Lenaerts Julie Psychologue

Lenaerts Julie Psychologue Accepte ce qui est, laisse aller ce qui était et aie confiance en ce qui sera

25/07/2025

Belle idée … en terme de stratégie de régulation émotionnelle … 😉

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23/06/2025

😉

Une pensée pleine de dynamisme et d’enthousiasme à vous, patients de tous âges où nous avons de notre mieux, semé les graines de la confiance en soir…

Une pensée pleine d’empathie à vous, parents fatigués par cette période particulière, qui avez donné le meilleur et qui êtes venus auprès de nous chercher structure, cohérence et bienveillance.

Bonne réussite à tous!

Julie et Sophie

❤️😍🥰
19/05/2025

❤️😍🥰

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04/05/2025

❤️😍🥰

🌸 Un texte très parlant ! 🌸

Nous sommes les enfants de parents qui ne sont jamais allés en thérapie

Nous sommes les enfants de ceux qui ont fait du mieux qu’ils pouvaient, avec ce qu’ils avaient.

Nous avons grandi dans les silences, ceux qui recouvraient ce qui ne s’est jamais dit. Dans des règles qu’on ne remettait pas en question, dans des émotions contenues jusqu’à devenir invisibles.

Nous avons appris à lire les gestes plutôt que les mots, à survivre dans l’incertitude de ce qui ne se disait pas, à chercher un sens dans ce qui, pour eux, n’avait même pas de nom.

Il ne s’agit pas de juger leur niveau de conscience, mais de comprendre que chaque génération porte le poids de sa propre histoire. Nos parents furent eux aussi les enfants d’un temps où la vulnérabilité était un luxe, et l’introspection, un sentier peu emprunté. Ils ont grandi dans un monde où les blessures ne se nommaient pas : on les endurait, simplement. Où les limites étaient soit rigides, soit absentes. Où l’amour se prouvait par le sacrifice, non par les mots.

Et pourtant, nous sommes là. Apprenant à nommer ce qu’ils n’ont pas su dire. À reconnaître les peurs qu’on nous a léguées sans le vouloir. À nous accorder le droit de ressentir sans craindre d’être jugés. Car guérir, ce n’est pas accuser, c’est comprendre : ce que nous avons reçu, c’est tout ce qu’ils ont su offrir.

C’est regarder leur histoire avec compassion, et la nôtre avec responsabilité.

Nous sommes les enfants de parents qui ne sont jamais allés en thérapie, mais nous avons choisi un autre chemin. Il nous revient de dépasser ce que nous avons appris sans le renier, de construire sans démolir, d’honorer sans répéter. Il nous appartient d’accepter que le passé ne peut être changé, mais que son écho peut être transformé dans notre vie.

Il nous revient d’accueillir nos blessures avec tendresse, d’en faire des sources de sagesse, et de nous permettre d’être, à chaque pas, la génération qui ouvre la voie à de nouvelles façons d’aimer, de vivre, d’exister, d’Être.

04/05/2025

La blessure de rejet : quand l’enfance façonne l’amour que l’on se refuse

Le rejet, lorsqu’il s’infiltre dans le cœur d’un enfant, ne se contente pas d’être une simple expérience douloureuse. Il devient une empreinte indélébile, un prisme à travers lequel il apprendra à se voir lui-même et à interpréter le monde qui l’entoure. Un enfant qui se sent rejeté ne remet pas en question ceux qui le repoussent ; il se remet en question lui-même. Il se dit que s’il n’est pas aimé, c’est qu’il ne le mérite pas. Alors, il tente de compenser, d’être plus gentil, plus obéissant, plus utile… mais toujours avec cette peur sourde au fond de lui : « Si je ne suis pas assez, on me laissera tomber. »

C’est ainsi que naît la quête infinie de reconnaissance, ce besoin insatiable d’être validé par les autres, non pas par égoïsme, mais parce que l’amour de soi lui a été refusé avant même qu’il puisse l’apprendre. Ce rejet initial devient une racine, s’étendant à chaque relation future. L’enfant grandit en devenant un adulte qui donne tout, qui s’efface, qui s’épuise à vouloir être indispensable pour mériter une place, un regard, une caresse.

