27/06/2025
🧠 Un cas qui fait réfléchir : le stimulant du TDAH qui a révélé un trouble bipolaire insoupçonné !
Aujourd’hui, je vous partage une étude de cas clinique fascinante, bien loin des statistiques générales ou des méta-analyses. Il s’agit d’un homme de 34 ans, traité pour un TDAH présumé avec du méthylphénidate… mais dont l’humeur s’est emballée après seulement deux semaines. Résultat : une hypomanie, puis un diagnostic final de trouble bipolaire II. Un rappel puissant que derrière des symptômes d’inattention ou d’agitation, il peut se cacher une toute autre réalité.
Le méthylphénidate a été arrêté. La lamotrigine introduite. Quelques semaines plus t**d : sommeil retrouvé, impulsivité disparue, humeur stabilisée. Le bon diagnostic a tout changé. Parce que la clé d’un bon traitement, c’est d’abord une évaluation clinique fine et rigoureuse.
Et justement… Aujourd’hui, j’ai envie de partager aussi ces études de cas uniques. On parle souvent de grandes cohortes, de pourcentages, de moyennes. Mais les cas individuels nous rappellent une vérité essentielle : le patient n’est pas une statistique. Chaque histoire est singulière, chaque tableau mérite une analyse précise et nuancée.
Il existe encore trop peu d’articles de ce type. Mais si cela vous intéresse, je pourrais vous en partager régulièrement. Ces récits sont passionnants et extrêmement riches cliniquement.
⚠️ Bien sûr, on ne généralise pas un cas unique à l’ensemble d’un trouble. Mais on y apprend l’importance du raisonnement clinique, du doute méthodique, et du respect de la complexité humaine.
💬 Et vous ? Ces cas vous intéressent ? En voyez-vous dans votre pratique ? Partageons nos réflexions en commentaire !
Source : https://archmedrep.com/index.php/amr/article/view/44/49