Soleil Rose - Chemin du Cœur

Soleil Rose - Chemin du Cœur Psychologue 🩷
Constellations 🌟
Nature🌳
Créativité🌈
Fleurs de Bach🌸
Guérison de l'Âme 💛

😍😍😍
25/07/2025

😍😍😍

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25/07/2025

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"Ecoute ton cœur. Il connait toute chose, parcequ'il vient de l'âme du monde, et qu'un jour il y retournera. "
Paulo Coelho

Un soir entre glaces, tisanes et prises de rdv 🤭
24/07/2025

Un soir entre glaces, tisanes et prises de rdv 🤭

Enjoy little pleasure 🌻🌻🌻
23/07/2025

Enjoy little pleasure 🌻🌻🌻

Les gens sont capables de tellement... Guérisons... Douceur... Force du groupe... 1000 mercis pour votre confiance 💛💛💛
23/07/2025

Les gens sont capables de tellement...

Guérisons...
Douceur...
Force du groupe...

1000 mercis pour votre confiance 💛💛💛

Croire en l'humanité !!!
23/07/2025

Croire en l'humanité !!!

« Mes garçons croient qu’on est en camping… Mais ils ignorent qu’on est sans-abri »

Ils dorment encore, tous les trois, blottis les uns contre les autres sous cette couverture bleue trop fine, comme si c’était la chose la plus douce au monde. Je regarde leur poitrine se soulever et s’abaisser… et je fais semblant, l’espace d’un instant, que nous sommes en vacances.

On a monté la tente derrière une aire de repos, juste après la limite du comté. Techniquement, c’est interdit. Mais c’est calme, et le vigile m’a lancé hier un regard qui disait qu’il ne nous chasserait pas. Pas encore.

Je leur ai dit qu’on partait camper. « Juste entre mecs », j’ai dit, comme si c’était une aventure. Comme si je n’avais pas vendu mon alliance trois jours plus tôt pour pouvoir payer l’essence et du beurre de cacahuète.

La vérité, c’est qu’ils sont encore trop petits pour faire la différence. Pour eux, dormir sur des matelas gonflables et manger des céréales dans des gobelets en carton, c’est amusant. Pour eux, je suis courageux. Comme si j’avais un plan.

Mais en réalité… j’ai appelé tous les refuges entre ici et Roseville, et aucun n’a de place pour quatre. Le dernier m’a dit « peut-être mardi ». Peut-être.

Leur mère est partie il y a six semaines. Elle a dit qu’elle allait chez sa sœur. Elle a laissé un mot… et une demi-bouteille d’Advil sur le comptoir. Plus de nouvelles depuis.

Je tiens le coup, à peine. On se débarbouille dans les stations-service. J’invente des histoires. Je garde les rituels du soir. Je les borde comme si tout allait bien.

Mais hier soir… Micah, le cadet, a murmuré dans son sommeil :
« Papa… j’aime mieux ici que le motel. »
Et ça… ça m’a brisé.

Parce qu’il avait raison. Et parce que je sais que ce soir pourrait bien être le dernier où je peux encore faire semblant.

Juste au moment où j’allais ouvrir la tente…

Micah a bougé.
« Papa ? » a-t-il chuchoté en se frottant les yeux. « On peut retourner voir les canards ? »

Ceux de l’étang, près de l’aire de repos. On y était allés la veille et il avait ri comme jamais depuis des semaines. J’ai forcé un sourire.
« Bien sûr, mon grand. Dès que tes frères sont réveillés. »

On a rangé nos maigres affaires, brossé les dents derrière le bâtiment. Le soleil chauffait déjà l’herbe. Toby, le plus jeune, me tenait la main en fredonnant, pendant que Caleb, l’aîné, shootait dans les cailloux en demandant si on allait faire une randonnée aujourd’hui.

J’étais sur le point de leur dire qu’on ne pouvait pas rester une nuit de plus… quand je l’ai vue.

Une femme, peut-être la soixantaine passée, marchait vers nous avec un sac en papier dans une main et un grand thermos dans l’autre. Elle portait une chemise de flanelle élimée, une longue tresse dans le dos. Je me suis dit qu’elle allait nous demander si tout allait bien — ou pire, nous dire de partir.

Mais non. Elle a souri et tendu le sac.

« Bonjour, » a-t-elle dit. « Vous voulez un petit-déjeuner, les garçons ? »

Ils se sont illuminés avant même que je puisse répondre. Dans le sac, il y avait des biscuits encore tièdes et des œufs durs. Et dans le thermos… du chocolat chaud. Pas du café. Du chocolat. Pour eux.

« Moi c’est Jean, » a-t-elle dit en s’asseyant sur le trottoir à côté de nous. « Je vous ai vus ici depuis deux nuits. »

J’ai hoché la tête, sans savoir quoi dire. Je ne voulais pas de pitié. Mais sur son visage, il n’y avait pas de pitié. Juste… de la bonté.