Il entre dans des relations où il ne sait pas recevoir, car recevoir implique de croire qu’il en est digne. Alors, il donne sans compter, pense aux autres avant lui-même, endosse le rôle du sauveur en espérant qu’en guérissant les autres, il guérira lui-même. Mais ce qu’il ne voit pas, c’est que ce rôle l’enchaîne. Car en sauvant pour être aimé, il ne s’autorise jamais à être aimé sans condition.

Le rejet, lorsqu’il est inscrit si profondément, fait naître une étrange contradiction : une peur viscérale d’être abandonné, mais une incapacité à réellement se laisser aimer. Car aimer suppose d’être vu, d’être accepté tel que l’on est, et pour celui qui a été rejeté trop tôt, cela semble toujours dangereux.

Alors, comment guérir ? En cessant d’attendre que l’amour vienne de l’extérieur. En osant, pour la première fois, s’accorder ce que l’on a toujours cherché ailleurs. Se choisir. Se respecter. Se donner ce qu’on a tant offert aux autres. Et comprendre, enfin, que l’amour que l’on mérite n’a jamais été conditionnel. Il a simplement été oublié

Auteur Malvina Mireille

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04/05/2025

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22/04/2025

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10/04/2025

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Parfois, j’ai échoué. En tant que fille, en tant que partenaire, que sœur, que nièce, ou amie.
Je n’ai pas toujours les bons mots. Je ne suis pas parfaite. Je ne suis pas la plus belle femme du monde… mais je suis moi.

J’aime manger. J’ai des cicatrices, parce que j’ai une histoire.
Certaines personnes m’aiment, d’autres non. J’ai fait des erreurs, j’ai fait aussi de belles choses.
Je sors sans maquillage, parfois même sans me coiffer.

Je ne prétends pas être quelqu’un d’autre. Je suis entière. Un peu fière, un peu impulsive, parfois même un peu folle… mais toujours sincère.
Tu peux m’aimer ou non. Mais si moi je t’aime, je le fais à 100 %, sans demi-mesure.

Je ne m’excuserai jamais d’être moi. Parce qu’être moi, c’est ma force.
Et j’aime cette version de moi, avec ses défauts, ses douleurs, et son cœur vrai.

09/03/2025

🤗😜

Pour toutes les personnes  qui souffrent du burn out … 🥰 … à méditer …
06/03/2025

Pour toutes les personnes qui souffrent du burn out … 🥰 … à méditer …

— Tu t’épuises.

— Non… je vais bien.

— Ne me mens pas. Je le vois dans tes yeux, dans tes gestes, dans ta façon de marcher.
Je le sens dans ton souffle court, dans ton regard éteint, dans ta voix qui tremble.
Tu t’épuises.

— Je n’ai pas le choix.
Je dois tout porter, tout gérer, tout encaisser.
Je dois être forte.

— Forte ?
Tu confonds force et sacrifice.
Ce que tu portes te courbe l’échine,
te ronge les os,
t’éteint doucement, sans bruit.

— Je ne peux pas tout lâcher.
Ils comptent sur moi.
Si je m’arrête, tout s’effondre.

— Et toi ?
Si tu t’effondres,
qui te relèvera ?

— Je… Je ne sais pas.
Je ne veux pas être un fardeau.

— Tu n’as pas à tout porter seule.
Tu n’es pas un roc,
tu es une femme.

— Mais si je ne le fais pas, qui le fera ?
Si je ne suis pas forte, qui le sera à ma place ?

— Qui t’a appris que demander de l’aide était une faiblesse ?
Qui t’a fait croire que t’épuiser était une preuve de courage ?

