Christel Demey coaching & psychothérapie & graphothérapie

30/08/2025

26/08/2025

🦋 "Les personnes autistes ne font pas semblant d'être anxieuses, elles font semblant d'aller bien"

25/08/2025

🤔Le syndrome post-vacances (parfois appelé "blues du retour" ou "stress de reprise").
👉C’est une réaction assez courante après une période de repos ou de vacances, quand on reprend le rythme habituel. Il s'agit d'un état de déprime et de fatigue temporaire causé par le retour à la routine quotidienne et la baisse soudaine de dopamine!
💡Symptômes fréquents:
✅Fatigue inhabituelle,
✅Irritabilité, humeur maussade, parfois anxiété
✅Difficultés de concentration
✅Perte de motivation au travail ou dans les activités quotidiennes
✅Sentiment de nostalgie des vacances, impression de "vide"
⁉️Pourquoi ça arrive ?
👉Le contraste entre la liberté/relaxation des vacances et les contraintes du quotidien
👉👉La surcharge de tâches accumulées pendant l'absence
👉👉👉Un rythme biologique qui doit se réadapter (sommeil, horaires)
👉👉👉👉👉Une éventuelle insatisfaction plus profonde vis-à-vis du travail ou du mode de vie
🤗Quelques pistes pour atténuer le stress post-vacances
✅Préparer la reprise en douceur : si possible, éviter de rentrer la veille de la reprise.
✅S’organiser : traiter les tâches urgentes en priorité et accepter que tout ne sera pas réglé le premier jour.
✅Conserver un peu de l’esprit vacances : marcher, voir des amis, prendre du temps pour soi, même en semaine.
✅Soigner le rythme : sommeil régulier, alimentation équilibrée, pauses au travail.
✅Se donner un projet motivant : une sortie, une activité, ou même planifier les prochaines vacances.
👉 En général, ce "syndrome" dure quelques jours à deux semaines. Si la démotivation ou l’anxiété persistent au-delà, cela peut être le signe d’un mal-être plus profond lié au travail ou à la vie quotidienne — dans ce cas, il peut être utile d’en parler avec un professionnel.

Belle rentrée quand même!

18/08/2025

🌟 Nous poursuivons notre série de présentations des membres du GBGT. Aujourd’hui, nous vous présentons Sylvie Tramasure. 🌟

Sylvie est graphothérapeute et vous accueille à Grosage (Chièvres), dans un cadre calme et bienveillant. Elle accompagne enfants, adolescents et adultes avec attention et professionnalisme, pour les aider à retrouver confiance en leur écriture et en eux-mêmes.

Elle est également enseignante à l’ACADEG et a été présidente du GBGT, ce qui témoigne de son engagement profond dans le développement et la transmission de la graphothérapie.

📍 Adresse : Rue du Sabouret 3B, 7950 Grosage (Chièvres)
📧 Mail : sylvie.tramasure@gmail.com
📞 Téléphone : 0485/32.66.65
🌐 Site web : www.grapho-graphotherapie.be
👍 Facebook : Sylvie Tramasure

📢 Restez connectés pour découvrir les autres membres du GBGT dans les jours à venir !

💙 N’oubliez pas de liker la page Facebook de Sylvie pour suivre ses activités et ses publications.

17/08/2025

🔦⚠️L'handicap n'est pas toujours visible.
Pensons aux troubles de personnalité, au TDAH aux autres troubles neurodeveloppementaux (TSA, trouble du langage TDL...).

12/08/2025

⚠️12 phrases à connaître pour gérer les conversations difficiles!

06/08/2025

J'adore les illusions d'optique et à quel point notre cerveau porte des jugements erronés souvent sans que notre conscient intervienne. Comme on dit "Ne croyez pas tout ce que votre cerveau vous dit!" Faites l'exercice - vous verrez!

05/08/2025

cérébrale, notre centrale de la peur et autres émotions. Tellement essentielle à notre survie!

😱Ne plus jamais avoir peur est le souhait de certaines personnes.

