dérangent donne à quelqu'un d'autre un pouvoir sur vos émotions.

Vous ne pouvez pas contrôler ce que font les autres, mais vous pouvez contrôler la façon dont vous réagissez, comment vous le gérez, comment vous le percevez et combien vous voulez en prendre personnellement.

J'apprends lentement que la plupart du temps, ces situations ne disent rien sur vous et beaucoup sur l'autre personne.

J'apprends lentement que toutes ces déceptions sont peut-être juste là pour nous apprendre à nous aimer parce que ce sera le bouclier dont nous avons besoin contre les gens qui essaient de nous abattre.
Ils nous sauveront lorsque les gens essaieront d' ébranler notre confiance ou lorsqu'ils essaieront de nous faire sentir que nous ne valons rien.

J'apprends lentement que même si je réagis, cela ne changera rien, cela ne fera pas que les gens m'aimeront et me respecteront soudainement, cela ne changera pas comme par magie leurs esprits.
Parfois, il vaut mieux laisser les choses aller, laisser les gens partir, ne pas se battre pour la fermeture, ne pas demander d'explications, ne pas courir après les réponses et ne pas s'attendre à ce que les gens comprennent d'où vous venez.

J'apprends lentement que la vie est mieux vécue lorsque vous ne la centrez pas sur ce qui se passe autour de vous et que vous la centrez plutôt sur ce qui se passe à l'intérieur de vous.
Travaillez sur vous-même et sur votre paix intérieure et vous réaliserez que ne pas réagir à chaque petite chose qui vous dérange est le premier ingrédient pour vivre une vie heureuse et saine."

Rania Naim

"Ma fille est rentrée de l’école en disant :« Maman, tu ne devineras jamais ce qui s’est passé aujourd’hui en cours d’hi...
07/11/2025

"Ma fille est rentrée de l’école en disant :
« Maman, tu ne devineras jamais ce qui s’est passé aujourd’hui en cours d’histoire. »

Son professeur a annoncé à la classe qu’ils allaient jouer à un jeu.
Il a circulé entre les rangs et a murmuré à chaque élève s’il était une sorcière ou simplement une personne ordinaire. Puis il a donné les consignes :
« Formez le plus grand groupe possible… mais sans sorcière. S’il y a ne serait-ce qu’une sorcière parmi vous, tout le groupe échoue. »

Ma fille a raconté que, aussitôt, la méfiance s’est installée.
Les questions fusaient :
« Es-tu une sorcière ? Comment savoir que tu ne mens pas ? »
Certains sont restés dans un grand groupe, mais la plupart se sont isolés en petits cercles fermés.
On écartait quiconque paraissait nerveux ou coupable, fût-ce d’un simple geste.
L’atmosphère a changé en quelques minutes : chuchotements, regards soupçonneux, doigts accusateurs. La confiance s’était évaporée.

Lorsque les groupes furent enfin formés, le professeur déclara :
« Bien, découvrons qui a perdu. Sorcières, levez la main. »
Personne ne bougea.
La classe éclata de rire.
« Quoi ? Vous avez gâché le jeu ! »

Alors le professeur lâcha la vérité :
« Réfléchissez… Y avait-il vraiment des sorcières à Salem, ou tout le monde a-t-il simplement cru ce qu’on lui disait ? »

Le silence est tombé.
Les élèves ont compris.
Nulle sorcière n’était nécessaire pour semer le chaos : la peur avait déjà fait son œuvre.
La seule méfiance avait suffi à diviser la classe, à briser la communauté.

Et n’est-ce pas exactement ce qui se passe aujourd’hui ?
Les mots changent, mais le jeu reste le même.
Au lieu de “sorcière”, on dit “libéral”, “conservateur”, “complotiste”, “mouton”, “vacciné”, “non-vacciné”, “pro-ci”, “anti-ça”.
Les étiquettes varient, la stratégie demeure :
insuffler la peur, semer la défiance, diviser.
Puis regarder la confiance s’effondrer.

Le danger n’a jamais été la sorcière.
Le danger, c’est la rumeur, la méfiance, la peur, les mensonges qu’on sème.
Refuse le murmure. Ne joue pas à ce jeu.
Car dès l’instant où nous partons chasser les “sorcières”, nous avons déjà perdu.

Via Céline Lagouarde

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