— J’ai appris à être forte.
À tenir bon.
À ne pas me plaindre.

— Et à quel prix ?
À quel prix ta lumière s’éteint-elle ?
À quel prix tes rêves se fanent-ils ?

— Je ne veux pas décevoir.
Je ne veux pas échouer.

— Tu n’échoues pas en te reposant.
Tu n’échoues pas en déposant ce qui n’est pas à toi.
Tu n’échoues pas en choisissant de te sauver, toi.

— Mais si je m’arrête…
Si je lâche…
Si je dépose ce poids…
Qui suis-je alors ?

— Tu es toi.
Enfin toi.
Sans les masques, sans les rôles imposés.
Tu redeviens cette femme libre,
celle qui sait danser sous la pluie,
celle qui ne cherche pas à plaire,
celle qui n’a pas besoin de tout contrôler pour être en paix.

— Et si je tombe ?

— Alors tu te relèveras.
Mais cette fois,
tu seras plus légère.
Parce que tu n’auras gardé que ce qui t’appartient vraiment.

— J’ai peur de décevoir.
J’ai peur de perdre ceux qui ne comprennent pas.

— Alors perds-les.
Parce que ceux qui ne peuvent pas accepter ta vérité
n’ont jamais vraiment aimé qui tu es.

— Et si je me perds ?

— C’est seulement en te perdant
que tu pourras te retrouver.
Vraiment.
Entière.
Sauvage.
Libre.

— Et si… Et si je n’y arrive pas ?

— Alors je serai là.
Je suis la flamme en toi qui refuse de s’éteindre.
Je suis le souffle qui te pousse à te relever.
Je suis cette voix qui murmure :
Tu es bien plus forte que tu ne le crois.

— Alors… je lâche.
Je dépose.
Je respire.

— Enfin.

Dialogue avec la Femme Sauvage 🐺🔥

Cindy Pinchart - Essence Feminine, 28/02/2025

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01/03/2025

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S’il vous plaît, ne minimisez jamais le ressenti de quelqu’un, même si vous ne comprenez pas sa manière de réagir. Chaque personne vit les émotions différemment, selon son histoire, ses expériences, et sa sensibilité. Ce qui peut sembler anodin pour vous peut être un véritable tourment pour quelqu’un d’autre.

Accueillir l’émotion de l’autre avec respect et bienveillance, c’est reconnaître sa réalité. Ce n’est pas à nous de juger la façon dont il ou elle ressent ou exprime la douleur, la tristesse ou la colère. Nous n’avons pas toujours besoin de comprendre pour offrir notre écoute. Parfois, la simple présence et l’acceptation sans jugement peuvent être la plus grande aide. Respecter les émotions d’autrui, c’est respecter son humanité.

Via Luna Richie

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03/02/2025

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Combien de fois nous, les humains, agissons-nous également comme ce cactus ? Nous pensons que nous protégeons les autres, les sauvons, les assurons en sécurité, mais ce faisant, nous étouffons leur croissance, les privant des expériences dont ils ont besoin pour vivre, apprendre et s'épanouir.

Le bien n’est pas toujours de « faire pour les autres », mais de leur laisser un espace pour qu’ils trouvent leur propre chemin, même face à leurs difficultés. Chaque âme a besoin de pluie pour grandir, de soleil pour briller et même de vent pour devenir plus forte.

Aimer véritablement ne signifie pas protéger à tout prix, mais faire confiance à la capacité de l'autre à affronter la vie, en étant un soutien silencieux, sans interférer.

Car parfois, ce qu’on appelle la protection peut devenir une cage, et ce qu’on appelle l’amour peut empêcher quelqu’un de s’épanouir pleinement.

Laissez les autres recevoir leur pluie. 🌧️
Laissons la vie leur apprendre, comme elle nous l’a appris.
Belle journée
Carla

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Geer
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