En fait il est tout à fait possible de ne plus jamais ressentir la peur. Sans passer par la maîtrise de soi ou une technique de relaxation…

🧠 ... mais bien, parce qu’une petite région de votre cerveau ne fonctionne plus : l’amygdale (le petit point rouge sur l'image)

🙋‍♀️C’est exactement ce qui est arrivé à "SM", une femme américaine atteinte d’une maladie génétique rare (maladie d’Urbach-Wiethe) qui a détruit sélectivement ses deux amygdales.

🐍 Serpents, araignées, maison hantée, agression physique… rien ne l'effraie.

🔬 Étudiée depuis plus de 20 ans, elle ressent toutes les émotions… sauf celle qui, normalement, nous protège du danger, la peur.

🦸‍♀️Fini l'anxiété, le stress, les traumas ! La belle affaire !?

Sauf que S.M. a été victime de nombreux actes criminels ainsi que d’expériences traumatiques et potentiellement mortelles.
Elle a été menacée à la fois avec un couteau et une arme à feu, a failli être tuée dans un contexte de violence domestique, et a reçu à plusieurs reprises des menaces de mort explicites.

Malgré la gravité de ces situations, S.M. n’a manifesté aucun signe de panique, d’urgence ou d’autres réactions comportementales habituellement associées à ce type d’événements. Elle n'a pas non plus développé de stress post-traumatique après coup.

De plus, ce manque d’évitement s’accompagnait fréquemment d’un comportement d’approche exploratoire excessif, que S.M. décrivait verbalement comme un sentiment envahissant de « curiosité » envers les stimuli supposés provoquer la peur.

Le nombre disproportionné d’événements traumatiques dans sa vie a été attribué à une combinaison de facteurs :

- le fait qu’elle vive dans une zone dangereuse marquée par la pauvreté et la criminalité,
- et surtout, une altération marquée de sa capacité à détecter les menaces imminentes dans son environnement, ainsi qu’à apprendre à éviter les situations potentiellement dangereuses.

NB: À noter que S.M. n’a jamais été condamnée pour un quelconque acte criminel et n'a rien d'une psychopathe.

👉 Ce cas a permis de confirmer que l’amygdale est une région cérébrale essentielle pour déclencher un état de peur lorsqu’un individu est confronté à des stimuli menaçants dans l’environnement externe.

Mais il montre aussi à quel point la peur n’est pas un signe de faiblesse, mais un signal essentiel à notre survie.

Sans elle, nous prenons des risques inconsidérés, notre cerveau ne nous avertit plus du danger… et même les souvenirs traumatiques ne laissent pas de trace émotionnelle durable.

Son comportement, à maintes reprises, la ramène dans des situations qu’elle devrait éviter, mettant en lumière le rôle indispensable que joue l’amygdale dans la promotion de la survie, en poussant l’organisme à fuir le danger.

Pour aller plus loin:
Feinstein JS, Adolphs R, Damasio A, Tranel D. (2010)
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC3030206/



́té

31/07/2025

Faire le ménage âge par âge 😊

27/07/2025

et , une différence entre ces deux

Lire, pour moi, c’est tout un paradoxe.

Il suffit que je sois happée par un sujet, que ça me passionne profondément, pour que je puisse lire un livre entier d’une seule traite, sans bouger, sans voir le temps passer. Je plonge dedans comme dans un autre monde, une bulle où tout devient plus simple, plus calme, plus clair. Ça, c’est mon côté autistique.

Mais si le livre ne m’embarque pas dès les premières pages, si le style me perd ou si le sujet ne m’accroche pas immédiatement… alors c’est une autre histoire. Mon cerveau papillonne, je relis la même phrase dix fois, je décroche, je pense à autre chose, je m’agace. Et je finis par abandonner. Ça, c’est mon TDAH.

Alors entre hyperfocus et distraction permanente, la lecture devient un exercice d’équilibriste. Il faut que le livre me parle, profondément, viscéralement. Sinon, il reste sur l’étagère.

Et vous ?

25/07/2025

🌟 Olivia Stone ❤️

20/07/2025

⚠️⚠️La fragilisation de l'empathie et de l'appréciation du réel chez les jeunes!!