« J’ai connu une période difficile moi aussi, » a-t-elle ajouté, comme si elle lisait dans mes pensées. « C’était pas du camping. J’ai dormi deux mois dans une camionnette d’église avec ma fille, en 1999. »

J’ai cligné des yeux. « Vraiment ? »

« Oui. Les gens passaient devant nous comme si on était invisibles. J’me suis dit que je ferais pas pareil. »

Je sais pas ce qui m’a pris, mais je lui ai tout raconté. Le motel. La maman. Les refuges qui disaient « peut-être ».

Elle a juste écouté, hochant lentement la tête.

Puis elle m’a dit une chose inattendue :
« Viens avec moi. Je connais un endroit. »

J’ai hésité. « Un refuge ? »

« Non, » elle a dit. « Mieux. »

On a suivi sa vieille berline sur un long chemin de gravier. Mes mains serraient le volant, mon cœur battait la chamade. Je regardais sans cesse les garçons à l’arrière, riant à une blague de Toby… sans se douter qu’on poursuivait un miracle.

On est arrivés devant une ferme. Une grange rouge, une petite maison blanche, deux chèvres dans la cour. Sur la barrière, un panneau :
The Second Wind Project — Le Projet Second Souffle.

Jean nous a expliqué sur le perron. Une communauté. Gérée par des bénévoles. Un abri temporaire pour les familles en détresse. Pas de paperasse. Pas de bureaucratie. Juste des gens… qui aident d’autres gens.

« Vous aurez un toit, de la nourriture, et un peu de temps pour vous relever, » a-t-elle dit.

J’ai avalé ma salive. « Et c’est quoi le piège ? »

« Aucun, » elle a souri. « Il faut juste aider un peu. Donner un coup de main aux animaux. Nettoyer. Construire, si t’as des bras. »

Cette nuit-là, on a dormi dans un vrai lit. Tous les quatre dans une même chambre, mais avec des murs, une lumière… et un ventilateur qui ronronnait doucement. J’ai bordé les garçons, puis je me suis assis par terre. Et j’ai pleuré. Comme un enfant.

La semaine suivante, j’ai coupé du bois, réparé une clôture, appris à traire une chèvre. Les garçons se sont liés d’amitié avec une autre famille — une maman solo et ses jumelles. Ils ont couru après les poules, cueilli des baies sauvages, dit merci à chaque repas.

Un soir, j’étais sur le porche avec Jean.
« Comment t’as trouvé cet endroit ? » j’ai demandé.

Elle a souri.
« Je l’ai pas trouvé. Je l’ai construit. C’était petit, au début. J’étais infirmière. J’avais un bout de terre de ma grand-mère. J’ai décidé d’être un panneau indicateur pour quelqu’un, pas juste un souvenir. »

Ses mots sont restés en moi.

Deux semaines sont devenues un mois. J’avais mis un peu de côté grâce à des petits boulots en ville. Un garage m’a proposé de faire un essai, et un jour, le patron — un gars sec nommé Frank — m’a tendu un chèque :
« Reviens lundi si t’en veux d’autres. »

On est restés à la ferme six semaines de plus. J’avais un boulot à mi-temps stable, assez pour louer un minuscule duplex en bordure de ville. Le loyer était bas parce que le sol penchait et les tuyaux grinçaient… mais c’était à nous.

On a emménagé la veille de la rentrée.

Les garçons ne m’ont jamais demandé pourquoi on avait quitté le motel ou dormi sous une tente. Pour eux, c’était juste l’aventure. Encore aujourd’hui, Micah raconte qu’on a vécu à la ferme et construit une clôture sous les yeux curieux des chèvres.

Mais il s’est passé quelque chose trois mois plus t**d.

Un dimanche matin, j’ai trouvé une enveloppe sous le paillasson. Pas de nom. Juste un Merci écrit sur le devant.

À l’intérieur, une vieille photo : Jean, jeune, un bébé sur la hanche, devant la même grange. Et au dos, un mot écrit d’une main maladroite :

« Ce que vous avez donné à ma mère, elle vous l’a offert à son tour. Transmettez-le, quand vous le pourrez. »

J’ai posé des questions, mais personne ne savait qui l’avait laissée. Jean ne répondait plus au téléphone. Quand je suis retourné à la ferme, elle était vide. Sur la barrière, une note manuscrite :
Je me repose. Aidez quelqu’un d’autre.

Alors… c’est ce que j’ai fait.

J’ai commencé à faire les courses pour la vieille dame du bout de la rue. J’ai réparé le robinet qui fuyait chez le voisin. J’ai donné ma vieille tente à un homme qui venait de perdre son emploi.

Un soir, quelqu’un a frappé à notre porte. L’air inquiet. Deux petits accrochés à ses jambes. Il m’a dit qu’au centre alimentaire, quelqu’un lui avait dit que je pourrais peut-être l’aider.

Je n’ai pas hésité.

J’ai préparé du chocolat chaud.

Je leur ai laissé le salon pour dormir.

C’est comme ça que tout a commencé. J’ai parlé au garage. Frank l’a pris à l’essai. J’ai appelé quelques amis. On lui a trouvé des meubles, des vêtements, des chaussures pour les petits.

Et petit à petit… notre maison est devenue le second souffle de quelqu’un d’autre.

Je croyais que toucher le fond, c’était la fin.

Mais pour certains, c’est le début.

On n’a jamais vraiment campé.

Mais en perdant tout… on a trouvé bien plus que je n’aurais cru.

Et chaque soir, quand je borde mes garçons, j’entends encore les mots de Micah :
« Papa, j’aime mieux ici. »

Moi aussi, mon grand. Moi aussi.

Parfois, le plus bas des endroits est celui où l’on pousse le mieux.

21/07/2025

Prochains ateliers de constellations les mardi 5 et mardi 26 août de 16h à 20h environ 😊

PAF : 60€ comme demandeur et 20€ comme représentant.

NB : à partir du mois de septembre, le tarif des représentants passera à 30€ 🌸

Belle soirée à tous et au au plaisir,

Lucie - Soleil Rose ☀️🩷

🇧🇪 Belle et douce fête nationale à tous 🖤 💛 ❤️
21/07/2025

🇧🇪 Belle et douce fête nationale à tous 🖤 💛 ❤️

Waw !! 🐝🐝
19/07/2025

Waw !! 🐝🐝

𝗩𝗼𝗶𝗹𝗮̀ 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗯𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗶𝘀𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗰𝗶𝗿𝗲 𝗱'𝗮𝗯𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 😨 ! C'est fou que personne n'en parle.

🦷 Ces espèces de « dents » qui sortent du corps de cette abeille, c'est de la cire. La plupart des jeunes ouvrières abeilles sociales sont capables d'en produire.

Voici le processus 👇

𝗘́𝗧𝗔𝗣𝗘 𝟭 : 𝗟𝗔 𝗣𝗥𝗢𝗗𝗨𝗖𝗧𝗜𝗢𝗡

🏭 La cire est produite à partir de 𝗴𝗹𝗮𝗻𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗶𝗿𝗶𝗲̀𝗿𝗲𝘀 à l'intérieur du corps de l'abeille. Pour fabriquer la cire, les abeilles 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗶𝘀𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝘂𝗰𝗿𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗲𝗻𝘂𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗺𝗶𝗲𝗹. Si ça vous intéresse, je vous parlerai de ce processus dans un autre post.

🧊 La cire est produite à l'état liquide, puis elle durcit immédiatement au contact de l'air en formant de minuscules écailles translucides, de la taille d'une écaille de peau. 𝗨𝗻𝗲 𝗮𝗯𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗶𝗿𝗲 𝟴 𝗲́𝗰𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝟭𝟮 𝗵𝗲𝘂𝗿𝗲𝘀.

𝗘́𝗧𝗔𝗣𝗘 𝟮 : 𝗟𝗔 𝗥𝗘́𝗖𝗢𝗟𝗧𝗘

🐝 L'abeille se contorsionne pour aller chercher les écailles avec ses pattes arrière, et les transporte jusqu'à sa « bouche ».

Une étape importante pour que la cire puisse être utilisable.

𝗘́𝗧𝗔𝗣𝗘 𝟯 : 𝗟𝗘 𝗙𝗔Ç𝗢𝗡𝗡𝗔𝗚𝗘

🦷 L'abeille mâche la cire grâce à ses mandibules 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗲𝗻 𝗹𝗮 𝗰𝗵𝗮𝘂𝗳𝗳𝗮𝗻𝘁 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗮 𝗰𝗵𝗮𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝗰𝗼𝗿𝗽𝘀 (env. 35 °C dans la ruche). Cette manip permet de rendre la cire souple, collante et prête à l'emploi.

🌿 Si la cire prend une 𝘁𝗲𝗶𝗻𝘁𝗲 𝗷𝗮𝘂𝗻𝗲 𝗼𝘂 𝗯𝗿𝘂𝗻𝗲, c'est qu'elle a été mélangée à du pollen, de la propolis ou même du nectar.

𝗘́𝗧𝗔𝗣𝗘 𝟰 : 𝗟𝗔 𝗖𝗢𝗡𝗦𝗧𝗥𝗨𝗖𝗧𝗜𝗢𝗡

🛠️ Une fois ramollie, l'abeille dépose la cire et sculpte les fameuses alvéoles hexagonales, où seront stockés :

du miel 🍯
du pollen 🌾
ou les œufs 🐣

𝗘𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗰̧𝗮, 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗯𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗼𝗻𝘁 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻 𝗱'𝗲́𝗻𝗲𝗿𝗴𝗶𝗲.
Il leur faut donc un jardin riche en fleurs pour se nourrir.

🌱 Ça tombe bien, c'est ce que je vous apprends à créer 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗺𝗮 𝗻𝗲𝘄𝘀𝗹𝗲𝘁𝘁𝗲𝗿 « 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗿𝗲́-𝗲𝗻𝘀𝗮𝘂𝘃𝗮𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗮𝗿𝗱𝗶𝗻𝘀 ».

Pour vous inscrire, c'est par ici : https://lnkd.in/gDnEJ7R2

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16/07/2025

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Doux rituel d'hommage... 🌸🐻🌸
16/07/2025

Doux rituel d'hommage... 🌸🐻🌸

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